De toute urgence, Luna rejoint son père hospitalisé à Naples. Visiblement, ce retour lui coûte car elle avait coupé les ponts avec celui-ci. Petits à petits, les souvenirs émergent, lui rappelant des moments de bonheur avec ses parents mais aussi les raisons de son départ.
J'ai apprécié la plume de l'auteur qui d'emblée, pose les éléments du récit, sans fioriture. On perçoit bien les tiraillements de Luna face à son Papa amoindrit : la culpabilité, la colère, l'amour bien présent quand même etc
Au fil du récit, on s'attache aux différents personnages avec leurs complexités mais qui reflètent bien la nature humaine et n'est pas d'un seul tenant. Très beau moment de lecture !
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Il y a des romans qui nous touchent en plein cœur. Il y a des romans qui font écho en nous. Il y a des romans qui sont écrits pour nous. Luna est l’un de ces romans ! Je remercierai jamais trop Serena Giuliano pour cette douce histoire.
Tout le long, j’ai eu l’impression que c’était l’autrice qui me lisait le roman, de sa voix douce au creux de mes oreilles.
Luna est un chocolat que l’on laisse fondre dans la bouche et que l’on ne veut pas terminer. Je suis tombée amoureuse de ce livre dès les toutes premières pages.
Je ne veux rien vous dire pour vous laisser découvrir cette histoire. Néanmoins, je suis Luna ! Cette femme sensible, qui a quitté sa ville après un passé difficile et qui vit une relation secrète. Je suis Luna ! En vous écrivant ces quelques mots, je suis émue. Et je pense que ce roman restera en moi pendant longtemps !
Filomena existe aussi chez moi ! Mais ma Philomène, 18 ans, est toute mince à peine trois kilos par rapport aux huit de Filomena. C’est un amour, l’amour de ma vie.
Un roman rempli d’amour, d’amitié, de pardon, de découvertes, d’échange et de confiance en soi. Quel humour ! Quelle émotion !
Luna est un bijou ! Tant par sa couverture, la qualité de ses pages. Tant par son histoire ! J’ai aimé les citations qui apportent beaucoup et les visites guidées de la ville.
Lisez le !!
Je suis chamboulée et ça fait du bien ! « On ne peut pas commander son cœur. »
Belle journée
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Petit livre sympa très très vite lu car il s'agit de petites anecdotes.
C'est le genre de livre que je laisse aux toilettes et que je lis par petits bouts.
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Un magnifique voyage en côte amalfitaine, la bonne cuisine italienne ainsi que la jolie langue chantante étaient au rendez-vous! J’ai officiellement lu les 3 romans de Serena Giuliano et je peux dire qu’elle fait partie de mes auteurs préférés ! Des mots justes, une plume légère et drôle, je suis conquise. Les chapitres alternants entre Sofia et Maria, donne un super rythme à ce roman dont on ne voit pas défiler les pages. Un roman plein d’humanité de sensibilité, et de bienveillance, je l’ai dévoré. Le sujet des migrants apparaît aussi, ce qui donne encore plus de justesse à ce roman. Vous l’aurez compris, c’est un sans faute.
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un voyage en Italie
j'aimerai tellement m'asseoir sur la terrasse de maria et déguster un café avec un bon livre et cette vue.
une folle envie de découvrir les petits villages en Italie.
une belle découverte.
ce lit très facilement et on imagine tellement bien tous ses personnages
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Lire Mamma Maria, c’est voyager.
C’est s’installer à une table du bar de Maria et siroter un Amalfitano, s’imprégner de la culture italienne, découvrir l’Italie d’aujourd’hui.
C’est aussi découvrir des personnages attachants, qui font l’âme du bar de Mamma Maria et de son village. On apprend à connaître Sofia et Maria, deux femmes fortes de générations différentes qui avancent, réapprennent à respirer et se révèlent au cours de ce roman. Cette histoire est pleine d’humanité, d’amour, d’amitié, de solidarité et de résilience. Les personnages féminins sont forts y ajoutent une note de féminisme et de sororité.
Les romans de Serena Giuliano nous transportent, nous font voyager. Dès la première ligne je me suis retrouvée en Italie, prête à découvrir la Côte Amalfitaine.
