AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Raphaëlle Giordano (2013)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

J'ai eu l'idée de lire ce livre parce qu'un collègue m'en a parlé et ce qu'il m'en a dévoilé m'a alléchée. J'avais en effet très envie d'en savoir plus sur la "routinologie" et les "routinologues". Et j'étais d'autant plus curieuse que celui qui m'en avait parlé m'apparaît plutôt comme quelqu'un d'organisé, méticuleux, certes avec une bonne pointe d'humour et en même temps extrêmement sérieux, rigoureux, précis, autoritaire...à la limite du maniaque.



De quoi s'agit-il donc dans ce livre ? D'une quadra qui pète un câble un jour parce qu'elle a plus l'impression de subir sa vie que de la vivre pleinement. Et pourtant, tout semble lui sourire : un emploi, un mari aimant, un fils, des revenus suffisants pour vivre...



Oui mais voilà, il lui manque l'essentiel, le sel de la vie, le goût de la vie... Comment le retrouver me demanderez-vous ? Facile ! Au contact d'un routinologue qui l'invite à regarder sa vie de manière différente. Voir le verre à moitié plein et non plus à moitié vide. Etre heureuse car le bonheur est contagieux, lâcher prise sur certains points... « Je suis la seule personne responsable de ma vie et de mon bonheur » nous dit Raphaëlle Giordano.



Toute cette manière de vivre sa vie dont il est question dans ce livre me fait penser à la Communication Non Violente (CNV). Certaines personnes peuvent regretter que Raphaëlle Giordano parle de routinologie et non de CNV. En ce qui me concerne, cela ne me gêne pas. Je n’oublie pas en effet qu’il s’agit d’un roman et non d’un livre de Marshall Rosenberg, le fondateur de la CNV. Je me dis aussi que si ce livre rencontre du succès auprès d’un certain lectorat, cela conduira peut-être certaines personnes à approfondir et à s’intéresser à la CNV. Car je partage pleinement ce passage du livre en page 200 "J'aime à penser que nous sommes tous citoyens du monde, mais peu de gens en ont vraiment conscience. Chacun pourrait devenir ambassadeur de la paix rien qu'en agissant à son niveau, en œuvrant à sa sérénité intérieure et à son bonheur. Imaginez l'impact, si de plus en plus de gens choisissaient le cercle vertueux au lieu du cercle vicieux... »



Ce livre me donne l’espoir en un monde meilleur. Et en cette fin d’année 2015, malheureusement synonyme d’attentats, cela me fait du bien. Vivement 2016 

Commenter  J’apprécie          180
Le jour où les lions mangeront de la salade..

De cette auteure j’étais restée sous le charme de « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une ». La barre était donc haute. J’ai retrouvé le même état d’esprit dans celui-ci mais il n’a pas surpassé le premier.



C’est une lecture axée développement personnel. Dès le début on peut deviner que ça finira bien, c’est rythmé, l’écriture est agréable et puis c’est teinté d’humour ce qui ne gâche rien.

Une lecture qui permet de s’améliorer car elle met le doigt sur certains de nos comportements inappropriés mais aussi ceux de personnes que nous côtoyons au quotidien.



Pour bien comprendre, la burnerie c’est le nom qu’elle avait trouvé́ pour nommer l’ensemble des comportements plus ou moins nuisibles auxquels presque tout le monde était confronté dans son quotidien, au bureau, à la maison ou partout ailleurs : un automobiliste ou un client passant injustement ses nerfs sur vous, un supérieur hiérarchique vous critiquant publiquement, un conjoint manquant du tact le plus élémentaire... Les exemples de burnerie pouvaient varier à l’infini !

La méthode s’articule autour de séances collectives et d’exercices individuels ayant pour objectif de ne plus s’adonner à la burnerie et d’enfin agir dans le respect de l’autre.



Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Romane, une jeune femme dynamique ayant mis au point une méthode qui permet de soigner la burnerie. Nous découvrons la mise en pratique du procédé à travers le suivi d’un groupe de personnes aux personnalités variées. Un jeune chef d’entreprise particulièrement adepte de la burnerie sort du lot et va particulièrement donner du fil à retordre à Romane.

Commenter  J’apprécie          171
Le spleen du pop-corn qui voulait exploser ..

Joy a été une enfant pleine de gaîté, qui portait bien son prénom et que son père surnommait son petit Pop corn. Mais bien de l’eau a coulé sous les ponts et à trente-quatre ans, elle travaille dans une agence d’évènementiel parisienne depuis dix ans. L’ambiance y est déplorable, les employés se livrant une compétition féroce. On en demande toujours plus à Joy, qui n’ose jamais dire non et se trouve au bord du burn out. Elle utilise de nombreuses applications de gestion du stress qui ne servent qu’à la stresser encore plus. Elle a une relation très insatisfaisante avec son patron dont elle est la maîtresse quand il a le temps, mais c’est un homme foncièrement égoïste et Joy ne sert qu’à assouvir ses besoins physiques alors qu’elle aimerait vivre un véritable amour. Sa situation empire encore quand on lui demande d’organiser une fête inoubliable pour le dixième anniversaire de l’agence. Elle se rend à un salon et rencontre Benjamin qui gère une petite entreprise centrée sur la création de mots en 3D. Sa petite boite est l’exact contraire de l’agence, elle a été fondée par des amis et l’ambiance y est familiale. Joy est séduite par le projet présenté par Benjamin, mais des frictions apparaissent vite lors de la préparation de la fête. Joy est hyper stressée et absolument odieuse, mais Benjamin saisit vite sa détresse et décide de l’aider. La fête sera vraiment inoubliable.



J’avais entendu dire le plus grand bien de cette auteure et je n’ai vraiment pas été déçue de ce roman découvert en version audio. Il est lu par Jessica Monceau de manière parfaite, elle nous entraîne à la suite des différents personnages et sait nous transmettre leurs émotions. C’est un feel good et on sait que l’histoire finira bien, j’ai aimé sa légèreté et son humour. Même la romance qu’on voit venir à des kilomètres ne m’a pas dérangée. Joy n’est pas un personnage très sympathique, pour ne pas dire franchement odieux, mais Benjamin sait voir la détresse derrière son agressivité, il est plein d’humanité et essaie d’aider les autres. Grâce aux petits Max, Joy apprendra à voir la vie autrement et à retrouver sa joie perdue. Les employés de l’agence sont stéréotypés, mais à travers cette caricature, chacun y verra l’un des aspects pénible de sa propre entreprise et un regard amusé sur le monde professionnel.



Derrière l’aspect léger, gai et plein d’humour de cette histoire, l’auteure traite des thèmes essentiels et actuels en décrivant cet univers de travail complètement toxique qui a détruit la joie de vivre de Joy. Elle est obsédée par la nécessité d’être toujours plus performante, car au fond d’elle-même elle a peur du rejet et veut être telle que les autres le désirent pour être acceptée. Cette problématique touche de nombreuses personnes, pour ne pas dire pratiquement tout le monde. Benjamin propose une solution pacifique pour sortir du conflit et retrouver le chemin vers soi, mais Joy choisira une voie bien plus explosive, ce qui donnera une fête eu commune. Benjamin est bien plus avancé que Joy sur son chemin de vie et il sera un guide sûr pour la jeune femme.



J’ai beaucoup aimé cet excellent roman feel good, plein d’humour et de légèreté malgré les question importantes qu’il traite. En tout cas il m’a donné envie de découvrir d’autres livres de cette auteure. Je le recommande chaleureusement ce roman pétillant et remercie Lizzie et Netgalley pour leur confiance.



