Saki Aikawa

On retrouve le triangle formé par Himari, Keita et Saeki dans ce troisième tome de He is a beast ! Malgré les efforts de Keita pour l’éloigner de Himari, Saeki continue de se rapprocher de la jeune fille, tandis qu’elle-même voit son affection envers son nouveau frère grandir, au point de surpasser l’antipathie initiale qu’elle éprouvait pour lui.



Après deux tomes plutôt moyens dans l’ensemble, ou en tout cas sans grande originalité, on progresse un peu ! Pour être franche, je ne m’attendais pas à ce que la relation entre Keita et Himari progresse si vite. Certes, ils se sont avoués une partie de leurs sentiments à la fin du tome précédent, mais je pensais qu’ils allaient continuer à tourner en rond un moment (comme dans tout shojo qui se respecte, et pas pour le mieux…) avant d’admettre ce qu’ils ressentent véritablement.



Eh bien non ! Enfin un bon point à mettre au crédit de ce manga. Évidemment, il a son pendant négatif, c’est-à-dire Saeki. Déjà que je ne trouvais pas le personnage spécialement intéressant depuis le début de l’histoire, il est encore plus relégué au second plan, dans tous les sens du terme, puisque Himari réalise qu’elle préfère la compagnie de Keita à la sienne.



Autre reproche que je pourrais faire à ce tome : les « heureux » hasards, notamment en ce qui concerne l’ancienne maison de Himari. Quelle chance y avait-il pour qu’elle découvre… eh bien, ce qu’elle découvre pile au moment où elle décide d’y retourner ? Et en même temps, cela apporte des scènes touchantes axées sur sa famille, passée aussi bien que présente.



On en apprend également plus sur celle de Keita dans un chapitre bonus, ainsi que sur son enfance et ce que dissimulait sa méchanceté à l’égard de Himari. Au fond, il n’est pas mauvais, c’est juste une façade qu’il se donne, et qui continue de se fissurer peu à peu.



J’ai hâte de lire la suite, en espérant qu’elle continue sur cette voie positive, mais j’ai le sentiment que, avec neuf tomes restants, on ne va pas couper au triangle amoureux, d’autant que les sentiments de Himari et de Keita vont être compliqués par leurs liens familiaux. Quoique, cela n’empêche pas de leurs condisciples d’imaginer déjà certaines choses entre eux…
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Dans ce deuxième tome de He is a beast !, le secret que Himari tenait absolument à préserver est dévoilé au grand jour, par nul autre que Keita lui-même. Tout le monde sait désormais qu’ils sont frère et sœur, et la plupart des filles n’hésitent pas à se servir de Himari pour tenter de se rapprocher de celui qu’elles considèrent comme leur prince charmant. La jeune fille, en revanche, n’a toujours d’yeux que pour Saeki…



Le début de ce tome m’a soulagée. Je trouvais les cachotteries de Himari stupides, et l’intervention finale de Keita m’avait donné à craindre de voir arriver un autre cliché du shojo : quand le badboy présente l’héroïne comme sa petite amie, qui se retrouve tout en émoi. Heureusement, cet écueil est évité par l’aveu de la vérité… pour survenir dans un autre contexte quelques pages plus loin. Et on lève les yeux au ciel !



Ce manga est vraiment très mal dosé, parce que s’il y a du mauvais, il y a aussi du bon. J’aime toujours beaucoup le personnage de Keita, alors que Saeki continue à me laisser de marbre. Quant à Himari, elle a tendance à se mettre dans des situations impossibles… L’héroïne nunuche par excellence.



Mon avis sur cette œuvre reste pour le moment mitigé. Les éléments prometteurs se noient parmi les clichés, et je regrette que l’auteur ne parvienne pas à s’en détacher. Je continue néanmoins à garder espoir pour la suite, que le bon l’emporte sur le médiocre.
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He is a beast ! est un shojo en treize tomes signé Saki Aikawa. L’histoire est celle de Himari, une adolescente qui doit retourner dans son ancienne école à la suite du remariage de sa mère. Là-bas, elle retrouve Saeki, son premier amour, mais aussi les garçons qui l’embêtaient enfant, notamment Keita… qui s’avère être son frère par alliance.



Ce premier tome n’est pas spécialement prometteur. Il manque d’originalité et regroupe toutes les scènes déjà vues et revues dans d’autres shojo. L’héroïne n’est pas attachante, Saeki est le beau et gentil garçon par excellence, et Keita le badboy avec qui, évidemment, on voit se former à des kilomètres un triangle amoureux.



