Robert Ludlum

Saddle Valley, New Jersey, petite banlieue chic.

John Tanner est un journaliste intègre, directeur de l’information de télévision. Sa femme Alice et lui ont pour amis Virginia et Richard Tremayne (avocat) ainsi que Joseph (homme d’affaires) et Betty Cardone.

Régulièrement, les couples se réunissent chez les Tannner à l’occasion d’un « week-end Osterman », lorsque leurs amis scénaristes à Hollywood, Bernie et Leila Osterman, viennent leur rendre visite.

Mais, une semaine avant la prochaine visite, John est contacté par l’agent Fasset de la CIA, qui lui indique que parmi ses amis, certains sont probablement des espions à la solde des soviétiques (guerre froide oblige), et auraient monté un complot pour réduire en miettes l’économie américaine. Fasset demande à John de l’aider, sans rien dire à personne, et sans changer ses habitudes de vie, à démasquer le ou les fautifs. Les amis seront informés par diverses voies qu’ils sont soupçonnés de quelque chose, et que Tanner est probablement un traître, afin que le vrai coupable se dévoile.

Contraint malgré lui, car sa famille est menacée, John se retrouve à soupçonner ses meilleurs amis, au cours d’un week-end chez lui, dans un huis-clos chargé de violence verbale et physique. Ceux-ci sont également éreintés et finalement chacun soupçonne l’autre de lui vouloir du mal. La tension est extrême, et c’est ce qui empêche de lâcher le livre : on ne sait plus qui croire !



J’avais lu cet ouvrage dans les années 90, et ne l’ai jamais oublié. Un grand Robert Ludlum, auteur de tant d’ouvrages devenus des films («La mémoire dans la peau », « Le cercle bleu des Matarèse », …). Déniché en brocante cette semaine, un excellent roman d’espionnage, court - 350 pages, qui se dévore très vite.

Dans ma jeunesse j'ai lu pas mal de Ludlum et j'en garde un bon souvenir surtout de la trilogie initiale de Jason Bourne. Tombé un peu par hasard sur cette « Trahison » l'appel du passé s'est fait sentir et j'ai plongé. Déception. Peut-être suis-je mal tombé mais à part de l'action tellement tirée par les cheveux qu'elle en devient totalement irréaliste, il n'y a aucune substance dans ce livre. La psychologie des personnages est inexistante, les tirades sur les inconvénients du respect de la vie privée sont enfantines et les prouesses des héros carrément pas plausibles. Bref j'ai pas aimé!

Quatorze ans après, Eric van Lustbader reprend le flambeau de Robert Ludlum et écrit une suite à la mythique trilogie Jason Bourne. Si ce roman est un ton en dessous de l'oeuvre originelle, il n'en demeure pas moins un thriller efficace et agréable.

Une histoire originale et intéressante, sans doute prévue pour être portée à l'écran. C'est dommage, les surhommes capables de résister à des souffrances importantes et qui continuent à se battre, qui devinent toutes les réactions du héros avant qu'il n'en ait lui-même l'idée, la surveillance quasi permanente du héros partout dans le monde… J'ai du mal à y adhérer. ça fait très superproduction hollywoodienne. Le livre reste agréable à lire avec beaucoup de de fausses routes et de rebondissements, une bonne recherche historique, mais je suis quand même déçue.

Je n'ai jamais réussi à le finir alors je ne peux pas trop bien juger ce bouquin. Pourtant l'histoire me plaisait bien. J'ai repris la lecture 3 fois en allant de plus en plus loin, mais impossible de le terminer. Quel dommage !

Cet ouvrage est une suite indépendante de "Sur la route de Gandolfo," avec les mêmes personnages principaux.

C'est un Ludlum certes, mais non un thriller... Nous sommes, comme pour son premier opus, dans la comédie, une sorte de divertissement léger au regard des ouvrages "classiques" de l'auteur, où le suspens et l'intensité dramatique règnent en maître...

Sympathique à lire, mais ce n'est pas dans ce style que je préfère Robert Ludlum.