J’avais déjà adoré son premier roman, Ciao Bella, dont j’aurai l’occasion de reparler, et Mamma Maria a tenu ses promesses : je n’ai qu’une envie en refermant ce livre, pousser les portes du bar de Maria et m’y asseoir pour boire un café, puis partir à la découverte de la côte Amalfitaine… découvrir cette Italie qui m’attire tant.
En quelques mots : Italie, voyage, tolérance, migrants, solidarité, amitié, femmes, famille.
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J’ai ri, pleuré, eu les poils dressés...
J’ai aimé ce voyage à Naples, senti le soleil sur ma peau, l’odeur de la mer, le goût des plats locaux ...
J’ai adoré ce groupe d’amies, tellement drôles, soudées, vraies.
J’ai détesté le chat, Filomena, moi qui les adore, c’est un exploit !
Plus qu’un voyage, Luna prône la tolérance, c’est aussi ce que j’apprécie dans les romans de l’auteure.
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Un beau voyage en Italie, dans le café de Mamma Maria, la mère de tous les villageois, avec ses habitués : Franco, Ugo (les réponses qu'il apporte pendant les conversations sont très drôles !), sa belle fille Ella, les enfant qui viennent acheter des glaces, un café où on se retrouve pour fêter les bons comme les mauvais moments de la vie de chacun.
Le roman à deux voix permet aussi de faire la connaissance de Sofia, de retour dans son pays natal. Pourquoi est elle revenue ?
J'ai beaucoup apprécié les 10 cartes postales envoyées par Sofia, qui donnent envie de réserver son billet d'avion, visiter tous ces lieux typiques et déguster un limoncello !
Un roman attendrissant et dépaysant !
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J'ai découvert la plume de Serena Giuliano avec Luna, et c'est un coup de coeur. De retour à Naples bien malgré elle, Luna redécouvre sa ville d'enfance avec appréhension et beaucoup d'a priori négatifs. Mais c'est sans compter sur les retrouvailles avec une cousine volubile et un père taciturne gravement diminué par son hospitalisation et la rencontre avec une voisine gentiment envahissante et un couple attachant dont le mari partage la chambre de son père dans cet hôpital où tout se partage avec des émotions XXL à la manière napolitaine. C'est dans ce raz de marée émotionnel pour Luna que débarquent ses trois meilleurs amies milanaises qui viennent la soutenir le temps d'un week-end. Luna va leur faire découvrir ce monde qu'elle occultait jusqu'alors mais qui fait pourtant partie d'elle. Elle ressortira de cette expérience plus forte et plus lucide, suffisamment pour s'accepter entièrement et accepter de vivre l'amour sans barrière.
La visite de Naples, si bien décrite, est la trame de fond haute en couleurs du cheminement intérieur de Luna, plus discret, plus subtil, à son image, à l'image de son prénom évocateur.
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J’ai tellement pris mon temps pour déguster ce livre. Je ne voulais pas le finir ! J’ai ris et pleuré, j’ai voyagé. Je n’ai qu’une envie c’est se partir découvrir tous ces jolis villages d’Italie, boire un Amalfitano au Janis, marcher dans les pas de l’enfance de l’auteure.
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Un magnifique livre qui nous transporte en Italie aux côtés de Sofia et Maria, deux femmes fortes. On les suit dans leur vie au village entourées de leur proches. Tout le monde se côtoient et ce livre nous démontre qu'à plusieurs on est plus fort. Une magnifique fresque qui nous offre des tranches de vie et une réflexion très juste sur des sujets d'actualité. Ce livre est encore meilleur que Ciao Bella et bouleverse par sa justesse.
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Très jolie histoire que celle de Mamma Maria et de Sofia dans la région de Naples de nos jours. Sofia est de retour dans son village natal qu'elle n'a pu quitter que quelques années passées à Paris. Elle y a laissé un homme qu'elle a aimé mais pas assez pour se passer définitivement de son Italie qui est finalement chez elle. Mamma Maria est une personnalité, matrone à l'italienne, au sein de ce village : elle y tient le bar où tous se retrouvent des petits enfants aux ancêtres qui y passent une partie de leur journée.
La vie de Sofia et puis de tout le village est bouleversée par l'arrivée d'une jeune femme enceinte et surtout immigrée et de son petit garçon.
