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Critiques de Olivier Chantraine (58)
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Un élément perturbateur

Pas spécialement fan de roman contemporain, je profite (et remercie Folio de ce partenariat) pour lire Un élément perturbateur d’Olivier Chantraine. J’espère secrètement ne pas tomber sur ce qui me gâche les lectures du même genre, à savoir les romances insipides ou bien trop peu crédible.



Je me lance. Plutôt curieux et ouvert, je me laisse emporter par l’auteur dans l’univers de cette entreprise assez particulière puisqu’elle est symptomatique de notre société capitaliste et amène une originalité intéressante. Et dans le monde de l’optimisation fiscale, il semble y avoir des personnages particuliers.



J’ai bien aimé le style d’Olivier Chantraine à travers la voix du narrateur/personnage principal. un style teinté d’humour noir et grinçant, décalé comme son héros. Un élément perturbateur est plutôt bien équilibré entre une intrigue (léger suspens), la romance, la critique sociale et l’interaction quotidienne des personnages.

La suite sur le blog…
Lien : http://livrepoche.fr/un-elem..
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Un élément perturbateur

En cette rentrée littéraire, Un élément perturbateur de Olivier Chantraine fait partie de ces livres à ne surtout pas manquer.

L'auteur nous offre un premier roman divertissant et humain ; le tout dans un style fluide et harmonieux.

Un bonheur de lecture.

Peut-être un futur prix Goncourt ?



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Un élément perturbateur

Serge Horowitz est un quadragénaire qui vit toujours chez sa sœur, se laisse porter par la vie et les événements, travaille juste le minimum et se laisse aller. Il est aussi hyponcondriaque, se rendant régulièrement à la pharmacie pour acheter diverses vitamines, minéraux et autres médicaments au cas où il lui arriverait quelque chose. Il travaille dans une entreprise de consulting, grâce à son frère, qui est ministre des finances.



Mais deux événements vont l’amener à devoir changer sa vision de la vie : il est irrésistiblement attiré par Laura, qui travaille dans la même équipe que lui et ne lui semble pas indifférente, et il va être pris d’épisodes d’aphasie, au cours desquels il ne peut pas sortir un seul mot, restant désespérément muet. C’est d’ailleurs ce qui va lui arriver au Japon au moment de boucler une affaire, il ne peut plus rien dire, et quand il retrouve l’usage de la parole, c’est pour dire la vérité et empêcher la transaction de se faire. Son patron exige alors qu’il se rattrape et fasse réussir la transaction. C’est à ce moment-là que Serge va comprendre que dans la vie, il faut avancer et faire des choix….



L’histoire est celle d’un homme qui s’est laissé aller depuis de nombreuses années, devenu presque un simple spectateur de sa vie, s’étant englué dans ses habitudes de vie. D’ailleurs, il ne va pas bien, même si lui-même ne s’en rend pas vraiment compte. Ses virées régulières à la pharmacie font le bonheur des laboratoires pharmaceutiques, car acheter divers produits lui permet de limiter les risques avant que ceux-ci n’arrivent vraiment, et lui donner l’impression d’être rassuré.



Mais un jour, son corps émet un avertissement en l’empêchant de parler, lui donnant un signal d’alarme. Bien sûr, Serge est hypocondriaque et va essayer de trouver des solutions en pharmacie, mais en vain. Car cette aphasie cache un mal plus profond, et va le mettre sur le chemin d’une prise de conscience de sa vie. Et il va aussi découvrir qu’il est tombé amoureux de Laura, sa collègue de travail, qui souffle le chaud et le froid avec ses sentiments, et que sa vie tranquille dans l’appartement de sa sœur pourrait aussi changer. En bref, beaucoup de changements pour quelqu’un habitué à sa tranquillité !



On se dit que cette intrigue va être porteuse, avec un héros banal qui va peut-être trouver un sens à sa vie, prendre conscience que ses idéaux bien enfouis en lui sont en contradiction avec son métier, et qu’il va devoir faire des choix de vie, et c’est le cas.



Mais le style d’écriture de l’auteur est par moments beaucoup trop familier, notamment lors des scènes d‘amour, alors que cela n’apporte rien à l’histoire, et l’appesantit au contraire. Par ailleurs, la transformation de Serge grâce à une chaîne de TV qui lui apporte une certaine sérénité arrive un peu trop rapidement, ouvrant certes des pistes sur sa transformation intérieure et un possible avenir, mais sans vraiment de travail sur lui-même.



On assiste à une sorte d’éveil de personnalité, grâce à l’amour et à la maladie, d’une personne qui était presque endormie dans ses habitudes de vie. Et sa conscience politique et éthique va parallèlement se réveiller, lui permettant également de réfléchir sur ses liens familiaux, notamment avec son frère ministre.



