Citations de Nicolas Rey (220)
Livrées telles quelles, sans détours et souvent crues, parfois amères ou enfouies sous la violence d’une vie, ces paroles toutes recueillies au beau milieu des quartiers, mettent à nu des solidarités inespérées ou des forteresses étonnantes entre groupes ethniques, classes sociales, genres, cultures « de banlieue » ou plus traditionnelle, statuts liés au logement ou religions
Durant les années 1990, les « originaires des DOM-TOM » sont donc de plus en plus des personnes nées et vivant sur le sol métropolitain, et de moins en moins de nouveaux arrivants
La musique devient alors non seulement structurante pour ces jeunes, mais elle renforce le lien entre la culture héritée des parents, et la leur, multiculturelle, développée en banlieue
Pour la première fois, j’étais comme un chien, je n’avais pas de toit
il y a des gens, on serait capable de déboucher les chiottes pour eux, juste comme ça, par amitié, sans même qu'ils nous demandent quoi que ce soit. Certes, il y a des gens à qui l'on pardonne tout et surtout le pire.
Le couple, c'est le lieu de la vengeance. La perte de sa propre identité.
Bien que j'apprécie cet auteur, ce livre est décevant.
La trame s'effiloche au fil des pages, le style et les formules (qui font habituellement mouche) sont maladroites.
A part si vous souhaitez lire tous les romans de Nicolas Rey et que celui-ci est le dernier, passez votre chemin.
J'ai un problème d'intensité. Je la recherche tellement qu'elle m'échappe à chaque fois. Je veux toujours vivre ce qui va suivre. Et lorsque je réalise que l'instant est beau, les choses me rendent encore plus triste.
Je rêve d'un monde en noir et blanc et totalement muet. Rien qu'avec toi, de préférence.
Savoure tes ballons, ton sabre laser et ta chasse au trésor, savoure ton monde, mon petit.
Et je lui ai fait la même chose que ce qu'ils ont fait à la naissance de Véronique Genest. Je lui ai ouvert le crâne et j'ai tout mangé à l'intérieur.
Vous savez, il est très difficile de recoudre une plaie sur le front d'un nouveau-né sans avoir la main qui tremble.
Pourtant, l'espace d'une heure, il a fait oublier ses crampes et la différence de niveau. Manuel a été héroïque. Pendant ce match, les spectateurs l'ont regardé avec respect, en murmurant que "ce gosse savait se battre". La sueur lui piquait les yeux. Cela suffit, parfois, à toute une vie.
Il te faudra allier le tempérament d’un vampire à la discrétion d’une anémone. Tu vas avoir peur toute ta vie. Peur que ça ne dure pas, peur que ça dure, peur de cette confiance au hasard. Tu viens d’emménager à Angoisse-Land, jeune fille : une charmante bourgade composée du sentiment d’abandon, d’inquiétude et de jalousie.
Je suis totalement admiratif de ses théories en général et de cette fille en particulier.
Et si j’avais commis l’erreur du siècle en la déposant chez elle sans y rester. Il faut que j’arrête de faire ma Brialy. Depuis la mort de Jean-Claude, les vrais gentlemen n’existent plus.
… réunir 40 personnes dans une même pièce pour ton anniversaire, ça tient du miracle à l’envers.