Ce petit recueil de courts textes de Maurice Renard a été une très belle surprise.
L'écriture à la fois poétique et très maîtrisée se teinte parfois d'humour et de fantaisie. L'auteur nous livre de multiples récits très brefs, avec une cadence telle que la lecture en est presqu'addictive. Toutes les nouvelles sont en lien, de près ou de plus loin, avec Oléron et ses environs.
Un très jolie manière de découvrir cet écrivain contemporain de Kessel, Simenon et Colette, et considéré comme un de fondateurs de la science-fiction moderne.
Merci aux éditions Local pour le travail éditorial.
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L'homme truqué (1921) est un court roman de Maurice Renard, chef de file et théoricien du merveilleux-scientifique. Jean Lebris, a perdu la vue durant la guerre des tranchées. Opéré dans une forêt d'Europe-centrale, il peut désormais voir l'électricité. Un roman original et plaisant, symbole d'un genre littéraire quelque peu oublié.
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Maurice Renard nous conte , avec ses mots et son style l'histoire d'un pianiste qui suite à un accident se voit greffer des mains ayant appartenues à un meurtrier et pense qu'elles ont gardé souvenir de leur méfaits antérieurs.
Une histoire qui me rappelle le film ( adaptation du roman) vu il y a de nombreuses années , sans doute à la séance de ciné club et qui m'avait fait forte impression de par l'histoire et l'atmosphère qui s'en dégageait.
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Une histoire dans le milieu médical qui a pu, en son temps faire frémir les lecteurs mais qui aujourd'hui paraît bien désuète au regard des avancées scientifiques réalisées depuis un siècle.
Il n'en reste pas moins un récit qui nous renvoit aux considérations et superstitions de l'époque.
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En quelques pages, Maurice Renard nous conte une histoire au confins d'une montagne qui cache un secret: une rumeur.
Une histoire fantastique de sons, de mélodies et d'une ville utopique rêvée par Florent Max, personnage principal de cette nouvelle avec ladite montagne.
Un récit mélodieux pour un adepte de musique mais une fin prévisible et hâtive.
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Une nouvelle de Maurice Renard qui nous emmène au château de Sirvoise, un monument de Pierre et d'histoire.
Acheté pour une bouchée de pain, cette demeure réserve bien des surprises à son nouveau propriétaire, " bien mal acquis ne profite jamais " et c'est hélas ce qui va lui arriver.
Une écriture du début du 20ème siècle qui n'est pas sans rappeller d'autres auteurs classiques du genre.
Lecture plus drôle que terrifiante.
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J’aimerais tout d’abord féliciter Oxymoron Éditions pour le super travail entrepris depuis une bonne dizaine d’années à publier sous forme numérique des romans et nouvelles policiers écrits par des auteurs, pour la plupart oubliés, au début du siècle dernier, voire même fin XIXe siècle. Contemporains d’Arthur Conan Doyle ou de Maurice Leblanc, ils n’ont pas eu la chance de passer à la postériorité, alors que certaines de leurs œuvres sont des petites perles que nous avons la chance de pouvoir redécouvrir aujourd’hui. Un grand nombre de ces histoires parurent d’ailleurs à l’époque dans des quotidiens ou des hebdomadaires sous forme de feuilletons et leurs auteurs ont su tenir les lecteurs en haleine d’un numéro au suivant par des « cliffhanger » qui n’avaient rien à envier à certains de nos auteurs de polars actuels.
Si Maurice Renard en a fait partie, les auteurs d’antan n’ayant pas souvent roulé sur l’or, il fut néanmoins assez réputé en son temps, mais surtout pour ses œuvres fantastiques, dont la plus célèbre reste sans nul doute « Les mains d’Orlac », adaptée plusieurs fois au cinéma. Mais Renard s’est aussi laissé tenter par le genre policier et « Les enquêtes du commissaire Jérôme » ici présentées font partie de ces courtes nouvelles à chute parues dans les journaux. De facture inégale certes, les 26 enquêtes de ce sympathique commissaire sont très agréables à lire et certaines d’entre elles ont réussi à me surprendre par leur résolution astucieuse.