Par certains moments le déroulé de l’intrigue est trop prévisible, s’appuyant de façon trop visible sur l’actualité politique récente, et surfant également sur la vague du bien-être.



Un roman qui aurait mérité d’âtre approfondi, car j’ai trouvé que la transformation psychologique du personnage allait trop vite, parfois à la limite de la caricature. Mais on excuse l’auteur, car c’est un premier roman.



Merci à Masse critique de Babelio et aux éditions Gallimard de m’avoir fait découvrir ce roman de la rentrée littéraire en avant-première.
Lien : http://docbird.over-blog.com..
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Un élément perturbateur

Ici, on ne trouve pas un héros prêt à tout pour l’honneur, la grandeur d’un pays et défendre la veuve et l’orphelin. On rencontre plutôt un mec chiant qui n’a pas grand-chose pour lui. C’est l’archétype du mec ennuyant avec aucune passion dans la vie à part son petit nombril, un boulot qu’il n’aime pas et des week-ends qui se résument à s’enfermer dans sa chambre de 9m². Alors qu’est Olivier Chantraine a pu bien inventer pour rendre Serge un peu intéressant ?



Déjà, on sait dès le début qu’il y a un traumatisme car ces parents sont morts en laissant lui, son frère et sa sœur sur le carreau. On le plaint un peu ce gars. Mais 40 ans plus tard, il n’a pas quitté sa bulle dans laquelle il s’est réfugié. Donc, il fallait bien qu’elle éclate. Cet hypocondriaque voie le monde autrement. Il travaille à cacher de l’argent dans des paradis fiscaux mais lui il se voudrait intègre. A un moment, cela commence à lui peser sur la conscience. Et il y a une belle femme, intelligente et maligne qui lui fait tourner la tête. Puis le dernier élément déclencheur, la chaîne Zen TV qui va lui apprendre à respirer. Tout va changer, tranquillement et doucement.



Malgré une histoire pas palpitante, j’ai tourné les pages avec une certaine curiosité. Que va-t-il arriver à Serge ? Il va lui arriver quelque chose même si ce n’est pas extraordinaire. J’avais envie de savoir. En même temps, Serge représente la plupart de la population française. Tout le monde a une vie standard qui alterne entre boulot, internet et les potes. Pas de planète à sauver d’invasion extraterrestres, pas de meurtre à résoudre ou de voyage pour l’étranger comme on pourrait trouver dans d’autres romans. Juste le récit d’un gars ordinaire qui s’est révélé être un élément perturbateur dans une machine à fraude bien rôder. Comme quoi, il ne faut pas toujours beaucoup de chose pour changer un peu le système.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Extinction des feux

Les dernières phrases m’ont mis un frisson fou… Je ne m’attendais à rien en lisant ce roman que j’ai acheté un peu par hasard et j’ai été enivré par les personnages, par la détresse passive de Serge, son introspection permanente. L’action met un peu de temps à se lancer mais la psychologie des personnages et la question de la gestion du drame rattrape le tout ! Vraiment un super bouquin !!

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De beaux restes

Un roman superficiel et à la chute presque prévisible… les histoires entre les personnages sont peu recherchées et clichées. On dirait une mauvaise adaptation littéraire des petits mouchoirs et on a du mal à comprendre pourquoi l’auteur insiste sur le réchauffement climatique qui pour le coup ne fait pas de sens dans le roman.
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Un élément perturbateur

Le ministre de l'Économie et des Finances a les dents longues, et aucun scrupule ni sentiment, comme on le découvrira à la toute fin. Il va se présenter aux élections présidentielles, contre le président qui l'a nommé ministre... Tiens tiens, ça rappelle quelqu'un!



Il devait aller au Japon, mais pas de chance, le Président l'expédie au Qatar, pour proposer des mesures d'exonération fiscale sur leurs investissements en France. Non, mais quel délire ce Chantraine, dans quelle fiction nous entraine-t'il, alors que les paradis fiscaux sont censés avoir disparu...



Bref, au dernier moment, le ministre est empêché, alors il dégaine une solution désespérée: envoyer son frère à sa place. Après tout, il s'agit de convaincre des japonais d'investir en France, et ledit frère travaille justement dans un cabinet-conseil en fusions-acquisitions. Poste qu'il a obtenu grâce à son frère, évidemment. Idéal, non?



L'ennui est que ce frère est un peu spécial. Il va mener sa petite enquête et... je ne vais pas déflorer la suite, sorte de roman politico-financier. Rien de compliqué dans l'intrigue, sa compréhension est à la portée de tous.



