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Critiques de Simon Sebag Montefiore (112)
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Les Romanov, 1613-1918

Il y a les faits historiques que l’on connait et qui n’apportent pas de nouveautés et les acteurs, le tout intriqué bien évidemment. S’il s’agissait de résume le tout d’un mot, ce serait violence, extrême. Violence du pouvoir, de la répression des révoltes et violence au sein de la noblesse, des membres des Romanov, de l’aristocratie. Le crime érigé en mode de gouvernance. On se rappelle la belle formule de Custine : en Russie le régime est une autocratie modérée par l’assassinat.
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Le Cercle Pouchkine

Pour un spécialiste de la Russie et de l'URSS comme Simon Sebbag, je m'attendais vraiment à un roman plus accompli, plus abouti et mieux écrit (en plus avec un titre aussi évocateur que "Le Cercle Poushkine") il y a matière à raconter sur cette époque pas si lointaine et pourtant encore auréolée de mystères et de non-dits. Mais non , ça s'ouvre sur un chapitre un peu copié sur "Le Cercle des poètes disparus" , un professeur de lettres juif admiré de ses élèves, qui veut leur donner des ailes , des enfants de notables Soviet bien assis avec voitures et chauffeurs, de la jeunesse, de la passion en veux tu en voilà , et puis survient le drame: deux élèves assassinés par qui, par quoi?...

Le reste est beaucoup trop romancé, idéalisé , tiré par les cheveux pour être crédible. Cette période de sentences expéditives, de kidnappings et d'interrogatoires musclés de la Lubianka , est présenté plutôt comme une mascarade, une mise en scène beaucoup trop "americanisé". C'est bien dommage car l'intrigue était intéressante, les personnages assez clichés mais bien présentés , mais le reste ne suit pas. Il me semble que Simon Sebbag avait voulu mettre le max d'informations qu'il avait récolté aussi bien en Russie qu'en Géorgie , et qu'il s'est emmêlé les pinceaux. Pour connaître la vraie vie soviétique racontée par des gens qui l'ont vraiment vécue , lisez plutôt Mikhail Bulgakov.
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Jérusalem : Biographie

Une synthèse de l'histoire de Jérusalem du roi David à nos jours ; qui permet de mieux comprendre les différentes évolutions et l'actualité.
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Staline, la cour du tsar rouge, tome 2 : 19..

Un incroyable travail, riche, profond, indispensable. D'une très grande profondeur humaine.
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Staline, la cour du tsar rouge, tome 1 : 18..

Un chef d'œuvre d'analyse, d'érudition et d'écriture.
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Les Romanov, 1613-1918

Ces gros pavé vaut un cours universitaire d'histoire de Russie. Se lit comme un roman, un peu violent. Je ne sais pas si l'auteur était fasciné par les détails des massacres et des tortures ou si mon prof d'histoire de Russie avait édulcoré la chose, en tout cas on ne peut s'empêcher de se dire que ces Russes étaient une bande de sauvages. C'est la seule chose un peu dérangeante dans ce livre et je m'étonne que personne ne l'ait souligné dans ses critiques. Sinon, ce livre est un large panorama de l'histoire de Russie et de ses personnages mythiques ou moins connus. Il vous aidera aussi à mieux comprendre les relations entre la Russie et l'Europe, l'Ukraine, la Pologne et les pays Baltes. Vous vous souviendrez que l'histoire est un éternel recommencement.
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Les Romanov, 1613-1918

Que dire de ce pavé de 960 pages ?

Voilà un très bon livre pour tous les amoureux d'histoire...

Si vous avez été frustré en cours d'histoire, si vous hésitez avec la psycho pour l'année prochaine, si vous aimez les romans historiques, si vous pensez que l'histoire c'est bien gentil mais "on fera jamais aussi bien que le roi Soleil en terme de folie", si vous aimez la Russie, et plein d'autres si encore....

Si vous attendez game of Thrones pour avoir des frissons en 2019, n'hésitez plus, lisez les Romanov dès maintenant !
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Sashenka

Un roman très intéressant permettant de se plonger au coeur de l'histoire russe.
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Jérusalem : Biographie

l'histoire de Jerusalem, simple, historique et religieuse

passionnant !
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Le jeune Staline

Montefiore reprend dans le détail la jeunesse de Staline, avec sous-jacente la question : qu'est ce qui dans une jeunesse conduit à former un dictateur ?

On voit un Staline qui part de rien ou presque, mais dont la volonté et l'obstination le conduisent à devenir un très bon élève au séminaire, avant qu'il n'adhère complètement aux théories communistes du moment. L'ex séminariste devient alors bandit de droit commun. Son action et l'attitude de la police politique tsariste à son égard laisse planer une ambiguïté sur le double ou triple jeu qu'il aurait pu mener à cette époque.

