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Critiques de Rabih Alameddine (198)
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Être un homme

Être un homme est un beau projet éditorial, des dizaines d'auteurs partagent un court texte sur le sujet “être un homme”. C'est très sympa de découvrir la plume de certains auteurs à travers de ce genre d'exercices d'écriture. Et j'ai aussi aimé lire les textes des auteurs que j'aime bien. Mais cela reste une lecture que j'oublierais assez vite car des textes de deux ou trois pages n'ont pas assez de profondeur pour me marquer.

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Les vies de papier

Ce chef d'oeuvre me hante depuis que je l'ai fini.

La poésie de cette accumulation de livres, l'indépendance de cette recluse des livres, cette vie pleine de littérature.

Et Beyrouth en guerre, vécues par les femmes aux quotidiens incertains, partageant leurs inquiétudes et leurs petits riens.

Cette ode à la littérature et aux femmes, e veux la partager, je veux la vivre.
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La réfugiée

La réfugiée est un roman fort et très dense. La narratrice est une femme transgenre d'origine libanaise qui a quitté le pays pour se construire en Amérique. Dans le début du récit elle rejoint son amie Emma, à Lesbos, afin d'aider les réfugiés venu de l'autre côté de la mer. Ainsi comme l'auteur l'écrit, qui mieux qu'une personne transgenre d'origine libanaise pour venir aider des réfugiés Syriens sur l'île de Lesbos !



Le roman est un voyage continuel dans les souvenirs de Mina, entre Chicago : la ville où vit sa femme Francine, Lesbos : où Mina est présentement, et le Liban : pays de son enfance. Mais l'histoire de Mina n'est qu'un prétexte pour nous parler des réfugiés. Ainsi l'entreprise énoncée par la narratrice est de faire partager l'histoire de ces réfugiés pour que le lecteur se sente concerné.

En effet en parallèle du parcours individuelle de Mina, nous suivons l'histoire d'une famille de réfugiés syriens dont la mère est gravement malade. Cette histoire singulière complète d'autres récit de réfugiés, de personnes homosexuelles, transgenres... rendant ce roman très dense avec toutes ces anecdotes et ces vies racontées.



C'est un roman d'actualité, qui donne un visage à ces réfugiés ayant payé des sommes astronomiques pour traverser la mer et n'ayant pourtant pas atteint les côtes européennes. On s'éloigne d'un énième sujet politique débattu à la télé, pour poser un regard compatissant et humain sur ces réfugiés. D'autant plus que la note d'humour et le côté décalé de la narratrice permettent de diversifier le ton du roman.

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La réfugiée

C'est un roman fort, tissé de vies réelles et intégrées dans une trame romanesque.

Mina, transgenre, ayant subit le rejet de sa famille, vient à Lesbos, pour aider les réfugiés syriens, ayant tout perdu.

C'est dur, triste, émouvant, et en même temps, empli d'espoir, car Mina, ayant renoué avec son frère, apporte son dynamisme aux réfugiés.

C'est une histoire dense, complexe, mais qui doit être lue, par les sujets soulevés : la tolérance, l'identité de genre, l'exil et ses conséquences.
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Les vies de papier

"je me suis enfuie en littérature." Une phrase qui résume le livre. Le portrait attachant d'une femme de soixante-douze ans, ex-libraire et traductrice, rebelle à sa manière. Le plaisir de retrouver des citations de livres aimés et une fin dynamique inattendue, "une épiphanie".

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Les vies de papier

On y suit les réflexions d’une femme libanaise de 72 ans qui ne vit qu’à travers la littérature, des livres qu’elle a lu ou ceux qu’elle a traduit.

On découvre progressivement l’histoire de sa vie, le refus des carcans traditionnels et l’espace de liberté qu’elle trouve dans son refuge de papier.

Tellement bien écrit qu’on croit cette femme vivante et ce livre autobiographique.

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Les vies de papier

un cheminement tranquille avec des rencontres littéraires magiques, avec en toile de fond le drame libanais. Et quelle surprise pour moi de voir que ce beau portrait de femme est écrit par un homme. Merci Monsieur
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Les vies de papier

La construction labyrinthique du roman, censée imiter les méandres des pensées d'Aaliyah, rend la lecture laborieuse et hachée, sautant sans cesse d'un point à un autre, sans véritable logique. Je n'ai pas su pénétrer dans le monde réel ou littéraire de l'héroïne, malgré le portrait intime qu'elle nous livre de Beyrouth et les jeux en miroir que nous offre les citations plus ou moins cachées.
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Les vies de papier

Portrait d'une ancienne libraire, traductrice, le livre est une promenade dans Beyrouth, d'avant et d'après, et un voyage dans les souvenirs de jeunesse de la narratrice.

Vibrant hommage aux livres, il comporte un suspense latent.

