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Citations de Stanislas Petrosky (140)


Tu lui fous un caméléon dans les pognes, il se suicide....
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Mais quand je te cause d'être missionnaire, ce n'est pas le genre de con qui veut convertir celui qu'il considère comme un sauvage à ses rites religieux, non, moi je te cause du curé qui va faire de l'humanitaire, le genre de type pour qui la religion, être un bon chrétien ce n'est pas prier à longueur de journée, rentrer de nouveaux adeptes dans l'usine à hosties. Non pour lui c'est aider l'autre, celui qui souffre de la faim, de la guerre, de maladie sans ce soucier s'il a espoir dans le même mec s'il brûle des chandelles dans les mêmes lieux.
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Plutôt que la veuve et l'orphelin, on va sauver le bonobo et le céphalopode !
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- Je vais bien, et mon père est un énorme salaud !
- Pour la première partie, voilà une excellente nouvelle, pour la seconde, je t'ai demandé quoi de neuf, pas de me faire le bilan de compétence de mon abruti de fils, pour moi, ce n'est pas une découverte, mais un acquis !
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Au bout d'un moment ça va se voir que je pilote un bateau aussi bien qu'un président gouverne la France. C'est-à-dire sans savoir comment faire et encore moins où on va...
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Un clébart sa carrière c’est quoi ?
Bouffer , aller pisser plus haut que son prédécesseur, courir comme un con, déguster le cul du facteur et flairer celui de ta voisine, donc il se fout de réseauter, lui .
J’ai aucun cleps dans mes contacts Facebook, si ça c’est pas une preuve....
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« Chaque soir moi qui voulais tant fermer mon esprit aux horreurs quotidiennes, moi qui espérais dormir pour tenter d’effacer ces images abominables, je devais m’imprégner de tout cela encore et encore, pour finir mes dessins, puis les recopier en gardant les mêmes émotions qu’ils suscitaient. J’étais seul avec mon désespoir. Seul face au papier sur lequel j’avais couché les ignominies de ces savants fous. Mes larmes coulaient et je les laissais tomber sur mes esquisses. Elles m’aidaient, je m’en servais pour estomper, diluer les gris. Du doigt j’étalais mon dégoût des hommes.».
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Il s'est barré sans rien dire. Je le soupçonne de m'en vouloir un max, de me soupçonner d'être bien plus impliqué que je ne le reconnais dans cette histoire. Ce qui est le cas je te le concède, mais bon, c'est entre toi et moi. Si tu cadenasses ta grande gueule, pour une fois, le poulet n'en saura rien.
D'avance je te remercie, fidèle lecteur. Oui, je n'écris que pour toi, tu es l'unique, le précieux. C'est pour toi, et toi seul que mon éditeur a fait imprimer ce livre, tu te rends compte à quel point on prend soin de toi ? Je vais te dire, tu n'es plus un lecteur, mais un ami… Allez viens avec moi, on continue, nous allons venger Martine !
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L’enfer doit être pire, mais lui, au moins il est pavé de bonnes intentions, parce que là, chez Ody-Art, on en manipule de la caisse. Je pousse mon diable, c’est plus fort que moi, déformation professionnelle d’exorciste, je refuse de le tirer par la queue.
Tu n’imagines pas le merdier, c’est un véritable labyrinthe ce stock, mes feuilles de colisage en main, je me demande s’il n’aurait pas dû me filer aussi un GPS.
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Bon, t’es beau comme ça, mais tu peux arrêter de te reluquer, faut bosser, si on fait pas l’quota, ces enculés vont nous foutre une heure en bas, et j’ai pas trop de temps pour t’expliquer. C’est simple, on reçoit une feuille, tu as des numéros dessus, le premier c’est l’allée, r’garde, là-haut tu as des panneaux, le second la rangée, là tu auras juste à compter, et le troisième, c’est l’identité de la caisse. Tu la mets sur ton diable, et la porte sur ta palette. Une fois la palette finie, tu la filmes avec ça, tu scotches ta feuille de préparation avec ta signature dessus. Comme ça, si y a une connerie, de la casse, ils savent qui ils doivent savater.
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On continue de refaire le monde en dégustant différentes bières, il est un peu plus de minuit quand on sort du pub, je dois t’avouer que j’ai un peu de vent dans les voiles. Tu vas me dire, dans une ville portuaire c’est logique.
