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Critiques de Sylvie Baussier (701)
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Moi, Pénélope, reine d'Ithaque

Après nous avoir captivées avec sa mythologie racontée par les monstres eux-mêmes, Sylvie Baussier braque les projecteurs sur les femmes qui, jadis reléguées à l'arrière-plan, réclament aujourd’hui la reconnaissance qui leur est due.



Ce type d’approche, à la fois informative et émotionnelle, résonne tout particulièrement dans notre maisonnée. Ces petits romans sont une sorte d’appel à reconnaître, à célébrer et à rétablir l'équilibre dans les récits historiques. Il y est question de résilience, de détermination et de force de caractère.



* Dans «Moi, Pénélope ∼ reine d’Ithaque», on découvre une héroïne qui a soif de liberté et qui intervient au premier plan dans la prospérité d’Ithaque. L’autrice y explore ses aspirations, ses peurs, ses doutes. Contées avec sensibilité, les nuances de ses émotions et pensées offrent une perspective riche et terriblement humaine.



* Dans «Moi, Pandore ∼ la première femme», l'intrigue dévoile avec ingéniosité les circonstances de la création de Pandore, ses qualités incommensurables, sa curiosité dévorante et les conséquences de sa manifestation. C’est sans doute des 2 récits, celui qui m’a le plus touchée. Il reflète la complexité des choix et des responsabilités auxquels chaque être peut un jour être confronté. Pandore y apparaît comme un instrument de vengeance. Son impuissance est désarmante. Son exploitation inique. Le mythe de Pandore devient alors une tragédie prédestinée qui révèle une nouvelle fois toute la cruauté de la manipulation des dieux.



Comme pour les précédents romans, il y a en début de livre la présentation illustrée des personnages principaux. On y retrouve avec bonheur le trait reconnaissable entre mille de #TristanGion. A la fin du récit, un petit carnet documentaire reprend divers éclairages et explications sur la mythologie grecque, le mythe en question ainsi que des petits jeux pour tester ses connaissances 📝


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Moi, Pénélope, reine d'Ithaque

Merci à Babelio pour la découverte de cette collection. Je la trouve top !

Après avoir découvert Pandore que je ne connaissais pas vraiment, je me suis attaquée à Pénélope. Cette fois-ci, je la connaissais bien, Pénélope ! J'ai lu le Feuilleton d'Ulysse, Le silence des vaincues, Le chant d'Achille... Bref : La guerre de Troie, ça me connait plutôt bien.

J'ai apprécié avoir le point de vue de Pénélope. Une première. Finalement, on ne la connait pas si bien que ça. Elle est là, sans être là. Elle est dans l'attente, en arrière. Peu d'aventures rythment son récit, contrairement à Pandore qui découvre toutes les premières fois du monde.

On découvre les pensées de cette femme qui a attendu 20 longues années avant de retrouver l'être aimé. Une femme, qui pour la première, a pris le pouvoir sur une île. Une femme qui dirige des hommes, une femme intelligente, et intègre.

On a tendance trop souvent à l'oublier, et je trouve ça chouette de la remettre au centre de l'histoire.
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Moi, Pandore, la première femme

Merci a la masse critique pour cette lecture. J'ai beaucoup aimé les petites fiches personnages avec les dessins. Un petit peu plus de contexte pour les enfants qui débutent la mythologie aurait été un plus (j'ai eut droit à un Tata c'est quoi un Titan?) Même si j'ai vu que c'était un peu plus fourni sur la fin du roman après le carnet de jeux !



La "naissance" de pandore est bien décrite avec tout ses sentiments qui arrivent en même temps. L'écriture est fluide, pour des ados mais ça reste quand même élégant et avec du vocabulaire, vraiment plaisant à lire.

C'est rapide on nous raconte l'histoire de Prométhée en accélérée, afin de comprendre la colère de Zeus envers les humains et sa vengeance qui portera un nom ... Pandore !

On va la voir "grandir" apprendre, et surtout essayer de comprendre. Elle est loin d'etre bête et comprends vite que les Dieux ne sont pas qu'amour et gentillesse. J'ai aimé cette remise en question, pourquoi on me donne la curiosité, et ensuite l'interdiction d'ouvrir la jarre? Et même si elle comprends qu'on attends quelque chose d'elle elle va se retrouver incapable d'aller contre son destin. Elle va se marier avec Epimethée et être heureuse mais malheureusement la jarre que lui a offerte Zeus en lui sommant de ne pas l'ouvrir hante ses journées elle y pense de plus en plus. Elle tombe enceinte du premier bébé humain : la pauvre déjà nous en sachant ce qui nous attends c'est compliqué alors pour elle ahah ...

