Ce genre de livre m'est toujours difficile ou délicat à chroniquer. Pourquoi ? parce que il s'agit d'un premier roman, que l'auteur rédige une postface pour expliquer ses motivations, son entourage, les encouragements, son travail, etc...
et moi lectrice, j'arrive,... et mon avis n'accrochera pas les cinq étoiles. Alors, je pense : "ah ah c'est horrible, je suis une fille horrible, qui n'écrit pas et qui se permet de critiquer quelqu'un qui a fait l'effort d'écrire tout un livre et qui nous explique tous les efforts qu'il a fait pour ça et qui remercie des tas de gens qui l'ont soutenu dans ce dur labeur ?" Et là, je me dis, je suis une lectrice, Une, non accompagnée par toute une équipe et je lis et j'ai fait l'effort de lire, pourquoi celui-là ? alors que des tas d'autres m'attendent...
Donc j'ai lu A chacun son rêve, de Paul Ivoire.
Livre offert pour deux achetés... sinon, je ne serais jamais allé chercher l'objet.
Mais entre deux lectures âpres, qui sont les miennes habituellement, donc entre un Klaus Mann, un Andreï Siniavski, je me suis dit que cela me ferait du bien d'aller dans la légèreté.
Alors je n'ai pas été déçue du voyage. Légèreté dans l'écriture. Donc, ça s'est fait. Donc on écrit, pour sûr, c'est correct, c'est de la langue française, on va dire à la portée de tout le monde (encore que je m'interroge aujourd'hui... peut-être pas tout le monde).
L'histoire, elle est marrante, distrayante, complètement improbable mais c'est un roman donc une fiction....
Tout est invraisemblable, mais on est dans une fiction.
Les relations entre les personnages, leurs interactions sont totalement irréalistes, le paysan qui aujourd'hui déverse un tas de lisier chez son voisin car il est en conflit avec lui, ben non...
Et surtout on s'y perd dans ses personnages. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont aucune épaisseur psychologique, aucune apparence. Faire le portrait des personnages, les décrire précisément, les colorer, les faire vivre tout simplement, c'est le boulot, me semble-t-il de l'écrivain et pas du lecteur.... sinon le lecteur se met à la place de l'écrivain et là chamboule tout...
Alors à part ces petits détails, le roman complètement fictif, dégouline de bons sentiments. Et tant que quand il donne l'explication de la mort de la pauvre fille Marie, je n'ai ressenti aucune émotion. Ben oui, puisque les personnages ne vivent pas dans le livre.
Du coup, étant donné la post face qui m'oblige à être sympa avec l'auteur qui nous explique tellement qu'il a fait un effort, un acte d'amour en écrivant ce petit roman, et que je n'en pense pas moins que c'est un petit roman, pour des gens qui lisent gentiment des petits romans et que eux seront contents d'avoir rêvé (à chacun son rêve) quelques minutes. Conclusion, il en faut pour tout le monde.
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Coup de cœur pour ce roman offert par ma librairie ! J’ai découvert une écriture vive, enjouée et qui m’a donné le sourire tout du long. En effet, le héros réussi à se mettre à dos les deux familles qui s’opposaient au sein d’un village bourguignon. Leurs péripéties à la Clochemerle ne sont pas sans évoquer les aventures de Don Camillo et Peppone en leurs temps. J’ai beaucoup aimé la galerie de personnages au sein du village et l’enquête quasi policière menée par le héros maintient le suspense et le rythme tout au long du roman. Une très jolie découverte qui donne envie de découvrir d’autres titres de cet auteur.
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Cette histoire a l’apparence d’un conte doux amer où les moments amusants sont suivis de chapitres plus nostalgiques et tristes. L’histoire se lit sans déplaisir même si j’avais préféré le premier roman de l’auteur «A chacun son rêve » qui m'avait procuré un grand moment d'évasion.
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Dans cette histoire le personnage principal s' appelle Kimlan, c'est un jeune homme et c'est la rentrée pour lui. Les professeurs présentent l'école (qui est un château) aux nouveaux élèves. Dans cette école, il va avoir des cours de rêves, des cours d'imagination et aussi des cours de cauchemars. Mais les cours ne se passent pas toujours comme prévu. Une grande aventure l'attend…
Cette histoire est facile à lire et j'ai bien aimé les deux élèves, Styrène et Naldag, qui sont au début les pires ennemis de Kimlan. (Clara)
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Quand on est lecteur, on expérimente mille vies.
C'est bien connu.
On est de tous les sexes. On a tous les âges. On fait tous les métiers. On traverse toutes les époques et tous les continents, etc... La liste est longue.
C'est formidable, parce qu'avec tout ça, on n'est jamais épuisé.