Dans l'ère pré-révolutionnaire, il navigue, louvoie, et avec les évenements de 1917 il devient indispensable à Lénine, qui ne s'apercevra que trop tard qu'il a placé à la tête du parti un individu sans scrupules, sans limites, manoeuvrier et autoritaire.

La biographie de Montefiore est complète et révèle un personnage plus complexe que son imagerie le laisserait penser. Individualiste, cavaleur, recréant volontiers a posteriori son histoire, le chef sanguinaire était aussi quelqu'un qui avait soif d'apprendre et qui était doté d'un vrai instinct politique.
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La Grande Catherine & Potemkine : Une histo..

Une somme... Assez originale. Un des noms les plus connus de l'histoire russe, et un personnage au choix soit totalement méconnu, totalement méprisé, totalement décrié...
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Les Romanov, 1613-1918

L'histoire russe est à bien des égards une histoire exceptionnelle et Simon Sebag Montefiore nous en livre ici un «résumé» extrêmement soigné et érudit, d'une très grande clarté. En définitive, les Romanov est une très bonne entrée dans l'histoire de l'Empire Russe, à ceux que cela intéresse, et même pour les autres, tant l'histoire russe prend parfois l'air d'un roman.
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La Grande Catherine & Potemkine : Une histo..

C'est avec beaucoup de bonheur que je viens de terminer la lecture de cet imposant ouvrage;je suis juste decue de ne pas l'avoir lu avant de faire mon periple a Saint-Pétersbourg,j'en aurais encore plus profiter.

Potemkin et Catherine sont un couple demesures et tellement complices,complementaires,tout comme le sont les domaines de la Russie.

L'un sans l'autre ils sont perdus,l'un avec l'autre,ils sont tout,un empire,une puissance,un monde tout autre.

Couple légendaire dont l'histoire en a fait des amants diaboliques;depraves,corrompus,j'en passe...il est tellement plus facile de critiquer que de reconnaître les qualites,les reussites.Couple qui a su rester integre dans leur amour,leur amitie,leur confiance,leur instinct politique,leur correspondance,mais qui a vecu a un autre temps,avec d'autres mœurs,d'autres fortunes ;que le commun des mortels a du mal a comprendre.Personnages haut en couleur qui ont tout le temps ete sollicites pour obtenir des faveurs,des promotions,des richesses:et qui ont toujours su recompenser les personnes méritantes,qui ont contribue aux bienfaits de la Russie et de l'empire en pleine expension.

J'aime beaucoup ses deux personnages au destin tellement exceptionnel,qui ont su faire face a tous les malheurs que doivent subir tous les hommes,les soldats,les conquérants,les bâtisseurs,les stratèges,les diplomates...

Je connais le portait de Catherine mais je n'ai pas cherche a savoir a quoi ressemblait Potemkine,je prefere me le figurer comme cet etre impressionnant de prestance,de charisme,de solidite,de gigantisme que l'auteur nous a si bien decrit;

Tres bel ouvrage,d'une grande rigueur historique;un livre comme je les aime

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Jérusalem : Biographie

Alors là, quand on rencontre son éditeur et qu'on lui dit "je vais ma lancer dans un biographie" ... "monumentale"... "dont le sujet"... "est"..."Jérusalem"... et bien on sait si son éditeur a le cœur solide ;-)
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Les Romanov, 1613-1918

En un mot : passionnant ! Le récit est prenant, chaque chapitre est précédé d’un arbre généalogique et d’une liste des protagonistes sur la période concernée, pour bien identifier les individus et leurs liens de parenté… Au final, une Histoire dense, épique, pleine de rebondissements, de héros démesurés, dans laquelle on plonge avec ferveur.
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Les Romanov, 1613-1918

Je me souviens que j'avais adoré mes cours d'histoire sur Nicolas II lorsque j'étais au collège. Je ne m'en rappelle plus très bien mais j'en garde un super souvenir. Alors, lorsque j'ai aperçu ce bouquin de Simon Sebag Montefiore, je me suis dit que c'était le moyen idéal de me remettre tout ça en tête. Grâce à Netgalley et aux Editions Calmann-Lévy que je remercie très fort, j'ai pu me plonger dans une immense fresque historique.



Voici l’histoire de la dynastie des Romanov, avec ses tsars et tsarines, personnages tonitruants, autocrates-nés touchés par le génie ou la folie.

Cette captivante épopée, foisonnante d’anecdotes, raconte comment les Romanov ont construit leur empire de manière impitoyable, au gré de conspirations, de rivalités familiales et d’extravagances sexuelles. De Pierre le Grand, fêtard despotique, bâtisseur de l’autocratie russe qui exigeait l’ivresse permanente de sa cour, à Nicolas II, dernier empereur de Russie au destin tragique, dépeint comme un tsar réactionnaire et médiocre ayant précipité la chute de l’Empire, en passant par Catherine II, la plus grande des tsarines, qui multiplia les amants, ce livre dévoile leur monde secret et leur destinée hors du commun.