Intéressant de le relire en sachant l'auteur peintre, pour y relever l'importance des couleurs, de la vision.

Sensibilité toute féminine de l'homme auteur dans ce beau portrait de femme, non conventionnelle. Je me réjouis d'avance de lire son autre roman, de conteur né.
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L'ange de l'histoire

Très difficile de faire la critique de ce livre. Difficile car il s'agit d'un livre de grande qualité, original, très bien écrit, qui ne mérite pas une note de 2.5.

Et pourtant, je n'ai pas du tout accroché. Plusieurs fois j' ai failli abandonner, je me suis contentée de sauter quelques chapitres, j'ai tenu bon malgré tout, par respect pour le travail de l'auteur. Hormis quelques passages que j'ai appréciés, je suis passée complètement à côté.

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L'ange de l'histoire

Je publie rarement des critiques mais je prends la plume cette fois ci pour défendre ce titre. C'est le second ouvrage que je lis de cet auteur. J'avais adoré le premier Des vies de papier, sorti aux Escales et chaque grand lecteur sait combien parfois nous sommes déçus par un second roman lorsque le premier nous a plu.

Mais celui ci, quoique très différent du précédent, n'a rien a lui envier.

C'est un condensé de culture, de finesse, de drôlerie, d'intelligence.

Il est vrai que l'approche est pour le moins original mais c'est ce qui fait la saveur de l'ouvrage.

Je le recommande chaudement à ceux qui ont aimé le précédent, ceux qui veulent découvrir un nouvel univers, ceux qui sont toujours curieux d'apprendre, ceux qui veulent vivre intensément un roman.
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Les vies de papier

Livre original et attachant. Un bel aperçu de la vie au Liban.
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Les vies de papier

Beaucoup aimé ce livre, riche, dense, et teinté d'un humour désabusé. le personnage d'Aaliya est très amoureux de la littérature et revendique son mode de vie solitaire mais pas totalement coupé du monde, contrarié par ses relations de voisinage et familiales ou par les conséquences de l'âge qui se font sentir...
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Être un homme