Et pourtant, au fil des pages, j’ai commencé à m’attacher à Keita, qui est de loin le plus intéressant du trio. Le plus développé, peut-être aussi, et le plus cohérent. Certes, il a des sautes d’humeur, mais elles se comprennent mieux que celle de Himari, qui prétend vouloir faire des efforts, être une famille, mais qui opère des volte-face pour un oui ou pour un non.



D’ailleurs, je n’ai pas compris pourquoi elle tenait tant à garder le secret sur le fait qu’ils vivent ensemble. Révéler à tout le monde qu’ils forment une famille recomposée aurait été le meilleur moyen d’éviter les rumeurs au lieu de les accumuler, surtout quand on voit la façon dont se conclut le tome… Si Himari voulait s’épargner les foudres de la gent féminine, c’est encore plus raté !



Pas un shojo particulièrement engageant, donc, mais pas totalement dépourvu d’intérêt non plus. J’attends la suite, en espérant qu’elle s’améliore, pour me faire une meilleure idée de cette œuvre. Les pdessins, sans être exceptionnels, sont agréables.
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J’adore toujours autant l’histoire et les deux personnages, en revanche je trouve qu’Himari est un peu énervante à ne pas savoir ce qu’elle veut, mais parfois cela la rend mignonne à sa manière. C’est une série qui a un sacré potentiel. J’ai très envie de connaître la fin.

Saki Aikawa a un style graphique tout de suite reconnaissable avec les yeux très grands de ses héroïnes et ses héros très beaux aux visages bien distincts, ici Saeki et Keita. L'histoire est un peu en deçà : rien de très neuf et on retrouve un triangle amoureux ainsi que l'aspect vaguement incestueux (puisque le père du héros a épousé la mère de l'héroïne) communs à d'autres shojos. Mais c'est bien amené, plutôt rythmé et la mangaka s'amuse à varier les points de vue : dans ce tome-ci, on revoit les événements sous l'angle de Saeki à la fin. L'ensemble se lit vite et reste divertissant.

Une jolie couverture que j'avais vue sur Instagram. Comme "l'heure des secrets" est un one shot, je me suis laissée tenter. Au final, les dessins sont effectivement jolis mais l'histoire n'est pas à la hauteur : quand l'héroïne met des lunettes, le garçon l'appelle "intello" et quand elle les enlève, il ne la reconnaît pas et la trouve sexy au point de lui demander de lui assurer un rencard avec sa copine sexy qui n'a pas de lunettes...



Je me demande d'où vient cette idée que porter des lunettes rend intello.

Loïs Lane, sors de ce corps !




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C'est dommage que cette série ne fasse que trois tomes l'univers aurait pu être plus approfondi sur les démons et sur les différentes familles qui entoure Sayoko certe la fin est très prévisible et j'avais deviné depuis le début qui était réellement Shigure par ses répliques et les indices de la mangaka mais on a plus d'action et d'intrigues liés aux démons.



Une série qui reste agréable même si dans ce genre on peut trouver mieux.

On en apprend plus sur les démons et sur le fiancé de sayoko qui est vraiment horrible et un nouveau personnage central fait son apparition.



La relation entre les deux protagonistes s'améliore rendant plus confuse sur ses sentiments akari sur Shigure même si on sait qu'ils font finir ensemble c'est un shojo et la famille shinonome.



Un tome agréable à lire pour son contexte plus important que dans le premier tome.

J'ai apprécié ce tome étant habitué aux mangas et au style de la mangaka saki aikawa.



On se retrouve dans un manga fantastique avec la mythologie sur les démons après cela reste un shojo donc on a une romance comme le titre l'indique mais le contexte est appréciable et même si comme pour ses autres mangas les personnages sont dessinés de la même façon.



Le personnage Akari est agréable ce n'est pas une fille passive et Shigure est mystérieux mais intriguant.



Après il ne faut pas s'attendre à un univers sur les démons très développé car on n'a que trois tomes c'est dommage.

Je ne suis pas très familière des mangas. Je n'ai lu que Rabbit Doubt jusqu'à présent.



Alors je pense que He is a beast était plutôt une bonne lecture pour prendre mes marques.



L'histoire est un peu prévisible, mais étant donné que cela s'adresse majoritairement à un jeune public, cela fonctionne.



