Citations de Morgane Moncomble (2169)
Les courbes, je les ai toujours eues. Impossible à rater. Et je ne vois pas pourquoi je les invisibiliserais. Elles sont là, sur mes bras, sur mes hanches, mes cuisses, mon ventre...
Pourtant, je ne les considère pas comme disgracieuses. Elles font partie de ce que je suis. Je suis en bonne santé. Je fais du sport. Je suis grosse, c'est un fait. Mais je me trouve belle et, bizarrement, cela semble être le pire de mes crimes. Pourquoi les gens sont-ils si énervés de voir que les gens comme moi s'en fichent, contrairement à eux ?
Je me demandais ce qu’il y avait de si particulier à propos de l’amour pour qu’on soit prêt à tuer, voire à se sacrifier, pour lui.
Loan : J'ai un service à te demander.
Moi (Jason) : Non, je ne coucherai pas avec toi. Enfin ça dépend. Tu me paies ?
Loan : Sois sérieux deux minutes. Violette a une nouvelle lubie. Elle veut qu'on ait une bande à la "Friends" (ne pose pas de questions)
Moi : Ok. Et donc ?
Loan : Et donc elle a demandé qu'on rassemble nos amis en commun. Toi, moi, elle, Zoé et Ethan.
Moi : Ils sont 6, dans "Friends". On est 5.
Loan : On s'en fout, Jason. Ramène ton cul à l'appartement ce soir, c'est tout.
Moi : Seulement si je suis Monica. Tu seras mon Chandler ;-)
Loan : Au point où j'en suis.
Aimer jusqu’à l’infini, c’est bien une connerie que les gens inventent pour oublier que l’Homme oublie très vite.
- Non, je ne t'aime pas, me susurre-t-il finalement à l'oreille. Je t'adore, Violette-qui-sent-la-Violette. Et tu connais les synonymes du mot "adorer" ?
- Non, Larousse, dis-moi.
- Goûter, raffoler, estimer, se passionner, diviniser, respecter, aimer quelqu'un comme ses yeux.
J'arrête de respirer tandis qu'il me repose à terre, sans pour autant s'écarter de moi, me surplombant de toute sa hauteur. Loan m'offre un clin d’œil qui finit de m'achever, écartant une mèche de cheveux collée à mes lèvres humides.
«Je t'aime. »
Même s'il le sait déjà, je le lui signe en retour. Parce que j'ai appris que certaines personnes ont besoin d'être rassurées, en particulier les gens comme Orion qui ont toujours été abandonnés.
Je ne vais pas pleurer la mort de mon ancien bourreau. L'homme qui m'humiliait en public, m'affublait de surnoms réducteurs, m'enfermait dans des endroits étranges et faisait courir des rumeurs abominables à mon propos... Un mythomane et un manipulateur comme j'en ai peu connus.
Quoi qu'il se passe, je ne veux avoir aucun regret.
Alors je choisis de pardonner.
"Il est temps de faire le deuil de ce père imaginaire que je fantasmais. Le mien ne sera jamais comme ça, et je dois l'accepter et passer à autre chose."
- Les hommes sont faibles , Rose. Tu seras ma faiblesse.
Le féminisme n'est pas seulement se plaindre d'une différence des salaires ou du harcèlement dans les rues de New-York. C'est aussi tendre l'oreille vers l'autre moitié du monde.
Avouer que cela t'atteint ne fait pas de toi quelqu'un de faible. Ne minimise pas ta peine. Tu as le droit d'aller mal.
Si j'avais un cœur, je choisirais de tomber amoureux de toi.
-Non, je ne t'aime pas, me susurre-t-il finalement à l'oreille. Je t'adore, Violette-qui-sent-la-violette. Et tu connais les synonymes du mot « adorer » ?
-Non, Larousse, dis-moi.
-Goûter, raffoler, estimer, se passionner, diviniser, respecter, aimer quelqu'un comme ses yeux.
- J'ai rêvé de vous, cette nuit !
Surpris, je lui ai renvoyé son sourire.
- Ah oui ?
- Vous mouriez.
Ah.
"Chère Lilas,
J'ai écrit des centaines de mots, des centaines de lettres, par le passé. Mais c'est bien la première que je t'écris, à toi, et en cela cette lettre est spéciale.
La première fois que je t'ai vue, tu as pleuré. Et ça m'a brisé le cœur. Ta défiance et ton envie de plaire à tout le monde m'ont poussé à te détester, c'est vrai… Et pourtant, même dans ces moments-là, mon cœur ne cessait de battre plus fort en ta présence.
Je n'ai aucune explication rationnelle à cela.
Je ne le comprends pas moi-même.
On se connait depuis peu, mais j'ai l'impression de t'attendre depuis toujours…
C'est toi, c'est tout. Tout simplement parce que tu es la seule qui fait sens.
Aaron"
La morale est simple : chacun est maître de son destin. Personne ne peut vous dérober votre confiance en vous si vous décidez du contraire. Vous êtes votre pire ennemi, mais vous n’avez pas à l’être.
Il y a des rencontres qui changent une vie, des rencontres qui ne sont pas en mesure de vous sauver mais qui peuvent vous accompagner jusqu'au bout du chemin. Comme une lumière dans l'obscurité.
- Et enfin, s'il te plaît, ne panique pas, mais il faut que tu le saches : je suis en train de tomber follement amoureux de toi.
Bienvenue sur Dear Patriarchy.
Si personne ne vous l'a dit aujourd'hui : vous êtes forts, ne serait-ce que pour avoir survécu à cette journée. Mine de rien, ce n'est pas toujours facile.