Critiques de Rafael Albuquerque (114)
Après avoir laissé de côté l'intrigue dans le sixième volume, Scott Snyder et Rafael Albuquerque reviennent pour nous présenter ce "marchand gris".
Nous retrouvons tout d'abord Pearl Jones, qui est au plus mal et tente d'aider de jeunes vampires. Seulement, le fameux marchand gris arrive, mettant cet équilibre fragile en péril... Il s'agit de la plus vieille espèce qui existe, et elle est très puissante et dangereuse...
Les amateur·rice·s de gore sont servi·e·s dans cet opus (comme la plupart du temps avec cette saga, d'ailleurs), puisque Rafael Albuquerque nous offre un panel large de scènes qui me feront peut-être faire des cauchemars...
J'ai trouvé ce comics intéressant et bien construit, notamment avec les notes de journal à la fin qui permettent d'avoir un regard différent et d'en apprendre plus sur le marchand gris. Ce qui me surprend, c'est qu'il ne reste visiblement plus qu'un tome avant la fin... que j'ai par ailleurs hâte de découvrir !
Lien : http://anais-lemillefeuilles..
Nous retrouvons tout d'abord Pearl Jones, qui est au plus mal et tente d'aider de jeunes vampires. Seulement, le fameux marchand gris arrive, mettant cet équilibre fragile en péril... Il s'agit de la plus vieille espèce qui existe, et elle est très puissante et dangereuse...
Les amateur·rice·s de gore sont servi·e·s dans cet opus (comme la plupart du temps avec cette saga, d'ailleurs), puisque Rafael Albuquerque nous offre un panel large de scènes qui me feront peut-être faire des cauchemars...
J'ai trouvé ce comics intéressant et bien construit, notamment avec les notes de journal à la fin qui permettent d'avoir un regard différent et d'en apprendre plus sur le marchand gris. Ce qui me surprend, c'est qu'il ne reste visiblement plus qu'un tome avant la fin... que j'ai par ailleurs hâte de découvrir !
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Les pages de Rafael Albuquerque sont toujours aussi incroyables. Assisté là aussi par un Dave McCaig inspiré, il nous plonge dans cette atmosphère glauque, où divers vampires s'affrontent.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Une fois de plus, j'écris une chronique près de quatre mois après la lecture... Autant vous dire que celle-ci ne sera malheureusement pas très complète, d'autant plus que ce comics ne m'a pas particulièrement marquée.
J'ai commencé la saga il y a plusieurs années, et c'est avec plaisir que je la termine. J'ai bien aimé les différents scénarios et la manière dont les vampires étaient représenté·e·s tout au long des tomes, le tout en s'intégrant bien souvent dans différents lieux et différentes époques, ce qui rendait l'histoire plus complexe mais également plus intéressante.
Seulement, ce dernier volume, où nous retrouvons Pearl et Skinner en 1965, durant la Guerre Froide. Cette thématique avec le Marchand Gris, qui semble plus féroce et dangereux que les vampires, ne m'a pas particulièrement plu, et ce final est donc une petite déception.
Malgré tout, je ne peux que je vous encourager à vous lancer dans la lecture de cette série si vous en avez l'occasion !
J'ai commencé la saga il y a plusieurs années, et c'est avec plaisir que je la termine. J'ai bien aimé les différents scénarios et la manière dont les vampires étaient représenté·e·s tout au long des tomes, le tout en s'intégrant bien souvent dans différents lieux et différentes époques, ce qui rendait l'histoire plus complexe mais également plus intéressante.
Seulement, ce dernier volume, où nous retrouvons Pearl et Skinner en 1965, durant la Guerre Froide. Cette thématique avec le Marchand Gris, qui semble plus féroce et dangereux que les vampires, ne m'a pas particulièrement plu, et ce final est donc une petite déception.
Malgré tout, je ne peux que je vous encourager à vous lancer dans la lecture de cette série si vous en avez l'occasion !
Un trait agressif, un scénario brutal, une dynamique constante... qui font d'American Vampire un incontournable du genre.
Lien : http://www.actuabd.com/Ameri..
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Ce huitième volet qui reprend les épisodes #6 à #11 de la saga US propose donc la suite du second cycle d’American Vampire.