Maurice Renard et de nombreux autres auteurs redécouverts grâce à Oxymoron Éditions sont, à mon humble avis, un enrichissement pour les lectrices et lecteurs de policiers, car ils leur permettent de retourner à la source de la littérature policière et d’élargir ainsi leurs connaissances de leur genre littéraire préféré.
En ce qui me concerne, j’ai bien l’intention d’explorer plus avant, entre un Bussi et un Thilliez, ce nouveau filon de romans à suspens.
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De l'humour, de l'intrigue, des stratagèmes pour confondre les meurtriers, des mystères non résolus aussi... J'ai beaucoup aimé ce recueil de 26 nouvelles assez courtes, qui présentent une très belle palette de personnages et de situations bien amenées.On en redemande encore !
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Une très bonne découverte avec ce roman de Maurice Renard.
A la suite d'un accident de train, un pianiste réputé, Stephen Orlac, voit sa vie bouleversée. Ses nombreuses blessures l'ont transformé : il a dû subir une grave opération au cerveau, il boite et surtout, il n'arrive plus à jouer du piano!
C'est un désastre, à la fois psychologiquement et financièrement.
Sa femme Rosine lui est pourtant d'un soutien sans faille, comme son vieil ami le chevalier de Crochans mais rien n'y fait et Stephen semble s'enfoncer dans une dépression de plus en plus profonde.
J'ai beaucoup aimé la narration de ses tourments, la place non négligeable accordée à l'épouse, une femme forte et battante, pleine de ressources et de sang froid, la part sympathique des effets surnaturels qui s'insèrent dans le récit.
Deux bémols toutefois : quelques passages bien longs et le happy end final qui gâche tout!
Merci à #Net Galley et aux éditions Voolume.
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Une belle sélection de différents recueils et époques, démontrant le talent de nouvelliste de Maurice Renard. Dans ses textes les plus courts, il fait preuve d'une remarquable économie de moyen et parvient à des effets sidérants, sur un ton souvent mordant et ironique, rappelant ainsi le maître Maupassant. Les nouvelles plus longues offrent de riches descriptions et des atmosphères envoûtantes, comme l'âge d'or de la République génoise ("Le lapidaire") ou la beauté des paysages montagneux ("la rumeur dans la montagne"). Maurice Renard se moque des genres et les transgresse continuellement. Il passe du conte cruel au fantastique, du policier au récit historique, bifurque sans crier gare vers l'anticipation ou le merveilleux scientifique, dont il est l'un des fondateurs. Tous les ingrédients se valent, pourvu de charmer le lecteur, pourvu de l'horrifier ensuite. L'auteur n'a de cesse de divertir et de surprendre à l'aide de mystères extravagants. Dans un même conte, l'hypnose côtoie une horreur sans nom ("le rendez-vous"). Pareillement, la science et ses aspects les moins reluisants organisent l'escroquerie ("la grenouille"). Au-delà de ses romans les plus connus, comme le péril bleu, voici un auteur dont on a pas fini de redécouvrir l'œuvre considérable.
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En 1925, J. H. Rosny Aîné, un des précurseurs de la science-fiction française (auteur des « Xipéhuz » et de « La Guerre du feu ») voyait en Maurice Renard le continuateur de Jules Verne, de H.G. Wells et d’Edgar Poe. Dans ces années-là, le rayon imaginaire français était illustré superbement par Gaston Leroux et Maurice Leblanc, qui avaient sur leurs concurrents, l’avantage d’avoir inventé deux super-héros, Rouletabille et Arsène Lupin. Juste derrière eux, deux auteurs difficiles à classer mais très talentueux : Gustave Le Rouge (« Le mystérieux Docteur Cornélius ») et Maurice Renard.
Maurice Renard (1875-1939) s’est spécialisé dans un fantastique spécial, qu’il appelle le « merveilleux-scientifique » : « Produit fatal d’une époque où la science prédomine sans que s’éteigne pourtant notre éternel besoin de fantaisie, c’est bien un genre nouveau qui vient de s’épanouir » (« Du roman merveilleux-scientifique et de son action sur l’intelligence et le progrès » (1909). Parmi ses inspirateurs, il place en haut de liste H.G. Wells et Edgar Poe, plusieurs de ses contemporains comme Edmond About, Villiers de l’Isle-Adam, J.H. Rosny Aîné, Gaston Leroux ou le jeune Jean Ray (plus tard il ajoutera Jules Verne dans la liste de ses influences).
