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4.08/5 (sur 156 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Diplômée à l'Université du Texas à Austin, R.S. (Rachel) Grey est auteure de romance.

son site : http://rsgrey.com/
Twitter : https://twitter.com/authorrsgrey
pages Facebook :
https://www.facebook.com/Author-RS-Grey-167668293429638/
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- Alors, qu'est-ce que tu vas faire ?
- Lui faire pleurer des larmes de regret.
- Voilà qui est tout à fait sain.
- Personne n'a dit que j'étais saine.
- Oui, on le sait tous. Les femmes saines d'esprit ne font pas semblant d'avoir de faux petits amis.
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« – Franchement ? Sérieusement ? Qui se promène vêtu comme ça ? commentai-je en reposant la pizza dans le carton avant de me cacher les yeux.
Il éclata de rire et j’écartai légèrement les doigts. Pas très subtil, je le reconnais. Il y avait tellement de choses à regarder. Ses épaules étaient incroyablement larges et je sentais d’ici l’odeur boisée de son gel douche.
– Il y a des gens qui essayent de manger, tu sais…
Il rit de nouveau en secouant la tête.
– Qu’est-ce que tu fais, Abby ? demanda-t-il en tendant la main vers son sac tout en tenant sa serviette de l’autre.
Oh mon dieu, faites qu’elle tombe, je vous en supplie. Non, attendez. Je ne suis pas en train de le mater, je déguste ma pizza.
– Abby ? insista Beck en me regardant par dessus son épaule.
– Je protège ma sensibilité féminine. Je te retourne la question.
– J’essaie de briser ta coquille.
– Eh bien tu as gagné, répondis-je en laissant retomber mes mains pour attraper ma part de pizza.
Garder les yeux rivés sur cette savoureuse pizza était un véritable tour de force.
Ses vêtements à la main, Beck retourna dans la salle de bains. Je pensais être tirée d’affaire mais, à la dernière seconde, il leva les yeux vers moi et lança sa serviette. Cette dernière atterrit au pied du lit avec un petit bruit sourd.
– BECK ! hurlai-je en apercevant son postérieur bien roulé. »
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-J’ai rencontré quelqu’un.

Silence. Un silence qui s’éternisa. J’écartai le téléphone de mon oreille et jetai un coup d’oeil sur l’écran pour voir si elle n’avais pas raccroché.

-Georgie ?

-Qu’est-ce que tu veux dire par « j’ai rencontré quelqu’un » ?

Son charme habituel avait disparu, remplacé par un ton sérieux que je n’aimais pas trop.

-Ce n’est rien, affirmai-je, essayant de faire machine arrière.

Peut-être que ça avait été une erreur de lui en parler.

-Eh bien, pour moi, « rien » veut dire « une fille », Freddie, et tu n’as pas fait mention une seule fois de ce genre de choses en quatre ans. Quatre ans. Et tu penses que je vais laisser passer ça sans réagir ?

Mon estomac se contracta.

-Oublie ce que j’ai dit.

Mais Georgie ne voulait rien savoir.

-Crache le morceau, Freddie. Qui est-ce ?

Je regardai le plafond un instant, en réalité plutôt content de pouvoir évoquer Andie. Quel mal y avait-il à parler d’elle à Georgie ?

-C’est une Américaine.

-Est-ce que son nom de famille est Kardashian ?

-Non, elle s’appelle Andie. C’est une footballeuse. Tu l’apprécierais, Georgie. Elle a une sorte de rayonnement naturel et elle est vraiment talentueuse.

-Bon Dieu, Freddie, on croirait entendre parler une écolière énamourée !

Je souris.

-C’est toi qui voulait savoir Georgie.

-Et t’es déjà amoureux ? demanda-t-elle en riant.

Mon sourire se fissura et, soudainement ce n’était plus du tout amusant de parler d’Andie. Le silence était de retour, plus lourd que précédemment. Aucun de nous deux n’allait exprimer ce qui flottait dans l’air, parce que nous n’en avions pas besoin. L’évocation implicite de Caroline parlait suffisamment pour elle-même.

Finalement, ma sœur se mit à rire.

-Ça alors ! Ce n’est vraiment pas de chance.

Je suis contente que l’un de nous deux puisse plaisanter à ce sujet.