Si le tome précédent faisait apparaître une nouvelle menace particulièrement inquiétante, obligeant Pearl Jones à sortir des crocs qu’elle avait pourtant si soigneusement rangés en vue d’une retraite pépère dans un bled perdu, celui-ci nous en apprend un peu plus sur le véritable Mal qui se cache derrière le Marchand Gris et oblige même les Vassaux de Vénus, emmenés par Felicia Book, à s’associer à Skinner Sweet et à ses deux nouveaux compères : Pearl Jones et Calvin Poole.
Scott Snyder continue également d’ancrer sa série vampirique dans l’histoire des Etats-Unis. L’action se déroule en effet en 1965, en pleine Guerre Froide opposant les États-Unis à l’URSS. C’est donc une époque particulièrement turbulente pour les américains, notamment marquée par une course effrénée à la conquête de l’espace entre les deux nations, mais également pour les vampires américains. La couverture de ce huitième volet dévoile d’ailleurs clairement que Scott Snyder a bel et bien l’intention d’envoyer ses vampires dans l’espace !
Scott Snyder nous réserve donc un tome dynamique et riche en rebondissements, qui se dévore de la première à la dernière page. Néanmoins, en réduisant ses vampires à des petits rigolos par rapport à la véritable menace qui se cache derrière le Marchand Gris, il s’éloigne peut-être un peu trop du thème vampirique initial et détruit un peu l’âme de cette saga. De plus, la conclusion du récit me semble un peu précipitée.
Graphiquement, Rafael Albuquerque livre cependant un travail à nouveau remarquable et d’une efficacité rare. Le Brésilien s’installe au diapason de l’ambiance, livre des protagonistes bien campés et déchire lors de chaque attaque de ses monstres. Son trait dynamique et nerveux accompagne parfaitement la sauvagerie dégagée par ses créatures et permet d’offrir quelques scènes délicieusement terrifiantes.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
Si le tome précédent faisait apparaître une nouvelle menace particulièrement inquiétante, obligeant Pearl Jones à sortir des crocs qu’elle avait pourtant si soigneusement rangés en vue d’une retraite pépère dans un bled perdu, celui-ci nous en apprend un peu plus sur le véritable Mal qui se cache derrière le Marchand Gris et oblige même les Vassaux de Vénus, emmenés par Felicia Book, à s’associer à Skinner Sweet et à ses deux nouveaux compères : Pearl Jones et Calvin Poole.
Scott Snyder continue également d’ancrer sa série vampirique dans l’histoire des Etats-Unis. L’action se déroule en effet en 1965, en pleine Guerre Froide opposant les États-Unis à l’URSS. C’est donc une époque particulièrement turbulente pour les américains, notamment marquée par une course effrénée à la conquête de l’espace entre les deux nations, mais également pour les vampires américains. La couverture de ce huitième volet dévoile d’ailleurs clairement que Scott Snyder a bel et bien l’intention d’envoyer ses vampires dans l’espace !
Scott Snyder nous réserve donc un tome dynamique et riche en rebondissements, qui se dévore de la première à la dernière page. Néanmoins, en réduisant ses vampires à des petits rigolos par rapport à la véritable menace qui se cache derrière le Marchand Gris, il s’éloigne peut-être un peu trop du thème vampirique initial et détruit un peu l’âme de cette saga. De plus, la conclusion du récit me semble un peu précipitée.
Graphiquement, Rafael Albuquerque livre cependant un travail à nouveau remarquable et d’une efficacité rare. Le Brésilien s’installe au diapason de l’ambiance, livre des protagonistes bien campés et déchire lors de chaque attaque de ses monstres. Son trait dynamique et nerveux accompagne parfaitement la sauvagerie dégagée par ses créatures et permet d’offrir quelques scènes délicieusement terrifiantes.
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Batman Année zéro est un comics de Scott Snyder (scénario) et Greg Capullo (dessin). Les débuts du héros emblématique de DC comics et sa lutte contre le gang de Red Hood puis contre le Sphinx. Rien de révolutionnaire mais la lecture est plaisante. L'intrigue est parfois confuse.
Incroyable comme à chaque fois ! J'aime vraiment les dessins de Greg Capullo ils sont magnifiques ! Mention spéciale pour le Docteur La Mort, il m'aura vraiment foutu les chocottes !!!
Je pense que ce livre est idéal pour démarrer son immersion dans l'univers de Batman !!!
