Ici, à Sapporo, on cherche l'or
Toujours pas de récapitulatif en début de lecture, il va donc falloir s'accrocher.
Ce volume compte 10 épisodes (de 241 à 250).
Le 241 est de toute beauté, tendre et nostalgique. Ashirpa et Sugimoto admirent le retour du printemps et la floraison des cerisiers, des ifs et "arbres à sang". Voici les écureuils volants, la constellation de l'arche, de l'ourse à longue queue, du loup...
Ces moments de grâce ne vont pas durer. Alors qu'Ashirpa se demande si Sugimoto s'éloignera d'elle une fois l'or retrouvé, les voilà pris dans une opération d'abattage massif d'arbres. C'est l'irruption de la modernité. En l'an 40 de l'ère Meji (1907), l'augmentation de la population d'Hokkaido entraine la déforestation et la chasse intensive qui font fuir les kamui des ancêtres.
Le reste du récit alterne les scènes habituelles de luttes entre la 7ème compagnie du lieutenant Tsurumi et le clan Hijikata, les révélations sur certains personnages, l'apparition d'un nouveau tatoué et aussi, hélas, un épisode inutile montrant Jack L'Eventreur faisant du tourisme chirurgical à Sapporo.
Ce tome 25 n'est pas infamant, mais pas un grand cru non plus.
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Ouf, l'auteur a redressé la barre du n'importe quoi même si on avait déjà fait connaissance avec le dégoûtant "détective" dans le tome précédent. L'histoire est redevenue normale, axée sur la quête du trésor aïnou. Pour une série aussi longue, j'aurai aimé un petit résumé en début de tome, surtout avec la tête des nombreux personnages et leurs affiliations. Dommage que ça ne se soit pas imposé pour l'auteur comme une évidence à ce stade de l'histoire. Ce tome prépare à un prochain volume riche en action !
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Satoru Noda reprend du poil de la bête avec ce titre, délaissant la nostalgie et l’apprentissage culturel pour revenir à un débordement d’action !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Un volume remarquable qui nous en met plein la vue et surtout nous annonce une suite encore plus grandiose!
Lire la critique sur le site : MangaNews
Les rêves, c’est personnel !