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Critiques de Michel Embareck (89)
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Jim Morrison et le diable boîteux

Michel Embareck fait revivre deux grandes figures du rock.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Personne ne court plus vite qu'une balle

Je m'attendais à voyager, à être surprise et menée en bateau. J'attendais l'atmosphère du bayou et des flics un peu "à l'ancienne". Quelle déception !

Dès les premières pages j'ai senti qu'il y avait un soucis, et l'impression n'a fait que se renforcer au cours de la lecture.

J'ai l'impression que le personnage principal, Victor Boudreaux, était un personnage récurrent de l'auteur. Je ne l'avais jamais lu, donc je ne connaissais pas son historique, mais cela n'est absolument pas gênant pour la lecture.

L'auteur fait des rappels bien placés pour que l'on sache où on en est et qui est Boudreaux, et les amateurs du personnage ne devraient pas être trop dérangé par des répétitions du caractère.



Néanmoins parlons de l'intrigue. Tout part d'un cadavre...sauf qu'il faut se faire plusieurs dizaines de pages avant de le voir. Passons. Les parents du défunts veulent connaître la vérité, ils ne croient pas au suicide.

Mais cette enquête ne sera au final qu'un prétexte pour l'auteur. Sous couvert de mission, le privé voyagera à travers le monde sans réellement travailler. Jamais l'auteur n'explique clairement pourquoi il envoie son enquêteur dans tel ou tel pays, où ce qu'il va y faire.

Lorsqu'il est sur place, il n'a pas l'air d'enquêter mais d'aller de problème en problème. On a vraiment du mal à comprendre comment l'enquête peut progresser. Il ne découvre jamais rien de nouveau !







Soyons clair, les personnages ne m'ont jamais intéressés et je suis restée totalement hermétique au style de l'auteur.

Il use et abuse des juxtaposition de mots. C'est une figure de style, qui peut produire son petit effet. Mais là c'est tellement sur-utilisé que j'ai fini par ne plus lire ces passages qui n'apportent rien à l'intrigue et qui semblent même parfois un peu aléatoires ! Je ne vous parle même pas des répétitions d'expression.

"à son avis, et son avis comptait" est cité une vingtaine de fois au moins...je n'en pouvais plus !



Je ne peux pas vous recommander ce livre.
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Personne ne court plus vite qu'une balle

C'est le premier roman de l'auteur que je lis et sans doute le dernier. J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre. La plus grande partie de l'histoire tourne autour de la vie et du passé de Victor Boudreaux. Dans le cadre de l'enquête, l'enchaînement des lieux (Louisiane, Vietnam, France) semble tenir par des bouts de ficelles.



Victor est quelqu'un de psychologiquement torturé par son passé. Son collègue, Earl, est même plus atteint que lui. Toute la partie sur le Vietnam ressasse le passé de Victor, avec très peu d'éléments sur l'enquête. Il y a une alternance de scènes d'action et de réflexion de l'enquêteur. Victor et Earl sont deux grosses brutes qui ne font pas dans la dentelle. De nombreux personnages sont des caricatures, comme Edgar Ouveure, le policier français (sans oublier son homonymie avec le premier directeur du FBI.

[...]

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Personne ne court plus vite qu'une balle

Je suis très embêtée pour faire la chronique de ce polar de Michel Embareck car je n’ai pas réussi à me plonger dedans et à m’imprégner de l’histoire pourtant le quatrième de couverture me donnait envie…. C’est rare mais cela arrive. Toutefois, je suis allée jusqu’au bout de ma lecture. Le postulat de départ est séduisant : une enquête sur la pendaison d’un chanteur français venu trouver l’inspiration à la Nouvelle-Orléans… Suicide ou meurtre ? Victor Boudreaux, détective privé à la retraite entraînant une équipe de lancer de marteau, va être mis sur l’affaire par les parents du défunt et part entre autres à la recherche d’une certaine Mme Li qui semble être un personnage essentiel à l’enquête révélant des trafics et de la corruption.





Malgré une ambiance bien présente, je n’ai pas réussi à apprécié ce livre… Cela est peut-être du à l’écriture de Michel Embareck qui est certes vive (un peu trop à certains moments ?) mais qui ne m’a pas emportée ou aux personnages souvent caricaturaux qui m’ont laissée de marbre. Je ne peux pas nier qu’il y a de l’humour mais je n’ai pas réussi à y adhérer…





Une nouvelle lecture de Personne ne court plus vite qu’une balle est sans doute nécessaire d’ici quelques temps afin de voir si je peux apprécier ce polar dans d’autres conditions… En attendant, à vous de vous faire votre propre opinion!
Lien : http://mapetitebibliotheque...
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Cachemire express

Curieux livre que cette histoire racontée par cet ancien légionnaire devenu père de famille au Bouthan qui revient avec sa femme à la recherche de ses origines. Il découvre à ce moment là que la patrie des droits de l'homme ne mérite peut-être pas son titre et que la sagesse est de savoir renoncer aux biens matériels. Une réflexion avec de l'humour et de la gravité sur ce qui fait la nationalité et le bonheur, qui nous fait perdre conscience que nous sommes tous avant tout citoyen du monde.
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Avis d'obsèques

A partir de cette intrigue simple, mais qui repose sur des faits réels, Michel Embareck réussit à décrire avec gouaille et ironie l'univers impitoyable de certaines élites de province, qui ne reculent devant aucune magouille.
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Très chers escrocs : Fausse banque, faux blé bi..