De retour à Gotham après un long exil, Bruce Wayne est bien décidé à s'en prendre au gangs de Réd Hood qui fait sa loi dans les rues de sa ville...
A travers ces multiples affrontements et ses défaites mémorables, Bruce Wayne prend conscience que Batman ne peux gagner son combat contre les malfrats mais qu'il se doit de jouer son rôle de paratonnerre pour protéger la population de Gotham...
Une nouvelle fois, Dc Comics nous gate en nous offrant cette Année Zéro tant importante pour comprendre le mythe Batman
De retour à Gotham après un long exil, Bruce Wayne est bien décidé à s'en prendre au gangs de Réd Hood qui fait sa loi dans les rues de sa ville...
A travers ces multiples affrontements et ses défaites mémorables, Bruce Wayne prend conscience que Batman ne peux gagner son combat contre les malfrats mais qu'il se doit de jouer son rôle de paratonnerre pour protéger la population de Gotham...
Une nouvelle fois, Dc Comics nous gate en nous offrant cette Année Zéro tant importante pour comprendre le mythe Batman
Après le moins épais, voici le tome le plus volumineux consacré à Batman, dans la nouvelle collection à 4,90 euros d’Urban Comics. Cette fois, ce sont des numéros publiés entre 2014 et 2016, à savoir les épisodes 21 à 24, 25 à 27 et 29 à 33 de la série Batman.
Ces numéros correspondent aux arcs « Cité secrète », « Sombre cité » et « Cité sauvage » auxquels s’ajoute le bref « La jeunesse de Bruce Wayne ».
Dans cet imposant récit, Scott Snyder et Greg Capullo reviennent sur les origines du Chevalier Noir. Une énième version pour le coup passionnante et difficile à lâcher, malgré la densité du volume.
Scott Snyder signe un récit riche et structuré, jouant avec la chronologie des évènements pour mieux raconter le retour de Bruce Wayne dans sa ville natale. Si les origines de Batman restent toujours semblables d’une version à l’autre, ici le renouveau se situe du côté de la succession des ennemis qu’il rencontre.
Du gang des Red Hood à Edward Nygma, les adversaires de la chauve-souris se succèdent, délaissant les éternels Joker, Pingouin et autres criminels emblématiques. Bon, l’Homme Mystère est certes de cette acabit mais il n’est pas le plus présent dans mes rares lectures dans l’univers de Batou. Quant aux autres, leur renommée est encore moindre.
A cette fraîcheur du casting s’associent les relations quelque peu remodelées à l’image de la méfiance de Bruce envers Gordon ou de la distance ressentie par Alfred de la part de son jeune maître. Sans compter l’intégration de l’oncle Philip, inconnu au bataillon.
Le dessin, les planches et la colorisation participent de mon engouement pour ce récit. Les séquences d’action s’enchaînent de manière lisible, jusque dans les détails. La mise en scène offre de belles images, parfois fortes, comme cette auréole artificielle qui semble couronnée Martha Wayne, lors de son assassinat. Et le trait des personnages est agréable à l’œil.
Bref, une lecture qui m’a tenu en haleine quelques heures et qui a ravivé mon goût pour le batverse.
Ces numéros correspondent aux arcs « Cité secrète », « Sombre cité » et « Cité sauvage » auxquels s’ajoute le bref « La jeunesse de Bruce Wayne ».
Dans cet imposant récit, Scott Snyder et Greg Capullo reviennent sur les origines du Chevalier Noir. Une énième version pour le coup passionnante et difficile à lâcher, malgré la densité du volume.
Scott Snyder signe un récit riche et structuré, jouant avec la chronologie des évènements pour mieux raconter le retour de Bruce Wayne dans sa ville natale. Si les origines de Batman restent toujours semblables d’une version à l’autre, ici le renouveau se situe du côté de la succession des ennemis qu’il rencontre.
Du gang des Red Hood à Edward Nygma, les adversaires de la chauve-souris se succèdent, délaissant les éternels Joker, Pingouin et autres criminels emblématiques. Bon, l’Homme Mystère est certes de cette acabit mais il n’est pas le plus présent dans mes rares lectures dans l’univers de Batou. Quant aux autres, leur renommée est encore moindre.
A cette fraîcheur du casting s’associent les relations quelque peu remodelées à l’image de la méfiance de Bruce envers Gordon ou de la distance ressentie par Alfred de la part de son jeune maître. Sans compter l’intégration de l’oncle Philip, inconnu au bataillon.
