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Critiques de Nicolas Petrimaux (244)
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Un nouveau style est né, il faut lui donner un nom. Le "comwesco" peut être... Car après la sortie d'albums tels que Mutafukaz et Puta Madre, par Run chez Label 619, Glénat a bien senti ce nouveau courant influencé par le comics et l'ambiance West Coast, et elle a déniché un petit génie nommé Nicolas PETRIMAUX. Une fois la BD dans les mains, on ne la lâche plus, on tourne les pages colorées et on se dit "ouah!!!, quel film ça ferait !!! Tarentino adorerait les personnages. On se dit aussi "mince" quand est ce que la suite sort, c'est trop génial" !!!
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Tome 1 sur 3.



Ah mais quelle BD ! C'est même bien plus qu'une BD.

Un Breaking Bad version BD avec des mafieux, des règlements de compte, de l'humour, un homme au profil discret qui est en fait un assassin redoutable.

C'est toute la recette d'Il faut flinguer Ramirez, une petite crêpe fajitas remplie d'ingrédients différents, mais qui donnent un goût unique.



Pas étonnant que cette histoire ait eu plusieurs prix.

Il ne manquait plus que le son, un bon gros son bourrin mêlé aux Gipsy Kings pour agrémenter le tout.

Jacques Ramirez est muet. C'est le meilleur employé de sa boîte d'électroménager, et celui qui se fait le plus exploiter par la même occasion. Bah oui, "trop bon, trop con" comme on dit. Et c'est en même temps la cible d'un gros cartel mexicain qui veut l'éliminer par tous les moyens. Ola !



J'ai adoré cette histoire, les dessins et les dialogues remplis d'humour.

Hâte de découvrir le tome 2 pour savoir si notre petit moustachu s'en tirera vivant, ou s'il se fera flinguer salement et que quelqu'un passera un coup d'aspirateur Vacuumizer 2000 sur le lieu du crime.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Vous ne le savez peut-être pas, mais la bande-dessinée n'est pas mon genre de lecture de prédilection. Principalement parce que le format assez court (au même titre que la nouvelle) ne me permet pas toujours de vraiment m'immerger dans l'univers. J’ai lu Il faut flinguer Ramirez dans le cadre du prix roman CSE Arquus organisé par mon entreprise. On est sur un chouette format puisqu’il fait 150 pages environ, ce qui promet un contenu plus détaillé qu’une BD « classique » et mes collègues m'ont vendu du rêve puisque les avis sur ce premier tome sont super bons ! Je m’y suis donc plongée avec de grosses attentes et j’avoue que j’ai totalement été séduite par Jacques Ramirez.



Les dessins aux tons chauds et l’intrigue posent une ambiance seventies, sur fond de mafia et d’aspirateur. Ce premier opus est divisé en trois parties et nous offre des flash-backs qui nous permettent de situer Ramirez dans l’organisation. Le lecteur navigue donc entre deux époques, découvre les liens entre les différents malfrats et ne peut s’empêcher d’avoir des doutes quant à la réelle identité de Jacques Ramirez, ce réparateur d’aspirateurs muet et serviable, que tout le monde semble apprécier. Entre concours de circonstances et conscience professionnelle, les apparences semblent contre Ramirez ; la police, tout comme la mafia, sont de cet avis ! A cette quête de vengeance s’ajoute un second fil narratif : la cavale de deux femmes fatales, à priori actrices de cinéma, et aux airs de Thelma et Louise.



Lire Il faut flinguer Ramirez, c’est un peu regarder un épisode de série palpitant ; on se questionne beaucoup, on voit défiler les images sans forcément anticiper la suite, on a envie d’en découvrir plus sur Jacques Ramirez et son passé. Les dessins sont vivants, on trouve de l’humour, des clins d’œil et aussi des pages de pub ! Nicolas Petrimaux s’est lâché sur les pages de publicité où tout est dans le détail et qui renforcent la caricature de la société de consommation, déjà mise à mal par l’attente frénétique du nouvel aspirateur révolutionnaire.



