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Citations de Stanislas Petrosky (140)


Excité comme un acarien au salon de la moquette.
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Mes larmes coulaient et je les laissais tomber sur mon esquisse. Elles m'aidaient, je m'en servais pour estomper, diluer les gris. Du doigt j'étalais mon dégoût des hommes.
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"C'est quoi une salope Martine ? Une salope c'est simplement une femme qui couche un peu trop aux yeux de celles qui ne couchent pas assez." (p.49)
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-Un cénobite ? C'est quoi ?
- Un moine. Les cénobites tranquilles , tu connais pas ?
-T'es trop con...
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Une salope c'est simplement une femme qui couche un peu trop aux yeux de celles qui ne couchent pas assez.
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« — Excuse-moi, mais la vie sexuelle de la femme de Franck elle vient foutre quoi dans mes congés ? »
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De même, il me semble normal de te prévenir, à part mes amis, tous les personnages de ce roman sont fictifs. Si quelquefois il y avait un individu assez prétentieux et bas du front pour se prendre pour un des héros de cette aventure, qu'il se dégonfle l'ego et ferme sa gueule, ça lui évitera d'être ridicule.
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Mes larmes coulaient et je les laissais tomber sur mon esquisse. Elles m'aidaient, je m'en servais pour estomper, diluer les gris. Du doigt, j'étalais mon dégoût des hommes.
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Le Ludovic en plus d'être con, était une vraie brêle en orthographe, juste à lire ses SMS, j'ai les yeux qui saignent.
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Tiens, j’ai un ami qui un jour m’a déclaré : « Requiem, t’es mon pote, un véritable ami, tu sais, il n’y a qu’en toi que j’ai toute confiance. C’est pour ça que je voudrais te demander un truc : si un jour je deviens un vrai légume, ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d’une machine et alimenté par le liquide d’une bouteille. Si tu me vois dans cet état, débranche les appareils qui me relient à la vie, fais ça pour moi, mon bon Requiem, s’il te plaît ! » Et tu sais quoi ? Ben je l’ai fait ! Je me suis levé, j’ai éteint Netflix, coupé Internet et vidé sa bouteille de bière dans l’évier et je suis parti. Bon, depuis il ne me cause plus, va rendre service tiens…

page 72
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Ma paluche remonte doucement, je quitte la soie pour rencontrer la douceur de sa peau. J'adore franchir cette frontière entre le tissu et le derme. Tu passes de l'autre coté, au pays des rêves, Neverland, mon paradis sur Terre.
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Pour me donner le courage de supporter la vie au camp, je ne cessais de me répéter qu'un jour cela finirait, qu'un jour un autre pays s'opposerait enfin à Hitler. Bien sûr, le salut ne viendrait pas de gens comme moi, je ne ferais jamais partie des libérateurs, armes au poing. Mon rôle était tout trouvé, j'aiderai les survivantes à témoigner pour que cela n'arrive plus.
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Les deux là, ce n'est pas qu'ils soient poivrots, mais tu leur fais une prise de sang, tu as l'impression de faire les vendanges...
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C'est pour ça que j'ai voulu tout raconter, que vous sachiez. J'ai lu, dans "Le Monde", que 51 % des lycéens ignorent la signification du mot "Shoah", maintenant, vous pouvez leur expliquer, il reste encore quelques survivants...
N'oubliez jamais que la bête n'est pas morte, elle dort, son sommeil n'est pas si profond... Prenez garde à ce que personne ne la réveille...
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Tu me déçois là… la poutre de Bamako, le poney humain, triple jambe. Bon il est vrai que je ne t’ai pas dit qu’il exhibait son engin dressé en même temps que le matos.
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Je m'appelle Gunther Frazentich. Je suis un vieillard de soixante- dix - sept ans . vieillard, parce que suis
rongé par un cancer qui va finir par m'emporter.Je me sens de plus en plus faible. Le médecin ne me répond pas lorsque je lui demande combien de temps il me reste à vivre, non pas qu'il ne possède pas la réponse, mais il ne veut pas me dire à quel point cette échéance est brève. Je ne suis pas si âgé, c'est juste la maladie qui a usé mon corps prématurément.
Mais avant de partir vers d'autres horizons, et puisque j'ai encore un peu de vie en moi et que ma mémoire ne me fait pas défaut, je veux vous raconter une histoire, la mienne.Je ne suis pas narcissique
non, c'est juste que j'ai envie de partir plus sereinement, plus léger, et j'ai surtout envie de vous remettre en mémoire ce qui s' est passé il n'y a pas si longtemps.
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Je suis aussi prêtre exorciste, je chasse les démons, les monstres, les incubes, les succubes , et toutes sortes de merdes de même acabit .
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J'ai comme une envie de chialer, d'ailleurs je sens une larme rouler sur ma joue.
Le maître de cérémonie de la maison terminus nous signifie que l'on peut saluer une dernière fois le cercueil avant qu'il disparaisse à jamais.
Je me signe, dépose ma rose enduite du sang de la morue et murmure à la môme:
Ange plein de bonté, connaissez vous la haine,
Les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel,
Quand la vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine?
Ange plein de bonté connaissez - vous la haine? (Baudelaire)
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Que serais-je sans toi ?
En voilà une belle question que se posent les amoureux....
Ben j'ai la réponse : sans toi, je serai tranquille !
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Peut-on rire de tout ? Oui, mais pas avec n’importe quel QI
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