Elle va finalement ouvrir la fameuse jarre et va en sortir les maux des hommes : maladie tristesse colère violence vieillesse et mort ... Une très belle citation : "cet affreux cortège ne pesait rien tant qu'il était enfermé. Je comprends maintenant combien il va peser sur la vie des hommes."

Merci pandore 😀 elle laisse l'espoir enfermé en plus et la ... libre à vous l'interprétation puisqu'il y en a plusieurs sur ce dernier "maux".



L'épilogue est plus féministe. C'est bien de rappeler que les femmes ne sont pas les méchantes de l'histoire (Pandore, mais aussi Eve ça vous rappele rien? Y'en a tellement...)

La fin du tome est intéressante et même nécessaire pour en apprendre plus, faire la corrélation avec la religion. Même moi qui connaissait plus ou moins l'histoire, ainsi que l'expression d'ouvrir la boîte de pandore je n'avais jamais fait le rapprochement entre les histoires de la mythologie grecque et la bible c'était interessant un peu répétitif tout de même.

Le cahier de jeux est récréatif, cela permets d'avoir un dialogue avec l'enfant voir s'il a tout compris mais les premières pages ne sont pas simples quand même ! Très bonne lecture même si mon regard d'adulte en souhaitait plus hihi
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Moi, Pandore, la première femme

Tout d'abord je remercie les éditions Scrineo et le site Netgalley pour m'avoir permis de découvrir ce roman.



Pandore : rien qu'en disant son nom vous pensez tout de suite à la boite (enfin la jarre) et au fait qu'elle a lâché les maux sur l'humanité. Mais si au delà d'une femme curieuse on voyait la vengeance de Zeus. Si, pour une fois, on s'attardait sur sa vie et par uniquement sur cet épisode. Et si enfin on se rendait compte que Pandore n'est pas la vilaine petite curieuse mais bien une victime des machinations de Zeus. Partant de ce postulat nous pouvons découvrir l'histoire de la première femme, sa vie dans un monde d'hommes, ses incompréhensions, ses questionnements. Comment gérer aussi le fait de naître adulte sans avoir eu d'enfance. 



L'autrice a parfaitement réussi à nous faire avoir de l'empathie pour Pandore, à vouloir chercher à la comprendre. Il m'a manqué un peu de repère point de vue mythologique mais en même temps l'histoire est raconté du point de vue de Pandore alors il est normal qu'on en sache peu. C'est une lecture qui est abordable pour tous et réussi à ne pas être "que" pour les enfants. En tant qu'adulte on prend plaisir à lire cette histoire qui nous fait réfléchir.



Pour conclure,



Un très bon petit roman qui donne la parole à Pandore, première femme trop souvent réduite à son ouverture de la jarre. Bravo à l'autrice pour avoir su trouver les mots pour nous montrer une autre facette de Pandore. Je vous le recommande. 
Lien : http://l-entre-deux-mondes.e..
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Moi, Pandore, la première femme

Dans la mythology grecque, Pandore est la première femme, créée par Hephaïstos à la demande de Zeus. Athena lui insuffle la vie, Hermès lui offre la curiosité, le mensonge et la parole.



Après avoir reçu tous ces cadeaux, Zeus en personne lui remet une jarre, qu’il lui défend d’ouvrir. Mais la curiosité est un présent empoisonné et Pandore finit par entrouvrir la jarre…



Quelle jolie découverte ! Nous connaissons tous le mythe de « la boîte de Pandore », sans savoir toutefois qui est cette femme. Ici, Sylvie Baussier lui donne une voix et nous découvrons une femme perdue, utilisée comme un objet par Zeus, une femme qui n’a jamais voulu faire de mal à qui que ce soit.



Ce livre se lit vite, on découvre beaucoup de choses grâce aux annexes et aux explications de l’autrice sur le mythe. C’est fascinant. Une réussite !
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Moi, Pandore, la première femme

Littérature jeunesse ? Oui, mais pas que !



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Si le mythe de Pandore ne m'était pas totalement inconnu, une piqûre de rappel a été la bienvenue et cette publication des éditions @scrineo s'est idéalement prêtée à l'exercice



L'idée de découvrir le célèbre mythe mais expliqué par l'héroïne en personne est singulière, originale et au demeurant très intéressante. La parole est donnée aux femmes, on ne peut que valider. 



Elle apporte du crédit à l'histoire, permet aussi de la démystifier un peu et enfin donne une dimension émotionnelle, trop souvent absente de la mythologie cantonnée à la puissance, la force, la guerre.



