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Note moyenne 3.62 /5 (sur 147 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Sheffield , le 20/04/1968
Biographie :

Titulaire d’un diplôme d’anglais, Simon Beckett a été réparateur, enseignant et percussionniste avant de devenir journaliste pour The Times, The Daily Telegraph et The Observer.

Après l’obtention d’une maîtrise universitaire ès lettres en langue anglaise, il part en Espagne enseigner et jouer pour des troupes de théâtre itinérantes. De retour en Angleterre, il devient musicien, puis journaliste indépendant.

En 2002, ses recherches l’ont amené à visiter une « body farm » au Tennessee, expérience qui lui a inspiré son best-seller, La Mort à nu.

Simon Beckett est marié et vit à Shefield, en Grande-Bretagne.

Les murmures des morts est le troisième roman consacré aux aventures de David Hunter.

Source : www.editions-calmann-levy.com
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Citations et extraits (10) Ajouter une citation
" Si Dieu avait voulu les femmes sveltes, Il n'aurait pas inventé du chocolat. "

(page 27).
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Un silence feutré nous enveloppait, comme si nous avions soudain été coupés du monde extérieur. Des aiguilles de pin frémissaient tout autour de nous, produisant un crissement étrange dans cette ambiance macabre. On aurait cru entendre les morts murmurer.
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Je m'étais soudain rendu compte qu'il ignorait tout de mon séjour en France. Les autres ont leur propre vie, c'est pure vanité que de s'imaginer y jouer un rôle plus important que celui de figurant.
( p 300)
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La nature à horreur du gaspillage, et un cadavre exposé en plein air fournit aux animaux des environs un repas tout désigné. Les chiens, les renards, les oiseaux et les rongeurs - et même les ours, dans certaines régions des États-Unis - se joignent à la curée, détachant et emportant tout ce qu'ils peuvent. En général seul le torse, plus massif et trop gros pour la plupart des prédateurs, est dévoré sur place. On estime donc que la cage thoracique marque l'endroit où le corps à été abandonné.
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Un silence feutré nous enveloppait, comme si nous avions soudain été coupés du monde extérieur. Des aiguilles de pin frémissaient tout autour de nous, produisant un crissement étrange dans cette ambiance macabre. On aurait cru entendre les morts murmurer. Un épais tapis d'aiguilles parsemé de pommes de pin s'étirait sous nos pieds. L'odeur tenace de sève qui filtrait à travers mon masque chassa les relents fétides du funérarium. (p. 193-194)
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It was my first time in the Broads, my first time in Norfolk. It was spectaculary unfamiliar. I took in the sweeping openess, breathed in the damp, cold air, and felt something, minimally, begin to unwind.
Unwelcoming as it might have been, it wasn't London, and that was enough.
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Le moment était venu pour moi de me mettre au travail.
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Quand Arnaud lâche un petit rire, je demande "Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien, je me disais juste que t'avais bien choisi ton repose-tête..."
Je me retourne pour découvrir que je me suis appuyé contre la statue de Pan et que l'entrejambe du dieu païen se trouve juste derrière ma nuque.
Je reprends ma position initiale. "Si ça ne le gène pas, moi non plus."
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Sous notre vernis civilisé, nous sommes tous des animaux, une vérité que la société envers laquelle Arnaud éprouvé tant de mépris est censé travestir. La vérité, c'est qu'on ne sait pas de quoi on est réellement capable.
Et, avec un peu de chance, on ne le découvre jamais.
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L'air est si chaud qu'il me semble brûlant. Je jette de nouveau un coup d’œil en direction du lac. Comme j'aimerais y piquer une tête ! Mais inutile de rêver, je dois quitter cet endroit au plus vite. J'avale encore une gorgée d'eau, m'écarte de l'arbre... et hurle. Quelque chose vient de se refermer sur mon pied.
Je tombe à genoux tandis qu'un élancement fulgurant remonte dans ma jambe. Mon pied gauche est prisonnier d'une paire de mâchoires métalliques noires, semi-circulaires. Mes tentatives pour me dégager ne font qu'aviver la douleur.
"Oh, putain !"
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