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Critiques de Maurice Renard (116)
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Le péril bleu

Toujours intéressant de lire la science fiction du passé, livre écrit avant la première Guerre Mondiale dont l'action se situe dans l'Ain autour de Belley.

De mystérieuses disparitions, des objets, des branches, des animaux, l'inquiétude s'installe. Aucun indice, aucune trace. Puis des humains enlevés...

C'est le départ d'une enquête dans laquelle les héros, malgré eux, ne sont pas au bout de leurs surprises ni de leurs peurs.

J'ai apprécié le style simple et moderne de l'écriture, même si on peut sentir la naïveté de l'époque, il y a une belle réflexion sur la place de l'humain dans la création ainsi qu'une critique de ses actions en tant qu'espèce "dominante".
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Les mains d'Orlac

Les Mains d’Orlac est un roman fantastique, publié en 1921 et quatre fois adapté au cinéma ; la première adaptation fut tournée en Autriche en 1924 : ce film muet de près de deux heures peut être vu en toute légalité sur le site Internet Archive.



Maurice Renard précise : « Il y avait déjà beau temps que l’histoire singulière se déroulait, lorsque je fus appelé à jouer, parmi ses personnages, le rôle effacé de figurant attentif ; et c’est de Mme Orlac que je tiens le récit du commencement… Si j’étais un conteur , j’aurais sans doute entamé l’histoire par le milieu, sinon par l’épilogue, comme font nos romanciers les plus experts, afin de frapper le grand coup le premier. Mais il m’a déplu de rompre l’inouï crescendo de terreur et de curiosité qui fait des Mains d’Orlac une ascension passablement bizarre. »



Le pianiste virtuose Stephen Orlac, victime d’un accident de chemin de fer, est blessé grièvement à la tête et privé de ses mains. Un célèbre docteur lui greffe celles d’un assassin fraîchement guillotiné. Dès lors, Orlac se demande s’il n’a pas hérité de penchants criminels. Constamment déprimé, il semble souffrir d’hallucinations. Rosine, son épouse, enquête pour le sauver, mais les mystères et les crimes se multiplient autour d’Orlac.



Dans cette histoire où l’occultisme tient une grande place Maurice Renard, comme dans L’Homme au corps subtil, laisse voir l’influence de H.G. Wells… mais, hélas ! L’Homme invisible est encore impubliable jusqu’en 2017…

> Écouter un extrait : 01. La catastrophe de Montgeron.



..: Voir la page complète de ce livre audio :..
Lien : http://www.litteratureaudio...
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L'homme truqué

Dès les années 20, Maurice Renard imagine de la bionique moderne. Au-travers du témoignage posthume d'un médecin mystérieusement retrouvé mort, on apprend comment un soldat rendu aveugle pendant la Première Guerre Mondiale revient soudainement avec des "yeux électriques" greffés à la la place de ses organes morts. Comment ensuite, les scientifiques ennemis qui avaient pratiqué cette expérimentation cherchent par tous les moyens à remettre la main sur ces bijoux technologiques échappés avec leur prisonnier.

C'est une nouvelle que je trouve assez anticipatrice pour l'époque, marquée bien sûr par le traumatisme de la Grande Guerre et de ses hordes de mutilés. Une nouvelle fantastique fort bien écrite qui se double d'une enquête sur la mort du médecin. Un OLNI* très intéressant.



* Objet Littéraire Non-Identifié
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La Rumeur dans la montagne

J’ai téléchargé cette courte nouvelle (à peine une vingtaine de pages) par curiosité. En effet, je n’avais jamais entendu parler de l’auteur.



Sans être extraordinaire, cette nouvelle a quelques bonnes qualités. Le style de l’auteur est agréable et fluide, jouant habilement entre cynisme et ironie du sort. Le mystère autour du son est assez bien exploité même si j’ai un peu regretté qu’il ne se lève pas à la fin de la nouvelle. C’est bien sûr la règle du jeu pour ce type de récits, cependant j’apprécie lorsque l’auteur offre au lecteur quelques indices pour nourrir son imagination.