Cela m'a rappelé ma période lycée, avec ces petits flirts, les regards des garçons et tout ce qui va avec, (vous savez ces minis questions existentielles qui deviennent une super montagne infranchissable) c'est que le sujet est bien maîtrisé.



La couverture et certains dessins ne correspondent cependant pas à la tranche des 13 ans, je pense. Mais c'est un avis complètement personnel.



Les dessins me semblent être réussis, les expressions sont bien gérées! (Je rappelle que je n'ai finalement que les BD pour comparer).



J'ai apprécié les notes et anecdotes de l'auteur ça et là. Je ne sais pas si cela se fait fréquemment dans les mangas, mais ça donne une impression de proximité agréable, surtout pour le public "jeunesse".



Et puis... prise dans l'histoire j'irai acheter les tomes suivants !

Plus banal tu meurs. Une lycéenne qui n'aime pas les beaux garçons se retrouve dans la classe de deux jumeaux "canons". Par un ensemble de circonstances, elle va devoir faire semblant de sortir avec le jumeau grognon. On sait comment ça va se finir, comment vont évoluer les personnages. Ça se lit, mais ça suit les mêmes schémas, les mêmes stéréotypes avec un mec toxique au possible (mais sûrement traumatisé par une ex copine ou une autre raison bidon). Quelle originalité.

J'ai craqué sur ce manga à cause de la superbe couverture, et j'avais envie d'un shôjo avec un côté fantastique. Ce premier opus m'a énormément plu, c'est drôle et addictif. Dès la première page, on est propulsé dans le quotidien de Koharu, cette jeune fille qui a le don de pouvoir soigner les entités spirituelles. Elle a en hérité par sa grand-mère. Koharu est une héroïne avec pas mal de caractère et elle en aura besoin pour tenir tête à Iori, un esprit-renard égocentrique qui va faire d'elle sa fiancée...



Je ne vais pas y aller par quatre chemins, j'ai A-DO-RÉ ce premier tome. De A à Z ! J'ai été séduite d'entrée de jeu par le coup de crayon de Saki Aikawa. Beaucoup d'humour, beaucoup de chibi et j'adore tellement quand c'est le cas. L'histoire est vraiment intéressante, le personnage d'Iori rend l'ensemble surréaliste et j'ai beaucoup aimé sa personnalité borderline. Iori est vraiment craquant ! C'est un héros qui a du charisme et qui s'attache très rapidement à Kaharu.



L'aspect fantastique est bien amené, j'ai trouvé l'ambiance agréable, cette lecture nous offre vraiment beaucoup d'humour, des situations décalées et hilarantes. Malgré cette légèreté, la mangaka arrive à conserver une intrigue solide avec des thématiques bien exploitées.



Ce tome introduit l'univers, on s'attache aux personnages et on se délecte des graphismes très détaillés. Je suis sous le charme, c'est indéniable. Comment ne pas l'être avec un duo de héros avec une alchimie intense. La relation se met en place rapidement, mais cela ne m'a pas gêné. C'était drôle de voir Iori s'incruster dans la vie de Koharu. C'est qu'il est têtu le renard !



En bref, totalement conquise par ce premier tome, j'attends la suite avec impatience. Je découvrais le coup de crayon de Saki Aikawa et je suis tombée amoureuse de son style. Je ne peux que vous recommander ce premier tome si vous aimez les shôjos drôles avec une pointe de fantastique.
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un tome vraiment mignon et j’apprécie vraiment l’histoire

un tome vraiment mignon et j’apprécie vraiment l’histoire

un bon tome et je commence à apprécier vraiment l’histoire.

je trouve que c’est un tome intéressant même si ça tourne en rond, mais ça commence à vraiment se mettre en place. J’adore Ogami

☼ Résumé ☼





Shizuku a comme projet de retrouver Kaede pour se réconcilier, mais un événement inattendu va bouleverser leurs plans.

Il n'a pas d'autres choix que de rester enfermés chez lui à attendre que son frère arrive.

Mais le temps passe et la situation devient très rapidement compliquée pour Kaede qui souhaite juste prévenir Shizuku de son retard.

Malheureusement, celle-ci ne prend pas la peine de répondre à ces messages, ce qui l'inquiète encore plus.

À cause d'un oubli de téléphone, Shizuku doit attendre son petit ami... Mais l'attente lui crée de nombreux doutes ... " Est-ce que Kaede m'aime encore ? ".