Une BD qui coche tout mes critères et laisse assez de points en suspens pour donner envie de commencer directement le tome 2 (c’est d’ailleurs ce que j’ai fait afin de vérifier une hypothèse). Il parait que le second volet fait encore plus fort (dixit mes collègues), je vous en parle bientôt, mais l’attente jusqu’au troisième (et dernier ?) opus en fin d’année risque d’être longue.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Il faut flinguer Ramirez est un ovni dans le monde de la bédé, tout droit sorti des années 1980 pour l'inspiration. Jacques Ramirez est un expert muet de la réparation des aspirateurs au sein du SAV de la société Robotop. Mais ne serait-il pas également un tueur à gage recherché par un cartel mexicain ? Nicolas Petrimaux signe un roman graphique détonnant, drôle et très visuel (à quand l'adaptation par Quentin Tarantino ?)
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Il faut flinguer Ramirez, acte 2

On pourrait reprendre tous les qualificatifs et superlatifs utilisés pour le premier tome, tant cette suite est magistralement à la hauteur. Avec déjà de nombreuses petites choses "teasing" qui peuvent paraître insignifiantes, on donne le ton sur la qualité graphique et scénaristique gardés pour ce second tome. On retrouve l'univers digne de Tarantino dans une histoire bien ficelée, ultra dynamique qui réussit à nous surprendre dans toute ses explosions. Les personnages sont toujours aussi exquis et caricaturaux. L'ambiance pop californienne des seventies est toujours conservée grâce à des traits rétros et une colorisation tantôt pétillantes, tantôt ternie. On retient ainsi son souffle dés les premiers instants de ce second volume et l'on se laisse porter ainsi d'un bout à l'autre…jusqu'à cette immense frustration lorsque l'on tombe sur le fameux "suite au prochain épisode"...
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Il faut flinguer Ramirez, acte 2

Qu'est ce que c'est bon Ramirez !



On aime le mystère qui plane autour de Ramirez (Ramirez on a l'impression de le connaître par cœur mais sans le connaître). Cette sorte de course poursuite haletante où on croit enfin savoir qui il est... (ça se précise dans ce tome 2).



Ramirez c'est beau ! L'ambiance, les dessins, les couleurs, les détails, c'est travaillé et ça a bon goût.



Ramirez c'est drôle, les situations, les dialogues, les publicités qui se font écho dans l'histoire. Si si on rigole.



Ramirez c'est bien lourd mais c'est assez fin ! Une critique assez ouverte de la société moderne et du grand gâchis autour du consumérisme.



Allez allez on lit Il faut flinguer Ramirez parce que c'est déjà suffisant pour vous donner envie.
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Il faut flinguer Ramirez, acte 2

J'ai littéralement dévoré cette suite des aventures de Ramirez. J'avais pourtant placé la barre très haute, et les multiples reports de sortie auraient pu me rendre encore plus exigeants, mais Nicolas Petrimaux fait très fort avec ce nouveau tome.

Tous les personnages du tome 1 sont là, on comprend très vite quel sera le rôle de chacun, et on part pour une série d'aventures totalement dingues. De l'action, de l'humour, de l'empathie, des retournement de situation, du suspense, des références aux années 1980 de partout, des apartés toujours aussi bon, un dessin ultra coloré qui nous saute littéralement aux yeux. En plus, on n'en finit pas de s'attacher à Jacques Ramirez avec son air désabusé donnant l'impression de subir constamment.

J'étais ravi de découvrir qu'il y aura un tome 3 à la fin du livre, car pour moi, c'est une réussite totale et le niveau qualitatif entre les deux tomes est resté le même.

Vivement la suite.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Un bon aviseur doit savoir reconnaître une bonne bd. Il faut savoir faire preuve de discernement pour déceler le meilleur du médiocre. Après, on peut toujours essayer d’atténuer que le mauvais n’est pas aussi mauvais que cela etc… et faire un peu dans la langue de bois afin de préserver les intérêts des auteurs et des éditeurs. Je réserve pour ma part ce langage aux politiciens.



L’auteur que je ne connaissais pas à tout compris à la bande dessinée. Il sait introduire son histoire de manière plus que surprenante. Il sait maintenir un suspens. Il arrive même à nous faire aimer son héros qui ne prononcera pas un seul mot dans toute la bd ce qui est en soi un exploit. Bref, il possède tout les talents car il maîtrise toutes les techniques cinématographiques avec un découpage parfait.



