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Citations de Olivier Jouvray (138)


- Ca va, papa ? T'as mal quelque part ?
- J'ai mal partout ! Mais on s'en fout. À mon âge, quand t'as mal nulle part, c'est que t'es mort.

(page 54)
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On se réfugie dans l'individualisme, le survivalisme, l'isolationnisme, l'autonomisme, le technologisme, le transhumanisme, le jusqu'au-boutisme, le je m'en foutisme, etc. L'Histoire ayant frappé du sceau de l'infamie les mots collectivisme ou communisme, que nous reste-t-il pour nous en sortir ?

Il est peut-être là le plus grand danger. Cet imaginaire qui nous méfiant à l'égard de nos semblables, qui nous pousse à inventer une réalité alternative à partir de nos peurs. Et nous nous retrouvons chaque jour à creuser les pièges dans lesquels nous tomberons demain.

(page 64)
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- Ce qui me surprendra toujours, c'est de voir que l'humain moderne est capable d'être tout à la fois un ingénieur in croyable et un animal stupide.
- Un animal ?
- Nous avons une intelligence technique phénoménale qui nous a permis de fabriquer des ouvre-boîtes, des tracteurs ou d'envoyer des robots sur Mars. Mais notre intelligence émotionnelle, sensible, celle qui nous rend curieux, solidaires, courageux, respectueux des autres et de la nature est d'une médiocrité affligeante.
- Ah oui, animal dans ce sens-là ...
- En tant que techniciens, nous sommes des dieux. En tant qu'humains, nous sommes des ados stupides, capricieux, égoïstes et fainéants.
- Arrogants aussi.
- Et machos !
- C'est ça, vivement la fin du :monde !

(page 59)
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- Peut-être que les policiers faisaient leur travail, tout simplement. On n'en sait rien...
- Leur travail devrait être d'aider les gens, pas de les emmerder.

(page 55)
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- Ca fait bizarre de ne plus savoir ce qui se passe dans le pays ... J'ai bien l'impression que c'est pas marrant pour tout le monde.
- Les crises, ça fait sortir les connards. Comme la pluie pour les champignons.

(page 55)
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- On était bien cons de se méfier. On a carrément fait du délit de faciès.
- On a peut-être eu du pot de tomber sur des jeunes sympas aussi.
- On peut vite devenir des connards racistes si on ne fait pas gaffe.

(page 45)
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- Attendez. je viens avec vous !
- Non, Emma. Je suis désolé mais c'est pas une bonne idée. On ne sait pas ce que l'on va rencontrer.
- Je m'en fous. Pas question que les mecs commencent à faire tous les trucs cool pendant que nous, les femmes, on fait la vaisselle.

(page 40)
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Voyez mes frères, le printemps est venu, ; la terre a reçu l'étreinte du soleil, et nous verrons bientôt les fruits de cet amour ! Chaque graine s'éveille et de même chaque animal prend vie. C'est à ce mystérieux pouvoir que nous devons aussi notre existence ; c'est pourquoi nous concédons à nos voisins, même à nous voisins animaux, le même droit qu'à nous d'habiter cette terre.
Pourtant, écoutez-moi, vous tous, nous avons maintenant affaire à une autre race, petite et faible quand nos pères l'ont rencontrée pour la première fois, mais aujourd'hui grande et arrogante. Assez étrangement, ils ont l'idée de cultiver le sol et l'amour de posséder est chez eux une maladie.
Ces gens-là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent. Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour leur propre usage et se barricadent contre leurs voisins ; ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures. Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage. Nous ne pouvons vire côte à côte.

(page 46)
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Hé mec, t'es au farwest ici ! Chez les cow-boys ! Tout le monde se tire dessus, ça fait partie du folklore !

(page 38)
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En voilà une bonne nouvelle !
Je ne savais même pas que tu pensais !

(page 10)
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Dieu n'a pas de pitié pour ceux qui ne savent pas pleurer les enfants perdus en mer...
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C'est la puissance de Moby Dick contre la mienne qui se joue ici, mon garçon, et pour remporter ce combat, j'engagerai toute la force de ma haine!
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Survivre n'est point vivre, Starbuck.
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Aurais-tu peur d'un cachalot, maintenant ?
N'es-tu pas sur ce navire pour affronter le Léviathan ?
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- j'entends plein de bruits, ça me fait peur.
- C’est comme ça ma chérie, les vieilles maisons ça craque un peu mais c'est pas grave.
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- C’est rien que des gamins…
- Ouaip… c’est vrai qu’ils se foutaient bien de nous les vétérans en nous parlant de barbares assoiffés de sang…ha,ha !
- Ils voulaient pas qu’on sache qu’on allait tirer sur des mômes morts de peur comme nous…
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Tu fais le mariole gamin, mais quand t’auras tes boyaux qui te tomberont sur les guiboles, tu rigoleras moins !
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Je sais bien que nous devons nous protéger, mais restons humains tout de même, s’il vous plaît.
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Ce qui me surprendra toujours, c’est de voir que l’humain moderne est capable d’être tout à la fois un ingénieur incroyable et un animal complètement stupide.
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Dans ce genre de situation, les gens ont tendance à s'entraider bien plus qu'à s'entre-tuer, c'est prouvé !
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