Difficile pourtant de juger l’auteur sur un si court extrait de son oeuvre. En quelques pages il parvient néanmoins à éveiller la curiosité du lecteur et à le laisser un peu coi et déconcerté sur la fin brutale, à tous sens, du récit.
Lien : https://belykhalilcriticizes..
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L'amant de la morte

La pièce s'ouvre sur un badinage de femmes du monde. Simone Darvières sert, dans son boudoir, le thé à Ginette Barjot et à Maud Risner, qui sont en visite.

Lorsque survient Robert Samoy, que Ginette a rencontré dernièrement au Caveau-Géorgien, affalé, les coudes sur la nappe, à côté d'une affreuse petite rousse aux yeux pochés, au regard vide.

L'alcool, les stupéfiants...Tout lui est bon, paraît-il, pour s'étourdir !

Pour l'heure, il fait fuir ces dames qui donnent leur congé et avoue à Simone son amour pour elle.

Le mariage de la jeune femme avec Guillaume, duquel Robert était le témoin, a fait le malheur de ce dernier.

Presque par hasard, la jeune femme se trouve hypnotisée par le regard intense et douloureux de son prétendant malheureux et celui-ci, profitant de l'occasion, lui ordonne d'être à lui, dès son retour de voyage prévu cinq semaines plus tard.

Mais Simone, brûlée, défigurée disparaît dans l'accident ferroviaire du train qui roulait vers Nice. Guillaume, son mari, n'a retrouvé que son cadavre parmi le charnier qu'est devenue la voie ferrée.

Une nuit, sous une poussée de bourrasque, la fenêtre, mal refermée de l'atelier d'architecte de Robert, s'ouvre tout-à-coup. Les carreaux se brisent.

Robert, horrifié, se dresse, hagard....

"L'amant de la morte" est la seule pièce de théâtre que Maurice Renard a offert au théâtre du Grand-Guignol.

Il est un des précurseurs de la science-fiction. Mais il fait, ici une incursion dans le fantastique, un genre peu représenté dans le répertoire du théâtre du rire et de l'horreur.

C'est une courte pièce, oppressante et passionnante.

C'est un drame que l'on redécouvre, aujourd'hui, avec plaisir, parmi les nombreux chefs-d’œuvre que Maurice Renard nous a laissés.

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Château hanté

Le château hanté, c'est le château de Sirvoise, splendide demeure Renaissance sur les bords de la Loire, devenu récemment la propriété du Duc de Castièvre, un homme au tempérament mélancolique, d'autant que le château est prétendu hanté, et que les mauvaises langues prétendent que le duc lui-même aurait fait courir ces bruits afin d'obtenir un prix cassé.



Son seul plaisir, au grand dam de sa famille et de ses amis, est de déambuler au milieu de sa collection d'armure, mais hors de question d'organiser la moindre fête, qui "dénaturerait" le château à ses yeux.Jusqu'à ce que son ami et médecin trouve un solution qui satisfasse tout le monde: organiser un bal costumé sur le thème de la Renaissance, qui donnera un peu de vie à la demeure, sans en trahir l'histoire. une très bonne idée.. enfin, jusqu'à ce que l'armure de François I°, le clou de la collection, se mette à bouger et à danser seule. Serait-ce le fantôme du roi, ou un simple plaisantin?



Et c'est une bonne première découverte de cet auteur que je ne connaissais que de nom, avec une nouvelle agréable à lire, bien écrite, une ambiance fantastique qui se met en place peu à peu, et une fin ouverte comme j'aime.

et puis il y a cette collection d'armures qui me rappelle ma visite au musée des armées de Paris, ou on peut justement voir la très impressionnante armure de François I°, qui a du impressionner aussi Renard, car elle est décrite presque trait pour trait.
Lien : http://chezpurple.blogspot.f..
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Les mains d'Orlac

Je n'ai pas vraiment été emballé par cette histoire qui commençait pourtant bien avec cet accident de train. Je m'attendais alors à un vrai roman fantastique et à beaucoup plus de mystère.