Très Chers Escrocs

Michel Embarek

L’Ecailler, documents, 2013



Michel Embarek a longtemps été journaliste. Il dédie son livre à « Tous ceux qui m’en ont racontés des vertes, des pas mûres, et surtout des très pourries ».

« Des sympathiques voyous… vendeurs illégaux de rêves… réactifs, imaginatifs, à l’écoute de leur temps… ». On sent bien que Michel Embarek éprouve une certaine tendresse pour ces voleurs sans violence, ces malins qui exploitent la bêtise et la cupidité de leurs contemporains prêts à n’importe quoi pour gagner un peu (de préférence, beaucoup) d’argent facile. Et d’ailleurs, les bancs des parties civiles sont souvent peu garnis lorsque les affaires d’escroqueries sont jugées. Les victimes n’ont en général guère envie de réclamer des sommes certes perdues, mais dont les origines elles-mêmes sont parfois douteuses. Dans tous les cas, plus l’astuce est grosse, mieux on a marché, moins on a envie de se révéler dans sa crédulité et son avidité. Quant aux rares gagnants de ces jeux de dupes, ils n’ont pas envie que le fisc vienne leur réclamer sa part.

L’auteur varie les points de vue narratifs : une fois c’est le gendarme bien ennuyé par ses découvertes, parfois c’est un narrateur caustique s’amusant à relever les travers des bourgeois embobinés par un flambeur faux producteur de cinéma.

[...] la suite sur le blog de Jeanne Desaubry


Lien : http://jeanne.desaubry.over-..
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A retardement : Chroniques et inédits

Nouvelle incursion avec Michel Embareck dans un domaine qui ne relève pas du roman noir. Encore que… ceux qui se souviennent de l’histoire de la table nuit belliqueuse de Wellington ne pourront nier qu’entre rugby et roman noir les frontières sont parfois poreuses. Par ailleurs, Michel Embareck, toujours lui, l’a déjà démontré avec un savoureux volume de la collection Suite Noire, Le futon de Malte, et quelques nouvelles rassemblées, sous le titre Nouvelles mêlées, avec celles d’un juge médiatique, et que Gallimard a eu la bonne idée de ressortir seules, sous le titre Le temps des citrons, après s’être aperçu que l’on distinguait trop bien dans le volume initial l’écrivain de l’homme de loi.



Depuis 2007, donc, Michel Embareck officie régulièrement dans les colonnes de Libération au lendemain de matches internationaux. C’est l’occasion de lire dans les pages sport du quotidien des chroniques littéraires, un brin ésotériques parfois, bourrées d’humour souvent. Elles sont aujourd’hui rassemblées, ainsi que beaucoup d’inédites, dans un seul volume.



Outre une connaissance aigüe du jeu dont il parle et surtout des hommes, Michel Embareck montre là son admirable capacité à créer en 2200 signes une histoire aussi bien écrite que bien troussée, et ouverte autant à l’amateur de rugby qu’à celui qui n’y connaît rien. D’un fait de match, d’une supportrice irlandaise croisée dans un pub ou de la couleur d’un maillot, l’auteur réussit à tirer une petite nouvelle, tour à tour poétique, comique ou franchement burlesque. On croisera donc, sans distinction, Sébastien Chabal, Jean Bouilhou, Nicolas Sarkozy, Shane MacGowan, Jimmy McNulty ou la crise économique. C’est dire s’il s’agit là d’une vision bien large du rugby.



À un mois de la coupe du monde de rugby, voilà l’occasion de découvrir ou de réviser en s’amusant les subtilités de ce sport étrange ou l’on avance en se passant en arrière un ballon même pas rond et où à la fin, ce n’est pas toujours l’outsider qui perd. Pire, c’est parfois l’Anglais qui gagne.



Les amateurs de polar pourront sans doute faire un lien entre les réunions de la terrible commission de la Hache et celles de la bande Dortmunder dans l’arrière salle du O.J. Bar and Grill d’Amsterdam Avenue. Ils gouteront aussi ce bel hommage à une série qui a changé la face du genre noir :



« Contrainte de quitter Limerick, Mary avait trouvé refuge comme des milliers d’Irlandais de l’autre côté de la mare, plus exactement à Baltimore. Le Kavanagh’s, pub authentiquesur Guilford Avenue, était un repaire de flics de la crim’ locale. Drôles de types… Il leur arrivait d’y amener un collègue, raide mort, de l’étendre sur la table de billard puis, après avoir prononcé son éloge funèbre, d’entonner Body of an American des Pogues en sifflant des shoots de gnôle ».




Lien : http://encoredunoir.over-blo..
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Les anges sauvages

J'ai eu du mal à arriver à la fin. L'auteur a un univers très personnel (rock) et beaucoup de termes, notions ou concept me sont totalement inconnus ! Ça rend la lecture difficile.
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