Masato Hisa

Extrait :

Nouvel avis sur une nouvelle série, dont j’ai déjà quelques tomes depuis un petit moment dans ma collection. Etant fan de l’univers des Kamen Rider, je ne pouvais qu’être tenté par ce titre qui en est inspiré. L’intrigue nous place au Japon en l’an 400, soit pas du tout dans l’ère moderne, je suppose qu’il n’y aura donc pas de moto typique des Kamen Rider. Le rythme de l’intrigue est assez déroutant, comme certaines planches d’action… mais il y a aussi des passages avec un certains charmes.



L’aventure commence à peine que le ton semble déjà posé, ainsi que les personnages importants, dont l’antagoniste. Monko est une sorte de voyageur itinérant, cherchant à vendre ses petites statuettes, mais derrière cette façade, il est aussi Kamuya Ride ! Un mystérieux combattant qui cherche à renvoyer les « divinités » chez eux. J’aime bien le design de l’armure, ainsi que la partie clé/serrure, c’est original. Pour les deux autres personnages, il s’agira d’un allié et l’autre d’un antagoniste. Cette rencontre fortuite est bien menée, la comédie omniprésente me fait penser que la série sera peut-être une parodie des Kamen Rider. Et la suite à tendance à me le confirmer, car la série ne semble pas être sérieuse pour un sous.



Qui dit parodie, dit aussi scènes clichées… notamment celles liées aux tentacules, bien trop présentes à mon goût. Une fois pourquoi pas, mais plusieurs fois de suite ça devient redondant et pas du tout marrant. Sans compter que la victime est un prince, et ses scènes font douter sur son genre. Surtout qu’évidemment, il n’a pas une dégaine de mec, mais bien une efféminée, en plus de prendre des positions très féminine, comme par hasard. Que la série se veuille parodique, pourquoi pas, mais je ne trouve pas ce genre de scènes drôles… J’espère donc qu’il y en aura moins dans les prochains tomes, car si je vois les scènes de tentacules trop souvent, alors la série perdra de l’intérêt, vitesse grand V, à mes yeux. Ce qui serait quand même assez dommage, car pour le reste, la série serait très attractive.



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Un excellent volume pour une série qui l'est tout autant et mériterait plus de visibilité!
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Un cinquième opus toujours aussi percutant mais qui va cette fois nous permettre d'en apprendre un peu plus sur notre héros, en levant en partie le voile qui le concerne!

On en redemande encore et encore!


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Dans ce manga nous découvrons un monde japonnais historique, rempli de guerriers et Prince.

Le versant fantasy ne tarde pas à arriver et est je trouve plutôt bien amené grâce à une astucieuse présentation des protagonistes en tout début d'histoire.



Les illustrations sont au départ un peu déroutantes, ne suivant pas les codes modernes de tracé manga, avec des visages plutôt minimalistes et où le corps des personnages est d'avantage mis en valeur. D'ailleurs, le mangaka utilisera à plusieurs reprises la nudité pour exprimer la vulnérabilité de l'un de ses personnages notamment.



Les combats sont impressionnants, très visuels et tournant autour d'une thématique magique, tels des sorts que l'on scellerait ou libérerait. Le contexte est intéressant et fouillé. Des rebondissements époustouflants, laissent planer des suspenses agréables et donnant clairement envie de poursuivre sur les tomes suivants.



Pour conclure, un premier tome introductif qui ne se contente pas de planter le décor. On est tout de suite happé par une intrigue qui nous tient en haleine et c'est magiquement bon.

Trois épisodes sont nécessaires pour terminer l'histoire débutée dans le volume 9, qui voit McCoy gérer une crise monumentale avec Saint-Germain, un immortel façon aristocrate français du XVIIIè siècle (mesquin et orgueilleux, c-à-d conforme à l'image que les Japonais peuvent avoir d'une telle personne). Une satori menace de faire sauter (involontairement) Area 51. C'est assez bien foutu, pesant et prenant. Le paradoxe temporel est réglé très correctement. On passe un bon moment.



Ensuite vient un petit épisode assez décalé et peu emballant. Je n'en déovile pas davantage.



Le dernier épisode voit McCoy agir comme garde du corps d'Amaterasu (déjà rencontrée par le passé), divinité japonaise majeure, dont veut se débarrasser une divinité égyptienne. C'est plutôt bien foutu également. Les ombrages clair-obscur et les effets "en négatif" sont assez poétique dans cet épisode. En accord avec le propos, très éloigné de la baston habituelle.

Area 51, en manga, c'est une sorte de Hangar 18 ou de Zone 51, mais à la puissance 1000. C'est un monde complet où on a stocké toutes les créatures imaginaires, fantastiques, légendaires, mythologiques, divines, etc. Les monstres les plus divers s'y côtoient. Les pistolets sont dotés d'une âme. Et au sein de ce monde, Tokuko MAGOI (Alias McCOY) est une détective privée, chargée de dénouer l'inconcevable.