Je suis toujours étonné de voir des auteurs accomplis qui n’ont toujours rien compris au bout de la cinquième bande dessinée qu’ils réalisent et qui sont toujours aux commandes quand on voit ces talents émergés et qui possèdent déjà tout en eux au bout de leur 1ère bd. Là encore, il faut du discernement. Mais que faites-vous les gars ?



Effectivement, si on aime Les 4 As et Bob et Bobette au point d’accorder 4 étoiles (j’aurais pu citer d’autres exemples), on aura sans doute un peu de mal avec cet univers. Et pourtant, c’est bien la reproduction des années 80 des USA non sans malice et humour. J’ai adoré les affiches publicitaires et les manchettes de journaux. C’était un véritable régal. Superbe travail. Que dire de plus ? C'est magistral pour ne pas dire flinguant.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Le premier acte de cette nouvelle série présente très vite l’enjeu narratif : cerner la vérité sur Ramirez. Derrière ce nom, se cachent deux visages : un homme discret réparateur d’aspirateurs et un tueur sans pitié. Deux réalités se confrontent dans cette BD pleine de couleurs, d’actions et de ruptures. La vie tranquille de l’un rencontre la violence déchaînée de l’autre. Tout le mystère (simple erreur d’identité ? drôle de hasard ? personne schizophrène ?) est entretenu par l’auteur, Nicolas Petrimaux. Dans les attitudes, la gestuelle, les nuances de couleurs, il cultive le doute sur cet homme. Ramirez ne peut pas juste être un excellent réparateur de machines. Chacune de ses attitudes peut le trahir et l’auteur dissimule très finement ici et là le mystère. Il y parvient notamment en intégrant une foule de personnages secondaires croisant la route de Ramirez. L’air de rien, cet homme perturbera leur vie et sera un grain de sable dans leurs parcours : un couple de tueuses en fuite, le cartel mexicain, des flics perdus, des collègues patauds, un petit chef anxieux… En travaillant très précisément les ambiances, l’auteur développe, entre humour et violence, un contraste permanent pour mieux tenir le suspens de son histoire.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Rien à redire. Une qualité du dessin remarquable, fourni de nombreux détails, un humour régulièrement présent, efficace et pas vulgaire et une intrigue assez bluffante. Mon coup de coeur de l'année.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Le Ramirez dont il est question dans ce titre particulièrement alléchant est un employé modèle chez Robotop, fabricant d’aspirateurs que toutes les ménagères s’arrachent. Muet, mais apprécié de tous ses collègues, Jacques Ramirez est de loin le meilleur technicien de sa société. Cependant, lorsque deux mafieux mexicains venus rapporter leur mixer en panne le reconnaissent, la décision du cartel ne se fait pas attendre : Il faut flinguer au plus vite ce mythique tueur à gages qui avait disparu de la surface de la terre !



Pour sa première bande dessinée, Nicolas Petrimaux frappe fort en proposant ce thriller truffé d’humour, de références et de dialogues ciselés. Jouant pleinement la carte de l’action et situant son récit dans une parodie jouissive des États-Unis des années 80, à l’image de ces fausses réclames vintage ou coupures de journaux insérées au fil du récit, Nicolas Petrimaux livre un scénario explosif digne de Quentin Tarantino.



Visuellement, le récit imaginé par Nicolas Petrimaux est également à flinguer ! Du découpage cinématographique qui insuffle un tempo de la mort au style légèrement cartoonesque qui invite à garder le sourire au bord des lèvres, en passant par des personnages expressifs aux gueules improbables qui donneraient presque envie de se laisser pousser la moustache, l’auteur fait un carton plein !



Jubilatoire !
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Balèze brosse ou as pirateur ? Aspiro-brosser, c’est mieux !

