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Critiques de Sébastien Lapaque (116)
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Ce monde est tellement beau

J'ai beaucoup aimé le début en lisant d'une traite les cent premières pages.

J'ai trouvé le reste moins entraînant, et certains personnages, notamment le père de Lazare et sa belle-soeur un peu caricaturaux.

Autrement, j'ai beaucoup aimé les thèmes explorés (la nature, la spiritualité, les rapports familiaux).
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Trois jours et trois nuits

A la découverte de ce livre, je me suis dit mais quelle bonne idée, envoyer des écrivains quelques jours en retraite auprès des chanoines de Lagrasse. Au final un recueil d'une quinzaine de récits sur cette expérience, inédite pour certains. Forcément sur le nombre certains textes m'ont bien plus et d'autres beaucoup moins...

J'aurai aimé un peu plus d'émotion et de profondeur et un peu moins d'analyse et d'exercice de style.

Néanmoins un bel ouvrage et une belle brochette de textes.
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Trois jours et trois nuits

Ce livre fait froid dans le dos. La couverture médiatique de ce livre a été énorme mais ne cache pas la pauvreté des textes qui y sont compilés. Le pire de tous est celui de Sylvain Tesson qui fait du style sur sa détestation du monde moderne. Il a tellement peur de la vie qu'il prédit et espère le pire : "le retour des anciens jours". Non pas une amélioration de la vie actuelle, ni des solutions pour résoudre nos problèmes, non : la guerre civile (les moines de Lagrasse sont des soldats) et le retour aux âges sombres.

Un livre réactionnaire qui plaira à ceux qui suivent Eric Zemmour.
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Ce monde est tellement beau

Sébastien Lapaque est un romancier et essayiste singulier dans le monde des lettres : spécialiste du grand Georges Bernanos, il partage avec son maitre un gout pour l’intransigeance morale et la défense de la dignité humaine. Ce monde est tellement beau, son dernier roman publié aux éditions Actes Sud est l’histoire de Lazare, un professeur d’histoire-géographie sérieux et sans ambition matérielle particulière dans lequel beaucoup de lecteurs pourront se reconnaitre. Quitté subitement par sa compagne Béatrice avec laquelle il n’est pas parvenu à avoir d’enfant – ce qui a cristallisé les échecs du couple -, bouleversé par la mort d’un collègue de travail dont il était proche et frappé par la révélation de ce qu’il appelle « l’Immonde », il entreprend par la force des choses une sorte de pèlerinage intérieur l’emmenant vers de nouveaux espaces qui remettent profondément en cause ses mécanismes existentiels. Cette histoire très contemporaine de descente aux enfers et de renaissance spirituelle rappelle évidemment la « trilogie de la conversion » de Huysmans. L’observation sociale de Sébastien Lapaque est aigue, critique et brutale, la narration entraine bien le lecteur depuis ce mal du siècle qu’est l’indifférence ou la résignation vers la joie de se sentir à nouveau vivant et libre des convenances héritées de nos milieux, de nos familles. Une lecture fluide et remuante qui est finalement une belle réussite.
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Les sept péchés capitaux : Gourmandise

Ce recueil a le défaut de ses qualités. Il balaye large dans les genres et les formats. On est donc sûr de ne pas tout aimer et dans le même temps à peu près sûr de trouver au moins un texte auquel on accroche. J'ai trouvé mon compte avec Rabelais et Scarron.
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Les sept péchés capitaux : Luxure

Ce recueil a le défaut de ses qualités. Il balaye large dans les genres et les formats. On est donc sûr de ne pas tout aimer et dans le même temps à peu près sûr de trouver au moins un texte auquel on accroche.

Un recueil bien sage au regard de sa thématique, Sade a dû se perdre en route.
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Les sept péchés capitaux : Colère

Ce recueil a le défaut de ses qualités. Il balaye large dans les genres et les formats. Epopée (Virgile), théâtre (Racine, Corneille), essai (Michelet), poésie (Blake), nouvelles (Bloy), etc., il y a de tout. On est donc sûr de ne pas tout aimer et dans le même temps à peu près sûr de trouver au moins un texte auquel on accroche.
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Les sept péchés capitaux : Paresse

Ce recueil a le défaut de ses qualités. Il balaye large dans les genres et les formats. On est donc sûr de ne pas tout aimer et dans le même temps à peu près sûr de trouver au moins un texte auquel on accroche.