Le dessin, les planches et la colorisation participent de mon engouement pour ce récit. Les séquences d’action s’enchaînent de manière lisible, jusque dans les détails. La mise en scène offre de belles images, parfois fortes, comme cette auréole artificielle qui semble couronnée Martha Wayne, lors de son assassinat. Et le trait des personnages est agréable à l’œil.
Bref, une lecture qui m’a tenu en haleine quelques heures et qui a ravivé mon goût pour le batverse.
Urban Comics propose la collection parfaite pour découvrir Batman pour la première fois. Ainsi avec l'année zéro, on part véritablement du début pour découvrir l'univers de la célèbre chauve-souris.
Les menaces les plus visibles ne sont pas forcément les plus dangereuses. Batman va apprendre cette leçon à ses dépend. 5 ans après avoir disparu, il revient dans sa ville natale afin de combattre le gang de Red Wood.
Gotham va être plongée dans les ténèbres suite à un blackout savamment planifié. Dans une ville devenue sauvage, Batman devra faire preuve de beaucoup d'intelligence pour la sortir de ce mauvais pas et combattre le Sphinx, bien décidé à faire plier la cité et son nouveau protecteur.
A noter qu'il s'agit du préquelle à l'année un de Batman. Il est beaucoup moins connu que le précédent qui avait eu un certain succès. le problème est qu'il souffre de cette comparaison qui ne tourne pas en son avantage.
Encore une fois, plusieurs intrigues se rejoignent pour un final explosif. Côté dessin, j'ai apprécié le charme qui se dégage du trait avec de magnifiques couleurs.
Pour autant, ce titre reste correct sur le fond et la forme sans rivaliser avec le meilleur. Ce titre est assez clivant parmi les fans de la chauve-souris : soit on aime ou pas.
Les menaces les plus visibles ne sont pas forcément les plus dangereuses. Batman va apprendre cette leçon à ses dépend. 5 ans après avoir disparu, il revient dans sa ville natale afin de combattre le gang de Red Wood.
Gotham va être plongée dans les ténèbres suite à un blackout savamment planifié. Dans une ville devenue sauvage, Batman devra faire preuve de beaucoup d'intelligence pour la sortir de ce mauvais pas et combattre le Sphinx, bien décidé à faire plier la cité et son nouveau protecteur.
A noter qu'il s'agit du préquelle à l'année un de Batman. Il est beaucoup moins connu que le précédent qui avait eu un certain succès. le problème est qu'il souffre de cette comparaison qui ne tourne pas en son avantage.
Encore une fois, plusieurs intrigues se rejoignent pour un final explosif. Côté dessin, j'ai apprécié le charme qui se dégage du trait avec de magnifiques couleurs.
Pour autant, ce titre reste correct sur le fond et la forme sans rivaliser avec le meilleur. Ce titre est assez clivant parmi les fans de la chauve-souris : soit on aime ou pas.
Je trouve que le principal intérêt réside surtout dans le trait et l'expressivité de Rafaël Albuquerque qui se réapproprie parfaitement cet univers, livrant des planches de toute beauté et extrêmement dynamiques.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Cela manque de densité et de profondeur, de proposition et de prise de risque.
Lien : http://www.actuabd.com/Ei8ht..
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C'est un comics de science-fiction dont la thématique est le voyage dans le temps tout à fait intéressant par son approche. La mélasse est ainsi une nouvelle dimension hostile perdue dans le temps et l'espace où échouent les naufragés des expéditions temporelles.
Il est cependant dommage que le scénario empreinte parfois des raccourcis ainsi que des situations de déjà vu. je pense aux méchants et notamment au second qui dézingue facilement le premier alors qu'il avait 20 ans pour le faire dans le passé.
Passé ces figures de style pour le moins peu originaux et un scénario rudimentaire, cela se tient plutôt bien. Il y a même une logique assez implacable qu'on retrouvera vite. La démonstration est sérieuse et donne envie de continuer l'aventure. Le manque de profondeur devra toutefois être comblé.
Il est cependant dommage que le scénario empreinte parfois des raccourcis ainsi que des situations de déjà vu. je pense aux méchants et notamment au second qui dézingue facilement le premier alors qu'il avait 20 ans pour le faire dans le passé.