Le tout est assez mal ficelé et tombe en miette avec une fin en queue de boudin. Aucune explication n'est par exemple donnée sur l'accident de train, qui est pourtant le mystère principal de l'histoire au départ.
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Les plus belles histoires de peur

Cet ouvrage, paru en 1942, est un cri d'horreur poussé à travers la littérature. C'est un recueil de nouvelles. Il se compose de textes très courts, dont certains sont inédits mais tous signés par de grandes et prestigieuses plumes françaises.

Claude Aveline, dès les premières pages, donne le ton et nous raconte la rencontre d'une jeune fille avec son destin, elle qui ne pensait qu'à rendre visite au couple Simonneau, les bons amis de ses parents....

Une plante rare et un mari couard s'invitent à la fête, puis Colette, la grande Colette elle-même, nous offre, peut-être, le seul moment de répit qui ne soit ni d'angoisse, ni de peur et où le frisson libérateur ne provient que de la grâce du remord soulagé.

Luc Durtain, l'immense écrivain "en voyage", nous raconte comment une nuit passée dans un château en forêt d'Argonne a transformé Pierre Despinais, jeune héritier falot et insignifiant en grand importateur de bois du nord, en homme accompli et en collectionneur avisé de peinture moderne.

Claude Farrere, de l'académie française, nous emmène dans une chambre au fond d'un faubourg toulonnais où un homme, reclus et terrorisé, écrit sur son chat nommé Kara Kédi. Ce qui signifie, en turc, chat noir....

Charles Foley s'inspire de la pièce de théâtre qu'il a écrite avec André de Lorde pour le théâtre du "Grand-Guignol" afin de nous offrir "au Téléphone" qui s'avère être un petit récit tout bonnement glacial et terrifiant.

André de Lorde est aussi de la partie avec "Figures de cire", l'histoire tragique d'un jeune homme qui, à la suite d'un pari, décide de passer la nuit au musée de cire de la foire de Montmartre.

Roger Vercel, avec "Ces deux lettres" nous offre un conte : celui de Louis Ramart, un enfant , sauvé mystérieusement de la noyade et à qui il est proposé de devenir un génie durant treize ans avant de devoir payer la dette ainsi contractée...

Au final ce recueil contient une vingtaine (22) de nouvelles signées par de grands noms tels que Colette, Pierre Véry, Roger Vercel, Maurice Renard, Pierre Mac Orlan, Jean Cassou, Pierre Mille et Jean de la Hire.

Les textes sont excellents et extraits, lorsqu'ils ne sont pas inédits, parmi les meilleurs ouvrages des auteurs choisis.

Il s'agit là de grande littérature, originale, atypique et réellement élégante, effrayante et surprenante.

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L'homme truqué

Des allusions appellent une suite, ce dont on ne peut que se réjouir, tant cet univers, mélange d'ambiance de début de siècle et de superscience (une SF uchronique originale) est encore riche de potentialités à explorer !
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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L'homme truqué

Après la première guerre mondiale, le docteur Bare découvre que son ami Jean Lebris est vivant, mais qu'il est revenu différent. Refusant de se faire soigner, celui-ci demande qu'on garde le silence sur ce qu'il a subi et transformé.



Ecrit en 1921, cette nouvelle n'a pas vieilli et propose une vision de la greffe intéressante et quelque peu inquiétante. On apprend que Jean Lebris a été enlevé, ses yeux remplacés par des prothèses et qu'il voit différemment. Parler de ce livre sans déflorer la nature de l'homme truqué serait ardu.

