Citations de Sophie Dieuaide (101)
Hé ! Je n'allais pas te laisser mourir d'amour contre une poubelle !
Du temps où je regardais les feuilletons policiers l’après-midi, je n’avais pas mon pareil pour repérer le méchant, au moins une bonne demi-heure avant l’inspecteur Derrick. Mais la vraie vie, ce n’est pas du cinéma, et j’ai suivi le troupeau comme un imbécile.
On avait traversé le pays, on avait chassé comme des animaux préhistoriques, on avait rusé comme des humains. On avait atteint notre but, Paris, on y était et en plein milieu.
Ce dimanche-là, j'ai couru réveiller mes parents et j'ai crié:
- Debout! Ça y est! J'ai neuf ans! C'est mon anniversaire!
Des mois que j'attendais ça, douze exactement.
Dernier avertissement !!! personne à mon rendez-vous §
Maintenant je veux 3500 euros où je renvoie Ursule par la poste en plusieurs paquets !
Ce soir même heure même endroit. Dernière chance !!! et n'oublie pas : silence ! un malheur est vite arrivé !
Un ami des bêtes
Je n'avais jamais douté du maître. De mémoire de chien de ferme, on n'avait jamais vu une chose pareille. Mais cette confiance que me portaient Josette et toute la basse-cour me pesait. Si les massacres continuaient, je serais responsable.
Apprendre les règles du football :
* Apprendre par cœur les règles élémentaires du jeu.
* Respecter l'arbitre et les autres joueurs.
* Avoir un comportement correct en toutes circonstances.
Moi, Baptiste, Luc, Hippolyte Collinet, j'écris ici mon testament. Si je meurs un jour je veux que l'on donne tous mes jouets à mon cousin Mathieu sauf mes voitures de collection et mon train à vraie vapeur qui sont trop fragiles pour cette brute. Je donne ma guitare et toutes mes bandes dessinées à Chloé Vétel. Je donne mon blouson en cuir à Jonathan Dupuy, je donne à mon cousin Guillaume les onze euros qu'il me doit. Fait à Paris, le 4 avril
Question de flemme ! nous a expliqué Baptiste, tout fier, à l'intercours. J'ai fait le calcul. Si je n'écoute pas en classe, si je papote, je dois travailler cinquante fois plus à la maison. Alors, moi, coincé pour coincé, je travaille ici !
Pffft ! Envolé, le monsieur Millet !
- Edouard, me suis-je renseignée, vous n'avez pas vu monsieur Millet ?
- Si, si Clothilde ! Il s'est enfermé dans sa cabine ! Mais ne t'inquiète pas ! Hé hé ! Je lui ai piqué son mégaphone !
Et Edouard, mon futur grand-père, debout sur le trampoline, s'est mis à scander :
- Allez, les petits ! Allez, les petits ! Allez !
Ça m'a fait comme une secousse électrique. J'allais obliger ma grand-mère à l'épouser !
Obtenir la permission de faire quelque chose, c'est comme entrer dans une sorte de supérette.
- Bonjour, je voudrais un droit d'aller à la piscine avec Julie et...et oui, ajoutez un cinéma dimanche, s'il vous plaît !
- Très bien, ça vous fera deux "vide-donc-le-lave-vaisselle-sans-qu'on-te-le-demande" et trois "tu-passeras-l'aspirateur-partout-cette-semaine", me répond Suzanne, chef-vendeuse.
Evidemment, certains articles sont hors de prix :
- Julie m'invite cinq jours chez sa cousine à la fin des vacances de Noël. Je peux y aller ? Dis, je peux y aller ?
- Oh là... Cinq jours... Mais c'est qu'on a un problème de réapprovisionnement avec les permissions longues...
Alors le client compte et recompte sa monnaie car il se doute que l'addition va être salée. La même vendeuse hésite, se tortille, hoche la tête et fait mine de réfléchir...
- Il y aurait peut-être une solution si votre bulletin (qui arrive justement avant ces mêmes vacances !) nous amenait à reconsidérer notre politique commerciaaale...
On a toujours fréquenté la boutique. Mais il y a quelques années, les tarifs étaient plus raisonnables.
Une fois de plus, ma théorie se confirme : c'était beaucoup plus simple quand j'étais petite !
- Maman, tu m'achètes le DVD des 101 Dalmatiens ?
- C'est qui la plus gentille maman du monde ?
- Toiiiiii...
- Et à qui tu vas faire un gros bisou ?
Smack, et hop ! la meute était dans le caddie !
Et puis les prix se sont emballés. Pire que l'euro, le passage à l'adolescence a fait très, très mal.
Journal très drôle, mise en page originale!!
Livre à lire et à relire..
C'est le genre de livre pour adolescents que les parents et les grandes soeurs pourront lire sans s'ennuyer!
Manon D. est une jeune fille pleine d'humour qui souhaite que sa mère déprimée lui lâche les baskets!!
http://livracroquer.wordpress.com/2012/12/06/114/
ce genre es de fantastique.
ce livre parle de Armand Lili Volette Oscar et Charlie ils disent tout le temps ils sont pas nés pour obéir .
Leur parents leurs dit tout le temps ils faut que vous travailler au potager .
Leur maman dit sa car ils sont un potager sur leurs toits .
Les enfants étais contents mes sa tourne au cauchemar pour eu .
A causse de leurs parents qui voulaient que leurs toits sois propre et beau a voir.
Les enfants en avaient marre .
Il recevaient toujours des ordres par leurs parents.
AZAHAF Maissa 6c
Là, j'ai pensé qu'il faudrait que je commande un nouvel article à la professeure Lili, neurologue du cerveau des parents. Parce que c'était extraordinaire de voir que ce qui aurait pu me valoir des hurlements et des mois de privation de tout me valait soudain des compliments.
Le monstre "Merci Olivia, tu nous rends un très grand service. S'il y a le moindre problème, tu sais où me trouver. Quand à moi, je vais tout mettre en œuvre pour découvrir comment détruire la pierre d'Onophior et nous délivrer de cette menace pour toujours..."
Léanne
"Et l'horreur nous est tombée dessus ,direct. C'est peut-être marrant ,les poissons rouges ,mais personne n'a jamais eu envie d'en griller un au barbecue"
Hayden
moi ze dézine très bien les nuazes
ont va crée un journal écolos!
- Oh, attention à ce que vous faites, madame Pinson ! Vous êtes certaine qu'il est bio, votre vernis ? lui a dit monsieur Rami. Une étiquette, ça se vérifie !
(...)
- Oh, non, il n'est pas bio ! a ironisé madame Pinson. Moi, je dilue tout aux pesticides ! Ça donne un petit parfum délicieux. Venez donc prendre un thé un de ces jours, monsieur Rami, je vous ferai goûter !
Je refuse de marcher jusqu’à Paris, ai-je dit. On est des animaux, d’accord, mais on n’est pas des arriérés. C’est le monde moderne, les amis, faut vous adapter… Il y a des moyens de transport !