Passé ces figures de style pour le moins peu originaux et un scénario rudimentaire, cela se tient plutôt bien. Il y a même une logique assez implacable qu'on retrouvera vite. La démonstration est sérieuse et donne envie de continuer l'aventure. Le manque de profondeur devra toutefois être comblé.
Une histoire de voyage dans le temps vraiment intéressante. Je trouve toujours très fort de réaliser un scénario où les actions du futur ou du passé ont des répercutions sur une autre période de temps et que tout s’imbrique les uns aux autres.
Dans cette histoire, un homme est envoyé dans le passé pour une mission qu’il ne va pas se souvenir complètement. Perdu dans ce que l’on appelle la mélasse (un lieu hors du temps), il va devoir retrouver sa mission et sauver le monde.
Un récit très intelligent, des personnages intéressants et un scénario très bien construit. Les codes couleurs censés aider à se repérer dans le temps ne sont pas très judicieux et ne servent pas du tout, il est suffisamment clair de se repérer dans le récit.
Le dessin est sympa également même si ce n’est pas mon style préféré mais ce qui gâche plutôt dans les illustrations est le choix des couleurs pas très cohérent, notamment à cause du parti pris des couleurs pour repérer les temps.
Un second tome doit suivre mais ce comics datant de 2016 va-t-il avoir droit à sa suite ? Mais pour vous rassurer, ce tome se suffit à lui-même, l’histoire principale se termine à la fin de cet album.
Dans cette histoire, un homme est envoyé dans le passé pour une mission qu’il ne va pas se souvenir complètement. Perdu dans ce que l’on appelle la mélasse (un lieu hors du temps), il va devoir retrouver sa mission et sauver le monde.
Un récit très intelligent, des personnages intéressants et un scénario très bien construit. Les codes couleurs censés aider à se repérer dans le temps ne sont pas très judicieux et ne servent pas du tout, il est suffisamment clair de se repérer dans le récit.
Le dessin est sympa également même si ce n’est pas mon style préféré mais ce qui gâche plutôt dans les illustrations est le choix des couleurs pas très cohérent, notamment à cause du parti pris des couleurs pour repérer les temps.
Un second tome doit suivre mais ce comics datant de 2016 va-t-il avoir droit à sa suite ? Mais pour vous rassurer, ce tome se suffit à lui-même, l’histoire principale se termine à la fin de cet album.
Wahou ! Une jolie claque avec cette nouveauté. Dès le départ, les auteurs nous propose un code couleur qui permet de saisir à quelle époque nous allons être dans l’histoire. Car en effet, c’est de voyage à travers le temps qu’il s’agit et il est assez difficile (si ce n’est en marquant une date) de dessiner « le temps qui passe » ou qui sera … Une astuce bien pensée qui impose donc une seule et même couleur en fond pour chaque époque : le présent, le passé, le futur et la mélasse (un endroit étrange et qui semble ne pas vivre le temps de la même façon que le reste de l’univers). Amateurs des couleurs, ici ce sera donc dessin noir et fond vert, orange, violet ou bleu.
Le dessin est beau avec des traits fins, proche d’un crayonné.
Venons en à l’histoire ! Elle m’a bluffé par sa complexité. A vrai dire, nous ne savons rien à la fin de ce premier tome. Les bases de l’intrigue sont posée : qu’est-ce que la mélasse, pourquoi notre héros voyage dans le temps, qui est cette jeune femme qui lui est familière et surtout pourquoi la Lance est ici ? Beaucoup de questions arrivent mais ce n’est pas un mal de ne pas en savoir d’avantage, ça ne laisse présager que du bon pour le futur.
A aucun moment on ne s’ennuie, tout n’est qu’actions (c’est d’ailleurs à cause de cette course en avant de Joshua que nous n’en apprenons pas d’avantage sur le fond). Le personnage principal retrouve peu à peu des bribes de mémoires, il est perdu et tente de comprendre ce qui lui arrive. C’est en même temps que ses souvenirs lui reviennent que nous commençons à voir où nous allons dans l’histoire.
La construction de cette histoire est folle. Déjà les voyages dans le temps sont possible bien qu pas encore maîtrisés mais surtout il semblerait qu’il existe un endroit où tout ce système de temporalité est assez flou « la mélasse ». Nous nous retrouvons donc là bas, endroit où les gens disparus « tombent » comme par magie. Joshua voudrait retourner dans son présent mais sa radio semble ne plus fonctionner, pire encore il est retrouvé par des autochtones qui ne paraissent pas amicaux. Toutefois, cette arrivée inopinée de Joshua ici va chambouler l’ordre établie dans cette colonie car il y a des signes qui ne trompent pas, il n’est pas arrivé là par hasard … Vivement que la mémoire lui revienne !