#Lespleendupopcornquivoulaitexploserdejoie #NetGalleyFrance !
Lien : https://patpolar48361071.wor..
Commenter  J’apprécie          170
13 à table ! 2023

On ne déroge pas à la règle : peu importent la couverture, les auteurs, les thèmes, c’est toujours avec un certain plaisir que j’achète le livre Pocket « 13 à table » dont les bénéfices sont reversés aux Restos du coeur. Cette année, on était un peu moins nombreux à table mais on avait Thomas Pesquet comme invité pour nous parler de la planète, et plus précisément, de l’impact négatif de l’homme sur celle-ci. Est-ce que les auteurs se sont inspirés de ce drame pour écrire leurs nouvelles ? En règle générale : oui. L’humour n’était pas trop au rendez-vous sauf avec Romain Puertolas et ses encapuchonnés. J’ai bien aimé aussi la nouvelle de Marina Carrère d’Encausse et celle d’Agnès Martin-Lugand.

Contrairement à d’habitude, j’ai été un peu déçue par l’histoire de Karine Giebel et je n’ai absolument pas compris celle de Mohamed Mbougar Sarr. Je crois que je suis allergique aux histoires post-apocalyptiques! Le recueil se lit bien mais les nouvelles ne sont pas toutes bonnes.

Commenter  J’apprécie          170
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Un livre au concept original ! L'auteure nous donne toutes sortes d'astuces pour nous sentir bien par le truchement du parcours de son héroïne.

Des recettes que je connaissais comme la relaxation et d'autres que je ne connaissais pas à essayer. C'est vraiment agréable de lire cela comme un roman plutôt qu'un catalogue d'astuce.
Commenter  J’apprécie          170
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Ah, apparement Laurent Gounelle a trouvé son double féminin...



Des textes fades, des personnages plats et sans intérêt, des pseudos conseils sur comment-c'est-trop-bien-de-tout-plaquer-et-de-faire-croire-qu'on-peut-tous-le-faire-c'est-que-de-la-volonté et évidemment une fin gnan-gnan...



Bref, 1/2 étoiles pour les pauvres arbres sacrifiés pour surfer sur la vague du développement personnel...
Commenter  J’apprécie          170
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

J'ai hésité entre 3 et 3 et demi étoile, je ressors assez mitigée de cette lecture, j'ai aimé, je ne peux pas dire le contraire, mais j'ai parfois eu le sentiment de tourner en rond.

Nous suivons Camille, qui suite à un léger accident de la route, fait la connaissance de Jacques, qui va lui apprendre à aimer la vie et surtout à s'aimer elle-même. Comme beaucoup de gens, Camille se croyait heureuse, elle est mariée, elle a un adorable garçon débordant de vie, un travail, que demander de plus.

Tout au long de cette lecture, nous allons voir l'évolution de Camille, qui grâce aux précieux conseils de Jacques, va aller de mieux en mieux, Jacques va l'aider, grâce à de petites astuces, à améliorer son quotidien.

Je pense que l'auteure a écrit ce livre, pour que chaque lecteurs se sentent concernés par les quelques petits astuces bien-être glissées dans ce roman, j'ai moi-même pensé que je pourrais suivre certains des conseils donnés dans ce roman.

J'ai passé un bon moment de lecture, mais je dirais qu'il n'aurait pas fallu plus de pages, car je sentais une certaine lassitude s'installer au fur et à mesure de l'avancée de cette lecture.
Commenter  J’apprécie          170
Le jour où les lions mangeront de la salade..

Je pense que l’auteure a voulu surfer sur le succès de son roman précédent, que j’avais d’ailleurs beaucoup apprécié. C’est un peu facile.

L’histoire est gnon gnon, les personnages caricaturaux, et on devine la fin dès les premières pages. Je trouve que cette histoire de lutte contre la « burnerie » est un peu grotesque.

D’habitude j’aime bien les romans feel good, mais là c’est un peu trop pour moi.

Aussitôt lu, aussitôt oublié.

Commenter  J’apprécie          170
13 à table ! 2024

Cette année encore, Les éditions Pocket ont mobilisé 15 personnalités renommées qui ont offert chacune une nouvelle regroupée dans ce recueil.

Ces nouvelles font de 3 à 30 pages et sont toutes prenantes.