Assurément, le moins bon des romans de la trilogie des "Jason Bourne." Une sorte de resucée des épisodes précédents...

Un livre à recommander uniquement pour passer le temps, s'il n'y a rien d'autre à lire.

Autant ce roman est documenté sur la situation géopolitique de l’époque, autant il est trop long. 200 pages de trop à vue de nez (900 en tout) ! Certes, certes, c’est l’ultime affrontement entre Jason Bourne et le Chacal, mais à se louper l’un l’autre un nombre incalculable de fois cela devient rengaine. Je ne dis pas que le roman est mauvais, au contraire, la construction est impeccable, les personnages attachants, le dépaysement est là, mais c’était quand même très long…

La mémoire dans la peau



Il s’agit de l’histoire d’un dénommé Jason Bourne qui est recueilli par un équipage d’un bateau de pêche en pleine mer alors qu’il était gravement blessé et inconscient. Il sera ensuite soigner par un médecin alcoolique alors que ses chances de survie étaient assez faibles. Un seul inconvénient à tout ça, suite à l’opération, Jason souffre d’une amnésie complète et il n’a aucune idée de qui il est vraiment. Jason suivra une réhabilitation et découvrira plusieurs de ses talents dont il ignorait l’existence. Jason constatera sa maitrise des arts martiaux lors d’une bataille générale ainsi qu’une connaissance approfondie des armes à feu Il découvre par la suite un numéro de compte de banque suisse inscrit sur sa jambe et il partira donc vers Zurich afin d’en apprendre plus sur son passé. En cours de route, plusieurs personnes tenteront de l’assassiner sans pour autant savoir qu’il sache pourquoi ses personnes en veulent à sa peau.

Pour ce qui est de mon appréciation, j’ai bien apprécié la lecture de ce roman. L’action commence dès le début de l’histoire. Ce roman est à la fois écrit avec des mots simples mais aussi très bien structuré. Il y a tout juste assez de description pour imaginer le milieu dans lequel les personnages évoluent sans trop en mettre pour éviter les longueurs. Le trop grand nombre de personnages aura été un des aspects négatif de cette histoire. Il est parfois difficile de se remémorer un personnage ayant une place restreinte dans l’histoire et cela peut parfois nous confondre car nous pouvons oublier le rôle qu’il jouait dans celle-ci.

Alexandre Vallières

Amateur de Robert Ludlum, les veilleurs de l apocalypse est a mon avis l'un de ses meilleurs livres.... En effet, il revisite la theorie historique des "Sonnenkinder", des enfants allemands concus pour la plupart durant la seconde guerre mondiale dans le but de les disseminer dans le monde entier a des postes de responsabilites, capable de prendre le pouvoir a tout instant... Mais la verite decouverte par le heros est beaucoup plus traumatisante. Meme si le debut du livre est un peu poussif, la suite est du tres grand Ludlum et l'action est menee tambour battant jusqu'a la conclusion finale qui laisse le lecteur sans voix... Un tres bon livre, ideal pour commencer la serie Ludlum...

Robert Ludlum (25 mai 1927 à New York - 12 mars 2001 à Naples, Floride) est un écrivain, un comédien et un metteur en scène américain. Il est surtout connu pour ses romans d'espionnage.

Robert Ludlum (1927-2001) bien que né à New York, a grandi dans le New Jersey. Il se destine très tôt au théâtre, mais attiré également par la carrière militaire, il s'engage avant sa majorité dans les Marines durant la Seconde Guerre mondiale. À la fin de la guerre, il reprend des études à l'université puis devient comédien et metteur en scène. À quarante ans, il se tourne vers l'écriture et devient célèbre avec ses romans d’espionnage (par exemple, la série des Jason Bourne, adaptée au cinéma depuis). Il a aussi écrit sous les pseudonymes de Jonathan Ryder et de Michel Shepherd.