11 textes d'auteurs français sur les 13 que compte l'ouvrage. A croire que nous sommes les champions de la paresse !
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Les sept péchés capitaux : Avarice

Ce recueil a le défaut de ses qualités. Il balaye large dans les genres et les formats. Théâtre, conte, roman, lettres, traité, il y a de tout. On est donc sûr de ne pas tout aimer et dans le même temps à peu près sûr de trouver au moins un texte auquel on accroche.

Des sept volumes, un de mes préférés grâce à Dumas, Molière, Horace et Balzac.
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Trois jours et trois nuits

Quatorze écrivains entrent à l'abbaye Sainte-Marie de Lagrasse. Il y a ceux qui croient, ceux qui se déclarent athées, d'autres agnostiques.

Trois jours et trois nuits d'une présence discrète, silencieuse et agrémentée d'échanges.



Réfléchir au sens de la vie consacrée de ces frères.

Se laisser porter par les chants. Accueillir les notes et le latin des offices, le rai de lumière qui transperce le vitrail. Observer le ballet des déambulations. Se laisser prendre par un nouveau rythme.



J'ai beaucoup aimé :

-les mots de Jean-René Van der Plaetsen.

-l'humour de Frédéric Beigbeder -le tranchant de Franz-Olivier Giesbert et Pascal Bruckner.

Les témoignages de Boualem Sansal et Simon Liberati sont ceux qui m'ont le plus émue.

Des textes qui redisent la puissance et la nécessité de l'exigence et du beau. Certains évoquent leur enfance tandis que d'autres se focalisent sur les psaumes. Des mots pour dévoiler l'intimité de son cœur, de son enfance et s'interroger sur la vie de Jésus.



Ces hommes sont venus et ont été accueillis tels qu'ils sont.



Ils nous laissent un témoignage de leurs réflexions, de ce qu'a suscité en eux leur présence et celle des chanoines. Les murs, la solitude, la clôture, le silence, permettent au corps et à l'esprit d'accueillir ce temps présent, ce qui se révèle et aussi de se souvenir. S'abandonner à ce que l'on y trouve, accueillir ce que l'on ressent.



Une très belle lecture
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Ce monde est tellement beau

qu'est-ce que j'ai dû lutter pour finir cette lecture ! plutôt enthousiaste dans les premières pages, et face à cette découverte de l'Immonde qui se tapit partout dans les recoins du quotidien : ça me parle, je vois bien de quoi il s'agit. mais je suis vite agacée par la grandiloquence des propos, et ce que je perçois comme une suffisance, une forme de mépris pour le reste de l'humanité qui n'a pas eu la même Epiphanie. parallèlement, j'ai du mal à suivre l'évolution du narrateur, à suivre ses prises de conscience et son éveil à la foi. tout cela m'a semblé au final trop cérébral pour réellement me toucher. idéalement, il faudrait que je le relise à un autre moment, quand je serai peut-être plus disponible pour accueillir ce que ce roman a à m'offrir, mais il y a tellement d'autres livres qui m'attendent !
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Les barricades mystérieuses

Ce qui m’a attiré en premier lieu dans ce premier polar de Sébastien Lapaque c’est la préface de Frédéric-H. Fajardie.



Je ne comprenais pas comment Fajardie venait s’imbriquer là dans ce roman noir. Et puis j’ai compris que nos deux auteurs étaient simplement amis et que le plus ancien des deux avait incité l’autre à écrire. Et je me suis souvenu aussi que Fajardie avait des valeurs fortes comme l’amitié et que bien souvent il aimait à sympathiser au-delà de ses oppositions idéologiques ou historiques.



Mais alors « Les Barricades mystérieuses » ça raconte quoi :

Qui donc est ce Maranges qui débarque en pleine nuit chez son ami Neubourg pour lui confier d'épaisses liasses de billets ? Le simple chroniqueur hippique marron de Paris-Matin, le journal où tous deux travaillent ? Un souteneur ? Un joueur endetté ? Un indic ? Et pourquoi disparaît-il aussitôt, obligeant Neubourg à partir à sa recherche, à côtoyer une faune dangereuse aux intérêts obscurs, et à affronter toutes sortes de tueurs, des demi-soldes aux plus dangereux des ripous ?



On retrouve ici la violence et la désillusion thèmes chers à Fajardie.

Ce premier roman se veut un roman autour du thème de nos faiblesses, de nos échecs, de nos failles. Ce roman met en scène le naufrage des illusions humaines et raconte les lendemains qui déchantent. Un polar noir aussi à la violence glaçante

Un impeccable polar, au désenchantement radical. J’ai été aussi bluffée par le style élégant de l’auteur qui souligne avec malice la vacuité de nos existences. Alors oui je comprends mieux pourquoi Fajardie a poussé Lapaque a écrit du noir.

