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Critiques de Morgan Sportès (138)
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Tout, tout de suite

Histoire vraie.

Un roman qui n'en est pas un puisque il est écrit sous forme de reportage.

L'auteur décortique la psychologie de chaque personnage, de chaque intervenant dans la séquestration , les tortures et le meurtres d'Elie; et ces intervenants sont des pères de familles mais aussi des adolescents, garçons et filles confondus.

Un travail d'enquête remarquable fait par l'auteur.

Mais ce livre est-il un tableau de notre société, celle vivant dans les quartiers dit " défavorisés"?

Cette lecture fait vraiment froid dans le dos.

Moi qui n'allume jamais la télé et qui ne suis donc pas toujours aux faits de l'actualité, j'avais vaguement entendu parler de ce fait divers appelé par les médias de l'époque

" le gang des barbares"

Que de violence dans ce livre !

J'en sors terriblement perturbée voire choquée par cette lecture car les protagonistes pourraient être nos voisins ou nos collègues.

Et puis comment l'Homme peut il être aussi barbare ? ...
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L'aveu de toi à moi

Ce « roman » nous conte l'itinéraire d'un dénommé Rubi, un « raté » (c'est son père qui le dit) dont la vie est une étonnante et incohérente trajectoire : il fut tour à tour Camelot du roi, partisan de la République espagnole, résistant, volontaire au STO, SS français, déserteur, interné à Dachau, planqué dans une famille allemande, arrêté après la guerre puis emprisonné par les autorités françaises, pour finir avec un flirt avec le PCF. Et pour couronner le tout poète.

Ce parcours tumultueux se mêle à celui du narrateur, tout aussi non exempt d'incohérences, qui eut une liaison avec la fille de Rubi.

Voilà un livre étonnant, un livre qu'on ne lâche pas, qui pose bien plus de questions qu'il ne donne de réponses, à commencer par celle-ci : ce Rubi a t-il existé ? J'ai cherché à y répondre avec l'aide du net, et je n'ai rien trouvé. Or on ne trompe pas Google. Je répondrai donc non ! Et pourtant j'ai un sacré doute. Mais je suis un « bon » lecteur, un lecteur qui joue le jeu et se laisse prendre volontiers. Diabolique ce bouquin !
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L'appât

Ne connaissant pas cette triste histoire , ce livre m,a intéressée. Mais il y a beaucoup de redites et il aurait eu avantage à être écourté.
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Tout, tout de suite

Même si l'auteur qualifie ce livre de roman, c'est plutôt le récit de façon chronologique d'un enlèvement qui tourne mal. Et ce,basé sur un cas vécu. Étant du Québec le langage m'a rebuté quelque peu mais j'ai quand même saisi le sens des mots. C'est vraiment de la violence à l.état pur, dont le seul but est de récolter de l'argent acquis facilement. Ce qui n'était sensé n'être qu'un enlèvement , suivi d'une demande de rançon se transforme en meurtre. Dur à lire
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L'appât

Le sujet du livre, une histoire qui a bouleversé la France au milieu des années 80, « L'affaire Valérie Subra » ou "Le trio diabolique" …



L'histoire de trois paumés devenus assassins, une jeune fille un peu déboussolée de 18 ans, Valérie Subra, et deux garçons, Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud, 19 et 21 ans. Ils rêvaient de fortune et avaient besoin de beaucoup d'argent. Ils imaginent un scénario où Valérie doit séduire des hommes seuls, se faire inviter chez eux, et faire ensuite entrer ses complices qui feront main basse sur l'argent et les bijoux. Ensemble ils vont faire cinq tentatives de meurtre en dix jours de folie et vont finalement commettre deux meurtres qui leur rapporteront très peu mais surtout de longues années de prison. L'affaire fait grand bruit, mais l'attention médiatique se concentre surtout sur le personnage féminin du trio.



Jugés en 1988, les trois complices sont condamnés à des peines de réclusion à perpétuité, assorties de peines de sûreté incompressibles de 18 ans pour les garçons et de 16 ans pour la fille.

Finalement, Valérie Subra a été libérée en 2001, suivie plus tard par Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud.



Fruit d'une longue et minutieuse enquête journalistique, la reconstitution de Morgan Sportès nous plonge dans un roman sombre et palpitant. Cette enquête méticuleuse relate la terrible descente aux enfers de jeunes adultes totalement perdus. Du déroulement des faits, en passant par l'instruction judiciaire jusqu'au procès, on se demande ce qui les a poussés à en arriver là. Ce roman a été porté à l'écran par Bertrand Tavernier.