Filiforme, mini-jupe plissée d'écolière ou cuissarde, dotée d'un bon 95D qu'elle projette à l'assaut des lecteurs, McCoy possède un Tsukumo, en l'occurrence un Colt M/911 Government, doté d'une conscience.



Cinq chapitres au menu de ce volume 9 de bonne facture. Une double mise en jambes avec d'abord un extraterrestre gélatineux répandu via des boîtes de l'armée US contenant de la gelée stellaire, et ensuite un petit flashback sur l'origine d'un Tsukumo. On peut avoir l'impression que ces épisodes sont indépendants, ce n'est pas le cas. Et les trois histoires suivantes sont connectées entre elles, mais on a des rappels ou des évocations dans les autres chapitres. Et on commence aussi à avoir des éléments d'épisodes précédents qui remontent à la surface.



Ces trois épisodes qui clôturent le volume plongent le lecteur dans une sorte de paradoxe spatio-temporel mettant en scène Saint-Germain (être immortel qui parcourt le temps) et une satori, créature issue du folklore japonais qui lit dans les pensées des humains. C'est plutôt bien mené et pas trop hermétique.



Car il faut bien avouer que le découpage (de la page et de l'histoire) est souvent à la limite de la compréhension. Cela ne se feuillette pas comme One Piece ou Beastars. Le point fort reste l'usage immodéré du noir et blanc, des ombres et des flash "en négatif".

Un volume bluffant visuellement qui se lit malheureusement bien trop vite, le lecteur étant happé par le rythme frénétique imposé par l'auteur !

Véritablement un excellent titre, aussi surprenant que savoureux !


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Je ne le dirai jamais assez mais Masato Hisa est un véritable génie méconnu et c'est tout à l'honneur de Vega de prendre le risque de nous proposer sa dernière série en date, et je les en remercie!
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Suite et fin de cette rencontre de l'univers de Batman avec le japon féodal. Il y est question de robots géants, de sabres et de ninjas, le tout sous le magnifique trait de Masato Hisa. Toujours aussi fun.
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Kamuya Ride, tome 1. Autant le dire tout de suite, je n'ai pas été emballé par ce manga. Je me suis assez ennuyé, que ce soit dans l'histoire ou dans la succession des combats (il y en a pas mal quand même dans ce tome) qui ne m'ont pas marqués, et que j'ai trouvés un peu brouillon.

Je précise quand même que mes lectures de mangas de ce genre datent (Kyo, Kenshin...!) et que je ne suis sans doute pas le mieux placé pour en juger...

Oh comme j’ai adoré ce manga! J’aime beaucoup l’univers de Batman, alors découvrir Batman dans le Japon féodal c’était encore mieux! Je n’ai jamais vu le film d’animation Batman Ninja, je ne sais pas si ça raconte la même chose que le manga sur ce coup là je ne pourrais pas faire de comparaison. Mais personnellement, j’ai beaucoup aimé ce manga! Ce premier tome est, pour moi, excellent! J’ai hâte de découvrir le deuxième et dernier tome.



On retrouve tous les personnages emblématiques du monde de Batman et ça c’est génial. Il n’y a pas seulement le Joker. On retrouve également Poison Ivy, le pingouin, Catwoman, Robin et compagnie. On va donc suivre Batman et toute sa clique dans un voyage dans le temps propulsé dans le Japon Féodal. La bas, les méchants emblématiques se sont partagé le pays, devenant par la même occasion, des seigneurs feodaux.. Batman, arrivé deux ans après tout le monde, ainsi que toute son équipe doivent donc veiller et aider le peuple et, évidemment, ramener tout le monde à Gotham!



L’histoire est vraiment bien ficelé, si bien qu’on ne s’ennuie pas et le manga défile vraiment très vite. La fin nous donne clairement envie de lire le tome 2, qui s’annonce d’ailleurs assez dingue au vue de la fin du premier! J’ai beaucoup aimé les illustrations, elles sont très agréables à la lecture et sont vraiment très jolies!



Ce premier tome est donc une bonne surprise pour moi. J’avais peur d’être trop dépaysé de Gotham mais finalement ça se passe tout seul! Il est rempli d’action, ça défile très vite et j’ai trouvé l’histoire très cohérente! J’ai hâte de lire le dernier tome et voir comment ça va se passer pour Batman et toute son équipe!
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Je remercie la maison d'édition Vega pour l'envoi de ce manga et les organisateurs de la Masse critique Babelio pour l'organisation.

Un seinen de combat assez classique qui n'a pas su me transporter.

Le dessin est particulier et parfois déconcertant. J'aime beaucoup la tenue de Kamuya Ride entre samouraï traditionnel et cyborg.