☼ Mon avis ☼







Dans ce huitième tome, on peut apercevoir que la couverture reste assez triste puisqu'elle représente la relation actuelle de Shizuku et Kaede.

Les illustrations sur la jaquette montrent l'ambiance de ce tome, les situations sont souvent très confuses, les personnages sont vides, leurs disputes détruisent leur relation.

Cet ouvrage plombe le moral que ce soit pour le lecteur ou bien pour la créatrice qui à la fin du livre explique que l'intrigue paraît un peu bizarre et sombre mais cela risque de durée un certain temps.

L'autrice n'est peut-être pas habituée à réaliser pendant une longue période des scènes assez dramatiques.

Dans le tome précédent, j'avais trouvé quelques petits bémols, qu'on retrouve également dans celui-ci comme par exemple les expressions des visages qui sont toujours aussi passifs, les nombreuses trames qui essayent de remplir le manque de décors.

Je dois préciser que Saki Aikawa a inséré un peu plus de décoration dans ces cases mais ça reste encore assez vide.

Il est difficile pour moi d'apprécier ce huitième tome. Quand l'histoire, elle tourne en rond.

Les dialogues sont très courts, ce qui donne une lecture très rapide mais finalement, on n'apprend pas grand-chose, il y a aucune évolution ... l'autrice pourrait même faire plus de soixante tomes si elle voulait

Tout est rempli de clichés et de stéréotypes.

Mio est un personnage qui sert juste à dégrader le couple et à profiter des différentes situations.

Malgré mes notes négatives ça ne m'empêche pas d'être contente d'avoir des posters ou bien différents goodies de la série, comme je vous l'ai dit, j'adore certains personnages et c'est d'ailleurs pour ça que je continue la série puis au bout d'un certain nombre de tomes on s'attache aux personnages malgré les nombreux défauts.

Je conseille cette série aux personnes qui sont fans des shôjos avec des amourettes remplis de clichés.

Je la déconseille aux personnes qui ne veulent pas dépenser de l'argent pour une longue série, car celle-ci n'a rien d'innovant, si vous cherchez une relation mature et plus fondée passer votre chemin.
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Le tome sept de Be-twin You & Me retombe très rapidement dans les clichés et les stéréotypes.

Pourtant le tome cinq avait redressé le niveau de la série mais plus l'histoire avance, plus je trouve que l'intrigue tourne en rond et ne nous propose rien d'intéressant.

Il n'y a pas assez de recherche, les quelques idées implantées manque complètement de profondeur.

Je n'ai ressenti aucune émotion, sauf le personnage de Kaede qui lui reste assez crédible.

Les dialogues ne sont pas assez poussés, dans l'ensemble, plein de choses manquent d'appui et de réflexion.

Pour moi ce septième tome n'a rien de naturel ceux qui empêchent d'apprécier quoi que ce soit.





En conclusion : Seul un personnage remonte le peu de niveau de la série.
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Shizuku se trouve devant un dilemme, dire la vérité et risquer de s’éloigner de Kaede ou lui mentir pour essayer de le protéger… Mais comme souvent lorsqu’on se retrouve devant ce genre de dilemme, le choix de Shizuku va se retourner contre elle…

Serait-ce le début de la fin ?



J’ai dévoré ce 8ème tome ! Shizuku qui voulait s’excuser se retrouve malgré elle a compliquer la situation. Et pourtant une lueur d’espoir était toujours présente jusqu’à… Ce qu’une tierce personne vienne encore plus compliqué l’histoire. En effet Shizuku et Kaede se mettent chacun à douter car ce qu’il voit de l’autre les font penser à croire qu’ils ne s’aiment plus. Personnellement j’ai juste envie d’intervenir dans l’histoire pour tout régler, je ne sais pas si pour vous c’est pareil ! *rires* Maintenant, je sens que le prochain tome risque d’a la fois compliquer l’histoire mais je pense qu’il y aura aussi de la réconciliation dans l’air ! Ce tome est assez triste car on ne voit presque jamais Shizuku ensemble, et on voit qu’ils se sont éloigner. Alors j’espère que la suite sera plus joyeuse !



Ma note : 18/20 La guerre a débuté entre plusieurs personnages, mais qui en seront les véritables gagnant ?...

#Frimousse
Lien : https://lecturesdefrimousse...

Un autre tome agréable à lire malgré le côté agaçant des deux héros qui n'arrivent pas se comprendre et qui au final n'arrivent qu'à se faire souffrir...