On n’est jamais si bien servi que par soi-même : Maurice Renard publie une série de romans « merveilleux-scientifiques » mâtinés de policier ou d’horreur, qui trouvent d’emblée un public enthousiaste : « Le Docteur Lerne, sous-dieu » (1908) ; « Le Péril bleu » (1911) ; « Les Mains d’Orlac » (1920), « L’Homme truqué » (1921) ; « Un homme chez les microbes » (1928) ; « Le Maître de la Lumière » (1933).
« Les Mains d’Orlac » raconte l’histoire de Stephen Orlac, un pianiste talentueux. Victime d’un terrible accident de chemin de fer, il se voit amputé des deux mains. Le professeur Cerral (anagramme du très réel Alexis Carrel) lui greffe deux nouvelles mains, prélevées sur un homme qui vient d’être guillotiné. Orlac apprend que c’était un assassin notoire. Et depuis la greffe, des évènement insolites interviennent, des meurtres, même. Orlac en vient à penser que ses mains ont une vie propre…
Maurice Renard applique à son sujet une étude plus « scientifique » que « merveilleuse » : il ne sort pas du domaine clinique : à l’évocation de l’exploit chirurgical que constitue la greffe, il examine toutes les conséquences physiologiques mais également psychologiques qui en découlent sur l’individu.
Maurice Renard est un excellent conteur. Nous suivons Stephen Orlac (et son entourage) dans toutes les affres que répercutent en lui ces évènements mystérieux. Peut-être pourra-t-on déplorer que l’auteur, si à l’aise dans la description du fantastique, le soit moins dans les relations entre les personnages, qui restent assez sommaires. Mais c’est une remarque accessoire, beaucoup d’écrivains de l’époque faisaient le choix de sacrifier la psychologie au profit de l’action.
Maurice Renard est un auteur à redécouvrir. Nous l’avons vu héritier de Verne, Wells et Poe, on peut penser qu’il est également un précurseur de Barjavel ou Sternberg, en France, ou de Richard Matheson aux USA (« Un homme chez les microbes » n’est-il pas un ancêtre de « L’Homme qui rétrécit » ? Rappelons également que « La Quatrième dimension » (« The Twilight zone ») s’est inspirée largement des contes de Maurice Renard.
Concernant ce roman précis, on retiendra l’adaptation (muette) de Robert Wiene (l’auteur de « Caligari ») en 1924, et celle de Karl Freund en 1935, avec Peter Lorre .
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J'ai lu ce roman à l'époque où la collection Marabout poche avait un remarquable catalogue SF et fantastique. De Maurice Renard, je connaissais Les mains d'Orlac (il me semble qu'un film a été tiré de cette œuvre) et l'excellente nouvelle fantastique : "Le brouillard du 26 octobre". Mais "Le Péril bleu" est sans doute la réussite majeure de cet écrivain. Je goûte d'autant plus ce récit que j'habite près du Grand Colombier et que nous avons sans doute échappé, mes proches et moi-même, à un piège tendu par les Sarvants pour nous capturer. Cela doit remonter aux années 80. Passionné de cerf-volant, j'avais emmené ma femme et mes trois enfants au sommet du Grand Colombier pour essayer le dernier modèle que j'avais fabriqué. L'orage menaçait et un vent violent rabattit à chaque fois mon cerf volant vers le sol. Les premières gouttes commençaient à tomber. Nous redescendîmes jusqu' à ma voiture garée 100mètres plus bas. Stupeur: impossible d'entrer dans le véhicule. Les taquets de porte de ma vieille Kadett étaient abaissés et le trousseau de clefs oublié à l'intérieur. Pourtant j'étais sûr d'avoir laissé la voiture ouverte! Pas le moindre refuge, personne à l'horizon et le plus proche village à 15 km. Heureusement, je connaissais la série Mac Gyver. Je cassai mon antenne radio, formai un crochet au bout, et en forçant sur le caoutchouc de la portière, je réussis après plusieurs tentatives à soulever le taquet. Nous rentrâmes précipitamment dans la voiture. A la lueur d'un éclair, je crus apercevoir une forme bizarre se perdre dans les nuages.