Paul Ivoire, dans ce petit roman qui oscille entre la comédie et le mélodrame, m'a embarqué dans la peau d'un (une) incroyable personnage.
Le temps d'une lecture, j'ai été Marguerite. Une mamie casse-cou de quatre vingt ans.
Et quand je dis "casse-cou ", croyez-moi, ça secoue quand elle est au volant.
Il faut dire que cette brave dame est cascadeuse.
Oui. Je vous vois lever les bras au ciel. Incrédule.
Et pourtant.
Quand on vient la chercher pour le tournage d'un film, elle n'est pas en grande forme, mais bon. Un dernier challenge, un baroud d'honneur, ça ne se refuse pas.
Mamie cascade, c'est son histoire, mais c'est aussi des histoires d'amour, d'amitiés.
C'est des révélations, de l'action, de la passion, de la tendresse et un peu d'humour, évidemment.
Mamie cascade, c'est du rire et des larmes.
Elle est peut-être agaçante, mais elle est attachante.
Vous cherchez un petit bouquin pour vous détendre, vous sortir du marasme quotidien ?
Ça s'appelle Mamie cascade, c'est chez Le livre de poche (Editions Anne Carrière en grand format) et signé Paul Ivoire...
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Ce court roman d'une quarantaine de pages est idéal pour démarrer la lecture en solo. Le texte est accompagné de très jolies illustrations qui rendent la lecture moins impressionnante. L'histoire séduit par l'aventure magique qu'elle propose et les nombreux animaux qui la peuple.
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Bienvenue à l’école des rêves, une étrange école de magie dans laquelle les enfants apprennent à façonner rêves et cauchemars.
Kimlan y effectue sa première rentrée, et le moins qu’on puisse dire, c’est que tout n’est pas simple pour le jeune garçon ! Entre les cours d’Analyse de rêves pour lesquels il éprouve des difficultés, les moqueries de certains camarades, et l’étrange vampire qui rôde dans l’école… il stresse et a peur de rater ses examens de fin d’année.
De la magie, une école, des tournois… cela aurait pu beaucoup me plaire, mais je dois avouer être un peu passée à coté de ce roman. Il y a clairement une vibe Harry Potter, beaucoup de clins d’œil, mais… je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. J’ai trouvé intéressant que le héros ne soit pas le meilleur, qu’il ait des failles, qu’il soit différent, mais je ne sais pas pourquoi, je ne l’ai pas apprécié plus que ça.
Dans les points positifs, - car il y en a, n’exagérons pas ! - j’ai aimé les tournois, qui permettent à chaque joueur de faire preuve d’imagination en façonnant un rêve : un monstre, un objet…
Mention spéciale aux différentes références artistiques, qui ne manqueront pas d’interpeller les petits curieux et leur donneront envie d’en apprendre plus (ne serait-ce que sur le magnifique château de Chambord où se déroule l’action !)
En bref, une lecture sympathique, mais pas un coup de cœur pour ma part...
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Capucine lit un livre sur la nature quand elle voit soudain un arbre qui commence à en sortir... Intriguée, elle va se retrouver plongée dans l'histoire ! Un écureuil a en effet besoin de son aide : c'est l'automne, mais un grand hêtre refuse de perdre ses feuilles...
Un court roman co-écrit dans le cadre du feuilleton des Incos avec des élèves de CE1. Le texte est simple, tout à fait adapté à de jeunes lecteurs, et joliment illustré dans des couleurs très automnales. On y croise des animaux de la forêt, mais aussi des trolls, un arbre protecteur, et une Ptikili prête à aider les autres.
Une belle histoire, pour sensibiliser les enfants à la protection de la nature, à la tolérance et à l'écoute des autres.
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C'est clairement notre fiction jeunesse lue cette année que nous avons préférée mon fils et moi. Il y a une véritable intrigue avec une foison de personnages tous crédibles, des amitiés et hostilités qui vont évoluer dans un contexte de dérèglement climatique. Tout cela sans culpabiliser le lecteur et que nos pires ennemis ne sont pas forcément ceux qu'on crois. En plus c'est bien écrit et ça se lit facilement donc
Très bon livre avec les 2 suivants à partir de 9 ans
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Il est des livres qui n'ont, pour seule vocation, que d'apporter un plaisir éphémère. C'est le cas de celui-ci qui, telle une bonne brioche par exemple, se déguste avec gourmandise, en toute simplicité. Pour le dire autrement, ce feel-good roman n'a aucune autre prétention que celle de nous faire passer un bon moment. Et le défi est plutôt relevé : l'écriture est facile à lire, le ton avenant, l'histoire amusante et plutôt bien construite. Sans compter sur le final qui apporte son lot d'émotions.