Un polar à découvrir et faire découvrir



Ah oui, et tant que je vous tiens, peut-être puis-je vous conseillais de relire Frédéric-H. Fajardie.

Et si vraiment vous ne connaissez pas, je vous propose deux courts romans que vous devriez facilement trouver en poche mais il y en a d’autre aussi : « Bleu de méthylène », L'aventure d'un tueur psychopathe et d'un flic mélancolique qui l'un et l'autre sont des paumés coincés par un quotidien exténuant et leur mal de vivre. Ou encore « Tueurs de Flic » Le commissaire Antonio Padovani est forcé de démissionner. Mais avant cela, il enquête sur des tueurs de policiers sanguinaires.


Lien : https://collectifpolar.com/
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Ce monde est tellement beau

Pour moi, ce roman est vraiment trop complexe. Le titre me plaisait. Pour résumer, c’est un catalogue de ce qui ne va pas aujourd’hui dans le monde mais c’est aussi un cheminement spirituel pour aller vers le mieux. Un dimanche de février en se rasant devant la glace, Lazare, le narrateur a une révélation et « sur ce monde tellement beau, s’en est glissé un autre, un monde injuste, atroce, agité, capricieux, narcissique, infernal, cruel, infantile, cupide, un monde criblé par l’angoisse et par le malheur, un monde qui n’est plus tout à fait un, un monde malade de l’avoir, un monde qui mérite un autre nom : l’Immonde ». Le thème m’aurait bien plu mais l’écriture, le style sont trop intellectuels. Je n’ai eu aucune émotion à cette lecture. YR
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Mon prof, ce héros

Une vingtaine d'auteurs nous offre des souvenirs d'école et rend hommage au métier d'enseignant, bien souvent au travers d'un maître ou professeur. Ces récits montrent à quel point le rôle de l'enseignant se révèle important, il ne s'agit pas seulement de transmettre un savoir mais aussi de guider, accompagner, éclairer, éveiller, encourager... la liste pourrait être longue. Cependant, les temps ont bien changé depuis la jeunesse de ces auteurs et ces récits, tour à tour savoureux et touchants, sont déconnectés de la réalité du métier d'aujourd'hui où l'enseignant passe davantage de temps à éduquer, encadrer, supporter... Mais j'ose espérer qu'il restera toujours des élèves "avides de connaissances" tels qu'ils sont décrits dans un texte et que l'enseignant saura toujours marquer les esprits du plus grand nombre possible de ses élèves de quelque manière que ce soit.
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Sermon de saint Thomas d'Aquin aux enfants ..

Avis partagé sur ce livre au titre qui aiguise la curiosité. Si l'auteur connaît bien son sujet et saint Thomas d'Aquin, si la mise en scène est originale, je reste un peu déçue et sur ma faim. Néanmoins il m'a donné envie de plonger dans la Somme Théologique de Saint Thomas d'Aquin. Après tout c'était peut-être l'objectif !
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Le goût de Rio de Janeiro

J'ai entamé une nouvelle collection de petits livres sur "le goût des villes" avec Lisbonne et je poursuis avec Rio de Janeiro.

« le Goût de Rio de Janeiro » est un recueil de textes extraits d'ouvrages très différents qui me convient parfaitement. C'est un appel au voyage sous forme de guide littéraire. Je l'ai lu en vacances à Rio de Janeiro et ce direct-live m'a permis d'apprécier la qualité de la sélection de textes réalisée et présentée par Sébastien Lapaque. Il réussit à nous faire partager sa passion pour apprécier et se rendre disponible à l'esprit du lieu. Il cherche à nous montrer le charme de Rio de Janeiro qui, sertie d'une magnifique baie, entre mer et montagne, mérite son surnom de « ville merveilleuse ».



Ce que j'ai particulièrement apprécié c'est le parti pris de Sébastien Lapaque de sélectionner une majorité d'auteurs français car depuis le 16ème siècle jusqu'à nos jours, ils sont nombreux à y être allés : d'André Thévet à Jean-Christophe Rufin, en passant par Blaise Cendrars et Claude Lévi-Strauss. Il m'a d'ailleurs donné envie de créer une nouvelle liste (Les écrivains français de Rio de Janeiro, bientôt sur Babelio), en complément des 5 listes sur le Brésil, donc plus généralistes, déjà présentes sur le site.