Harry Latham, un agent secret américain, a réussi à infiltrer un puissant mouvement néonazi qui prépare activement l'avènement du quatrième Reich. Latham ignore qu'il a été démasqué et récupère une liste des principaux membres du groupe qui a été falsifiée par les néonazis qui y font figurer des membres influents des plus gouvernements américain, anglais et français. Quand Latham est abattu sous les yeux de son frère Drew, lui aussi agent secret, celui-ci décide d'endosser l'identité de son frère afin de faire croire aux néonazis qu'ils se sont trompés de cible. Il peut compter sur le soutien de rares collègues et d'une femme dont il devient l'amant, Karin, employée aux Renseignements à Paris. Drew découvre petit à petit la tentaculaire organisation nazie et parvient à semer la panique parmi ses membres grâce à un jeu de cache-cache et d'intox. Il s’avérera finalement que le nouveau Führer n'est autre que le mari de Karin, que tous croyaient mort. Dans la scène finale, les agents américains découvrent dans un château français des bords de Loire, un homme très âgé et vénéré par les néonazis, Adolph Hitler lui-même !

Je connaissais l’écrivain de réputation, mais je ne l’avais jamais lu, jusqu’à ce que je trouve ce roman dans une brocante. Paru en 1995, le roman Les veilleurs de l’Apocalypse avait tout pour me plaire, dans ce genre de littérature. Une histoire d’espionnage où les méchants sont incarnés par une bande de néonazis, un sujet qui fait toujours recette et qui par un curieux hasard fait écho aux récents évènements en Allemagne où un trio de néonazis a commis plusieurs crimes en dix ans contre des immigrés, sans être inquiété par la police jusqu’à ces dernières semaines. Scandale outre-Rhin et branle-bas de combat pour tenter de lier ces crimes au parti d’extrême droite du NPD.

Bref, j’étais prêt à me régaler de ce thriller contenant tous les ingrédients du genre et les premières pages semblaient conforter mon a priori. Hélas, j’ai bien vite déchanté. D’accord, l’intrigue est intéressante, mais tout le reste est lamentable ! J’en suis encore interloqué. Comment un écrivain aussi connu, peut-il écrire aussi mal ? Entre les digressions sans intérêt, les précisions qui rallongent gratuitement le texte et essoufflent le lecteur (plus de 600 pages !) et surtout, des dialogues au-dessous de tout. C’est surtout ça qui m’a dégoutté de la lecture de ce roman, sautant certaines pages je l’avoue. Si les discussions entre nazis sont plausibles, dès que les alliés (Américains, Français et Anglais) se parlent entre eux, c’est une vrai catastrophe ; alors qu’ils sont dans des scènes d’action brutale, certains s’exclament « mon cher », « ma chère », ou bien rallongent leur tirade par des traits d’humour ( ?) niais et ridicules, en tout cas complètement hors contexte. Bien entendu, il est possible que le traducteur porte une part de la responsabilité de cette horreur, mais il est d’autres indices qui me laissent penser que l’auteur est seul en cause, comme les scènes ridicules entre Drew et sa maîtresse Karin, des situations godiches etc.

Je m’attendais à un bouquin sans ambition littéraire, mais capable de me faire passer un bon moment de lecture, en fait ce fut presque un calvaire pour en venir à bout ! J’ai fait des recherches sur Internet, il semblerait que ce roman soit l’un de ses meilleurs… En tout cas pour moi la cause est entendue, Robert Ludlum ne vaut pas tripette.

En pleine guerre froide, l'histoire de deux agents secrets, l'un américain, l'autre russe, qui se détestent mortellement mais qui vont malgré tout devoir collaborer seuls contre tous, face à un terrible péril qui menace le monde...



En entamant ce livre, je me demandais si un livre d'espionnage écrit en 1979 ne ferait pas trop démodé pour un lecteur du XXIeme siècle habitué à Internet, aux téléphones et ordinateurs portables, ...



La réponse est (à ma propre surprise) non*, et c'est à mon avis toute la force de l'écriture de Ludlum qui a su écrire un roman sur une période déjà ancienne (30 ans) tout en le rendant tout aussi haletant à lire pour un lecteur de 2011.