Voici mes préférées :

- "Les escarpins, un conte de Noël" d'Alexandra Lapierre. Coralie a 10 ans et est punie, privée de Noël, accusée d'avoir abîmé un escarpin de sa mère.

- "On n'est pas des machines" de Raphaëlle Giordano. Wabo est une machine à laver le linge bien intégrée mais elle a 10 ans et risque de finir au rebut.

- "69, année fatidique" de François d'Epenoux. Le n° 654 attend à un guichet pour signer un contrat : partir à 69 ans moyennant versement d'ECS (Equivalents Charges Seniors" à ses ayants-droits

- "Mon journal intime" de Lorraine Fouchet, écrit par un jeune garçon de 10 ans en 2023, puis à 20 ans, 40, 60 et plus

- "Chloé" de Karine Giebel. Chloé, est harcelée à l'école à cause de sa peau pigmentée. Elle a une mère dépressive et une grand-mère atteinte d'Alzheimer. Un acte courageux va changer sa vie.

- "L'appartement" de Romain Puertolas. Léo Martin, 10 ans, veut acheter un appartement pour sa mère avec de l'argent gagné au loto. C'est loufoque, invraisemblable mais plein d'amour.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..
Commenter  J’apprécie          160
Le spleen du pop-corn qui voulait exploser ..

Joy a 34 ans. Elle a été une enfant très gaie et pétillante ce qui lui a valu le surnom de petit pop-corn de la part de son père. Sauf qu'en grandissant, Joy, malgré son prénom, a perdu beaucoup de sa joie de vivre.



Elle travaille pour une agence parisienne de marketing événementiel auprès de célébrités, un emploi exigeant où la compétition est sévère et l'ambiance entre collègues plus que tendue.



Bonne élève, on lui en demande toujours plus et elle donne toujours plus. Au bord du burn-out, elle se console en multipliant les appli de contrôle qui ne font que la stresser davantage.



Quand on lui demande en plus d'organiser les 10 ans de l'agence, c'en est trop. Elle est submergée et se noie alors sous la charge de travail.



Et si un autre mode de vie était possible ? Et si la légèreté était à portée de main ? Et si Joy sortait de son rôle d'enfant appliquée... en se «désappliquant» ? En rencontrant Benjamin et ses sympathiques collègues, Joy réalise, petit à petit, qu'une autre vie est possible.



Je sors plutôt convaincue de ma deuxième rencontre avec cette auteure. Certe, le roman est attendu, on sait que le dénouement sera heureux, sinon ce ne serait pas du feel-good ! L'héroïne est plutôt désagréable, les personnages sont archétypaux et l'on évite pas le triangle amoureux, jeune fille perdue - bad boy - bon gars gentil.



Mais... Mais j'ai passé un bon moment à l'écoute de ce roman. La narration est rythmée, il y a de l'humour, aucune prise de tête, c'est fluide. Certains personnages, comme Benjamin et son père, que l'on voit trop peu, sont attachants.



Je ne parle pas du style, efficace et très simple, car la recherche littéraire ou poétique n'est pas du tout l'objet de cet ouvrage.



Au final, une lecture divertissante et colorée, parfaite en format audio et qui ravira les amatrices et amateurs du genre romance feel-good.



#NetGalleyFrance #lespleendupopcornquivoulaitexploserdejoie
Commenter  J’apprécie          160
Le bazar du zèbre à pois

Je n'ai pas aimé les deux précédentes lectures de cette autrice et pourtant je me suis encore laissée séduire par le titre.

Le début de l'histoire est très bien. Basile amène de l'originalité dans une ville conformiste. Il est un booster dans la vie d'Arthur et sa mère qui se sont oubliés en route. Mais à nouveau l'autrice bascule dans ses concepts de vie et de psychologie. Comment faire ? quoi faire? Je n'aime pas du tout.

Tout le lexique final participe à cette conceptualisation qui fait que le roman devient pour moi un livre pratique du vivre et plus du tout une lecture feel good.

