Citations de Pierre Corneille (1037)
En un mot il vous faut la perdre, ou l'épouser.
« À vaincre sans péril , on triomphe sans gloire. »
J'aime de ce courroux les principes cachés : je ne vous déplais pas, puisque vous vous fâchez.
Il aura cru sans doute, ou je suis fort trompée, que les filles de coeur aiment les gens d'épée ; et vous prenant pour telle, il a jugé soudain qu'une plume au chapeau vous plaît mieux qu'à la main.
Ainsi donc, pour vous plaire, il a voulu paroître, non pas pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il veut être, et s'est osé promettre un traitement plus doux dans la condition qu'il veut prendre pour vous.
Prenons parti, mon âme, en de telles disgrâces
Soyons femme d'Horace, ou soeur des Curiaces,
Cessons de partager nos inutiles soins,
Souhaitons quelques chose, et craignons un peu moins.
Impatients desirs d'une illustre vengeance dont la mort de mon père a formé la naissance, enfants impétueux de mon ressentiment, que ma douleur séduite embrasse aveuglément, vous prenez sur mon âme un trop puissant empire : durant quelques moments souffrez que je respire, et que je considère, en l'état où je suis, et ce que je hasarde, et ce que je poursuis.
Je vien du Congo comme mon papa pedro
Franchement pu ça mere la vie même mon père Pedro ntongo a pas kiffer cordialement les noirs de la cité
Pas de bras pas de chocolat
sévère: Et ce n’est pas un mal que je veuille guérir; Je ne veux que la voir, soupirer, et mourir.
L’amour est un tyran qui n’épargne personne.
Et monté sur le faite, il aspire à descendre ;
Pareille à ces éclairs qui dans le fort des ombres
Poussent un jour qui fuit, et rend les nuits plus sombres,
Tu n’as frappé mes yeux d’un moment de clarté,
Que pour les abîmer dans plus d’obscurité.
Ce coeur impitoyable à ma perte s’obstine,
Et dit qu’il m’aime encore, alors qu’il m’assassine.
Il n’y faut plus penser, en l’état où je suis
Vous aimer sans espoir c’est tout ce que je puis.
J’ai honte de montrer tant de mélancolie,
Et mon cœur, accablé de mille déplaisirs,
Cherche la solitude à cacher ses soupirs.
Je me procure un mal pour en éviter mille.
Vois-tu, jaime Alidor, et cela c'est tout dire;
Le reste des mortels pourrait m'offrir des vœux,
Je suis aveugle, sourde, insensible pour eux,
La pitié de leurs maux ne peut toucher mon âme,
Que par des sentiments dérobés à ma flamme,
On ne doit point avoir des Amants par quartier,
Alidor a mon coeur et l'aura tout entier,
En aimer deux c'est être à tous deux infidèle.
Et le désir s'accroît quand l'effet se recule.