L'intrigue est assez linéaire et les combat rapides et rythmés. Ce tome se dévore rapidement.



Trois personnages intéressants avec un combats entre humains et dieux. mais, je reste sur ma faim. J'ai peur que la suite soit une succession de combats sans grand intérêt. je ne poursuivrai pas l'aventure.
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* https://lamedesmots.weebly.com/seinen/kamuya-ride-masato-hisa *



L'histoire se déroule au Japon, vers l'an 400, pendant la période Yamato. Dans tout le pays, la révolte est en marche. Le Roi envoie une armée avec à la tête son fils, Yamato Takeru, pour empêcher la rébellion. Cependant, les troupes se font anéantir et subissent une défaite cuisante lors de leur voyager vers l'Ouest. Le Prince est sauvé par un étrange personnage, Kamuya Ride, qui combat d'anciennes divinités réveillées. Leur rencontre permettra au Prince, Yamato Takeru, de connaître les raisons de ce complot et de la rébellion contre la dynastie Yamato. Les dieux des différentes provinces du Japon menacent l'équilibre du Royaume.



Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio ainsi que Vega Édition qui m'ont permis de découvrir "Kamuya Ride" avec son premier tome dans le cadre de la masse critique.



Kamuya Ride se déroule lors d'une époque particulière du Japon: pendant la dynastie Yamato. On découvre alors un Prince prêt à tout pour faire ses preuves, même à combattre des divinités anciennes qui le dépassent totalement. Yamato Takeru fera la rencontre de Kamuya Ride, cet étrange combattant qui sera d'une précieuse aide dans son périple. J'ai trouvé ce manga très original. L'époque abordé n'est pas habituel, et nous permet grâce à ses notes d'en apprendre plus sur le Japon de cet époque. L'histoire en elle-même est très intéressante et nous emmène en plein cœur d'une rébellion de divinités, le mystère règne sur Kamuya Ride et beaucoup de questions subsistent.



La lecture est agréable et simple. On se plonge vite dans l'aventure du Prince. Les personnages sont intrépides. En ce qui concerne, l'étrange combattant de divinités, il est très intriguant voire même drôle.



Quant aux dessins, ils me rappellent un peu le dessin animé "Papyrus" (pourtant je sais que ça n'a rien avoir) que je regardais étant petite et que j'adorais.



J'ai été vite immergée dans cet univers grâce à l'histoire mais aussi aux coups de crayon.



Ce premier tome est pour moi une réussite qui me donne envie de connaître la suite des aventures de Kamuya Ride.



C'est mon premier coup de cœur de 2020. Ce manga m'a fait voyagé. Je n'ai qu'une envie: avoir le tome 2 entre les mains.

Une fois de plus à Gotham City, l'asile d'Arkham est attaqué lorsque Batman, accompagné de plusieurs de ses acolytes, intervient.

Le chevalier noir affrontera alors Grodd le gorille. Ce dernier a construit une étrange machine qui enverra tous les résidents d'Arkham, gentils comme méchants, des années en arrière dans le Japon Féodal.

Batman qui arrive là deux ans après les autres découvre que les vilains se sont répartis le Japon et que le Joker est sur le point de dominer tout le pays et de devenir le Grand Shogun.

L'homme chauve souris aura fort à faire dans ce pays et dans cette époque où la technologie est absente pour rétablir l'ordre et ramener tout ce beau monde dans leur temporalité.



Masato HISA adapte ici en manga (édité chez Kana) l'histoire du film animé sorti quelques temps auparavant sur netflix.

L'histoire prend quelques raccourcis et la présence de certains personnages n'est presque qu'anecdotique. Le duel principal étant celui de Batman et du Joker.

Le mangaka a usé d'un style très particulier en forçant les contrastes au maximum et en utilisant un trait épais pour les contours.



Personnellement je n'ai pas accroché au style graphique de ce manga. Et j'ai trouvé trop d'incohérences. Ce ne sera pas la meilleure adaptation d'un comics à mes yeux (préférant le Batman & the Justice League chez le même éditeur).