Les commentaires de Sébastien Lapaque sont vraiment enrichissants et variés. le format est petit et les extraits sont assez courts mais on y trouve la substantifique moelle de la littérature de voyage. Et puis, cerise sur le gâteau, il y a quelques conseils de visites à la fin du livre qui ne sont pas sans intérêt.





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Les grands duels qui ont fait la France

Les grands duels..., pour singer Malraux, c'est l'intrusion du western dans le roman national.


Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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Les grands duels qui ont fait la France

Probablement n'était-ce pas l'intention des auteurs, mais la longue description de ces combats toujours plus destructeurs finirait presque par se lire comme un plaidoyer pour une VIe République, version Montebourg et consorts.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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La convergence des alizés

Je remercie Entrée et Livre et de m’avoir inclus dans son panel de lecteurs VIP pour cette opération de la rentrée littéraire "Coup de cœur des lecteurs" ainsi que les éditions Actes Sud.



Parti à la recherche de sa belle envolée, Zé quitte Belém pour Rio. Il laisse les évènements le guider et fait de belles rencontres grâce à un cafetier, musicien, philosophe, dont un vieil érudit Alfonso Ribeiro qui lui parlera de Borges et un autre de l’histoire du Brésil.



Ce gros livre n’est fait que de rencontres qui nous permettent de connaître un peu de l’histoire du Brésil et de la situation actuelle. La recherche d’Helena ne devient que vague et lointaine. Le Brésil, ce pays aux multiples facettes, est thème principal du livre.

Beaucoup, trop, de personnages traversent ce livre et les turbulences ne sont pas provoquées par la convergence des alizés, mais par les trafics en tous genres sur un fond de samba, football, pots de vins, histoire, poésie… enfin tout ce qui constitue la vie d’un pays comme le Brésil. Certains veulent moderniser (américaniser) ce pays, d’autres redoutent une « disneylandisation » du Brésil. Chaque étape de la recherche de Zé est l’occasion de nous parler de la vie des cariocas. Il en va ainsi de la musique et des instruments traditionnels. L’histoire comme la politique tient une grande place dans ce livre.

Je me suis sentie un peu perdue dans ce livre trop dense. Aussi dense et foisonnant que la forêt amazonienne. J’ai eu comme l’impression que les personnages ne sont là que pour amener à parler du Brésil avec un manque de naturel dans les lancements, comme dans certaines émissions de télé ! A d’autres moments, c’était un enchantement.



L’auteur connait très bien ce pays et en est amoureux, mais moi, pauvre lectrice, je me suis un peu ennuyée. Les descriptions des paysages sont très belles, mais l’ensemble me parait manquer un peu de rythme.



Je suis un peu dubitative sur ce livre. Je pense que je le relirai dans un moment un peu plus calme car il mérite une relecture. J’ai aimé Zé cherchant à savoir si Borges a réellement prononcé une conférence sur l’immortalité à l’université de Buenos Aires, au moment du premier match de l’équipe d’Argentine lors de la Coupe du monde de football 1978 !


Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Les identités remarquables

Ainsi commence l'histoire des "Identités remarquables" et ce début est si beau que j'étais sûre que j'allais adorer mais de remarquables dans ce roman, je n'ai trouvé que le titre et cette toute première phrase.

C'est d'ailleurs ce qui a suffi pour me donner l'envie de ce livre qui n'est plus tellement d'actualité puisqu'il date déjà d'il y a trois ans et que la mode, en ce moment, est aux livres qui vont concourir pour les prix de la rentrée.

C'est donc de la chronique d'une mort annoncée dont il est question dès la première page et le récit est celui de cette unique journée banale mais à l'issue qui devrait être tragique. C'est habile. La curiosité du lecteur est amorcée et son attention ne faiblit pas même si son ennui s'accroît tout au long de sa lecture.

C'est qu'il s'agit de savoir si le narrateur mourra comme prévu à la dernière page... et puis soudain j'ai eu un doute. Qui est au juste celui qui raconte en s'adressant toujours à lui-même comme à un autre ou comme s'il s'agissait d'un autre, celui dont on ne connaît le nom qu'à la fin: Louis Lamballe - et qui est alors ce Laroque, son seul ami qui se donne tant de mal pour devenir écrivain?



Tout cela sur fond d'amours contrariées et de vengeance familiale.

Deux femmes poursuivent le héros: une Mademoiselle Mystère le condamne d'avance de sa haine féroce et une tendre Caroline de son amour indestructible.

Rien à faire: ça n'a pas marché pour moi! Mon intérêt du début s'est envolé en cours de route. Qu'il meure ou pas à la fin, j'ai fini par ne plus avoir si envie que ça de le savoir. Un comble!
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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