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L'insensé

Texte stylé , stylisé érudit avec dans la première partie, jusqu'à la page 90 environ, une construction de phrases qui donne une sensation de lourdeur avec toutes ces répétitions et listing d'adjectifs qui donne parfois un rythme et une sonalité proche de la poésie et parfois un frein à la lecture.

reste une histoire dans l'Histoire intéressante et prenante.
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Tout, tout de suite

Il s'agit ici de l'enlèvement, de la séquestration et de la mort par une bande de « barbares », d’Élie, jeune Juif, dont le seul tort supposé était d'avoir de l'argent, parce que Juif. Élie a existé, il s'appelait Ilan.

Ce roman n'est pas un roman. C'est un reportage-roman, écrit dans une langue sèche et précise qui nous entraîne au fond de « l'horreur humaine ».

Plus précisément dans les « bas-fonds » de notre société.

Comment le « progrès » dont nous nous gargarisons a-t-il pu accoucher de tant de cruauté, de bêtise, d'inhumanité ?

L'auteur constate. Il ne donne pas la réponse. Je ne l'ai pas non plus, ou bien à peine le début du commencement.
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Pour la plus grande gloire de Dieu

1687 : les Jésuites, envoyés par Louis XIV, débarquent au Siam avec leurs perruques, leurs rubans, leurs habits emplumés et se heurtent à un autre climat et une autre culture.

C'est tragique et comique, cocasse, drôle, grinçant. Très bien documenté.

A vous dégoûter d'aller faire le beau chez les « non-civilisés ».

On se s'ennuie jamais à la lecture de cette défaite chez les « sauvages », une défaite qui en annonce bien d'autres...
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Tonkinoise

Un tableau peu glorieux de l'Indochine vichyste sous occupation japonaise. Lâcheté, petitesse, collaboration, trafics, corruption, tout y passe....

Et pendant ce temps là les Vietnamiens patientent et fourbissent leurs armes !

Grace à la plume acérée, mordante et pleine de fiel de Morgan Sportès on s'amuse, on s'offusque , on se révolte, on rit (jaune...), on s'instruit.

Si vous n'avez jamais lu cet auteur, vous pouvez commencer par ce livre.

Et vous y reviendrez !
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L'appât

Je me rappelle encore cette affaire sordide, qui avait fait grand bruit en 1984. Une jeune femme, Valérie Subra, avait servi d'appât pour des messieurs friqués et libidineux, habitués des boites de nuits et restaurants échangistes de Paris. Elle était la comparse de deux voyous qui voulaient ainsi détrousser les victimes, mais qui ont été jusqu'au meurtre.



Morgan Sportès en a fait un récit, Bertrand Tavernier en a tiré un film (que je n'ai pas vu). Le livre se présente comme une enquête détaillée sur les méfaits de ces Pieds-Nickelés amoraux et criminels. Il faut reconnaître que l'abjection a quelque chose de fascinant pour le lecteur. de plus, le milieu décrit, celui des "prédateurs" toujours en chasse et de leurs "proies" intéressées et consentantes, constitue un sujet assez intéressant.



Mais 300 pages, ça m'a semblé vraiment trop long. En outre, Morgan Sportés écrit comme un journaliste du magazine "Détective" (qu'il a été pendant une année, effectivement). Donc cette lecture ne me laissera pas de grands souvenirs.

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Le ciel ne parle pas

Dans "le Ciel ne parle pas", Morgan Sportès raconte l'histoire de Christovao Ferreira, qui fut missionnaire au Japon.
Lien : http://bibliobs.nouvelobs.co..
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Le ciel ne parle pas

Dans ce roman, qui est aussi un livre d'Histoire, nous assistons à l'ultime tentative de la religion chrétienne pour s'implanter au Japon. Et derrière cette tentative, pointe son nez l'impérialisme (comme on dirait aujourd'hui) des États et l'omniprésence de l'argent.

C'est écrit dans une langue aisée, fluide, caustique, pleine d'ironie et de dérision.

L'Occident en prend pour son grade ! Passionnant !

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Le ciel ne parle pas

Dans ce roman historique-ironique, l'auteur nous fait vivre un épisode méconnu de la chrétienté.

Les missionnaires jésuites et l'essai de christianiser le Japon du 17ième siècle.

Nous suivons l'histoire de Christovao Ferreira, jeune jésuite, qui fut obligé d'apostasier sa religion, suite à la torture, afin de sauvegarder sa vie.

S'ensuit ensuite une période d'Inquisition japonaise envers les chrétiens, jésuites, missionnaires, car le shogun ne voulait pas qu'on leur impose une religion.