Je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce n'est pas une lecture que je vais conseiller à tout le monde. Jeunes lecteurs ou lecteurs occasionnels, passez votre chemin car l'auteur nous propose là un livre fort intéressant mais aussi très ardu. Je l'ai traîné de nombreux jours et j'avais parfois la sensation de ne pas avancer dans ma lecture.



C'est hyper intéressant et très bien documenté. On se retrouve plongé dans la Russie impériale à partir de 1613, date de l'accession au trône du premier de la dynastie Romanov. Je ne connaissais pas très bien les tous premiers tsars et j'ai découvert, avec passion je dois dire, l'histoire d'Ivan le Terrible. Moi qui était persuadée qu'il n'était qu'une légende (on est bête parfois), je n'ai pas été déçue.



J'ai parfois eu la sensation de rentrer dans l'intimité des souverains et c'était très agréable. L'auteur mélange l'intime, le politique et l'anecdotique avec brio. C'est très réussi. Mais le livre foisonne de détails historiques et de noms compliqués (je vous rappelle qu'on est en Russie et je ne suis pas très familière avec leurs noms), j'ai eu du mal à avancer aussi rapidement que je l'aurai voulu parce que parfois, j'étais un peu perdue dans tous ces personnages qui émaillent le récit de leur présence.



J'attendais avec une grande impatience les chapitres concernant Nicolas II et sa famille et ils m'ont beaucoup plu. J'ai vraiment trouvé ce que j'étais venue chercher. J'étais ravie d'en apprendre un peu plus sur ce personnage emblématique et mystérieux qu'est Raspoutine ainsi que sur la fin horrible de cette famille. J'étais retournée lorsque j'ai lu le massacre perpétré contre la famille du tsar. Quelle barbarie !!



L'auteur nous propose également une galerie de photos, c'est une super idée car ça permet en plus de bien visualiser les personnages historiques qu'on ne connait pas toujours physiquement. Je me suis régalée à les découvrir et à me rendre compte qu'ils ne ressemblent pas forcément à ce que j'avais imaginé.



En bref, un livre hyper documenté à mettre entre des mains expertes ou passionnées ...
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Les Romanov, 1613-1918

Un livre d'une tres grande rigueur historique comme je les apprecie.

Ce livre nous apprend qui etaient les Tsar de Russie,ces Romanov,autocrates omnipotents qui ont essaye d'aller vers l'avant,de moderniser leur empire mais qui n'ont jamais compris qu'ils auraient du s'effacer depuis longtemps,afin de permettre les reformes.

Cet ouvrage nous montre les Tsars hommes avec leurs besoins,desirs,deviances et autres que l'on ne s'imagine pas,que l'on ose s'imaginer...Russie imperiale peut rimer avec lupanar de luxe.

Tres bel ouvrage a lire,je le recommande vivement
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Le Cercle Pouchkine

Moscou, 24 juin 1945. En marge de la grande parade organisée par Staline et son régime pour fêter la victoire sur l’ennemi nazi, Rosa et Nicolacha, deux jeunes gens, enfants de cadres du Parti, sont retrouvés morts par balle.



Ils appartenaient avec une poignée d’autres lycéens de l’école 801, qui accueille le gratin moscovite, au cercle Pouchkine créé sous l’impulsion de Bénia Golden, leur professeur de littérature, récemment libéré de son exil.



Ces jeunes exaltés, romantiques en diable, jouent à un jeu fort dangereux puisque le romantisme est interdit, taxé de bourgeoisie et lorsque le journal du cercle tombe entre les mains de la police, la machine à broyer stalienne s’emballe…



Sashenka avait été ma première rencontre avec Simon Montefiore, ce roman bouleversant sur le destin d’une femme et à travers elle, celui de la Russie basculant dans le stalinisme, fut une lecture pleine d’émotion.



Ici aussi, l’émotion est au rendez-vous puisque Simon Montefiore nous plonge à nouveau dans la capitale russe au lendemain de la seconde guerre mondiale où Staline règne d’une main de fer.



Les grandes purges sont loin mais la population comme les caciques du régime vivent dans la crainte du maître absolu qu’est Joseph Staline et les exécutions de traitres sont encore légion.



En prenant pour point de départ un cercle de poésie et une histoire d’amour, l’auteur nous dévoile les absurdités du système soviétique : accusations délirantes, arrestations, interrogatoires, suspicion de putschs…



Le roman nous plonge dans les profondeurs de la terrible Loubianka, la prison de la capitale de funeste mémoire où tant d’hommes, de femmes et d’enfants ont été broyés par la machine soviétique.