Dès le préambule, quand l’inspecteur Eddy Vox, dans la salle d’interrogatoire à Falcon City, en Arizona, questionne Henri Jackson, employé de la société Robotop au sujet de son homologue Jacques Ramirez soupçonné de baliser son parcours avec des jonchées de cadavres, alors que Jackson demande avec son café un nuage de lait, un sucre et une touillette, Vox le fixe, massif et silencieux, le lecteur pressent une œuvre forte, référencée et maîtrisée. La suite de l’aventure confirme les premières bonnes impressions. L’histoire embraye par un léger retour en arrière. Jacques Ramirez est un technicien exceptionnel de Robotop mais il n’a pas les faveurs de sa hiérarchie, en l’occurrence son chef, Sanchez qui l’accable et le rabaisse. Ramirez ne récrimine jamais : il est muet. Quand deux malfrats n’hésitent pas à parcourir plus d’un millier de kilomètres, du Mexique en Arizona, pour rapporter à l’usine Robotop un mixer neuf déjà en panne, ils identifient formellement Ramirez comme le tueur déjanté avidement recherché par leur boss, le parrain Hector Rodriguez du Cartel de Paso del Rio. L’alerte donnée, Rodriguez dépêche à Falcon City Hector Perez, bras droit armé du mafieux, désireux de venger son honneur bafoué par Ramirez. Pour couronner l’embrouillamini, Jacques Ramirez se trouve embarqué malgré lui par deux braqueuses en cavale, Dakota Smith et Chelsea Tyler. La folle équipée peut brûler le bitume. Les mitraillages, les explosions et les sorties de route se font en cascade et en technicolor.

Il est impossible de rendre compte de la conjonction d’une action omniprésente, d’un humour distillé, de dialogues percutants. Sous des airs burlesques, la violence et la mort agissent de concert. Les personnages, sous le vernis de la caricature, dissimulent des failles à l’exemple d’un Ramirez apparemment inapte à endosser le rôle du tueur qu’on lui assigne mais prompt à souffrir de grandes douleurs muettes. Un beau cliffhanger conclue habilement ce premier acte de 144 pages qui se dévore avec un grand plaisir. Le lecteur peut raisonnablement espérer que l’auteur-orchestre Nicolas Petrimaux concocte une suite du même acabit.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Amateurs d'action non-stop à l'intrigue délirante, au dessin chatoyant et coloré, foncez acheter cette pépite !

J'ai eu l'impression de suivre en version BD un Tarantino de la meilleure veine, où les destins se croisent et s'entrecroisent sans arrêt, autour d'une course poursuite qui confine parfois à l'absurde, et vous arracherait des larmes (de rire).

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Il faut flinguer Ramirez, acte 2

Suite au tome 1, je me suis empressé de lire ce tome sans attendre.



On retrouve l'univers digne de Tarantino dans une histoire bien ficelée, ultra dynamique qui réussit à nous surprendre dans toute ses explosions. Les personnages sont toujours aussi exquis et caricaturaux. L'ambiance pop californienne des seventies est toujours conservée grâce à des traits rétros et une colorisation tantôt pétillante, tantôt ternie. On retient ainsi son souffle dès les premiers instants de ce second volume et l'on se laisse porter ainsi d'un bout à l'autre…jusqu'à cette immense frustration lorsque l'on tombe sur le fameux "suite au prochain épisode"...



Mais le tome 3, risque d'être plus long que celui-ci. Vite qu'il sorte, le suspens est à son comble !
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Il faut flinguer Ramirez, acte 2

Tome 2 sur 3.



Ah mais quelle BD ! C'est même bien plus qu'une BD.

Un Breaking Bad version BD avec des mafieux, des règlements de compte, de l'humour, un homme au profil discret qui est en fait un assassin redoutable.

C'est toute la recette d'Il faut flinguer Ramirez, une petite crêpe fajitas remplie d'ingrédients différents, mais qui donnent un goût unique.



Pas étonnant que cette histoire ait eu plusieurs prix.

Jacques Ramirez est muet. C'est le meilleur employé de sa boîte d'électroménager, et celui qui se fait le plus exploiter par la même occasion. Bah oui, "trop bon, trop con" comme on dit. Et c'est en même temps la cible d'un gros cartel mexicain qui veut l'éliminer par tous les moyens. Ola !



Dans ce tome 2, la course poursuite continue entre d'un côté Ramirez et les 2 braqueuses, et de l'autre tous ceux qui sont à leur recherche, police et mafia.

Des explosions dans tous les sens, des fuites au volant de bolides, des balles tirées à en faire péter les chargeurs, et un aspirateur qui traîne au milieu de tout ça, et toujours l'humour du premier tome qui ne s'est pas fait la malle pour celui-ci, incluant les fausses pubs et interviews.