Bon point aussi la présentation des personnages en début de livre, histoire de ne pas perdre en cours de route les jeunes lecteurs.



Et enfin, des pages jeux à la toute fin pour valider ses connaissances. Parfait !



Petit bémol, j'ai regretté l'absence de couleurs dans les illustrations à l'intérieur et la qualité du papier.



En résumé, j'ai adoré re-découvrir ce mythe, accessible à partir de 10 ans et suffisamment ludique pour y adhérer sans rechigner. Je recommande.

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Moi, Pénélope, reine d'Ithaque

Dans la même collection mythologie des éditions scrineo, Sylvie Baussier nous propose un court ouvrage sur une des femmes les plus importantes de la Grèce Antique : Pénélope, devenue reine d'Ithaque suite à son mariage avec Ulysse. Dites-vous qu'elle a été gagnée comme un vulgaire objet durant un concours de chars… Un mariage arrangé donc... Le respect de la femme, ALLO ?! Rassurez-vous Pénélope a pensé comme nous et est prête à montrer qu'elle n'est pas simplement la femme du roi d'Ithaque mais bien plus.



Elle va pouvoir le prouver lors du long voyage d'Ulysse hors d'Ithaque, parti faire la guerre aux Troyens pour avoir enlevée la cousine de Pénélope, la belle Hélène. Pendant vingt longues années, elle va démontrer à tout le monde qu'ils peuvent lui faire confiance pour gérer le royaume d'Ithaque seule d'une main de maître tout en élevant leur petit garçon, Télémaque. Pénélope est une femme forte, puissante, patiente avec un caractère particulièrement solide pour mener en bateau ses potentiels prétendants durant l'absence de son conjoint. Régner sur Ithaque lui a permis d'avoir la voix qu'elle avait perdue auparavant et de prouver à tous qu'une femme est tout aussi capable qu'un homme de régner sur un territoire. Ne jamais sous-estimer une femme !



Grâce à Sylvie Baussier, les femmes de la mythologie grecque n'ont plus de secrets pour nous. Elles deviennent à nos yeux des femmes puissantes et capables de tout. Elles font des péripéties qu'elles rencontrent des forces.



En plus de nous apporter un récit sur Pénélope, l'auteure y a ajouté une touche éducative en nous rappelant de manière simple, claire et sans aller dans le détail, l'histoire de la reine d'Ithaque et de son entourage. En plus de nous divertir par une note éducative, Sylvie Baussier a ajouté un petit carnet de jeux en fin d'ouvrage pour nous mettre au défi de nous inviter à nous rappeler ce qu'on vient de lire pour répondre le plus juste possible aux petits jeux qu'elle nous a concoctés tels qu'un vrai ou faux, qui a dit quoi...



Lire tout en apprenant et en s'amusant, que demander de plus ? Ah oui, donner la parole aux femmes ! C'est important !



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Moi, Pandore, la première femme

Lecture terminée " Moi Pandore La Première Femme "

Merci à @netgalleyfrance @scrineo et @sylvie_baussier pour cette jolie lecture.



J'avoue plus jeune j'étais fan de la mythologie grecque, depuis j'avais décroché. Aujourd'hui je viens de lire ce petit roman jeunesse, qui me racontait la vie de Pandore.



Oui celle à la fameuse boîte (jarre) que Zeus ,ce fourbe , lui a demander de garder sans jamais l'ouvrir. Une tannée pour une jeune femme curieuse comme elle.



Grâce ce à ce petit roman j'ai appris qui était cette jeune femme créée par Hephaistos à la demande de Zeus, son histoire en dehors de cette anecdote.



C'est poétique, court et bien raconté.

Bref une série de romans comme celui-ci qui nous apprend qui étaient ces fameux personnages de la mythologie. C'est un jeunesse, donc roman court parfait pour les petits et grands curieux de l'histoire.



Avec en fin de roman des petites activités pour voir si vous avez bien suivi 😊.



Il sort me 1er février et je suis sur qu'on ravira un grand nombre de lecteurs



#livreinstagrammeuse  #livrestagram #passionlivresque  #livres   #bookstagram  #instabook #livreaddict #passionlivres

#MoiPandorelapremièrefemme #NetGalleyFrance 
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Moi, Pandore, la première femme

Depuis un certain temps déjà, la collection Mythologie de @scrineo me faisait de l’œil.



Comment résister lorsqu’on vous promet de vous rendre les mythes plus accessibles et de vous les raconter d’un point de vue plutôt original, car cette fois-ci, ce ne sont pas les héros qui ont la parole, mais bien les monstres et ils seront au cœur du récit.