Dans la rubrique des livres "détente", ce livre est agréable à lire ; raison pour laquelle je l'ai noté 3/5
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Sur un scénario totalement improbable, l'histoire est sympathique, avec ce qu'il faut de tendresse et de chaleur pour rendre la lecture agréable et sans niaiserie. Un roman sans chichi ni prétention, mais qui offre franchement un bon moment. Et pose une question vertigineuse : peut-on choisir de mourir, parce que l’on a assez vécu, quitte à abandonner ceux qui vous aiment ?
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Pour moi ce dernier tome est juste woaw !
Je n'aurais jamais pu imaginer une meilleure fin que celle-ci !
On est servis sur un plateau d'argent niveau émotions, actions, rebondissements, et pour moi ce tome dépasse largement les deux premiers qui pour moi étaient déjà exceptionnels !
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Kimlan et ses voisines entrent enfin à l'école des rêves : ils vivent dans un monde parallèle à celui des humains, pour lesquels ils créent rêves et cauchemars. Dans cette école, les jeunes adolescents doivent découvrir puis apprennent à maîtriser leurs pouvoirs.. Tournois d'imagination, monstres étranges, voyages à l'intérieur de tableaux célèbres... Mais d'étranges phénomènes perturbent la vie quotidienne...
J'ai d'abord eu peur de trouver une pâle copie de harry potter. Mais finalement ça se met bien en place, les personnages s'étoffent au fur à mesure et surtout l'air de rien on se cultive on découvre des tableaux, le château de Chambord, des artistes exetera
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Un roman feel good un peu acide, une écriture qui coule toute seule, des personnages bien campés, des secrets de famille recuits et une fin de conte de fée. Ce livre est parfait pour voir la vie en rose et s'offrir une ou deux soirées d'évasion. Et imaginer que peut-être tout est possible : on dit bien que la réalité dépasse la fiction!
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Un roman jeunesse adorable !
Les petits dessins et les illustrations sont très sympas et le livre se lit très vite.
J’avoue que j’avais un peu peur qu’on ai le droit à la même histoire dans les 2 prochains tomes mais avec des points de vue différents mais ça n’a pas du tout l’air d’être le cas.
J’ai vraiment hâte de lire le tome 2 pour connaître le fin mot de cette histoire, simple en apparence mais qui m’a l’air bien complexe comme je les aime.
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La rousse Capucine adore lire des histoires à ses peluches. Confortablement installée, elle ouvre un livre sur la forêt emprunté à la bibliothèque. Mais ne voilà-t-il pas qu'un arbre se met à pousser au creux de ce livre... Intriguée, effrayée, Capucine tente d'enrayer le phénomène et se retrouve projetée, minuscule, au sein même de ce livre et de ladite forêt ! Les animaux qui y vivent vont lui demander de l'aide puisqu'elle est une "Ptikili"... Aider l'arbre qui ne veut pas perdre ses feuilles, comprendre le problème et le résoudre avant que 3 abominables trolls ne l'arrachent. Tout finira bien, l'arbre acceptera de perdre ses feuilles et leurs habitants 😉... et Capucine retrouvera le monde réel, sa taille normale et ses peluches. Puisque tout ceci n'est qu'un rêve. Quoique...
Voilà le type même de l'histoire à lire à son enfant au moment du coucher, avant qu'il n'ait l'âge de la lire tout seul. Un joli petit album aux images colorées entre une apparente naïveté et un talent réel de l'image forte par ses couleurs et ses intentions. Animaux devenus fantastiques et imaginaire enfantin. le texte est simple, compréhensible par tous sans bêtifier, propre à aider l'adulte à "jouer" les personnages.
Un conte écologique et poétique, éducatif (on apprend des noms d'arbres, de papillons, on y parle de sève, de renard, de putois et d'écureuil). Un conte écrit par Paul Ivoire avec 8 classes de CE1 qui n'a aucun des défauts qu'on trouve parfois dans ce genre de collaboration avec des scolaires. Un conte universel...
J'y ai passé un excellent moment et j'ai très envie qu' une certaine Sarah découvre cette histoire. Son jardin est grand, la forêt au bout de la rue et les écureuils nombreux... alors...😊
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Ce roman m'a été offert par ma libraire. Je voulais une lecture feel-good, et j'ai été servi. Ce roman se lit tout seul, j'ai aimé le contexte gagner le gros lot grâce aux numéros portes bonheurs d'un autre. Et l'hommage que le millionnaire lui rends et tellement émouvant. J'ai beaucoup aimé les secrets du petit village et comment ils sont déterrer. Ainsi que la guerre entre deux familles qui dure sur plusieurs générations, qu'on se souvient même pas pourquoi ils sont en froids. Pour être claire si vous voulez passez un bon moment sans être dans le pathos, lisez ce roman.
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