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Critiques de Pascal Bruckner (337)
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Les voleurs de beauté

Bof...
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Les voleurs de beauté

Un roman un peu dérangeant, spécial.

L'idée de départ est originale mais j'ai trouvé que son traitement était finalement décevant.
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Un bon fils

Dans Un bon fils (Grasset), Pascal Bruckner évoque son impossible père, pronazi et violent, dans un portrait sans pathos. Et sans fiel. Une famille "bilingue français-antisémite".
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La maison des anges

malgré l'excellence de l'écriture de Bruckner et son écriture chirurgicale ou plutôt à cause de cela, j'ai du abandonner: le ventre de paris, les clodos, le vomi ou pire tout ça m'ont conduit à une nuit de cauchemars horribles. Mais cela n'empêche pas que cela soit un bon livre. Je n'ai juste pas "l'estomac" pour lire ce genre. Je préfère encore les sang et les serial killers... chochotte oui oui, j'assume....
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Le fanatisme de l'Apocalypse

Bruckner a raison de s'attaquer aux dérives parfois ridicules du principe de précaution et au nouvel ordre moral écologique. Néanmoins, son livre apporte peu d'alternative et semble défendre un Progrès technologique et industriel débridé, sans limite, sans esprit critique.
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Mon petit mari

Léon, 1m66 aime Solange, 1m80. Ils s'aiment malgré les préjugés et autres moqueries sur leur compte.

Oui, Léo et Solange s'aiment et ils se marient pour le meilleur et pour le pire.

Mais de cette union, Léon en connaîtra surtout le pire.

Car, le pauvre Léon subit un phénomène totalement inédit : il rétrécit !

À chaque naissance de ses enfants, Léo diminue à vue d'œil pour finalement arriver à la taille d'un crayon.

Ainsi, en plus de sa taille, Léon voit également s'amoindrir ses responsabilités et son autorité au sein de sa famille.



Léon, est fou amoureux de Solange et ne cesse de l'aimer en dépit de la tragédie qu'il est en train de vivre.

Solange, d'abord patiente et tolérante face à ce phénomène hors du commun, bascule petit à petit vers des sentiments moins nobles à l'encontre de son époux. Tout comme sa progéniture qui lui mène la vit dure à ce petit Léon.

Mais dans ses malheurs et contre toute attente, ce dernier aura heureusement une alliée salvatrice...



Pour moi, ce roman est une fable sur la tolérance. Une histoire qui prône ce fameux concept "tout ce qui est petit est mignon, tout ce qui est grand est méchant". Et effectivement, on y est bien. Les géants que sont devenus les proches de Léon, en comparaison à sa taille miniature, nous apparaissent comme des brutes sans cœur. Car, en exagérant parfois les situations, l'auteur semble, à mon goût, nous pousser à ressentir de la compassion pour ce "petit mari" déchu. Mais, malheureusement, je dois avouer que par moment, je me suis vraiment ennuyée :-(

Donc pour ma part, c'était sympathique mais sans plus...
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La maison des anges

Les sans-abri et miséreux poursuivis par Antonin nous plongent dans un monde de vomi, d'ordures et de puanteur. C'est un roman coup-de-poing, audacieux et qui donne froid dans le dos. La charge est directe et violente.
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La maison des anges

Sous une trame romanesque bien ficelée, l'évocation du Paris des sans-abri et des grands écorchés de la vie. [...] Bonnes âmes s'abstenir.
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La maison des anges

Malgré une écriture parfois un rien relâchée (son péché mignon) et quelques provocations convenues, ce portrait d'un Paris aussi contrasté que les meilleures intentions appuie là où ça fait mal. Et ça fait du bien !
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La maison des anges

Enorme ? Oui. Outrancier ? Aussi. Sujet à polémique ? Bien sûr. Et pourtant, le lecteur entre sans effraction dans cette Maison des Anges. Qui a le mérite et la vertu d'appuyer là où ça fait mal, et de mettre en lumière l'ambivalence et l'hypocrisie de tous, des cyniques aux charitables, des bobos aux humanitaires
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Le fanatisme de l'Apocalypse

