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Citations de Robert Goolrick (439)


Je vous ai livré mon cœur, je vous ai invité à déchiffrer les énigmes de ma vie, et vous n'avez même pas décacheté l'enveloppe.
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Pourquoi faut-il qu'au moment de perdre le charme et l'éclat de notre jeunesse, nous devions aussi renoncer à tout un monde de possibles ?
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Il y a dans l'impuissance quelque chose qui nous fait mépriser celui qu'elle accable. Il y a dans le désespoir quelque chose qui nous rend incapable d'accepter l'affection.
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Sauver une vie, c'est sauver le monde. C'est ce que disent les juifs. Rien qu'une vie parmi des milliards, et ça change tout. Et pas seulement pour celui qui est sauvé.
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Le plus incroyable dans cette robe, ce qui la rendait si spectaculaire, ne se révélait que dans un second temps, comme si elle contenait un secret. Voilà ce qui les excitait tous les deux: elle ne livrait sa magie que le moment venu. cette robe était à l'image de leurs deux cœurs, à ces femmes qui ne dévoilaient pas tout, perpétuellement sur la réserve, immobiles au milieu du tumulte de leur vie.
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Il priait pour que Charlie ne meure pas. S'il mourait, ce serait la faute de Sam, il en était certain, car la seule chose qui pourrait causer ce drame, ce serait qu'il raconte le secret qu'il gardait et dont il ne devait rien dire.
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L'enfance est l'endroit le plus dangereux qui soit. personne n'en sort indemne.
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Charlie Beale voulait deux choses dans la vie. et aucune des deux n'était une femme.
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Cela se passe dans une petite ville comme les autres, comme celle-ci. Arrive un vagabond. Il s'arrête devant l'ivrogne et li demande: "C'est quel genre de ville, ici?" L'ivrogne hausse les sourcils et lui répond: "Oh, une ville affreuse. Remplie de menteurs et de tricheurs, qui ne vivent que pour être méchants."Alors le vagabond le remercie et poursuit son chemin , espérant trouver mieux ailleurs. Un peu plus tard, un autre vagabond se présente. "Quel genre de ville c'est?" demande-t-il à son tour. Cette fois le vieil ivrogne répond: " C'est une ville merveilleuse. Les gens y sont bons et généreux, ils accueillent les étrangers à bras ouverts et élèvent leurs enfants dans le droit chemin."Alors le vagabond décide de rester un peu, il trouve des petits boulots, puis, assez vite, un vrai travail, et les choses s'arrangent pour lui. Il finit par avoir une femme, une petite maison et des enfants à lui. Et comme le reste de la ville, il les élève dans le droit chemin."
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Ma mère racontait souvent que, quand j'avais acquis l'usage de la parole, je parlais tellement qu'un jour elle s'était tournée vers moi pour me dire: "Est-ce que tu as la moindre idée de combien tu m'ennuies?" Elle rabâchait cette histoire tout le temps.
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Dans chaque parole que prononçaient ces gens si pauvres, si calomniés et maltraités, écrasés d'un mépris qu'on ne prenait même pas la peine de déguiser, il entendit comment ils parvenaient à supporter cette vie. Il comprit le pourquoi de leurs actions, il connut les passions qui bouillonnaient dans leur âme encore enchaînée par la société et par la loi, il vit leur liberté vide et épuisante, et le flot infini de leur allégresse.
Ils étaient liés par le sang, à la fois attachés et libérés par leur situation d'exclus, tout comme lui, cloîtrés au sein même des villes où ils avaient passé toute leur vie, depuis des générations, ils étaient liés par une volonté indéfectible, une croyance que leur jour allait arriver, même si, pour le voir, ils devaient abandonner leur corps.
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La jeunesse se fane. Nous ne nous trouvons jamais là où nous aurions dû être, et tout nous paraît toujours vide, stupide, une immense perte de temps.
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J'avais pensé que les démons reposeraient enfin. Je pensais que la rage et la haine que les hommes du Sud peuvent ressentir à l'égard de leur père, cette rage et cette haine si anciennes et si atroce qu'elles ne peuvent se décrire, je pensais que tout ce poids s'envolerait de mes épaules et que je serais libre.
Je ne l'ai pas été. Pas un jour. Pas une foutue heure.
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Les femmes portaient des robes d’été en soie sauvage ou des robes sans manches en lin avec chaussures assorties, et certaines allaient jusqu’à arborer des gants et des chapeaux, et tout le monde avait l’air de rouler sur l’or, alors qu’ils n’avaient pas un sou et accumulaient les ardoises chez J. Ed Deaver ou Grossman, les deux magasins de vêtements pour adultes du coin.
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Trente-neuf années passées sur cette planète lui avaient arraché la poésie du coeur.
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Il y a des choses comme ça que les petits garçons savent.
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Lu en janvier 2012
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