Dans ce roman on retrouve tout ce qui fait la marque du romancier : deux héros, quadragénaires, marqués par la vie, surhommes de l'espionnage sans scrupules ayant la "Licence to kill"** facile. Une conspiration pieuvresque internationale ayant des ramifications avec la mafia, les terroristes, les grands consortiums financiers... Une romance. Une intrigue aux multiples rebondissements.

Les lecteurs assidus des aventures de Jason Bourne (un des autres héros cher à Ludlum et connu du grand public sous les trais cinématographiques de Matt Damon) ne devraient pas être dépaysés.



* Finalement ce qui fait le plus désuet c'est certains des termes employés par M. Courtois-Fourcy le traducteur. Par exemple l'abus du terme "grande fille" qui désigne ici une femme de 30 ans et qui aujourd'hui serait remplacé plus agréablement par "jeune femme"...



** "Licence to Kill" est une terminologie fleminesque qui désigne le droit de tuer octroyé à James Bond.

Celui qui veut retrouver l'univers des films, doit passer son chemin. Certes la base du livre a été reprise pour le film mais heureusement pas tout. Ici nous nous retrouvons dans une multitude d'intrigues dans les années 80 qui parfois au regard de notre monde où la technologie règne, peut paraitre assez désuet.

Il n'empêche que cela se lit plutôt bien et sans grande difficulté si ce n'est de suivre toutes les intrigues...

je n'ai pas lu les livres de ludlum mais ayant beaucoup aimé les films, je me suis dit qu'une suite faisait toujours plaisir. Je n'ai pas été déçue. C'est un bon livre. Il y a un bon rythme, on ne s'ennuie pas même si on a du mal au départ à remettre le héros dans le contexte des livres et pas des films. Jason Bourne est un peu plus vieux et moins surprenant que dans mon souvenir. Par contre, il va avoir affaire à un tueur qui lui ressemble beaucoup et leur confrontation est le fil rouge du roman.

Bonne lecture, sans prétention. On est quand même pas dans la fan fiction mais c'est pas non plus le roman de l'année.

Après les films, je me suis délecté de ce livre rempli de suspens! Jason n'a rien perdu de son agileté. J'ai bien hâte de voir le films tiré de ce livre!

Premièrement il s’agit bien d’un roman écrit par Ludlum, en compagnie de Lynds et non pas un roman écrit par un autre auteur basé sur l’œuvre de Ludlum.



Deuxièmement j’aime bien le personnage de Jon Smith. Le réseau bouclier est probablement ma série préférée de Ludlum a égalité de la série Bourne (ceux écrit par Ludlum seulement).



Troisièment, ce roman est bien, mais sans plus. J’ai été déçu par l’intrigue. C’est beaucoup sensationnaliste et farfelue comme histoire. Bref un 3.5/5. C’est quand même une bonne lecture mais rien d’impressionnant.

Roman ennuyeux, sans intérêt et pénible à lire. Ca commence par une présentation soporifique de tous les personnages (soit une douzaine), et il ne se passe RIEN pendant un quart du livre. ensuite arrive une rencontre avec un type de la CIA et là on se dit "Enfin, il se passe qq chose! Ca va démarrer!" Et puis non. A défaut d'être prenant, ça pourrait être drôle ou divertissant, mais même pas. Juste ennuyeux... Et à nouveau un autre quart du bouquin à détailler des scènes inintéressantes de harcèlement des personnages... Bref j'ai détesté et j'ai abandonné après avoir dépassé la moitié du livre (soit 180 pages sur 340).

Andrew Trevayne , chef d'entreprise prospère et respecté est sollicité pour diriger une commission d'enquête sur le lobby militaro-industriel . Il l'accepte et ouvre ainsi la boîte de Pandore : politiciens , militaires , industriels , mafieux se liguent pour faire obstacle à ses recherches . Et tous les moyens sont bons..Intrigue extrêmement bien menée qui tient en haleine le lecteur malgré la complexité des faits évoqués .Les rebondissements , coups de théâtre et retournements de veste sont légion. J'ai apprécié la lecture même si les penchants politiques de l'auteur ne sont pas ma tasse de thé . Et pour un roman de1973 il ne manque pas d'échos dans l'actualité de la vie poltique américaine.