"Heureusement" que Batman Ninja ne compte que 2 tomes. Parfois c'est bien quand c'est court.
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La transposition de l'univers Batmanien à l'époque du Japon féodal est intéressante, mais Hisa reste dans un rapport extrêmement manichéen, les personnages se contentent de suivre leur ligne de conduite habituelle, sans véritable variation, sans surprise ! Au final, un volume qui devrait plaire aux habitués de Batman !
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Comme toujours Masato Hisa signe un travail impeccable, proposant quelques détails inédits par rapport au dessin animé, et une partition graphique collant parfaitement au sujet. C’est un véritable plaisir de voir ce mangaka spécialisé en pulp s’attaquer à un tel monument, bouclant ainsi la boucle de certaines ses influences personnelles.
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Avant d’être un manga, Batman Ninja est en premier lieu un film d’animation né de la collaboration entre les studios américains de Warner Bros. Animation et le japonais Kamikaze Douga. La réalisation est de Junpei Mizusaki sur un script de Kazuki NAKASHIMA (Kill la Kill), pour une sortie en DVD, Blu-Ray et streaming légal en avril 2018. La version papier reprend l’histoire du film, pour se tenir en 2 tomes. Le scénario et le dessin sont assurés par Masato HISA, principalement connu du public français pour Area 51 et Jabberwocky. Au Japon, le titre a été prépublié dans le magazine Hero’s (Ultraman, ATOM – The Beggining, Arsène Lupin) de Shogakukan, la même année de sortie que le film. Le récit se passe à notre époque, dans la ville fictive de Gotham, ou lors d’un combat avec Gorilla Grodd, Batman et d’autres héros et criminels sont envoyés par accident dans un Japon féodal. Là-bas, les pires méchants de Gotham se sont partagé le pays en devenant des seigneurs féodaux. Le Joker est celui dont la poigne ne connaît aucune limite, et entame son ascension en tant que Shogun. Arrivé sur place deux ans après eux et les membres de la Batfamily, Bruce Wayne va devoir aider le peuple et ramener tout le monde dans le Gotham du présent. Le scénario est assez simple d’accès ce qui permet aux non-lecteurs de comics et de DC en général d’approcher cet univers sans aucune connaissance. Malgré cela, les fans ou les simples connaisseurs de DC pourront apprécier la lecture sans avoir l’impression de s’ennuyer. C’est fluide, entraînant et très efficace. Le rythme soutenu aide beaucoup à ce que l’ensemble soit plaisant à lire. N’ayant pas regardé le film d’animation je ne pourrais pas faire de comparaisons, mais je n’ai en majorité eu que de bon retours dessus. À vous de vous faire votre propre idée de ce côté-là. En tout cas, moi ça m’a donné envie d’y jeter un œil… ce tome 1 de Batman Ninja est avant tout du fan service puisque l’on retrouve une très grande partie de la galerie des personnages de l’univers de Batman. Enfin, sauf Gorilla Grodd qui est un ennemi de The Flash… pourquoi l’avoir choisi lui ? Je donne ma langue au chat. Mais bon, à ce stade que ce soit lui ou un autre ennemi lambda avec un cerveau, peu importe, puisqu’il ne sert que de prétexte au voyage dans le temps.



On se retrouve dans un Japon Médiéval cohérent, aussi bien charmant à l’écrit que dans le dessin. Le style de Masato HISA possède sa propre force et donne du caractère au design des personnages. Déjà dans le film, quand on voit le trailer, la pâte visuelle est très très différente de tous les films ou série d’animation de DC Comics. La mise en scène sert le scénario dans ses moindres actions. L’ambiance se veut moins sombre que dans un comics de Batman pour le coup, cela pourrait déstabiliser mais en réalité ça apporte une approche différente. En conclusion, ce tome 1 de Batman Ninja est vif et rapide dans sa narration tout en incluant des passages plus calmes presque intimes entre les personnages. Une lecture divertissante, fun et pleine d’action qui a le mérite de mettre ces icônes DC Comics dans un contexte différent et réussit.
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Hisa Masato, par son style graphique marqué mais précis, propose une évocation claire et puissante de ces temps anciens où la magie était à la fois à la marge et omniprésente. [...] Il prouve encore une fois sa capacité à magnifier les mythes anciens et modernes pour offrir une œuvre singulière et enthousiasmante.
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Nouvelle série de Masato Hisa ("Area 51"), "Kamuya Ride" mêle mythologie japonaise et genre de "sentai". Pour un cocktail original misant pour le moment tout sur l'action.
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Un tome manquant un peu d'équilibre. On revient aux structures des tomes 4 et 5. Quelques histoires un peu décousues, faisant un peu progresser le récit global, mais apportant une galerie de personnages et pas mal d'informations sur l'univers en général et Area 51 en particulier.



On voit revenir Kishiro, suite au départ du Prince. On voit la stratégie des divinités japonaises qui ménagent la susceptibilité des divinités scandinaves en rétablissant la possibilité du ragnarok (qui est théoriquement impossible vu qu'Odin est mort). Thor succède à son père comme dieu suprême scandinave. On sourit en voyant où le Serpent Originel est parqué. On découvre aussi que McCoy est depuis le début le jouet des divinités japonaises. Sa reconstruction grâce à l'épée n'est pas le fruit du hasard. On apprend qu'elle a un enfant, kidnappé par la créature qu'elle pourchasse, un doppelganger particulièrement cruel et retors.



Bref beaucoup de choses, mais dans lesquelles on a du mal à voir la continuité.