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Le patron, Roy est un petit facho en chemise brune. Il se donne des airs d’humaniste en bossant dans une sorte d’épicerie solidaire un WE par mois, ligue de protection des animaux, bref du vent que ce gros con poste sur les réseaux sociaux pour se faire bien voir. Suffit de fouiller dans son passé de nazillon, de collectionneur d’armes. Et j’ai déjà reçu des types, de la boîte, un despote. Mais rien n’a pu être prouvé, personne n’ose témoigner.
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Quand on lui a présenté la ville en ruine, le mec ne s’est pas fait chier, il a tiré des lignes droites, des parallèles et des perpendiculaires pour faire renaitre Le Havre de ses cendres et il y a posé des cubes de béton. L’avantage c’est que tu n’as pas trop de virages, les Havrais peuvent rouler bourrés et concurrencer leurs voisins bretons. Par contre c’est vite monotone, c’est fade.
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Une gueule comme la mienne, un bijou, l’histoire d’un pamphlétaire qui a dû quitter la France après la Seconde Guerre mondiale, parce qu’il est condamné à mort pour intelligence avec l’ennemi. Quelques années après, le type revient sur Paname, il est reconnu par l’un de ses anciens admirateurs qui lui offrent de l’héberger, mais comme souvent avec Dard, il y a une femme manipulatrice.
Du coup fouiller sur le net est un peu plus complexe, faut bien cerner le bon résultat, mais tu connais ma dextérité, mon talent et tout le reste, tu te doutes bien que je trouve, et pas que du joli-joli. Non, le type a une boîte qui tourne bien, j’ai trouvé les bilans, mais on peut pas dire qu’il ait vraiment le cul propre pépère.
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Et hier soir on s’est fait un petit resto splendide, suivi d’une nuit forte en émotions et autres joyeusetés issues du bas-ventre, style essorage à quinze-mille tours minute des muqueuses, si tu vois ce que je veux dire. Si tu ne vois pas, nous allons attendre quelques chapitres pour causer cul, histoire de ne pas faire fuir les nouveaux lecteurs que m’a ramené ma nouvelle prestigieuse maison d’édition.
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Julot a beau lui expliquer qu’il a le droit à ses congés, que c’est de ça que lui veut profiter, qu’il doit se casser taquiner la truite en montagne, l’autre lui rétorque que la truite attendra, la boîte avant tout. C’est si compliqué que cela de faire tourner la coliseuse ? Il n’y a rien à faire ! Ils n’ont qu’à embaucher autre chose que des stagiaires. C’est enfantin comme bécane à utiliser. Des capteurs partout, elle fait pratiquement les paquets toute seule, suffit juste de former un mec, en deux heures maximum le gus saurait l’utiliser.
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- Vouloir se remettre avec son ex, c'est comme regarder Titanic une seconde fois et croire que le barlu va pas couler ...
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Quel que soit le moyen,même par la peur,la terreur,d'où le terrorisme.C'est là qu'ils sont dangereux les gueux,ils n'ont pas peur de composter le bifton pour le boulevard des allongés. S'en foutent de caner ces cons -lå ,si en même temps qu'eux ils emmènent des infidèles ,des païens des inférieurs,bref des pas comme eux.Souvent tu as du vrai vicelard dedans capable de détourner des mômes du droit chemin.Soit en leur faisant avaler des saloperies ,soit en abusant de leurs faiblesses.Apres c'est du bourrage de crânes, lavage de cerveaux endoctrinement.....et tu as un morpion de vingt berges capable de flinguer des innocents à un concert ,un match de foot,un feu d'artifice ou au carnaval....Tiens me voilà reparti dans mes laïus dégoulinants de bons sentiments.A côté de moi Patrick Bruel va passer pour un dangereux rebelle....
Mais tu vois le connard, le salopard qui se tapait la petite Vauchel je vais le trouver.....
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Jouer un rôle, porter un masque, je ne pouvais pas faire autrement, question de survie. Pourtant vingt-cinq ans était un bon âge pour se révolter, mais cela m'était impossible, même avec la plus forte des convictions. Je n'avais aucune chance de m'en sortir face à ces déments en armes, alors je ne disais et ne faisais rien, mais je restais intérieurement le même, un opposant farouche à leurs idées, penchant du côté des opprimés et non de celui des bourreaux.
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Excité comme un acarien au salon de la moquette, tu te secoues le panais en bavant sur ton clavier, mais tu prends garde, tu tends l’oreille, faudrait pas que bobonne rentre du marché trop vite, tu aurais l’air con l’asperge à la main face à ton ordi.
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