Maurice Renard ne va pas uniquement parler de science-fiction (merveilleux scientifique disait-on à l'époque), mais sa nouvelle va explorer le policier et la romance. Si l'ombre de la première guerre mondiale se fait sentir, les personnages font tout pour l'oublier et construire un monde meilleur. L'élan patriotique est d'ailleurs présent tout au long du texte et même chez "l'ennemi" on reconnaît la valeur des invités/prisonniers en les traitant bien. Un "ennemi" qu'on sent puissant, qui ne recourt à la force qu'en cas de nécessité. Cultivé, aimable, on sait peu de choses de cet homme qui va opérer Jean Lebris. Il se fait appeler Prosope, il n'est pas militaire et dit avoir quelque réputation comme médecin. Malheureusement pour notre héros, Prosope a une vision bien scientifique de son patient : l'amour de la science avant tout !

C'est le docteur Bare qui joue le role du narrateur. Personnage emprunt de patriotisme, curieux de la science qui émerge, il essaye de modérer les humeurs de son ami Jean Lebris. Il va jusqu'à proposer quelques expériences pour tester les différentes applications du "trucage" de son ami. Quant à Jean Lebris, la guerre, son opération et une santé déjà fragile ont raison de son caractère. Morose, il se sent condamné et ne demande qu'une chose, qu'on le laisse finir auprès des siens. Le dernier personnage important est celui de Fanny Grive, qui loue avec sa tante l'étage au-dessus de la famille Lebris. Jolie, dévouée, elle remplit les coeurs d'espérance et d'amour.

Sous la plume de l'auteur, le retour à la vie civile de Jean Lebris est emprunté d'ambiance policière. Paranoïa, secrets, "l'homme truqué" a peur des répercussions si on le sait vivant. Quant à la science-fiction, elle est présente par le "trucage". Cet homme qui voit grâce aux prothèses de Prosope. La théorie (utiliser un autre organe relié au nerf optique pour voir) semble plausible et sa réalisation monstrueuse. Pour Jean Lebris, la réalité n'est qu'image imprécise d'un côté (ou plutôt des couleurs), mais au fil du temps, il devine tous les aspects des couleurs, qu'elles soient physiques, chimiques ou construites...

Dernièrement, la bande dessinée L'Homme Truqué est parue. Scénarisée par Serge Lehman et dessinée par Gesse, elle montrait une vision différente de l'homme truqué. Pour comparer un détail parmi d'autres, la version 2013 voudrait que l'homme truqué revête un casque qui rejoint les yeux. Celle de 1921 décrit des prothèses de la taille des yeux, reliés aux nerfs optiques... Est-ce l'effet de la mode Steampunk ?



Véritable drame, L'Homme Truqué est une magnifique nouvelle. Si l'aspect scientifique est bien présent, c'est l'amalgame des genres qui permet d'être plongé dans le récit. Maurice Renard décrit très bien les sentiments de la race humaine. A découvrir ou à relire de toute urgence.



L'HOMME TRUQUE

AUTEUR : MAURICE RENARD

PUBLIE SOUS DOMAINE PUBLIC


Lien : http://temps-de-livres.over-..
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Les mains d'Orlac

Certains me diront que Maurice Renard est le pére du roman fantastique, que ce livre est plein d'imagination, précurseur même...

peut être, peut être...mais si mal écrit ! et si on me parle de charme désuet je rétorque : vieillerie imbuvable !

Heureusement qu'il en reste un film avec Peter Lorre.
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Le Maître de la lumière

Tout commence par une histoire d'amour contrariée, du style "Roméo et Juliette", mais version Corse.



Un Orthofieri aurait, longtemps plus tôt, assassiné un Christiani, et depuis ce jour, les deux familles se haïssent, et il semble que rien ne pourra jamais changer ça... jusqu'à la rencontre de Charles Christiani et Marguerite Orthofieri, qui tombent amoureux dès le premier regard, bien entendu.