Chantraine décrit un monde et des personnages tous pathétiques, y compris le "héros" lui-même, avec un ton à la fois ironique et désespéré. On pense au Houellebecq des premiers romans. On peut évidemment penser que les personnages sont caricaturaux: les ambitieux, les adeptes de la note de frais, et les pleutres prêts à toutes les compromissions pour faire avancer leur carrière. Mais la démonstration n'en est pas moins implacable. Et puis, le même reproche pourrait être fait à nombre de nos grands auteurs, n'est-ce-pas?
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Un élément perturbateur

Pour son premier roman, Olivier Chantraine aborde les liens à la famille et le handicap (l'aphasie dont souffre le protagoniste) en y injectant pas mal d'humour. C'est plutôt réussi dans la mesure où Serge est un homme attachant qu'on a envie de voir se débrouiller tout seul, comme un grand. En effet, celui-ci est loin d'avoir coupé le cordon avec son frère et avec sa sœur et c'est peut-être cela qui cause son aphasie : on est face à un personnage qui peine à s'assumer et qui, du coup, est capable des pires boulettes imaginables.



Curieusement, c'est ce même handicap qui va le lancer dans une nouvelle quête : celle d'être soi-même, sans dépendre des autres, et d'enfin mener sa propre vie d'adulte. Cette quête est semée d'embuches, rien n'est simple pour Serge, mais au fur et à mesure des pages et malgré des péripéties dont il se serait sans doute bien passé, j'ai éprouvé une joie évidente à le voir, petit à petit, grandir et réussir.



En parallèle (et profitant de cette situation), l'auteur a semble-t-il pris un malin plaisir à dénoncer (ou, disons, à se moquer) des pratiques liées au business mondial et à la politique. Sur ce dernier point, je me suis amusé du peu de morale dont fait preuve le frère de Serge, candidat à l'élection présidentielle.



Ainsi, mon unique réserve se rapporte à certains passages et dialogues que j'ai trouvés moins chiadés. Disons, pas à la hauteur de l'enjeu et du reste.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Un élément perturbateur

Serge Horowitz est un anti-héros attachant, aphasique et déphasé dans une société où l'argent et la réussite priment sur l'humain. C'est un roman caustique et désillusionné sur la culture d'entreprise, qui pointe l'aliénation de l'homme par le travail et la famille. Un premier roman réussi, dont l'humour naît du héros et de ses frasques improbables et absurdes.
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Un élément perturbateur

Un auteur à découvrir

Une écriture fine et sensible pour un être masculin

Une belle tranche de vie

Le principal personnage nous rappelle un certain Emmanuel m.....

A savourer
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Un élément perturbateur

Ce roman a remporté le prix du Roman d’Entreprise et du Travail 2018.

À la fois désopilant et acerbe, une peinture au vitriol du monde du travail et du pouvoir.

Serge, le héros est analyste financier dans un cabinet renommé. Il y est entré grâce à son frère ministre des finances.

La quarantaine, seul, vivant chez sa sœur, une caricature du « gentil » lâché dans un monde de méchants.

Ceux qui le côtoient espèrent profiter de sa proximité avec un ministre, ce qui l’agace prodigieusement. Un héros à la Pierre Richard, provoquant des catastrophes et tombeur de ses dames.

On sourit souvent même si le trait est un peu gros parfois. L’univers impitoyable du travail est bien restitué.

Une écriture très imagée et tonique rend la lecture fluide.

Ce roman réserve son lot de surprises et nous fait passer un beau moment.
Lien : http://www.despagesetdesiles..
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Un élément perturbateur

Je suis circonspecte. Perplexe. Interrogative. C’est à dire que je ne sais toujours pas si j’ai aimé ou pas. C’est ennuyeux pour un livre que j’ai fini hier, n’est ce pas? Bon, bien sûr, c’est bien écrit, et plein d’humour. Caustique, l’humour, mais j’aime bien.

Après on arrive dans l’histoire proprement dite. Une histoire d’amour, une histoire d’entreprise, les deux en parallèle. L’histoire « d’amour », ou la romance je ne sais pas comment on doit dire, ça va, c’est agréable, pas trop téléphoné et quand ça l’est l’auteur sort une pirouette qui nous dit « oui je sais bien, mais c’est pas si pire! ». Il y a deux trois scènes bien senties, et moi je suis toujours un peu gênée par les scènes de sexe trop décrites. Ne me dites pas que je suis prude, y’a une scène de sexe dedans qui est indispensable à l’histoire et celle là, je ne lui en veux pas, c’est les autres…

Ensuite il y a l’histoire d’entreprise : je vais être très honnête, j’ai pas vraiment chercher à comprendre. C’est singulièrement le genre de chose qui ne m’intéresse pas, les montages financiers et compagnie. J’ai donc lu en diagonale, mais ça n’empêche pas de comprendre l’histoire et le fin mot de cette histoire, et l’appui est plutôt bon.