Tout d'abord, la première raison qui m'a poussée à acheter ce livre c'est Colum McCann ....évident....Ensuite, le pitch m'a un peu intriguée, et en feuilletant les pages, un nom d'auteur m'a décidée: Salman Rushdie.... quelle association!!!!allez hop, dans le sac. Avec le temps, j'ai eu peur d'une chose, que le côté positif de cette lecture se transforme en source supplémentaire de frustration. En effet, avec une liste aussi impressionnante d'auteurs, il y avait de grandes chances que je découvre de nouveaux talents, et cela va avec l'habituelle chasse aux livres...mais bon, on a l'habitude maintenant. Etre un homme et un recueil dans lequel 75 auteurs donnent leurs versions très personnelles de l'humain, à travers des histoires, souvent très courtes (quelques lignes).On y parle d'amour, de maladie, de deuil, de souvenirs d'enfance, de familles, de parents, de sexe, de travail, d'amitié, d'histoire, .....de tout. Les textes sont courts, au plus trois pages, et les plus courts pourraient être assimilés à un récit que l'on surprend dans le bus par exemple, entre deux passagers inconnus, une sorte d'irruption éphémère dans la vie des autres: on arrive au milieu de l'histoire, sans le début, et on ne connaîtra jamais la fin, mais ce n'est pas grave, par ce que c'est le ton qui compte, tellement humain et universel. Certains textes semblent se diriger vers le conventionnel, le trop plein de bons sentiments, bien en adéquation avec le thème, et puis voilà qu'au bout de deux ou trois phrases, on tombe sur ça: "Et de fait, à l'instant où j'écris ces mots, je suis assis sur les toilettes. Un journal par terre, mon ordinateur portable sur un genou et un gros bol rempli de Cap'nCrunch sur l'autre. La condition masculine, c'est une affaire d'équilibre les gars. D'équilibre." De l'humour donc, comme dans la nouvelle de Ben Fontain, au sujet d'un certain D.Wintermute ( :) ) qui, une nuit d'orage à New York, est harnaché de cordes et de sangles à l'intérieur de la Statue de la liberté, à la recherche de la cause de "ses éruptions qui depuis peu ont fleuri la "peau" de la Dame, à un endroit si délicat que l'Amérique est devenue la risée du monde entier." Autre "avantage de ce recueil, c'est qu'il m'a un peu rassurée sur certains auteurs dont je possédais quelques titres dans ma PAL et que je n'avais pas encore osé lire de peur d'être déçue, comme Chimamanda Ngozi Adichi ou Micheal Cunningham. Chaque auteur répond plus ou moins directement et de façon personnelle à l'initiative de ce groupe, à savoir se mettre à la place de l'autre pour mieux comprendre l'humain et traiter les affaires humaines avec le plus de justice et d'empathie. Voici la copie de Andrew Sean Greer:" Il y a plusieurs manières de devenir un homme. Notre attention se portera aujourd'hui sur la plus simple. Prenez un homme dans son envirronnement naturel, un endroit où il est à l'aise. Un pub ou un bureau sont tout indiqués, car les vrais homme excellent lorsqu'ils se sentent puissants ou détendus, et vous avez le choix entre divers spécimens. Sélectionnez en un de deux tailles audessus de la vôtre. C'est important. Pour l'endormir définitivement, le plus simple est encore de l'emmener dans une chambre d'hôtel, après quelques cocktails, mais vous pourrez trouver commode d'agir chez vous, dans votre salle de bain. Vous veillerez à ce qu’il meure avec le sourire. Vous veillerez également à garder intacts ses organes génitaux. Vous commencerez par là, c'est plus facile, et remonterez doucement mais résolument jusqu'au menton en pratiquant une ouverture avec vos doigts. Imaginez une ligne au centre de la chemise bleu foncé qu'il boutonne chaque matin devant le miroir, à moitié endormi; plus tard, une cravate rayée permettra de cacher d'éventuelles imperfections. En partant du sternum, tracez deux traits jusqu'à la paume de la main. Pour la partie inférieure, suivez ce que vous supposez être la couture intérieure de son pantalon, celui du costume de son premier mariage qu'il garde peut être pendu dans l'armoire. Appliquez un traitement identique aux mains et aux pieds en dessinant un point d'interrogation dans leur intérieur charnu. Il ne vous reste plus qu'à retirer délicatement la peau. Pour la tête, faites vous aider d'un professionnel. Une fois l'opération terminée, vous pourrez laisser travailler une couturière ou, si vous préférez, recoudre vous même les bras et les jambes. N'hésitez pas à poser une fermeture-éclaire invisible, si ça vous chante! Répétons le, il est préférable que votre sujet ait eu une expression plaisante au moment de mourir, un sourire que vous aurez fait naître avec un compliment ou une caresse sur son corps nu près de vous. Un air rêveur à l'idée des changements que vous allez apportez dans sa vie. Quelle chance il a, oui, quelle chance. La vision fugitive d'un futur rempli de bienveillance. Débarrassé de ses luttes, de ce père auquel il n'aime pas penser, de ses espoirs qu'il avait ,enfant, d'être riche, reconnu, généreux et majestueux quand il serait grand. Que tout celà lui parait étrange, désormais. Ce genre de sourire. Parvenu à cette étape, s'enduire de crème pour bébé peut être utile. Maintenant- et en douceur, il le mérite bien après tout- déshabillez vous et glissez vous à l'intérieur." :) :) . En fait, ce recueil est une soirée entre 75 adultes. La plupart vous sont inconnus, d'autres un peu moins, et certains sont des amis. De petits groupes se forment, forcément, et discutent entre eux. Vous? L'écho de leurs histoires arrive à vos oreilles et vous passez un excellent moment. Mention spéciale à Edna O'Brian, Mohsin Hamid, Kurt Anderson et John Berger.
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Les vies de papier

un coup de foudre ! une merveille ! je ne l'ai pas encore fini et j'ai déjà envie de lire tout ce qu'il a écrit.
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Les vies de papier

J'ai été un peu déçue par ce livre. Cela parle essentiellement des souvenirs d'une vieille dame dans un pays en guerre et ses liens assez distendus avec une librairie qu'elle a tenue un moment. Certes, elle nous parle aussi de ses traductions que personne ne lit... Bref pas de quoi en faire un roman.
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Les vies de papier

Un livre en forme d'ode à la lecture autour d'une femme en retrait de sa vie. Dévorée par les livres et ses traductions son refuge est aussi une prison dans un pays en guerre et en pleine mutation. Une lecture reposante et très agréable.
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Les vies de papier

C’est l’histoire d’une Libanaise de 72 ans, Aaliya Saleh, très atypique par rapport aux autres femmes de son pays et de sa génération. Mal mariée à 16 ans, puis répudiée au bout de quatre ans, sans enfants, elle a décidé de braver sa famille et les conventions de la société beyrouthine en menant sa vie de façon indépendante, seule au milieu des livres. Pendant cinquante eux, elle n’a vécu que pour eux. Libraire le jour, traductrice (en cachette !) le reste du temps, elle est entrée en communion avec ses auteurs préférés, connaissant tout de leur vie comme de leur oeuvre. Mais la réapparition brutale de sa mère dans son quotidien bien rodé va rouvrir ses souvenirs et raviver des plaies : celles d’une petite fille mal aimée et d’une femme humiliée mais courageuse, qui a dû affronter seule les conditions d’une vie précaire dans un pays perpétuellement en guerre.



