Citations de Stephen Desberg (580)
Quand on se balade avec des armes on finit par s'en servir.
- Mon épouse s'ennuie dans ce trou perdu. Elle se plaint de l'odeur nauséabonde qui s'échappe des cheminées de Birkenau.
- Bientôt, les communistes trouveront à qui parler. On dit que nous aurons peut-être leurs pires ennemis dans la prochaine coalition gouvernementale.
- Leurs ennemis?
- Le Parti National Socialiste. Une bande d'excités sans la moindre subtilité, mais qui ont l'avantage de ne pas supporter le désordre. Avec eux, je te promets que les travailleurs marcheront au pas!
Otto est mort. C'est Jeannie qui l'a tuée !
Comment pourrait-on détruire tout ce que vous avez construit, alors que la plus grande partie de votre fortune est bien cachée ?
La liberté religieuse est un venin. Si nous voulons un empire riche, éternel, il nous faut une religion unique !
"L'homme qui réussit est celui qui sait s'entourer d'amitié." (p. 24)
Souffre et meurs... Délivre-moi !
Tu regretteras mes poisons rapides quand les moines guerriers fondront sur toi et que tu finiras marqué comme du bétail.
T'es fort, avec tes saloperies de dollars, hein ? Qu'est-ce que tu crois ? Que ça valait, ma liberté ?
Jérusalem fait semblant de croire qu'elle est en paix, loin des horreurs qui déchirent Stalingrad, Varsovie ou le Pacifique. Comme si elle se doutait que sa guerre à elle commencera quand les autres seront finies.
(page 118)
Une voiture s'était arrêtée dans la cour, un cheval au volant...
Il se demande si c'est vraiment la vérité. Si celui qui survivra se verra bien offrir une chance de tout recommencer...de laver ses crimes...de devenir un autre...au service de l'Empire.
(page 25)
En méditant sur mes erreurs, j'ai compris que Dieu n'existe nulle part aussi présent que dans le désert. Les pères de l'Église n'ont pas bien compris les paroles de Jésus. Celui-ci est venu annoncer la fin des temps, pas un monde nouveau. Le jugement dernier, pas le pardon. Et ce jugement est devant nous. Tu ne vas tarder à le voir.
(page 10)
- Georges Satine : Savez-vous, Madame, ce qu’il s’est passé le 11 septembre 2001 ?
- Sienna : Ne vous foutez pas de moi !
- Georges Satine : Non, je suis sérieux. Savez-vous ce qu’il s’est passé ce jour-là ? A New York a eu lieu une réunion du conseil d’administration de Carlyle Group. Cette réunion regroupait beaucoup d’investisseurs liés au groupe. Et savez-vous qui y participait ? Franck Carlucci, ancien directeur adjoint de la CIA. Vous le connaissez, je présume ? […] Il y avait aussi George Bush, le père, pas le fils. Et savez-vous qui participait aussi à ce conseil qui avait lieu à New York pendant que les tours tombaient ? Shafig Ben Laden, le demi-frère d’Oussama Ben Laden. Et savez-vous ce qui est arrivé à Shafig ? Il a pu quitter les Etats-Unis avec douze autres membres de sa famille à bord d’un Boeing 727… Le seul avion qui ait pu quitter le pays alors que tous les vols étaient cloués au sol. Le seul avion, Sienna…
- Sienna : Qu’est-ce que vous cherchez à me dire ?
- Georges Satine : Quand vous connaissez les bonnes personnes à la Défense, à la NSA, à la CIA, tout est possible. Un avion peut décoller… ou atterrir sans poser de questions.
Maintenant, nous allons pouvoir les retrouver. Au compte-gouttes, les uns après les autres. En attendant, je veux qu’ils sachent que leurs jours sont comptés. Je veux qu’ils se réveillent en sueur au milieu de la nuit parce qu’ils ont entendu un bruit… que leur vie devienne un calvaire jusqu’à ce que nous les trouvions.
J’aurais dû me méfier de vous ! Expulsé de trois écoles pour comportement agressif, incapable de passer l’examen du barreau la première fois pour cause de coma éthylique.
- Gabrielle : À l’aéroport JFK, je vous prie !
- Chauffeur de taxi : C’est parti, ma petite dame. Enfin, façon de parler. C’est New York, ici. On est partis, mais pas encore arrivés, hein ?
Après avoir libéré Paris, le soldat aux yeux verts a entrepris de me ramener la paix.
L’amour pour mon enfant n’a pas besoin de la moindre réflexion. Il est absolu, indiscutable, éternel. Je te promets que tu comprendras le jour où cela t’arrivera.