Arachné, Charybde, Cerbère, Méduse et tant d’autres reprennent le lead de leur propre histoire sous la plume de Sylvie Baussier et c’est un régal.



Pour ma part, j'ai attentivement écouté le témoignage de Pandore, la première femme de tous les temps, car avant elle, il n’y avait que les hommes qui avaient été créés par Zeus et quand ce dernier souhaite se venger de l’espèce humaine, rien de mieux qu’une femme, enfin… D’après les dieux ou plutôt d’après les hommes à l’origine de ces mythes…



C’est bien sur ce point qu’il est intéressant, et même réjouissant d’avoir une autrice qui réinterprète ces légendes, ça a même tout son sens et elle le fait merveilleusement bien, car une touche de féminisme prend place à travers cette héroïne qui pense et qui questionne également.



Si vous souhaitez découvrir ou redécouvrir Pandore et son fameux vase qui contient tous les maux de l’humanité, n’hésitez plus, ce roman jeunesse et un petit bonbon que l’on dévore sans modération. En-tout-cas, je suis conquise et désireuse de poursuivre cette toute nouvelle aventure avec cette superbe collection.
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Moi, Pandore, la première femme

« Je suis la première femme : avant moi, tous les êtres humains étaient masculins. J’ai été créée sur l’ordre de Zeus, le roi des dieux. Mais dans quel but ? Pourquoi les divinités me donnent-elles tant de qualités… mais aussi une curiosité dévorante ? Et pourquoi Zeus m’offre-t-il une jarre qu’il m’interdit d’ouvrir ? Prométhée, fils de Titans, me met en garde : selon lui, je suis l’outil de la vengeance de Zeus sur les hommes. Serait-ce si grave si je finissais par ouvrir le cadeau du dieu ?

Je m’appelle Pandore et voici mon histoire »



J’adore la mythologie grecque. C’est un univers qui m’a toujours fasciné. Mais ce que j’aime encore plus, c’est découvrir la mythologie du point de vue des femmes, encore trop effacées de l’histoire.



Parce que leur donner l’occasion de raconter leur histoire, c’est leur donner toute la place qu’elles méritent. On connaît Pandore à travers l’expression emblématique « ouvrir la boîte de Pandore » mais rarement la femme qui en est à l’origine.



Il faut savoir que c’est la première femme, donc par conséquent celle qui engendrera la création des femmes, notamment grâce à sa fille, Pyrrha. Ce n’est pas rien ! Elle est trop souvent décrite comme l’instrument pour servir la vengeance de Dieu sur les hommes. Elle a d’ailleurs été créée pour cela.



À travers cette courte histoire, Sylvie Baussier lui donne une voix. Mais pas seulement. Pandore ressent, vit, ce n’est plus un simple objet des dieux. L’autrice lui redonne son identité d’être humain. Son identité de femme.



Moi, Pandore la première femme est donc une histoire de femme, racontée par une femme. J’aime beaucoup cette collection chez Scrineo.



C’est un roman jeunesse très ludique, avec des jeux à la fin.



Il sort le 1er février 2024 ! 🗓



*



« Pandore », prononce la deuxième Grâce. Pourquoi pas. Cela signifie « Celle qui a le don de tous les dieux ». J’aime bien »



*
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Au nom de nos rêves

Au nom de nos rêves est un récit écrit par 22 mains (eh oui rien que ça). Nous y découvrons donc 11 chapitres, écrit par 11 auteurs, chacun d’entre eux est du point de vue d’un personnage différent.

Dit comme ça, cela peut vite être décousu, seulement l’écriture de ce titre a été bien encadré, à tel point que nous ne sommes jamais perdus et que l’évolution de l’histoire est crédible.



Dans cette histoire nous découvrons une association, ‘’liens publics’’, importante pour les étudiants qui vivent aux alentours. Cette association est un lieu de rencontre, de soutien, d’entraide dans laquelle chacun peut se retrouver, se sent écouté et aidé. Sauf qu’un jour, le gérant du local décident de mettre dehors l’association faute de paiement. Pour Nola, jeune étudiante, il n’est pas question d’accepter cette situation, elle va faire son possible pour que l’association ne se meure pas.



À travers ce titre nous suivons alors une histoire de rencontres, d’entraides et de soutien. Nous faisons la connaissance de personnes qui ont des vies bien différentes, qui viennent de milieux différents. Malgré leurs différences, ils vont s’unir avec un seul et même objectif : sauver l’association.

Ces personnages sont touchants, attachants, étonnants.