Merci #NetGalleyFrance pour la nouvelle application qui même si je n'ai pas aimé cette lecture est très plaisante à utiliser en écran renversé.
Commenter  J’apprécie          160
Le jour où les lions mangeront de la salade..

Une amie m’a prêté ce roman en me disant « Tu vas voir, c’est sympa, c’est léger. ». Déjà le titre m’a inquiétée. Je me suis dit que ça n’annonçait rien de bon, mais on peut se tromper. Malheureusement non. Les premières pages ont vite confirmé mon impression. Je n’ai donc pas pu lire ce livre en entier. Je l’ai survolé. Je confirme la légèreté, beaucoup trop light à mon goût.

Romane a une boîte de développement personnel qui s’appelle Sup’ de Burnes. Sans rire ? Ça commence bien. Qui aurait envie de donner un centime à une boîte de ce nom pour se développer personnellement. Dans les premières pages, l’auteure nous inonde de tous les dérivés possibles du mot burne, burnerie, déburnerie, burné, aburné. Ça devient vite insupportable. A-t-elle osé le sévèrement burné ? Je ne sais pas, je n’ai pas tout lu.

Je n’avais jamais lu d’Harlequin, ben voilà c’est fait. D’ailleurs, j’ai vraiment envie d’en lire un pour comparer, depuis le temps que je compare certains romans à du Harlequin. Un exemple de phrases : « Ils traversèrent l’île Saint Louis comme des Robinsons : seuls au monde. Non pas perdus, mais éperdus, d’amour bien sûr, dans une forêt vierge de sentiments qui ne demandait qu’à être lentement défrichée. ». C’est-y pas émouvant ?

Ça tressaille souvent, ça se donne des poignées de mains électriques. Un roman cousu de fil rose depuis le début avec des scènes grotesques. Il y a même la femme secrètement amoureuse et jalouse, ce qui donne lieu à des moments complètements ridicules vers la fin. Le problème c’est que j’ai diminué le sucre et là, j’ai été à la limite de l’écœurement devant cette fin très, très sucrée.

Et puis l’écriture. Certains passages semblent avoir été écrits par des collégiens. Et les gros sabots pour nous montrer que l’héroïne est belle (forcément) m’indisposent : « Son négligé tomba à ses pieds tandis qu’elle pénétrait dans la cabine de douche. Le pommeau eut tout loisir d’observer les courbes franches de ce joli corps vallonné de trentenaire sportive et ses chromes auraient probablement rougi s’il avait eu forme humaine. » Cette phrase se situe page 12 et déjà, je n'en pouvais plus. Mesdames, méfiez-vous des pommeaux de douches, ce sont des mateurs. Douchez-vous habillées.

Je ne lis pas que du Zola, du Steinbeck, du Hugo. J’apprécie aussi certains romans très légers. Mais là, je peux pas. Et les conseils de développement personnels ne relèvent même pas le niveau car c’est juste du bon sens. Mon développement personnel que je me suis fait toute seule sans une boîte Sup’ de Burnes me dit de passer ce genre de lecture. Et comme j’essaie de voir le côté positif de toute chose, je me dis que ça fait un auteur en moins à suivre et ça me donnera plus de temps pour ceux qui m’intéressent vraiment et qui m’apportent quelque chose en les lisant.
Commenter  J’apprécie          164
Cupidon a des ailes en carton

Après maintes tentatives de dialogue et de persuasion, le verdict tombe pour Antoine : Délai de 6 mois…Voilà ce qu'exige Meredith une séparation à l'amiable afin de tenter de se reconstruire…on se demande pourquoi une décision pareille au risquer de briser leur relation alors qu'ils sont en parfaite harmonie ?