S'il concède de temps à autre que le péril n'est pas que fantasme et qu'existent des « problèmes réels » [...] Pascal Bruckner ne va pas jusqu'à prendre en compte lesdits problèmes pour nuancer un tant soit peu son propos. Préférant s'employer, au fil des pages, à revendiquer pour l'homme, et surtout pour lui-même, rien de moins au fond qu'un droit d'insoucieuse jouissance - avec un égoïsme presque infantile, aussi confondant qu'irresponsable, qui aime à se faire passer pour de l'hédonisme mais ne trompe personne.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Allez jouer ailleurs

ben alors là... je sais pas quoi dire! déjà je sais pas comment le classer, c'est du fantastique dans notre temps, de la science fiction 1970, il revisite notre histoire, je peux pas dire que ça soit mauvais, au contraire, c'est dérangeant, et puis au fond, ben...j'ai pas pu finir, ça m'a gonflé. Voilà!
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Le fanatisme de l'Apocalypse

Il y a beau temps que Pascal Bruckner ne craint plus de choquer. Et l’on peut dire très sûrement cette fois qu’il récidive. Frappant même un peu plus fort que de coutume, avec à première vue un léger zeste supplémentaire de subversion et de provocation, il prend le contrefil de l’écologisme ambiant, dénonçant comme une fascination fanatique pour la catastrophe finale, un goût morbide pour l’Apocalypse.
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Mon petit mari

Pas le meilleur de Bruckner !
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Le paradoxe amoureux

Un essai très inspirant sur la complexité d'un sentiment que l'on cherche tous à comprendre, sans pour autant y parvenir...
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Le paradoxe amoureux

Critique de Alexis Lacroix pour le Magazine Littéraire



Pascal Bruckner est un essayiste à paradoxe : tout en humant l'air du temps, il n'a pas son pareil pour en faire la critique cinglante. Une qualité qu'il a mise en oeuvre dès ses premiers essais, écrits en collaboration avec Alain Finkielkraut. En 1979, dans Le Nouveau Désordre amoureux, Bruckner s'associait au futur auteur de La Défaite de la pensée pour tirer un premier bilan, aussi désopilant que sévère, de la révolution sexuelle. Loin d'abonder dans le sens d'un (néo)conservatisme érotique, Bruckner et Finkielkraut doublaient la rhétorique de l'émancipation sur sa gauche. En expliquant que la jouissance, en devenant un impératif catégorique aussi comminatoire que la morale victorienne, avait sécrété sa propre orthodoxie, une sorte de bien-pensance de l'orgasme réussi. Trente ans plus tard, il revisite ces intuitions dans Le Paradoxe amoureux. Tout en actualisant et en élargissant son propos de 1979, il souligne surtout de façon rétrospective la pertinence de ses intuitions. Inventer l'amour, l'émanciper des tutelles religieuses et familiales, instaurer le mariage d'inclination, mettre un terme à l'asservissement des femmes, tel fut le grand projet des réformateurs depuis le Siècle des lumières. Or, si cette longue marche des sentiments a duré presque trois siècles, les conquêtes qu'elle a autorisées sont problématiques : comment l'amour, dont la vocation est de rattacher, peut-il se concilier avec la liberté, dont l'effet est de séparer ? Cette contradiction, selon l'auteur du Paradoxe amoureux, explique le caractère à la fois ardent et fragile des romances contemporaines. Elle les installe dans un tiraillement schizophrénique entre la croyance inentamée dans les beautés de la passion et de la fidélité, et le constat du caractère inaccessible de cet idéal dès lors qu'il met face à face deux individus qui ne veulent rien sacrifier de leur bonheur personnel. Pour résoudre ce déchirement, deux idéologies contemporaines se coalisent, dont aucune ne reçoit l'assentiment de Bruckner : la première, progressiste, très représentée dans le discours des féministes différentialistes et des « pro-queer », pousse jusqu'à son paroxysme la logique artificialiste qui, dans tous les domaines de l'existence, veut jeter par-dessus bord toute référence, non seulement au couple, mais à la notion de famille ; l'autre, conservatrice, rêve de restaurer le mariage à l'ancienne, un revival de familialisme aussi revanchard qu'irréaliste. Mais voilà : si l'auteur rejette les solutions radicales et s'il célèbre la « bonne nouvelle » de ce début de xxie siècle, c'est parce que la vérité « romanesque » de l'amour, pour parler comme René Girard, oppose sa longévité têtue aux discours qui prétendent la soigner. Cette persistance rétive à toutes les rationalisations permet de suggérer, dans cet essai au ton personnel, que la condition des hommes et des femmes a progressé, mais qu'il n'y a pas de progrès en amour.
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Les voleurs de beauté

Très bien, angoissant, palpitant, on ne peut plus le lâcher, et on s'attache au personnage de Benjamin.
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