On va même faire plus ample connaissance avec le padre de Jacques, et en apprendre plus sur le passé de notre muet préféré, tout ça sur un fond de morceau rock.

(Pour ma critique du tome 1, j'avais demandé un son bourrin pour accompagner la BD, eh bien pour le second volet mon souhait s'est réalisé !).

Impatiente d'avoir le tome 3 dans les mains quand il sortira.

Bref, du plaisir qui tient dans la main au même titre que le manche du Vacuumizer 2000.
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Une histoire détonante, des couleurs éclatantes.

Un humour acéré, et de petites perles drôlatiques semées ici et là (ca me fait penser à Gotlib)

Le rythme est rapide, on s'imagine un film en enchainant les pages.

C'est drôle, le dessin est beau, foncez!

Cerise sur le gâteau, il y a une suite
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Je lis quasi exclusivement des romans, mais j'ai aussi quelques bd à la maison. On vient de m'offrir celle-là et je me suis empressé de la lire, séduit par le résumé et les dessins.



Un expert en aspirateurs qui serait un assassin mexicain?

L'intrigue intrigue.

Et l'argument de vente qui le présente à la sauce Tarantino met l'eau à la bouche.



Alors, le verdict?



En effet, il y a de ce fantasque et excellent réalisateur dans cette façon d'aborder l'histoire. Une BD qu'on lit un peu comme on regarde un film. De Tarantino, donc. Avec tout ce qu'il y a de décalé, tout en étant cohérent dans le récit.



Ajoutez à cela, des pages de pub intercalées, voire des pubs en lien youtube consultables par QR code. Vous aurez l'impression d'être dans un spectacle des Nuls.



Bref, c'est une excellente BD, de 140 pages, mine de rien.

Et une belle découverte.

L'histoire captive, on s'attache aux personnages, on s'amuse.

Et le dessin est vraiment de qualité.



Dire que ce n'est que le premier acte.
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Il faut flinguer Ramirez, acte 2

Un second volume tout aussi réussi que le premier !

J'ai adoré l'humour, l'enchainement. Pas de temps mort, on retrouve avec plaisir les personnages et l'univers.



La tension est toujours bien dosée, le rythme également.

Les coupures publicitaires sont juste tordantes

J'ai hâte de lire la suite !
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Peu habituée à ce style de bande dessinée, j'avoue avoir été très agréablement surprise.



L'idée de base est plutôt loufoque, on découvre un employé du nom de Jacques Ramirez qui travaille dans une société "Robotop" et qui serait l'un des meilleurs spécialistes dans l'électroménager. Très discret, pour cause il est muet, cet employé est considéré comme tous comme étant une personne digne de confiance et qui "ne ferait jamais de mal à une mouche". Mais voilà, du jour au lendemain sa vie tranquille bascule lorsqu'un cartel croit reconnaître en lui l'homme qui les a trahis et qui serait le pire assassin que le Mexique ait connu.



C'est sur les conseils de mon mari qui me vantait ses mérites que je me suis lancée dans cette lecture.

Et dès les premières pages, j'ai été happée par l'univers avec des dessins époustouflants. De même l'originalité de l'organisation de cette bande dessinée m'a beaucoup plus.



Quant à l'histoire, j'ai été séduite par son rythme ponctué de rebondissements, et puis surtout l'humour, l'ironie que l'on retrouve notamment dans les affiches publicitaires qui surviennent tout au long de l'histoire !



Bref, vous l'aurez compris c'est pour moi une belle découverte et le le tome 2 étant déjà dans la bibliothèque je compte bien le lire très prochainement !
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Il faut flinguer Ramirez, tome 1

Le ton est résolument déjanté. J’ai beaucoup souri. Je ne m’y attendais pas mais c’est drôle. J’ai passé une grosse partie du tome à me demander ce qu’était le fin mot de l’histoire concernant la vraie identité, ou non, de Ramirez. J’ai été embarquée par l’action. Les quiproquos s’accumulent, les personnages sont plutôt manichéens mais avec le ton de l’intrigue, ça passe tout seul. Les pages se tournent toutes seules!



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