Raphaëlle Giordano va nous éclairer avec l'histoire de Meredith et Antoine, sur les différences et similitudes qui peuvent créer une force ou une faiblesse dans un couple. En premier lieu, elle nous mène à comprendre le passé de cette femme devenu adulte encore sous l'emprise des mots de ses parents qui lui provoquent des maux la menant jusqu'à aujourd'hui à une certain manque d'estime pour sa personne, elle se dévalorise continuellement malgré tout l'amour et le soutien que lui apporte Antoine…

Cet éloignement va refléter les sentiments contradictoires des protagonistes menant ainsi aux doutes, peurs, dévoilant leur faiblesse. Arriveront-ils à traverser tous les obstacles et tenir serment de fidélité ? Chacun de son côté vivant dans l'incertitude de ce jour j : les retrouvailles…l'auteure me mène à me demander est-ce que l'amour suffit pour que la relation soit harmonieuse ? je réponds non car une relation se construit par le dialogue, l'acceptation de l'autre, enterrement de son passé…entre autre et comme le dit si bien Raphaëlle Giordano apprenez à cheminer votre amourability en lisant ce roman très constructif pour la psychologie du couple afin de pouvoir vivre une relation authentique et durable.


Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
Commenter  J’apprécie          160
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Il est rare que je laisse tomber un livre aussi rapidement…

Je crois que je suis allergique à son écriture qui se veut drôle dans son accompagnement au développement personnel de la citadine qui va découvrir le bonheur mais là… je n'ai pas eu le courage de confirmer mon hypothèse en poursuivant ma lecture au delà de la page 22.

J'aimais pourtant beaucoup le titre^^
Commenter  J’apprécie          164
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Impression très mitigée pour moi. Comment changer de vie en deux temps trois mouvements? Allez hop, on décharge une série de techniques de thérapies brèves. À ce niveau - là, les techniques ont le mérite d'être celles réellement utilisées donc on découvre leur fonctionnement, mais de manière très très superficielle. Ce mélange de réalité (explications des techniques) et d'irrealisable (changer de vie de manière aussi énorme si vite, si facilement et sans vraiment de remous dans son environnement familial et affectif) me dérange. On dirait une pub mensongère. Ça manque beaucoup beaucoup d'émotions pour moi : zéro introspection mais changement de vie. Heu... Comment dire? Non quoi. Bref, déçue, surtout après tous les avis positifs. Le fait d'être du métier, psychologue, change très certainement mon approche de ce roman.
Commenter  J’apprécie          165
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Un jeune homme m'a conseillé ce livre qui lui avait beaucoup plu. J'ai lu la première et la dernière page pour lui faire plaisir, pensant avoir saisi l'essentiel de ce genre de livres cucu-gnangnan que je ne kiffe pas trop d'habitude. Et le jeune homme a insisté pour qu'on en parle. Je l'ai donc lu en pensum d'été.

Et ?

Ce n'est pas si mal. Bien sûr, il ne faut pas en attendre davantage qu'un "c'est votre histoire" de Elle stylistiquement parlant, mais ce livre est parsemé de bons conseils pour attaquer la routine de sa vie et vivre pleinement. En tous cas, la lecture n'est pas longue et ne peut pas faire de mal, voire peut apporter quelques conseils utiles.

Evidemment, l'héroïne n'a que des problèmes quotidiens et parfois rapidement effleurés : elle n'est pas confrontée à la maladie, à des situations dramatiques pour lesquelles la méthode serait inefficace. Mais les méthodes proposées sont réalisables.

Alors conquise ? Clairement, "ta deuxième vie ..." (bien joli titre) ne restera pas mon livre de chevet, mais dans la série "il n'y a pas de mal à se faire du bien", ce livre peut être un bon "feel good movie" !
Commenter  J’apprécie          162
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Encore un livre sur le bien-être..... Il faut dire que par les temps qui courent et la vie des gens qui est de plus en plus stressée, ce domaine n'a pas fini de produire des ouvrages.

J'avais entendu parler la première fois de ce récit lors d'un comité de lecture et la première réflexion qui m'était venu à l'idée : Tiens encore un livre de développement personnel avec les méthodes pour mieux vivre, mieux se réaliser. J'ai entendu plusieurs émissions également qui annonçaient des ventes et un réel succès dans les librairies. Cela ne m'étonne pas : énoncer des principes de développement personnel en l'intégrant à un récit d'une femme déçue par la vie qu'elle mène qui souhaite retrouver l'estime de soi et des autres, mais aussi des clés pour y parvenir, c'est malin et rend la lecture plus attractive.

