Citations de Satoru Noda (93)
- Tu apprendras que le bonheur ne tombe pas du ciel ! Pour s’en saisir, il faut faire preuve d’audace !
Les rêves, c’est personnel !
« Combattre pour ses compatriotes au péril de sa vie »… C’est ça, l’ambition de tout bon militaire !
Résister de toutes mes forces, puis m’embourber dans les tréfonds du désespoir… Pour être enfin massacré comme l’a été mon petit frère !!
- Les vieux ours mâles, eux connaissent la vie… Ils évitent le bagarres inutiles ! Au premier signe de présence humaine, ils prennent le large peu importe leur force ! Si tu veux mon avis, à la guerre, on devrait mettre les vieux en première ligne… Avec ou sans ordres, ils refuseraient de se battre, la situation s’enliserait, et au bout du compte tout le monde finirait par rentrer chez soi.
Disposer de cinq coups… C’est croire qu’on a cinq chances, ce qui est une grave erreur. Rater la première, c’est la garantie de se faire tuer. Une seule balle dans le canon, ça force à viser juste.
Tôt ou tard, il faudra affronter les hommes de la 7e division… On n’arrivera à rien sans les tatouages qu’ils détiennent ! Les temps ont changé, l’ancien ! Tu comptes la combattre comment, l’armée impériale… avec ce katana que tu portes à la ceinture ? Et pourquoi pas ? Quand on est un garçon, il n’y a pas d’âge pour jouer à l’épée !
La magie de l'or finit toujours par rendre fou !
C’est pas toi qu’on appelait « Sugimoto L’immortel » ? Il paraît que tu te battais comme un diable, là bas… que si un jour une blessure te clouait au lit, le lendemain, tu gambadais en première ligne comme si de rien n’était…Et qu’aucun coup de baïonnette, de mitrailleuse ou de canon ne suffisait à te déquiller ! C’est vrai toutes ces histoires ?
- Si l'ennemi a visé la jambe, c'est dans l'espoir qu'on se mettre à découvert pour aller sauver le blessé... C'est une ruse typique des tireurs d'élite !
Parfois, exprimer ce qu’on garde bien en soi soulage l’esprit...
« Wilk » : en polonais ce mot signifie « loup » !
Tous les peuples sont pour la paix, aucun gouvernement ne l'est.
Chez les Nanaïs, le tigre est un dieu… quiconque en tue un est condamné à une vie de malheur.
C’est par l’harmonie qu’on forge le respect.
Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué !
Un homme qui prend les armes par colère n’a pas l’étoffe d’un tireur d’élite. Pour en être un, il faut avoir le sang froid et nourrir une passion pour la traque et le meurtre.
Changer de dieu, ça signifie aussi changer de vie...
Méfiez-vous, un traître retourne toujours sa veste deux fois !
Les chiens, c’est comme la famille !