-Oui, bon… Ce n’est rien, vraiment.
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On m'avait donné ce cœur et, à chaque battement, je ressentais ce pincement de culpabilité, cette petite voix qui me disait que je ne l'utilisais pas comme d'autres personnes, bien meilleures, l'auraient fait.
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En le regardant s’éloigner, je découvre alors à quel point l’amour peut être fragile. Il n’y a vraiment aucun moyen de le protéger, aucun moyen de le garder dans du papier bulle et de le mettre en sécurité.
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Je n'ai pas de problème avec la gentillesse, j'ai un problème avec les gens qui font semblant d'être gentils.
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Chapitre 1 : Erik :
"- Pourquoi es-tu là si tôt ? demandai-je d’un ton bourru, sans m’embarrasser des salutations d’usage.
Elle haussa un sourcil, parcourant brièvement mon torse nu des yeux avant de détourner le regard. Je me fichais de faire sa connaissance sans T-shirt. Elle s’était pointée en avance et sans prévenir, et j’étais en manque de caféine et énervé après avoir lu les commentaires de mon père, sans parler du fait qu’il y avait une Miss Anniversaire à moitié nue chez moi. Voir une gymnaste arriver en avance avec un sourire suffisant plaqué sur le visage, c’était la dernière des choses dont j’avais besoin.
- C’est comme ça que vous accueillez toutes les filles ? Torse nu et de manière aussi impolie ? Parce qu’à ma montre, je suis juste à l’heure, dit-elle en regardant à son poignet.
- Soit ta montre a cinq heures d’avance, soit tu es incapable de lire l’heure.
Elle fronça les sourcils.
- Vous n’avez pas eu mon mail ?
- Je n’ai rien reçu de ta part.
- Je vous l’ai envoyé il y a deux semaines, protesta-t-elle en sortant son téléphone de sa poche de derrière et en avançant vers moi. Vous voyez ?
Je baissai les yeux sur l’écran où se trouvait le mail. Il ne me fallut qu’une seconde pour voir son erreur.
- Tu t’es trompé en tapant mon nom dans l’adresse mail.
- Quoi ? Je l’ai copié directement du document que l’USGA a envoyé.
Elle semblait vraiment bouleversée par sa bévue, mais je ramassai la tasse de café sur le perron et me tournai vers la porte.
- Tu peux attendre dehors jusqu’à ce que le reste de l’équipe arrive.
- Quoi ? Vous vous moquez de moi ? Elles n’arriveront pas avant des heures.

Ses paroles me prirent au dépourvu. Avec ses traits fins et sa carrure délicate, j’aurais pensé qu’elle était tout aussi douce, mais son ton assuré prouvait le contraire.
Je fermai la porte grillagée assez brusquement pour qu’elle claque contre l’encadrement. Elle me hurlait dessus, mais je secouai la tête et continuai à entrer sans elle. Ma gueule de bois était trop puissante pour supporter ça."
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Personne ne se dispute pour quelque chose qui n’a pas d’importance, les gens se contentent de partir.
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Je vivais pour tous ceux qui m’entouraient. Caroline, Colby, mes parents. J’étais terrorisée à l’idée de prendre de mauvaises décisions. Il m’était impossible d’ignorer les questions qui tourbillonnaient dans mon esprit. Certaines vies sont-elles plus précieuses que d’autres ? Le monde avait-il plus perdu de la mort de Colby qu’il n’avait gagné de ma vie ? Peut-on mesurer la valeur d’une personne à l’impact qu’elle a sur le monde qui l’entoure ? Dans la mort, combien d’amis laissons-nous derrière nous ? Un an plus tôt, je pensais connaître la réponse à ces questions. Mais aujourd’hui, je prenais conscience que personne n’est en mesure d’évaluer la valeur d’une vie humaine. Nous n’étions pas censés avoir toutes les réponses.

Je ne pouvais plus vivre uniquement pour Colby ou Caroline. On m’avait donné un cœur. On m’avait offert la vie, ce cadeau magnifique dont rares sont les élus, et c’était à moi, et à moi seule, de décider comment je voulais l’utiliser. Et pas en fonction de ce que d’autres jugeraient noble. J’avais fini par me débarrasser de la peur et de l’angoisse et la vie m’était alors apparue dans toute sa clarté. Je voulais écrire. Je voulais inventer des histoires comme celles de mon journal. Je voulais être avec Beck et me réveiller tous les matins en appréciant la sensation de mon cœur battant sous ma cicatrice.
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« Bon sang » n’était pas suffisant pour décrire ce que l’on voyait. « Bon sang » était une expression pour les manants sans distinction. C’était lui, Freddie ? Le voir était plus proche de déclencher un « Dieu du ciel », accompagné d’un « Il me faut une nouvelle culotte, s’il vous plaît » ajouté un ton plus bas. Son visage était si séduisant qu’il fallut que je cligne des yeux trois fois avant de me laisser croire que j’étais bien face à un être humain.
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