Drôle de personnalité que celle d’Aaliya : à la fois attachante et peu avenante, solitaire et en quête d’amour, sensible et mordante (notamment lorsqu’elle parle de son ex-mari, « l’insecte impuissant » !), c’est un personnage de femme en pleine crise existentielle très original. Narratrice du roman, elle nous entraîne dans sa tête, dans son coeur et dans ses pas à travers les rues chargées d’histoire du Beyrouth passé et présent. Un peu gênée par son côté obsessionnel et misanthrope, j’ai été émue par son ode à l’amitié pour Hannah et ses sentiments pour Amahd, les seuls êtres qu’elle a aimés. J’ai été touchée par sa relation avec sa mère, miroir tragique des tourments physiques et psychologiques de la fin de vie ; la scène où elle lui lave les pieds est à mes yeux une scène d’anthologie, aussi belle que terrible. J’ai également aimé la façon dont, au bout de cinquante ans !, elle se laisse enfin apprivoiser par ses voisines, « les trois sorcières », bien décidées à forcer la porte de son appartement et de sa vie. Il était temps ! Il est incroyable que Rabih Alameddine, l’auteur d’un portrait de femme aussi complexe, soit… un homme : belle prouesse d’avoir su à ce point rentrer dans la peau et l’âme d’un personnage féminin.



Ce roman est par ailleurs fascinant d’érudition. Emaillé de citations d’auteurs du monde entier – Tolstoï, Kafka, Yourcenar, Coetzee, et d’autres que je ne connaissais pas toujours -, le récit d’Aaliya danse avec les mots et les grands oeuvres littéraires. Elle évoque le destin de tel ou tel écrivain comme s’il s’agissait d’un ami ou d’un parent proche. Elle passe sa vie à les traduire, pour personne d’autre qu’elle-même, ce qui ouvre un débat sur les enjeux de la traduction. Et non contente d’être passionnée de littérature, elle est férue de musique classique, de Chopin en particulier. Sa vie, ce sont donc ses « vies de papier », comme elle l’explique en préambule : « Je me suis depuis bien longtemps abandonnée au plaisir aveugle de l’écrit. La littérature est mon bac à sable. J’y joue, j’y construis mes forts et mes châteaux, j’y passe un temps merveilleux. C’est le monde à l’extérieur de mon bac à sable qui me pose problème.Je me suis adaptée avec docilité, quoique de manière non conventionnelle, au monde visible, afin de pouvoir me retirer sans grands désagréments dans mon monde intérieur de livres. Pour filer cette métamorphose sableuse, si la littérature est mon bac à sable, alors le monde réel est mon sablier- un sablier qui s’écoule grain par grain. La littérature m’apporte la vie, et la vie me tue. » (p. 15)



Enfin, à travers son héroïne, l’auteur nous révèle la beauté et l’horreur de Beyrouth. Il nous en apprend beaucoup sur l’histoire de ce petit pays traversé par les guerres et les conflits fratricides, et la façon dont la population souffre, résiste et survit envers et contre tout. Il nous immerge aussi dans les méandres de la société libanaise traditionnelle des années 60-70, si dure envers les femmes, qui devaient s’effacer au profit des hommes et n’avaient souvent d’autre choix que de se marier jeunes et sans amour. À travers le personnage de Nancy, la petite-nièce d’Alaya, il nous montre la façon dont les jeunes filles beyrouthines d’aujourd’hui sont beaucoup plus libres et occidentalisées.



Un beau roman donc, dense, intéressant et qui ne laisse pas indifférent. Mais un roman que je ne conseillerais pas à n’importe qui, il faut être un lecteur averti pour l’apprécier ! Idéal pour les amoureux de littérature et les amateurs de portraits psychologiques sur fond d’Histoire, un peu difficile d’approche pour les autres, d’autant plus que la construction du roman est un peu confuse, car elle épouse le fil des pensées et souvenirs d’Aaliya.
Lien : https://atoutplume.wordpress..
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Les vies de papier

Aaliya, 72 ans, vit à Beyrouth dans un immeuble où elle entourée de trois voisines et de ses cartons de traductions. Elle fait de sa solitude, un rempart et un refuge et parle de ses souvenirs, de son passé entre la guerre, la famille, son mari comme dans un livre ouvert. De ses souvenirs aussi de libraire, Aaliya a conservé une certaine philosophie.

C'est un beau rendez-vous, doux, reposant, plein de sagesse.
Lien : https://www.facebook.com/pas..
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Les vies de papier

Trouver, sur une quatrième de couverture, les noms de Pessoa et Bolaño. Être immédiatement touché par ces deux magnifiques références littéraires. Se dire que ce livre – Les vies de papier de Rabih Alameddine, aux éditions Les Escales – nous est destiné. Qu’il est un clin d’oeil à notre passé de lecteur...



[Lire la suite sur Livresse des Mots]
Lien : http://www.livressedesmots.c..
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