J’ai été étonnée au fur et à mesure de ma lecture. Je ne m’attendais jamais à ce qui suivait – et ça, c’est le gage d’une bonne lecture ! C’est beau, bien écrit et très prenant. L’univers inventé est dense mais on y rentre très vite.
En bref, ne rien attendre d’une lecture offre parfois les plus moments de découvertes, c’est en tout cas le cas pour Ei8ht.
Lien : http://chickon.fr/2016/07/13..
Le dessin est beau avec des traits fins, proche d’un crayonné.
Venons en à l’histoire ! Elle m’a bluffé par sa complexité. A vrai dire, nous ne savons rien à la fin de ce premier tome. Les bases de l’intrigue sont posée : qu’est-ce que la mélasse, pourquoi notre héros voyage dans le temps, qui est cette jeune femme qui lui est familière et surtout pourquoi la Lance est ici ? Beaucoup de questions arrivent mais ce n’est pas un mal de ne pas en savoir d’avantage, ça ne laisse présager que du bon pour le futur.
A aucun moment on ne s’ennuie, tout n’est qu’actions (c’est d’ailleurs à cause de cette course en avant de Joshua que nous n’en apprenons pas d’avantage sur le fond). Le personnage principal retrouve peu à peu des bribes de mémoires, il est perdu et tente de comprendre ce qui lui arrive. C’est en même temps que ses souvenirs lui reviennent que nous commençons à voir où nous allons dans l’histoire.
La construction de cette histoire est folle. Déjà les voyages dans le temps sont possible bien qu pas encore maîtrisés mais surtout il semblerait qu’il existe un endroit où tout ce système de temporalité est assez flou « la mélasse ». Nous nous retrouvons donc là bas, endroit où les gens disparus « tombent » comme par magie. Joshua voudrait retourner dans son présent mais sa radio semble ne plus fonctionner, pire encore il est retrouvé par des autochtones qui ne paraissent pas amicaux. Toutefois, cette arrivée inopinée de Joshua ici va chambouler l’ordre établie dans cette colonie car il y a des signes qui ne trompent pas, il n’est pas arrivé là par hasard … Vivement que la mémoire lui revienne !
J’ai été étonnée au fur et à mesure de ma lecture. Je ne m’attendais jamais à ce qui suivait – et ça, c’est le gage d’une bonne lecture ! C’est beau, bien écrit et très prenant. L’univers inventé est dense mais on y rentre très vite.
En bref, ne rien attendre d’une lecture offre parfois les plus moments de découvertes, c’est en tout cas le cas pour Ei8ht.
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J'ai beaucoup apprécié cette bande dessinée : les dessins sont tops, l'histoire est palpitante et complexe avec ses allers/retours passé/présent/futur/mélasse. Bien que le code couleur peut aider dans la compréhension, je trouve que la couleur dans les dessins ça manque. Mais bon on s'habitue au fil de l'histoire. A ne pas manquer pour les amateurs de voyages spatiotemporels.
Un comics de SF ou plutôt de voyage temporel. Nous découvrons ainsi "la mélasse" un espace, une dimension hostile où arrivent des aventuriers. Le héros, un chrononaute a une mission à effectuer à cette époque. Mais voyager dans le temps comporte des risques...
Vindiou ! Je n'en reviens pas !
J'ai commencé cette BD, en imaginant lire une histoire jeunesse sur une petite fille qui rencontre son héros de dessin animé préféré...et j'avais raison en partie. Je n'avais pas imaginé le chemin qu'allait prendre le scénario.
Déjà, les dessins sont jolis, et Priscilla Tramontano a fait un très bon travail sur les couleurs. On entre directement dans un univers particulier, et de suite, on se dit qu'il y a quelque chose qui cloche. L'arrivée à Funny Creek, les réactions du clown, l'étrange aventure, les alternances avec les flash-backs du monde réel, tout est mis en oeuvre pour nous mettre mal à l'aise tout le long de l'intrigue. J'avoue avoir assez rapidement compris ce qu'il était arrivé. Une fois que l'on sait, le parallèle avec Funny Creek, et l'attitude de Clumsy, se fait facilement. C'est d'ailleurs assez intéressant.
