Citations de Nick Alexander (102)
Chaque personne croisée dans la rue, l'employé de la Poste, les collègues de travail, tous occupent une place spéciale dans le coeur de quelqu'un.
Chaque être humain, à un moment donné de son existence, bouleverse profondément la vie de celles et ceux qui l'entourent.
Oui, on peut rêver jusqu'à la fin d'un revirement inattendu qui procure au lecteur le frisson tant espéré, la jouissive échappatoire.
Le même postulat s'applique à la vie. Jusqu'au bout, l'espoir subsiste. C'est la raison pour laquelle on ne renonce pas à la vie tant que la vie elle-même ne nous a pas abandonnés.
Elle se fait un point d’honneur à terminer chaque livre entamé, tant que cela est humainement possible ; selon elle en effet, il est permis d’espérer jusqu’à la dernière page. Oui, on peut rêver jusqu’à la fin d’un revirement inattendu qui procure au lecteur le frisson tant espéré, la jouissive échappatoire.
Chaque être humain, à un moment donné de son existence, bouleverse profondément la vie de celles et ceux qui l’entourent.
Si j'y travaille, je découvrirai peut être que j'ai hérité du super-pouvoir de mon père ; que je peux être gentille, calme et utile aux autres. Je deviendrai alors cette présence qui embellit le quotidien de tous ceux qui croiseront ma route. Ce serait un bel héritage, vous ne trouvez pas?
On valorise la débrouillardise, l'intelligence et la force. L'argent aussi. Pourtant la gentillesse, c'est tout particulièrement spécial. Et ce n'est pas si facile d'être tout le temps gentil, tu sais ? Les gens sont très difficiles. Il faut faire de gros efforts pour les comprendre et rester gentil malgré tout.
Et là, dans cette mer de Santorin qui me paraissait infinie, sous ce ciel qui l'était assurément, tout se dissipait, me laissant dans un état de fragilité et de peur.
A moins d'être Dieu et de tout savoir, y compris le passé et l'avenir, la majeure partie de la vie consiste surtout a fermer les yeux
En tant qu'humains, nous sommes conçus pour savoir aimer les gens en dépit de leurs imperfections.
Le bonheur. Ca peut être si simple. Il suffit en fait de se tenir à l'écart de ceux qui vous le gâcheraient.
Il faut savoir s'éloigner de la folie des autres à un moment donné. Tu n'es pas obligé de tout supporter à leur place. Même quand il s'agit de tes parents.
L'arrivée imminente du jour lui remonte un peu le moral. Certaines choses seront toujours là pour toi, murmure la planète à son oreille. Le soleil continuera de se lever tous les jours.
Elle se fait un point d’honneur à terminer chaque livre entamé, tant que cela est humainement possible ; selon elle en effet, il est permis d’espérer jusqu’à la dernière page. Oui, on peut rêver jusqu’à la fin d’un revirement inattendu qui procure au lecteur le frisson tant espéré, la jouissive échappatoire.
En arrivant au bout du rayon, j’ai baissé les yeux sur mon caddie pour constater qu’il ne contenait que deux sachets : pommes de terre et pousses de soja. Je me suis retournée vers les étalages en me disant que quelque chose avait changé, et ce quelque chose, c’était que les phobies de Zoé ne s’équilibraient plus. Maintenant, elles se cumulaient. Sans poisson, viande ni tomates, sans produits laitiers, oignons ni champignons, sans riz ni gluten, je n’avais aucune idée de ce que je pourrais bien lui préparer.
Alors, je suis revenue sur mes pas et j’ai rempli mon caddie d’ingrédients aux couleurs vives, bourrés de vitamines. Elle mangerait ce que je cuisinerais, un point c’est tout. La faim finirait par avoir raison d’elle et on redeviendrait une famille joyeuse et en parfaite santé.
Mes émotions étaient tourneboulées, c’est rien de le dire ! Je la détestais de m’avoir fait mal, de me faire peur, de dépendre de moi, et en même temps je l’adorais… Je ne sais même pas pourquoi. Juste parce qu’elle existait, je crois bien.
Mais pour être honnête, l’émotion principale de ces premiers jours, c’était clairement la terreur – la terreur qu’il lui arrive quelque chose, la terreur qu’elle arrête de respirer pour une raison inexplicable. Elle paraissait tellement fragile.
Il faut dire que les bébés humains sont tellement pitoyables. C’est vrai, j’ai vu des documentaires animaliers, et dès que les bébés caribous sortent – je ne me souviens plus de leur nom – ils sont prêts à cavaler pour échapper aux loups.
Accoucher a été la chose la plus difficile que j’aie jamais faite. En comparaison, la chimio c’est de la rigolade, et pourtant crois-moi, c’est pas la joie. Mais Sean, ça fait tellement mal d’accoucher. Il n’y a pas de mots pour décrire cette souffrance. Disons que si se cogner le coude c’est le niveau trois et se coincer les doigts dans la porte niveau cinq, si se faire amputer d’une jambe sans anesthésie c’est le niveau dix, alors accoucher en vaut bien quinze. Minimum. On est censé oublier à quel point ça fait mal, mais ce sont des foutaises, un mensonge qu’on raconte aux futures mères pour ne pas trop les effrayer. Pourtant elles ont toutes les raisons d’avoir peur. Parce que c’est vraiment horrible.
Honnêtement, je peux te dire que je n’ai jamais rêvé d’avoir des petits-enfants. Élever un enfant, c’était déjà bien assez difficile, mais s’occuper des gamins des autres, c’est clairement ma définition de l’enfer.
C’est vraiment une fille incroyable. Elle doit avoir le moral dans les chaussettes par moments, mais elle ne le montre jamais. Elle a toujours la pêche, toujours à s’agiter à droite à gauche.
Ça me fait tout drôle de l’imaginer avec des enfants, parce que je m’étais mis dans la tête qu’elle ne trouverait jamais le bon moment pour en faire. Je ne sais pas d’où me venait cette idée, mais c’est comme ça.
Dans ces moments-là, Sean se rappelait que sa fille était la personne qui comptait le plus au monde pour lui, et que protéger cette enfant était son unique raison de vivre sur cette planète.