Nous regagnâmes Culoz où des chocolats chauds nous permirent de nous remettre de nos émotions.
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On fait de jolies découvertes en fouillant sur les sites d'oeuvres gratuites. C'est une assez bonne pioche que ce professeur Krantz, par lequel je découvre un auteur oublié qui s'est inscrit dans les pas de HG Wells et de Poe en développant une oeuvre populaire dans le genre merveilleux - scientifique.
En 1932, date à laquelle parut cet opus, la transplantation d'un coeur artificiel relevait de la pure science-fiction; c'est sur ce thème que brode ce récit habilement mené par une tension croissante vers une chute inattendue et que j'ai trouvé touchante.
Le professeur Krantz, c'est ce savant dévoré par sa science que le narrateur rencontre et qu'il voit à la fois comme un immense espoir et une source de terreur lorsqu'il apprend que ce dernier est sur le point d'aboutir à une découverte qui repousserait pas moins que les frontières de la mort elle-même. Mort qui plane sur la jeune épouse du narrateur... mais pour comprendre en quoi, comme le dit Krantz au narrateur, "la vérité pour l'homme c'est la recherche de la vérité", il faut aller au bout de cette histoire, à découvrir en frémissant.
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les mains de Roxana , tv film, d'après "les mains d'orlac" de Maurice renard
la greffe d'un organe, de peau, d'un morceau de chair, d'os, est une prouesse médicale et chirurgicale un "corps" etranger fusionne avec un autre, mais derrière ce greffon,qu'y a t il ? des nerfs, des tissus humains, ou aussi l'adn d'un donneur??
Roxana ,violoniste, gravement accidentée des mains, ne peut en être opérée, des prothèses sont son dernier recours , elle devra donc être amputée ,selon l'avis des spécialistes
mais un médecin, lui propose une greffe de main, il est lui même cobaye de cette opération, il n'est pas très bien vu de ses confrères.
rééducation douloureuse a base de mini chocs électriques, traitement lourd anti rejet, Roxana subit tout avec courage, et décide de stopper sa carrière , et voir grandir sa fille
sa sœur, son agent artistique, est déçue de cet abandon, et se sent flouée, trahie, manipulée par le médecin, elle laisse Roxana livrée a elle même
sa petite fille , se confie, sa nounou la bat, elle sera congédié et retrouvée assassinée!
Roxana dort mal, fait des choses dont elle n'a pas le souvenir, ses mains ,semblent possédées, des pulsions , elle se voit en une autre femme dans son miroir, elle a des flashs, des rêves étranges.
serait ce les effets du traitement anti rejet, ou voit elle, fait elle, est elle possédée ?? sous l'emprise d'une autre, a qui avaient appartenu ses mains? greffe ou magie noire? sert elle de cobaye, pour asseoir la bonne réputation de ce médecin très controversé? a t elle récupéré l'ADN de la donneuse, qui serait une criminelle?
ce médecin justement est injoignable, et
bientot,elle est le suspect principal dans le meurtre de sa nounou....
on apprendra qu'elle est victime d'un complot, d'une vengeance ,d'un traitement surdosé volontairement ,se suggestions! la rendre folle, la mener a la mort, le médecin entend ainsi se venger du père de Roxanne ,qui lui a fait un sale coup....
ce tvfilm, bien interprété par Sylvie Testud dans le rôle de Roxana, m'a dérangée:
the "freak"! des mains qui dérangent, les mains d'une autre, une greffe, mais surtout "2 trucs" , "ces mains" qui font d'elle un monstre, une greffe encore peu pratiquée avec succes,des mains humaines sur une autre humaine, et celle ci ,remerciera la donneuse, se rendant a la fin du film sur sa tombe; mais la donneuse , apparemment n'en a pas fini avec elle... pourtant, Roxana a de nlles mains, mais a quel prix!! derrière ses mains, une morte; accompagnant ses tissus humains, cette chair , ces os, subsiste t il un ADN, une âme?