Mais suite à son apostasie, Ferreira suscite un regain de sentiment de mourir en martyr auprès des chrétiens, et nombreux furent ceux qui périrent sous la torture, en entrant secrètement au Japon, pour racheter l'apostasie de Ferreira.

La période fut trouble, de défiance envers les commerçants portugais, espagnols, et hollandais, qui passaient par Macao, puis arrivaient au Japon.

Afin d'éviter des entrées secrètes de missionnaires sous couvert de commerce, le shogun fit construire l'île de Dejima en forme d'éventail, qui eut pour utilité d'obliger les étrangers à y séjourner, le temps de commercer et de pouvoir être surveillés par les japonais.

C'est intéressant, car ce sont des faits historiques, l'auteur y met son avis, et sa pointe d'humour caustique, le suivi du destin de Ferreira est intéressant et triste à la fois, et cela amène à réfléchir sur ce que nous devons nous rappeler de l'Histoire.
Lien : https://carnetslecturesophie..
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Le ciel ne parle pas

J'ai abandonné, ce qui est rare... Pourtant à la base, la thématique m'intéressait beaucoup. Mais c'est très vite redondant, plein de digressions historiques qui se répètent... Pfft...
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Le ciel ne parle pas

Parsemé de notes d’humour grinçantes et de petits commentaires sarcastiques mais excellents, Morgan Sportès offre un véritable roman historique à la fois grave et caustique. L’auteur m’a littéralement embarquée dans une époque que je connais peu et qui m’a demandé quelques recherches en amont afin de pouvoir suivre le déroulé de ce récit ô combien éprouvant. Éprouvant pour trois raisons.

La première étant que j’avais dans l’idée que le Japon - pays réputé pour sa beauté sous toutes les formes et son accueil - n’était pas un pays pouvant être violent. Et quel choc de découvrir la barbarie dont ils ont pu faire preuve à l’égard des autres peuples.

Ensuite c'est cette analyse constante qu’il faut savoir mener pour comprendre tout l’intérêt de ce récit historique. En effet, au-delà de l’histoire de Christovao Ferreira, de l’invasion des Portugais au Japon et la persécution dont ont été victimes nombre d’innocents au nom d’une religion jugée intrusive, se dresse peu à peu devant nos yeux le parallèle que l’on peut faire avec notre monde actuel. La folie religieuse chrétienne, où des prêtres disposés à mourir en martyr au nom de Dieu, n’est pas sans rappeler la folie djihadiste. La fermeture des frontières du Japon avec le commerce extérieur nous fait inévitablement penser au Breixit et les jeux de pouvoirs des impérialistes de l’époque ne sont au fond pas si éloignés de ceux menés par nos Etats actuels.

Enfin la troisième raison se veut quant à elle moins objective, Le ciel ne parle pas fut pour moi une lecture fastidieuse. Malgré toute la dimension historique et géopolitique passionnante, l’auteur m’a régulièrement perdue parmi les dates, les noms ou encore les détails. Et en ce sens cela a clairement nui à tout l’intérêt que j’ai pourtant pu trouver dans ce roman.



Un roman, donc, dont je sors mi-figue mi-raisin : instruite certes, mais peu séduite malgré tout.
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Le ciel ne parle pas

Ce roman historique aborde les persécutions dont les chrétiens firent l'objet au Japon dans la première moitié du XVIIe siècle. Un "docufiction", plus qu'un roman historique, servi par un style surprenant, à l'ironie mordante et à la forme assez familière. Ça n'empêche pas de croquer des personnages remarquables et d'aborder le fanatisme ou la souveraineté des Etats, des sujets toujours brûlants.
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Le ciel ne parle pas

C'est porté par sa foi et galvanisé par l'exemple de saint François-Xavier, mort en martyr en 1552, que le jeune jésuite portugais Christóvão Ferreira arrive à Nagasaki en 1609. Sa mission d'évangélisation tourne court quand les japonais décident de mettre un terme au prosélytisme exacerbé des chrétiens. S'ils continuent à commercer avec les anglais, espagnols, portugais et autres hollandais, les nippons refusent très vite leur religion jugée extrémiste et intolérante et se méfient des velléités colonisatrices des ibères. Et ils le font savoir ! Les missionnaires et les convertis sont pourchassés, arrêtés, torturés et doivent renier leur foi ou mourir en martyr. Dès 1614, Ferreira entre dans la clandestinité et survit ainsi en territoire ennemi jusqu'à son arrestation en 1633. Mis à la torture, le jésuite ne met pas longtemps à abdiquer. Il réclame grâce, apostasie et se convertit au bouddhisme. Contraint à se marier pour prouver sa sincérité, Ferreira devient mari et père, traducteur lors des pourparlers commerciaux et pousse la traîtrise jusqu'à écrire un pamphlet virulent contre sa religion de naissance. Lâche, sceptique ou les deux, Christóvão Ferreira reste une énigme en même temps qu'une plaie dans l'histoire du christianisme.