Livre donné par une amie qui a aimé, je ne l'aurais sûrement pas lu sinon, mais ayant lu par le passé plusieurs livres sur ce domaine, pas de réel emballement de ma part. Certes l'histoire est plaisante, drôle parfois car on se reconnaît dans pas mal de situations, les solutions on les connaît souvent tous et toutes mais reste à les mettre en application au jour le jour et surtout en avoir le temps et le réflexe. Si je n'avais jamais lu ce type d'ouvrage peut être aurais-je été peut être plus "emballée" mais comme c'est indiqué c'est mon avis, j'ai été jusqu'au bout mais sans découverte, ni enthousiasme.
Lien : http://mumudanslebocage.cana..
Commenter  J’apprécie          161
Ta deuxième vie commence quand tu comprends q..

Avant de commencer ces premières pages, je tiens à vous mettre en garde, ce livre est comme une thérapie du bonheur, et en refermant ce livre, jamais plus vous ne serez le même... Reste à savoir pourquoi...
Commenter  J’apprécie          160
Heureux les fêlés car ils laissent passer la ..

"Heureux sont les fêlés car ils laissent passer la lumière" est le dernier roman "feel-good" de développement personnel de Raphaëlle Giordano dont le sens de l'humour permet de relativiser nos petites phobies inavouées !



A découvrir en version audio chez @Lizzie grâce à l'interprétation très vivante de Thomas Dormoy !



Henriette n'a pas que son prénom de décalé. Elle a aussi un look original bien à elle et un vrai talent créatif d'architecte d'intérieur, qu'elle ne mesure pas vraiment, trop souvent occupée à douter d'elle-même. Car derrière la façade de jeune professionnelle douée, elle cache une peur inavouable...



Anxieuse de nature, hypersensible et facilement fatigable, Henriette a ce qu'elle appelle un syndrome de "trophobie" : quand on la force à dépasser ses limites et que, rapidement, cela fait " trop " pour elle, elle est submergée d'angoisses, mais n'ose pas l'avouer. De stratégie d'évitement en stratégie de camouflage, elle donne le change la plupart du temps, en se sur-adaptant aux autres – mais à quel prix !



Jusqu'au jour où un projet l'oblige à collaborer avec un bureau d'étude dirigé par Auguste, un architecte paysagiste ambitieux, charismatique... et à première vue imbuvable.



Alors qu'elle intègre cette nouvelle équipe, le petit théâtre des ombres se met en place. Au travail, en famille, ou en couple, beaucoup préfèrent avancer masqués pour ne pas révéler un intime perclus de fragilités. Pourtant, tout le monde a peur... mais pas au même endroit !



Henriette découvrira-t-elle, comme quelques heureux avant elle, que lorsque la lumière jaillit derrière les failles, c'est toujours pour éclairer ce que chacun porte en lui de plus beau ?



Je remercie @Lizzie et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce roman très amusant qui m'a fait passer un bon moment.



Dans ce roman, l'autrice aborde avec beaucoup de légèreté, au travers d'une intrigue sentimentale entre Henriette et Auguste, les peurs et les angoisses de nombre d'entre nous de manière humoristique afin de nous décomplexer.



Tous les personnages attachants de ce roman, incarnés avec vivacité par Thomas Dormoy grâce à ses intonations très expressives, ont leurs fêlures qu'ils tentent de dissimuler plus ou moins bien... jusqu'à ce que leur peurs inavouables éclatent au grand jour !



J'ai beaucoup aimé les situations cocasses créées par l'autrice qui m'ont fait beaucoup rire car chacun peut s'y retrouver. Mais, j'ai trouvé que le blog à la fin du roman qui répertorie les phobies les plus courantes alourdissait l'intrigue. Déjà que, dans l'histoire, chaque personnage a peur de quelque chose, en rajouter encore plus est un peu "too much" pour moi !
Commenter  J’apprécie          153
Le jour où les lions mangeront de la salade..