Désespéré de ne pouvoir épouser celle qu'il aime, Charles fait alors la découverte d'une pierre qui reflètent des images du passée, et va alors tenté coûte que coûte de découvrir ce qu'il s'est vraiment passé, qui a vraiment tué César. Cette recherche est longue. Longue et peu intéressante. Il faut dire qu'il veut résoudre le meurtre tout simplement en regardant ce qu'il s'est passé. Autant dire donc, qu'il ne se passe pas grand chose...

D'ailleurs, j'ai sauté de nombreux paragraphes.



De plus, les personnages sont peu intéressants, et l'histoire d'amour particulièrement plate. Seul le personnage de Bertrand, fiancé de la soeur de Charles, m'a été un peu sympathique.



Deux étoiles malgré tout, car l'envie de savoir qui était l'assassin César m'a quand même fait lire le livre jusqu'à la fin (même si de nombreux passages ont été lus en diagonale...)
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Histoires d'occultisme - Anthologie

Le titre "occultisme" laisse une impression de secrets et de mystères un peu trompeur. Plus factuellement, c'est une compilation générale de nouvelles fantastiques où le surnaturel est apporté par des humains (et, dans un cas, un chat) qui pratiquent la magie.



Beaucoup de variations sur le thème de l'enchantement, pour tuer ou pour séduire, et finalement ça va assez vite sur le côté compréhension de l'univers en général et théories occultes. Je l'ai un peu regretté. Peut-être parce que si les auteurs expliquaient trop, cela tournerait en fantasy plutôt qu'en fantastique...



Il y en avait quand même des très bonnes. J'ai beaucoup aimé "L'elixir de longue vie" de Balzac (et personne ne m'avait jamais dit que c'était une réécriture de Dom Juan), la fin est terriblement frappante. Sinon, "Le château de Leixlip" de Maturin était un peu décousue mais écrivait les fées d'une façon qui me plait, et j'ai aussi aimé "Un bonbon pour une bonne petite" de Bloch, qui a un esprit très moderne et factuel et presque fantasy urbaine, pour le coup. Dans celles que j'avais déjà lues, j'adore "Le Miroir d'encre", mais j'aime tout ce que fait Borges.



Ceci dit, elles avaient toutes de bonnes idées, et ont été choisies pour cela en premier : pour offrir un large panorama et plusieurs variations du thème choisi.

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Les mains d'Orlac

Il y a au moins trois manières de lire "Les mains d'Orlac" de Maurice Renard, réédité par Les Moutons Electriques.

Comme chercheur, historien de la littérature, critique en gestation, on s'émerveillera devant le travail d'un des précurseurs de l'anticipation moderne, qu'il appelle « merveilleux scientifique ». On lui donnera une place méritée au sein d'un panthéon, avec Jules Vernes ou HG Wells, entre autres, panthéon dans lequel il a pleinement sa place en tant que prosélyte de la pensée rationaliste, démontrant habilement dans son roman ce qu’est l'imposture spirite (pour citer Guénon) et les errances de la croyance dans le surnaturel, car tout finit par s’y expliquer scientifiquement (même le fantôme) ; Occam avait donc raison...
Lien : http://quoideneufsurmapile.b..
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L'Invitation à la peur

Alors...

ce recueil de nouvelles fantastique du début du XXe est exactement ce que j'affectionne dans le genre !

Subtilité dans l'écriture, embarquement immédiat, glissement du réel à l'inconnu quasi imperceptible, le tout sur des utopies scientifiques très sérieuses à l'époque, c'est bon de revenir aux sources du genre !
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Romans et contes fantastiques

L’auteur Maurice Renard est enterré au cimetière de Dolus d’Oléron. Il fut au début du XX siècle un grand précurseur de la science fiction à la française. Ses romans et contes réunis ici on eu un grand retentissement en France mais aussi à l'étranger, notamment dans les pays anglo-saxons qui ont adaptés certaines oeuvres comme les mains d'Olrlac au cinéma.
Lien : http://bibliopmo.free.fr/ind..
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