D'abord il faut saluer l'immense travail de documentation qu'il a fallu fournir pour écrire ce roman qui dresse un vivant portrait du Japon du XVIIè siècle, moment-clé où les shoguns Tokugawa s'alarment de la présence des occidentaux dans leur pays sans pour autant renoncer au commerce des produits venus des comptoirs chinois. Bien décidés à rester maîtres chez eux, ils imposent des conditions de plus en plus drastiques aux marchands hollandais, espagnols ou portugais. Dans cette société très hiérarchisées et protocolaires, les occidentaux font figure de sauvages irrespectueux. Leur orgueil, leur supériorité supposée et le prosélytisme les ont conduits à excéder les japonais qui ont pris les mesures adéquates : interdiction aux hommes d'église de fouler le sol japonais, désarmement des navires et construction d'une île artificielle dans le port de Nagasaki pour les ''parquer'' durant leur séjour. Les catholiques et les convertis sont torturés et contraints à mourir ou à apostasier. Dans cette guerre de religion, le fanatisme n'a pas de limites. Dans toute l'Europe, des hommes sont prêts à venir mourir en martyr sur le sol nippon tandis que les shoguns perfectionnent leurs techniques de torture.

Ce moment d'histoire, centré sur la personnalité ambiguë de Christóvão Ferreira, est raconté par un Morgan Sportès au ton mordant. Il s'en prend aussi bien aux fanatiques, qu'aux apostats, aux marchands qu'aux japonais avec une espèce d'ironie légèrement condescendante. Cela pourra gêner les croyants mais amuser les autres. Car il ne faut pas oublier que derrière l'humour se cachent des sujets sérieux comme la foi, la manière dont certains veulent imposer leurs croyances, l'ingérence des occidentaux dans des états souverains et bien sûr l'extrémisme qui rend aveugle et sourd.

Parfois difficile d'accès, ce roman, qui n'en est pas tout à fait un, est une mine d'informations sur l'époque et ses mœurs. A réserver aux passionnés de théologie et du Japon.
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Le ciel ne parle pas

Un roman historique très bien documenté qui nous éclaire sur une période sombre de l’histoire : la traque des chrétiens au Japon au XVIIème siècle. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez foncer sur ce livre, qui, je le pense, ne vous décevra pas.
Lien : https://comaujapon.wordpress..
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Le ciel ne parle pas

Dans ce nouveau roman de Morgan Sportès, on découvre le Japon du 17éme siécle. Cette société ultra-hiérachisée accueille sur ses terres des marchands venus d'Europe, portugais, hollandais ou anglais, désireux de faire du commerce avec le shogun. Mais au-delà du commerce, ils souhaitent évangéliser et convertir , les habitants de l'île. Sauf que ces évangélisateurs tombent sur un "os" , le shogun , qui craignant que les Européens ne soient là que pour conquérir son pays va mettre en place une politique radicale envers les catholiques posant le pied sur son île. Parmi eux , Ferreira , qui devra prendre la bonne décision, renier sa religion et survivre ou mourir en martyr.



Le première chose a noter concernant ce roman, c'est le travail de recherche monumental accompli par l'auteur. Les connaissances du monde japonais, et de l'époque sont indéniables et on apprend beaucoup de choses. Un tel déploiement de connaissances qui s'accompagne parfois de longueurs alourdissant le récit. Parfois il est même difficile de s'y retrouver tant les personnages foisonnent.



Le personnage principal, à travers ses réflexions, permet d'aborder des thèmes qui trouvent écho dans le monde actuel, conflits religieux, argent, commerce, traitement des immigrés, mais j'ai eu du mal à m'attacher à lui. Trop controversé et volatile à mon goût j'ai eu du mal à lui trouver des points positifs.



Le style d'écriture est bon, fluide et les descriptions réalistes valent le détour , que ce soit pour l'architecture d'une île construites pour les migrants, ou pour les différentes tortures imaginées par les hommes du Shogun pour faire régner la Terreur.



En bref, un bon livre très documenté à réserver aux lecteurs en quête de connaissances sur le 17eme siècle au Japon.
Lien : http://livresforfun.overblog..
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Tout, tout de suite

Histoire poignante et belle plume.
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