Enfin, parlons du personnage principal. Et c’est là que tout l’intérêt de ce livre se trouve à mon avis : comment l’auteur a-t-il fait pour que cet homme m’agace et m’attendrisse à tour de rôle, avec cette oscillation à chaque ligne pratiquement? Un vrai humain, parfois très drôle, parfois trop mollasson, parfois éclairé, parfois complètement con… Je crois qu’il aurait pu se passer n’importe quoi dans ce livre, juste ce personnage m’aurait suffi.
Lien : https://stephalivres.wordpre..
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Un élément perturbateur

Serge Horowitz est un homme moderne et immature : il vit avec sa sœur même s'il a plus de quarante ans. Il est hypocondriaque et incapable de maintenir son travail sans l’intercession de son frère. Il vit toutes les contradictions de travailler à notre époque, et pourtant il est aussi incapable d’avoir une relation amoureuse (comme il faut). Il essaye toujours d’échapper de l’ombre que son frère projette sur lui, mais avec des résultats médiocres. Réussira-t-il à devenir adulte et trouver une femme digne de lui? Il faudra lire le livre pour le savoir, mais sachez qu'il vous donnera des moments sympas pour s’amuser.
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De beaux restes

Au commencement…

Comme chaque année, une poignée d’amis septuagénaires se rend pour quelques mois dans un quartier de détente en bord de Méditerranée. L’ombre de Bob, leur ami de longue date décédé quelques jours auparavant, les accompagne durant leur séjour et provoque quelques remous dans les esprits de chacun, en particulier de Richard, un écrivain désabusé. Le groupe devra gérer les méfaits du temps qui passe, ainsi que l’arrivée inopinée d’un jeune couple dans leur coin sacré de tranquillité.



Ce que j’en retiens...

L’auteur atténue l’esprit déjanté présent dans son excellent premier roman (un élément perturbateur), avec une atmosphère plus grave, humainement profonde, teintée de mélancolie. Il plonge le lecteur parmi un groupe de personnages très attachants. Leurs maux et non-dits créent de l’empathie. Leurs espoirs et moments de sagesse, voire de folie, procurent du réconfort. L’on sort de ce roman comme l’on quitte de vieux amis : avec l’émotion des bons moments, qui adoucit la peur de leur disparition prochaine.



Une citation soulignée...

« Arrête tes mièvreries mon petit Richard, et profite, profite merde, lui reprocha la voix de Bob. Mange. Bois. Montre que tu es vivant. Aime. Offre ce que tu as à offrir. Jette tes dernières forces dans la bataille. Honore la vie tant qu’elle est en toi. Tu préférerais être à ma place. Seul. Sans vous. Tu crois que je me morfondrais comme un con, passe-moi l’expression, si j’étais encore parmi vous ? ».
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De beaux restes

Un roman générationnel dont les héros sont des septuagénaires, qui ne pérore pas sur la vieillesse ni sur aucun autre sujet, d’ailleurs, ce n’est pas fréquent. C’est l’une des raisons pour lesquelles on aime De beaux restes, le deuxième roman du presque quinquagénaire Olivier Chantraine.
Lien : https://next.liberation.fr/l..
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Un élément perturbateur

Serge a 44 ans, vit chez sa soeur Anièce et n’a de travail que grâce à l’appui de son frère, François, Ministre des Finances. Hypocondriaque et exprimant le plus grand mépris pour la réussite sociale, il a de grandes difficultés à s’intégrer socialement.



Un jour, tout ce qu’il croyait pérenne s’effondre, lui laissant le choix entre désespoir ou action.



« Un élément perturbateur » est un roman amusant dont le propos s’appuie sur des absurdités bien réelles du monde du travail. Les personnages ressemblent à s’y méprendre à des interlocuteurs que j’ai pu côtoyer dans ma vie professionnelle.



Malheureusement, à la moitié, peut-être aux deux tiers du livre, l’histoire s’essouffle et même la narration perd de sa saveur.



J’ai commencé ma lecture pleine d’entrain mais je me suis beaucoup ennuyée à la fin.



A lire en tailleur gris avec une valise cabine à ses pieds (ceux qui savent savent).
Lien : https://lucioleetfeufollet.c..
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Un élément perturbateur

j'ai bien aimé le style, j'aime bien les livres qui se passent dans le monde du travail, le héros est attachant, à la fois naïf et très intelligent, son aphasie temporaire lui permet de mieux dénoncer ensuite, la fin permet d'imaginer une suite ??
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Un élément perturbateur

un 1er roman, une écriture limpide, un style direct, un personnage principal atypique, une histoire quelque peu rocambolesque, que l'on suit avec intérêt. L'auteur nous entraîne avec humour dans l'univers de l'entreprise, de la vie politique, familiale, de la réussite qui n'est pas toujours celle que l'on croit.

C'est drôle, vif, enlevé. On passe un très bon moment.
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