Citations de Meg Cabot (702)
La beauté est molto importante, mais trop souvent outrée. Une princesse est belle, saine et soignée. Être fraîche est votre objectif. Vos outils pour y parvenir : mascara, blush et gloss.
Tout le monde - surtout moi, Paolo - adore jouer avec le maquillage. Mais ne l’oubliez jamais : un visage masqué doit être réservé à Halloween !
Il existe toutefois un conseil universel : l’assurance. Ayez confiance en vous et en votre physique : les autres verront aussi bien votre beauté extérieure qu’intérieure.
Un corps sain est mille fois plus précieux qu’une silhouette sublime apte à se glisser dans un jean moulant taille basse. Et, bien sûr, un cœur d’or est - de loin - ce qui compte le plus.
Une vraie princesse s’efforce toujours de mettre son physique en valeur - mais, euh, mon physique est probablement très différent du vôtre. Il existe quantité de types de beauté. Prenez par exemple ces mannequins qu’on voit en couverture des magazines. Pour un tas de gens, elles constituent, disons, la quintessence de la perfection et tout ça. N’empêche que, dans certains pays, des aisselles velues constituent le comble du raffinement...
Je donnerais n’importe quoi pour redevenir une fille ordinaire qui - par exemple - s’entraîne au softball chaque jour après les cours plutôt que de subir les semonces quotidiennes de Grand-Mère. Ce n’est pas tant que j’adore le softball - mon absence grave de latéralisation fait de moi une équipière nullissime - mais, bon, c’est une image.
Être princesse ne se limite pas à votre look mais à vos actes.
-Pfff, d' accord. Mais est-ce qu' au moins tu peux laisser ma vitre ouverte ?
Miranda hésita.
-Ecoute, mamie, je te promet que mes fesses ne sortiront pas de la voiture.Simplement , je n' ai pas envie d' étouffer !
Lorsque Miranda revint, elle trouva Sibby calée dans l' encadrement de la vitre arrière, le corps et les jambes hors de la voiture- mais le postérieur à l' intérieur.
Alaric Wulf la dévisageai. Ses yeux étaient très bleus. D'un bleu presque effrayant. Aurait-il été différent, Meena l'aurait-elle rencontré dans n'importe quelle autre circonstance, elle aurait déclaré le trouver fort bel homme. Mais comme il l'avait attaquée chez elle avec une épée et qu'il accusait son petit ami d'être un vampire, elle s'apprêtait plutôt à lui balancer que c'était une honte qu'une aussi séduisante apparence soit gaspillée sur quelqu'un d'aussi... sur quelqu'un comme lui.
- Jack Bauer ne les supporte pas, fit remarquer son frère.
- Ah bon? sursauta Alaric.
- Il les hait et pique sa crise chaque fois qu'il doit partager l’ascenseur avec eux. Depuis le premier jour où nous l'avons ramené de la SPA. D'ailleurs, il n'a pas beaucoup apprécié Lucien, hein Meena? D'après les grognements que j'ai entendu hier soir, quand vous l'avez rejoint sur le pallier, du moins.
Meena se trémoussa, mal à l'aise. Jon avait raison. N'empêche.
- Jack Bauer est nerveux, objecta-t-elle. C'est bien pour ça que je l'ai appelé comme ça. Il a des tas de soucis.
- ça semble être le cas en effet, acquiesça Alaric.
Tous les trois se tournèrent vers le chien. Affalé sur le dos dans son panier, pattes écartées, il montrait sans vergogne ses organes génitaux au monde entier. Dans son sommeil, sa langue pendait hors de sa gueule.
Il serait damné pour ce qu’il s’apprêtait à faire.
Cela dit, il l’était déjà, damné.
-Ça dure longtemps, un concert ?
-Si vous posez la question parce que vous cherchez à savoir dans combien de temps je vous dépouillerai de nouveau de vos vêtements afin de vous faire subir le genre d’actes sexuels indécents que je vous ai infligés cette nuit et qui horrifieraient votre mère si elle les découvrait, nous pourrions régler le problème tout de suite.
- Vais-je mourir ? demanda-t-il. Maintenant ? Cette nuit ?
- Oh, Alaric ! soupira-t-elle.
(...)
Il dut lire la vérité sur ses traits horrifiés, car il lâcha ce commentaire :
- J'en étais sûr. Voilà pourquoi je m'autorise ceci.
Là, il baissa la tête et se mit à l'embrasser.
Bien que cette évolution de la situation soit alarmante - Meena en fut plus surprise que par tout ce qui lui était arrivé ces derniers jours, ce qui n'était pas rien -, la jeune femme ne put s'empêcher de trouver qu'un baiser d'Alaric Wulf était loin d'être détestable.
Plutôt l'inverse, même.
Cela faisait un moment qu'elle avait été embrassée par un homme qui avait un coeur en état de marche et du sang courant dans les veines... deux choses dont Alaric Wulf disposait en abondance. Elle sentit les deux pulsations conjointes, tandis qu'il procédait avec une lenteur délibérée. il semblait tout sauf pressé que ce baiser s'achève. Et, sauf erreur de la part de Meena, il avait prémédité son geste... il avait préparé son coup de longue date et la gratifiait de ce baiser comme s'il s'agissait du dernier qu'il donnerait de sa vie.
Il dégaina son arme. La lame produisit un tintement très audible dans la quiétude du couloir.
Meena déglutit avec difficulté.
Les pensées qui vous traversent la tête avant que vous passiez de vie à trépas son très curieuses. Ainsi, Meena ne songeait qu'à une chose : "Wouah ! Ce gars va droit au but."
Puis : " Attends, ce n'est même pas drôle."
Puis : " Quoique, à la réflexion, ça aurait pu faire une bonne réplique pour Victoria."
Puis : " Malheureusement, je ne vivrai pas assez longtemps pour écrire un nouvel épisode de la série. Quelle injustice !"
À : Mel Fuller
De : Aaron Spender
Objet : Toi
Mel, ai-je bien compris ce que Dolly raconte ? Un homme nu a emménagé à côté de chez toi ?
Ouah !!!! Ce n'est peut-être pas si inutile que ça de savoir écrire ? Bon d'accord, ça sert moins que savoir planter un clou, mais ce n'est pas totalement nul non plus.
Ce livre raconte l'histoire d'une lycéenne qui est passionnée avec sa meilleure amie Maiwenn de danse classique et raconte leur aventure entièrement. Je vous conseille vraiment ce livre.
Si je devais le qualifier en un mot : « passionnant » .
Journal d'une princesse est une bonne saga .
On y trouve de l'amour, des problèmes; des solutions tous dans l 'intrigue je vous le conseille surtout suivre les 10 tomes.
il faut avoir 14 ans et encore cela ne plaît pas à toutes !
Les services de sécurité ont tout de suite acquiescé. Ils m'ont remerciée et sont partis... mais deux agents sont restés dans le couloir, près de la porte. C'est mon père qui me l'a raconté, quand il est revenu avec mon hamburger, à la place du plateau-repas : l'hôpital proposait à dîner ce soir-là une espèce de ragoût avec des petits pois et des carottes.
Franchement, ils pourraient faire un effort. Déjà qu'on se sent mal quand on est hospitalisé, comment voulez-vous qu'on aille mieux si on vous sert ce genre de nourriture ?