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Les Romanov, 1613-1918

Ce livre est une mine d'or.

Particulièrement bien écrit, j'ai eu du mal à le lâcher. On arrive facilement au bout des 800 pages et quelques.

Le livre se lit plus comme un roman que comme un livre documentaire.

Il y a une bibliographie à la fin.
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Les Romanov, 1613-1918

Ce livre n'est pas un roman, mais il se lit comme un roman, tant l’histoire mouvementée de cette famille est riche de rebondissements et les personnages hauts-en-couleur. Ajoutons que ce livre servira également de guide pratique à tous ceux qui s’intéressent à la littérature russe et le fait que 2017 marquera les 100 ans de la fin des Romanov ou au choix de l’avènement de la Révolution et on aura une raison supplémentaire de se plonger dans ce fort volume.

La dynastie des Romanov prend naissance en 1613 avec Michel I et prend fin en 1762 avec la mort de Elisabeth I la Clémente. Si Simon Sebag Montefiore, comme de nombreux historiens, choisit de poursuivre jusqu’en 1917, c’est parce que la branche de Holstein-Gottorp qui prend la relève de 1762 à 1917 a choisi de perpétuer le nom de Romanov. Une branche qui par parenthèse n’est pas éteinte de nos jours, laissant deux prétendants au trône, Dimitri Romanov et la grande-duchesse Maria de Russie.

Mais revenons à Michel I. Le premier tsar à accéder au trône n’est guère représentatif de la dynastie. Il est plutôt effacé, vit au couvent dans les jupes de sa mère et sait à peine lire et écrire quand on vient le chercher pour le couronner. De fait, il va laisser le pouvoir au conseil qui l’a désigné, puis à son père de retour de captivité en Pologne et s’intéresser davantage à l’horlogerie ou à trouver une épouse qu’à régler des conflits nombreux qui minent le pays, notamment avec la Suède et la Pologne.

Son fils Alexis I, dit Le Paisible, ne fera guère mieux, ajoutant aux conflits internes une révolte intérieure qui faillit lui coûter sa place, les émeutiers étant parvenus à envahir le Kremlin. À sa suite viendront Fédor III puis Ivan V et Pierre Ier qui seront nommés conjointement, avant que le dernier nommé ne dirige seul pour devenir Pierre le Grand.

Voici venu le temps de l’âge d’or. Après l’ascension et avant le déclin, voici l’apogée. Une période qui n’en est pas moins que les autres marquée par des rivalités, du sang, des larmes et les principes autocratiques qui ne seront jamais battus en brèche. Entre le génie des uns et la folie des autres, la limite est ténue. Pierre fera indubitablement partie des génies, lui qui sera un grand bâtisseur, mettra fin à quelques conflits avant d’ouvrir son pays à l’Europe et de «construire» Saint-Pétersbourg. Comme nombre de ses prédécesseurs et successeurs, il n’en conservera pas moins un côté sombre, comme lorsqu’il n’hésite pas à torturer son fils, par exemple. Il faudra toutefois attendre très longtemps avant de retrouver une telle figure de proue avec Catherine II qui arrive en 1762 au pouvoir en renversant son mari. Digne représentante du siècle des Lumières, protectrice des arts et de la culture, elle va aussi défrayer la chronique par son appétit sexuel.

Si l’ouvrage de Simon Sebag Montefiore est aussi vivant, c’est qu’il regorge d’anecdotes et nous prouve une fois de plus que la petite histoire est souvent le moteur de la grande Histoire, que certaines alliances se sont nouées sur l’oreiller, que certaines décisions stratégiques sont plus le résultat de jalousies ou de désir de vengeance envers un cousin plus que de la haute stratégie, quitte à ce que des centaines de soldats soient sacrifiés sur le front de cette politique des émotions.

On en trouvera un bel exemple avec Alexandre II. Si le «Libérateur» a affranchi les serfs, il aura aussi joué un jeu dangereux avec Napoléon III, Bismarck ou Victoria. Après avoir échappé à plusieurs attentats, il finira assassiné, comme du reste la plupart de ses successeurs jusqu’à Nicolas II.

De la romance, on bascule alors dans le drame. Des maîtresses que l’on installe dans les appartements qui jouxtent ceux de son épouse, on en arrive aux conseillers occultes et aux intrigues de Palais, admirablement détaillées par un spécialiste de la Russie. Grâce à ses bonnes relations avec le Prince Charles, l’auteur a notamment eu accès à quelques documents inédits, comme des correspondances qui éclairent avec davantage de netteté, voire de cruauté, quelques (mes)alliances.

C’est passionnant de bout en bout !


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