Raphaëlle Giordano est une auteure spécifiquement connue pour ses ouvrages de développement personnel. Elle a connu le succès avec son livre Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, longuement plébiscité par les critiques, qui était un roman de développement personnel avec pleins d’exercices pratiques à mettre en place pour retrouver la paix intérieure et le bonheur.



Dans Le jour où les lions mangeront de la salade verte, l’auteure s’attaque aux comportements burnés, c’est-à-dire aux personnes qui s’énervent facilement, manquent de tact, sont trop égoïstes, et j’en passe. C’est le cas d’un patron d’une grande entreprise de cosmétiques, qui néglige ses employés et se montre trop autoritaire et tyrannique avec eux. Sa soeur jumelle et sa secrétaire lui glisse alors subrepticement le prospectus vantant les mérites de Sup’ de Bunes, la société créée par Romane pour faire changer ces comportements. D’abord réticent face à cette idée, il décide finalement de faire plaisir à ces deux femmes et de tenter l’aventure…



À ses côtés se trouvent tout un tas de personnes très différentes, qui viennent pour des motifs qui le sont tout autant : un mari dont la femme l’a quitté en raison de sa négligence ; une mère qui a perdu son fils, parce qu’elle n’acceptait pas le fait qu’il souhaitait devenir cuisinier ; un patron abusif avec ses employées femmes, etc. Que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel, Sup’ de burnes est là pour les aider.



À travers ses stages et ses exercices pratiques, Romane change, doucement mais sûrement, les comportements de ses élèves. Sa première réussite : son père, le roi de la burnerie, qui a réussi à changer drastiquement de comportement suite au décès de sa femme, la mère de Romane. Cette dernière s’est donc lancée dans cette aventure, avec l’intention de venir en aide au plus grand monde.



C’est une lecture plaisante, qui se lit facilement et avec laquelle on passe quand même un bon moment. Néanmoins, les personnages sont extrêmement stéréotypés : on a le riche beau goss qui se croit supérieur à tout le monde, qui va tomber amoureux de la prof, qui elle-même se laissera séduire par le charme de son élève. C’est mièvre, naïf, digne d’un mauvais roman pour adolescents… et plus cliché que ça, difficile à trouver !



Enfin, on a du mal à croire à la transformation qui se joue sous nos yeux. Il faut dire que ces personnes, qui viennent pour le stage, bien qu’assez motivées, partent de très loin. Et elles se retrouvent totalement transformées à la fin du livre, baignant dans un monde de bisounours, avec seulement quelques heures de stage et quelques exercices pratiques (difficiles à croire, aussi !). L’idée était bonne, mais elle est mal amenée et assez mal couchée par écrit. Mention spéciale pour son entreprise, prénommée « Sup’ de burnes », qui m’a donné des sueurs froides tant je l’ai trouvé ridicule et pathétique. Comment prendre ça au sérieux ? J’en ai vite eu ras le pompom de ces mots inventés (« burneries », « comportement burné »…) balancés au travers de chaque page !



Un roman de développement personnel pour combattre les comportements burnés (égoïstes, autoritaires,...). C'est une lecture plaisante, mais les personnages sont stéréotypés et les situations plutôt invraisemblables et terriblement mièvres. Digne des romans Harlequin, avec le côté travail sur soi en plus !
Lien : https://analire.wordpress.co..
Commenter  J’apprécie          150




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Raphaëlle Giordano Voir plus

Quiz Voir plus

Quel est le bon titre des livres de Raphaëlle Giordano ?

Le spleen du pop-corn qui voulait exploser de ... ?

Plaisir
Joie
Gaieté
Fierté

5 questions
13 lecteurs ont répondu
Thème : Raphaëlle GiordanoCréer un quiz sur cet auteur

{* *}