Une députée meurt, assassinée, pendant un meeting.

Tout le monde connaît le coupable : Caïn.

Nom de code pour désigner Jason Bourne.

Mais ce n'est pas à lui.

Maintenant reste à convaincre les gens et surtout sauver sa peau...



Il faut savoir que j'adore les films "Jason Bourne" je les ai vu plusieurs fois et je ne savais même pas que de base, c'était une saga de livres lol.

Donc quand j'ai vu cette nouvelle aventure dans le programme de l'archipel je n'ai pas hésité.

Ce n'est malheureusement plus le même auteur car il est décédé mais une relève, pourquoi pas reprendre le flambeau...

Et franchement, ça a matché grave.

Vous connaissez les films d'action, où parfois c'est un peu trop invraisemblable pour que ce soit vrai ? Ou le protagoniste, s'il était constitué comme un humain lambda serait mort depuis belle lurette mais parce que c'est un agent secret expérimenté, rien ne l'arrête ? Ben on est totalement là-dedans et c'était chouette.

Addictif à souhait, ça part un peu dans tous les sens, de l'action en veux-tu en voilà, des morts semés un peu partout, des retournements de situations, des secrets bien gardés, d'autres exposés au grand jour, des complots...

Et plus encore, c'est ce que l'on découvre dans ce bouquin de 450 pages.

Je l'ai lu en deux fois, chaque pause, j'avais envie d'y revenir. C'est signe qu'il a fait son petit effet !

Encore une fois y'a des choses qui se passent qui sont trop grosses et pourtant ça passe crème mdr. Comme un bon bluckbuster qu'on ira mater au ciné. J'aime quand y'a des boom un peu partout, quand l'action ne faiblit pas, et qu'on ne souffle qu'à la fin du livre, ou du film.

Je ne connais pas la plume de l'auteur original mais Brian Freeman s'en sort à merveille. Ça me donne envie de découvrir sa plume dans d'autres histoires. Mais j'espère le retrouver dans une suite de celui-ci, je me dis qu'avec la fin ouverte, y'a ptête une chance de les revoir !

On retrouve donc l'adn de Jason Bourne, son caractère, ses hésitations, sa froideur mais aussi sa bienveillance, sa gentillesse et son humanité. Oui, même si c'est un tueur. C'est ce que j'aime dans ce perso, toute cette ambivalence, la machination autour de lui, les abus que lui ont fait subir plusieurs agences secrètes pour leur seul profit mais la manière dont il s'en détourne et se révolte, seul.

J'ai aussi beaucoup aimé Abbey, sa présence auprès de Jason a ramené un petit truc en plus, pas déplaisant, son métier de journaliste aurait pu être encore plus exploité je trouve mais ça reste une valeur ajoutée à l'intrigue.

On a voyagé de Québec, à New York, des Îles à l'Écosse et c'était très immersif à chaque fois. Je ne peux que saluer l'imagination de l'auteur et tous les détails qu'il a mis dans le livre pour nous permettre cela.

En bref, c'était franchement top, je vous le conseille pour sortir un peu des suspense "lambda" aka les enquêtes pour arrêter un tueur. Vous trouverez votre compte d'adrénaline aux côtés du fameux Jason Bourne !
Lien : https://tchusspeacekissloval..

~ Avez-vous lu ou regardé Jason Bourne?



~ Je n’ai lu aucun des livres précédents mais j’ai visionné tous les films… Ce dernier tome est dans la lignée de ce qu’on a déjà lu ou vu. J’ai passé un super moment de lecture avec plein de suspens, de rebondissements, de trahison, de craintes, de secrets… comme dans un bon film …



~ Un bon thriller bien ficelé avec lequel on ne s’ennuie pas. Et c’est toujours mieux quand on s’attache aux personnages !!!



L’avez-vous lu? Vous donne t’il envie?


Lien : https://www.instagram.com/p/..