L'histoire est très attachante et drôle par ses gentilles caricatures des mamans du sud de l'Italie. L'autrice partage son amour du pays et de ces habitants dans le plus grand bonheur. Une histoire simple mais qui fait du bien.
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Une histoire à la fois touchante et légère (l'humour de l'auteure y est pour quelque chose). Les femmes se reconnaitront certainement en Luna, tiraillée entre ses envies et le regard des autres.
Une fois de plus, Serena Giuliano nous touche avec des personnages attachants auxquels chacun, chacune peut s'identifier. Le cadre de Naples apporte cette touche d'authenticité qui caractérise la Dolce Vita...
Un livre humain avant tout.
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Pour cette troisième plongée dans les mots de Serena Giuliano , j'ai inspiré, une grande fois, juste parce que je savais qu'il faudrait maîtriser l'émotion, j'ai soufflé, tout doucement, juste pour savourer le moment, et, armée d'un grand sourire confiant, j'ai tourné la première page. Il y a moins de 24 heures.
Pour quitter Naples et Luna, j'ai essayé d'inspirer, de souffler, mais rien n'y fait. J'y suis, j'y reste.
Les mots de Séréna nous prennent par la main, nous rassurent, nous embarquent.
Sa plume s'affine au fil des romans, ses personnages s'étoffent, tout en nuance, les émotions sont de plus en plus fortes, les sourires de plus en plus francs, les larmes de plus en plus abondantes, et, le plus souvent, les deux se joignent pour un régal de lecture.
Luna est belle, douce, vaillante, forte et lumineuse comme son prénom.
Elle nous apprend Naples au fil des pages, et ne reste qu'une seule évidence, au bout de l'histoire: il te faudra voir cette ville, ce pays, de tes yeux, dès que ce sera possible.
Elle nous conte l'amour, des siens, de ses racines, elle nous conte l'enfance, le passage à l'âge adulte, la perte des illusions, elle nous conte surtout une superbe histoire d'amitié, comme il est bon de se savoir aimé, comme on est plus forts unis contre l'adversité.
Avec Luna, on plonge dans les eaux transparentes, sous la protection parfois menaçante du Vesuve. Mais on a confiance. Car on est ensemble.
C'est un vrai beau joli roman. Merci @serena_giuliano
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J ai beaucoup aimé l histoire est fluide, je connaissais l auteurs par son blog j ai beaucoup aimé ce premier livre. J aime que ce soit la vraie vie par contre il a pas vraiment de fin. L auteurs raconte l histoire d une femme qui ce sent pas bien à l arrivé de son deuxième enfant et suit une psychologue qui va l aider
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Un livre qui sent bon l’Italie et son limoncello.
Un livre aussi enthousiasmant qu’une partie de scopa.
On a envie de passer la porte du bar de Maria pour trinquer avec elle et bien d’autres personnages, très attachants .
La lecture est fluide, le passage du récit tantôt du point de vue de Maria et tantôt de Sofia permet de mieux cerner les différentes facettes de chacun .
Vraiment un bon moment .
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Des chapitres courts, une ambiance agréable, lecture très fluide je conseille pour passer un bon moment. Les pages défilent très facilement.
Quelques sujets lourds sont traités mais ça n'altère pas la légèreté du livre je trouve. Je n'en dis pas plus si vous hésitez foncez !
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Ciao Bella de @serena_giuliano_
Mon premier roman de cette autrice que j’ai donc découverte hier durant ma journée de congé.
J’ai passé un super moment vraiment. Cette thérapie qui aide Anna à vivre la vie qu’elle souhaite tout en se séparant de bagage émotionnels lourds et encombrants est passionnante du début à la fin.
Heureusement que je suis en congé car en plus des boutons dits « lapin de Pâques » j’ai aussi des poches mauves (cette couleur me va pas mal en fait ^^) sous les yeux
Nous n’avons qu’une seule vie et c’est vraiment pas malin de s’emmerder à la subir.
Hier soir une fois le livre terminé j’ai pris un verre dans le bar et bu un aperol. J’ai aussi cuisiné mon plat favori pour ce soir : une bolo qui parfume ma maison et j’ai décidé que moi aussi j’allais changer la mienne de vie.
Je vais donc arrêter de me ronger les ongles ( ouais je sais je commence petit 🤣)
Par contre je vais continuer l’aperol car j’ai vachement bien dormi dis donc !
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