Bon, parlons un peu de la fin.
Bref, je ne sais même pas si j'ai apprécié ou non 😅. Ce qui est sûr, c'est que cela ne m'a certainement pas laissé de marbre.
En tout cas, je déconseille aux plus jeunes.
Ouf/20.
J'ai commencé cette BD, en imaginant lire une histoire jeunesse sur une petite fille qui rencontre son héros de dessin animé préféré...et j'avais raison en partie. Je n'avais pas imaginé le chemin qu'allait prendre le scénario.
Déjà, les dessins sont jolis, et Priscilla Tramontano a fait un très bon travail sur les couleurs. On entre directement dans un univers particulier, et de suite, on se dit qu'il y a quelque chose qui cloche. L'arrivée à Funny Creek, les réactions du clown, l'étrange aventure, les alternances avec les flash-backs du monde réel, tout est mis en oeuvre pour nous mettre mal à l'aise tout le long de l'intrigue. J'avoue avoir assez rapidement compris ce qu'il était arrivé. Une fois que l'on sait, le parallèle avec Funny Creek, et l'attitude de Clumsy, se fait facilement. C'est d'ailleurs assez intéressant.
Bon, parlons un peu de la fin.
Bref, je ne sais même pas si j'ai apprécié ou non 😅. Ce qui est sûr, c'est que cela ne m'a certainement pas laissé de marbre.
En tout cas, je déconseille aux plus jeunes.
Ouf/20.
"Que se passerait-il si Forrest Gump avait des super pouvoirs ?" Cette phrase de la préface de ce comic résume à elle-seule l'histoire de ce personnage créé par Mark Millar. Pourtant, quand l'Homme m'a dit que ça pourrait bien me plaire, j'avoue que j'étais sceptique. Un comic ? Écrit par un gars que j'ai croisé au scénario des X-men, de Batman, créateur de Kick-Ass ou encore de Kingsman ? Et pourtant, oui, Huck est un très bel album, très loin du cliché des comics américains mettant en scène des super-héros.
Pourtant, un super-héros, on en a un. Des méchants qui vont lui complexifier la tâche, aussi. Mais Huck dégage autre chose. C'est un ouvrage dans lequel la gentillesse, les bonnes actions gratuites, sont omniprésentes. D'aucuns diront que c'est niais ; moi je dis juste que ça fait du bien de lire une histoire bien construite, qui reprendre les codes des comics classiques, mais dans laquelle le héros à un (grand) air de Forrest Gump !
Lien : http://croqlivres.canalblog...
Pourtant, un super-héros, on en a un. Des méchants qui vont lui complexifier la tâche, aussi. Mais Huck dégage autre chose. C'est un ouvrage dans lequel la gentillesse, les bonnes actions gratuites, sont omniprésentes. D'aucuns diront que c'est niais ; moi je dis juste que ça fait du bien de lire une histoire bien construite, qui reprendre les codes des comics classiques, mais dans laquelle le héros à un (grand) air de Forrest Gump !
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Dans ce comics de Millar, on suit l'histoire du pompiste Huck qui mène une vie tranquille.
Bien qu'il possède de fantastiques pouvoirs, il les utilise discrètement pour faire le bien autour de lui.
Mais, et il y a toujours un mais dans les bonnes histoires, un jour, ses dons sont révélés et l'homme devient le centre de toutes les attentions.
Avec cette bande dessinée, on passe du rire aux larmes en un clin d'œil.
Le côté humain, modeste tellement éloigné des comics habituels, ne laisse pas indifférent.
Je le conseille vraiment, c'est pas un grand titre, mais l'histoire est surprenante et très humaine.
Bien qu'il possède de fantastiques pouvoirs, il les utilise discrètement pour faire le bien autour de lui.
Mais, et il y a toujours un mais dans les bonnes histoires, un jour, ses dons sont révélés et l'homme devient le centre de toutes les attentions.
Avec cette bande dessinée, on passe du rire aux larmes en un clin d'œil.
Le côté humain, modeste tellement éloigné des comics habituels, ne laisse pas indifférent.
Je le conseille vraiment, c'est pas un grand titre, mais l'histoire est surprenante et très humaine.
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