combien de musiciens en pleine interprétation, ont ils la sensation d'être possédé par le corps ,l'esprit d'un autre?
l'emprise d'un médecin, profiteur d'une patiente qui attend de lui un miracle, le succes, les contrats et promotion a honorer, une artiste qui finalement ne s'appartient pas, tout a sa carrière et son public, qui l'adule,et derrière cette star,une femme qui s'oublie... et ne voit pas grandir sa fille, une mere violoniste ,dépendante de sa sœur, son agent.
ses mains nouvelles, et la donneuse, semblent aussi mettre roxanna sous emprise
cette greffe , est elle un succès ou au contraire une lourde croix a porter?? derrière cette prouesse , qui existe depuis peu, quel en est l'enjeu? l'aide, l'humanité, ou un tour de passe passe , dont on ne connait pas bien les consequences? l'homme joue ici avec l'Homme ,et son corps, la créature de FRANKESTEIN n'est pas si lointaine....
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LIVRE MASSE CRITIQUE
En réalité, j'ai reçu au courrier un CD et pas un livre, ce qui m'a tout de même décontenancé. Je ne suis pas adepte des livres audio et j'ai tardé pour l'écouter et faire cette critique.
Ce livre a un petit côté "vieille France" et "siècle dernier", étant donné sa date de parution c'est tout de même vrai. Mais il allie la figure du savant, le fantastique et le rêve.
La langue est soignée et le récit met en avant différents thèmes intéressants : médecine, le rapport au corps, le spiritisme ...
Une écoute un peu déconcertante mais rafraîchissante !
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J'ai écouté le roman grâce à la maison d'édition Voolume. Je les remercie car sans leur adaptation audio du roman, je ne me serais pas tournée vers cette histoire. Ils ont d'une certaine manière remis le roman au goût du jour.
Le vocabulaire est assez complexe et n'est pas toujours facile à comprendre. On remarque immédiatement que le roman date d'il y a quelques décennies. Ce n'était pas évident à écouter. Je devais être bien concentrée. Parfois j'écoutais l'histoire avec le texte sous les yeux.
La voix du narrateur était agréable. Elle changeait pour chaque personnage. Ce sont les dialogues des personnages qui m'ont le plus plu.
Mon personnage préféré était Rosine, la femme de Stephen Orlac. J'ai aimé sa personnalité et sa volonté d'aider son mari suite à son accident. J'ai immédiatement perçu l'amour qu'elle avait pour son mari.
J'étais assez mitigée tout au long de l'histoire. J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs et beaucoup de détails. L'écriture, étant compliquée, elle prenait le dessus sur l'histoire par moment. A plusieurs reprises, j'étais perdue et je devais retourner quelques minutes en arrière. A cause de l'écriture, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire.
Mais la fin m'a étonnement plu et a fait remonter la note que j'ai attribuée au roman.
Je suis tout de même très contente d'avoir lu cette histoire et d'être sortie de ma zone de confort.
Mini résumé :
Suite à un accident de train, le pianiste Stephen Orlac perd l'usage de ses mains.
Le docteur Cerral l'opère et lui en greffe de nouvelles. La vie d'Orlac se transforme alors en cauchemar. Il pense souffrir d'hallucinations. Son épouse Rosine l'aide et enquête pour le sauver, mais le couple est pris dans un complot.
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Lors d'un accident de train le pianiste Stephen Orlac perd ses mains. Un chirurgien controversé pour sa modernité débridée lui en greffe de nouvelles. Puis la vie du couple Orlac se transforme en enfer : crimes qui lui sont imputés, apparitions fantomatiques, des objets qui disparaissent alors qu'ils sont soigneusement enfermés...
J'ai reçu ce livre CD par le biais de Masse Critique et comment dire... j'ai été fortement surprise par ce type de support littéraire. D'autant plus que j'ai adoré l'histoire. Je pense me le procurer en format papier également.
Merci Babelio et à la maison d'édition pour cet excellent partage.
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