J’ai adoré lire cette histoire que j’ai trouvée addictive, elle semble si réaliste. J’ai eu beaucoup de mal à lâcher ce livre, j’ai adoré me plonger dans cette ambiance de bienveillance que l’on trouve dans ce récit. Nous y trouvons d’ailleurs des thèmes intéressants abordés, dont le principal : la précarité étudiante qui n’est pas à minimiser.



Ce titre a également été l’occasion de découvrir de nouveaux auteurs. Il ne me reste plus qu’à jeter un œil à leur bibliographie !



Vous l’aurez compris, il s’agit là d’un titre que je peux que vous conseiller.
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Le Kididoc de l'espace

Très bon livre pour les enfants sur l'espace avec des pop-up, des questions et même un quizz à la fin.

Les informations scientifiques sont justes (à part une petite coquille sur le nombre de lunes de Saturne).

À recommander aux enfants à partir de 5-6 ans si intéressés par l'espace et l'astronomie.
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Au nom de nos rêves

❤️ Dans ce court roman, les histoires des différents auteur.rice.s mettent en exergue à quel point la crise sanitaire causée par l’épidémie de Covid 19 a impacté la vie des jeunes sur tous les plans : précarité financière, détresses émotionnelle et psychologique, solitude…



🧡 Des milliers d’étudiants ont perdu leurs travails, ont été séparés de leurs familles pendant les confinements, ont du s’inquiéter pour leurs proches sans pouvoir les aider, ont été privés du lien social tellement important pour leur santé mentale, tant de conséquences qui les ont frappés de plein fouet …



💛 Au nom de nos rêves est avant tout un roman collectif dont les droits d’auteur et une partie des bénéfices de la maison d’édition Scrineo sont renversés à l’association Linkee qui vient en aide aux personnes en situation de précarité en luttant contre le gaspillage alimentaire.



💚 Après les confinements dus à la pandémie qui ont anéanti les étudiants, ils ont commencé à distribuer des repas aux jeunes les plus précaires. Depuis 2020, 600 000 repas ont été distribués à plus de 15 000 étudiant.e.s.



💙 Les personnages m’ont beaucoup touchée et la plume des auteur.rice.s à la fois douce et profonde est agréable à lire. En bref c’est une très belle lecture qui donne beaucoup d’espoir pour un avenir plus tolérant et altruiste.



Je ne peux que vous conseiller d’acheter ce livre dès sa sortie pour à la fois découvrir cette pépite et soutenir l’association Linkee.
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Au nom de nos rêves

Un magnifique roman choral, où plusieurs jeunes, se rencontrent, montent des projets ensembles... Un beau livre sur la transmission, l'aide face aux plus démunis. Tous les fonds sont récoltés pour aider les jeunes en détresse.

Ce livre se passe après les différents confinements et montre l'impact de ce que l'isolement a fait à de nombreuses personnes.



Je vous conseille grandement de le lire!
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Moi, Méduse

Très sympa d'avoir l'histoire du point de vue de Méduse, ce qui change considérablement l'approche et le ressenti sur le récit. Et ajoute une pointe d'émotion et d'empathie que l'on ne retrouve généralement pas dans l'histoire originale. Hâte de lire les autres titres de cette collection.
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Au nom de nos rêves

Quand j’ai vu des noms comme Pascale Perrier, Aurélie Gerlach, Pascaline Nolot, David Bry, Charlotte Bousquet ou encore bien d’autres, je vous avoue que j’ai eu envie de me laisser tenter. Et puis, quand on sait que les bénéfices de ce roman sont reversés à une association, on se dit que c’est une motivation de plus de le découvrir.



Nous sommes donc ici dans un roman engagé qui nous interpelle sur les problèmes des étudiants en situation précaire et chaque auteur a écrit un chapitre et mis un personnage en avant. Je trouve cette idée vraiment très sympa et j’ai aimé la façon dont chacun nous ouvrait les yeux car on ne se rend pas compte à quel point ça peut être compliqué pour certains étudiants.



Ce roman commence par une genèse qui nous explique pourquoi les auteurs ont décidé de s’allier pour l’écrire et je trouve ça vraiment très bien d’avoir cette explication. On va se retrouver dans la peau de plusieurs étudiants, mais également d’un enfant de quartier, d’un journaliste ou encore d’un propriétaire des lieux, ce qui crée une belle diversité.



J’ai aimé découvrir ces différents personnages et leur histoire mais surtout découvrir cette association qui est là pour les aider ainsi que l’élan de solidarité qui se crée autour de ces jeunes et des autres personnages du roman. On ne peut qu’être touchés par l’histoire et vouloir voir ces jeunes s’en sortir tant on se sent proches d’eux et on ressent leurs émotions.



J’ai retrouvé des auteurs que je connaissais déjà, j’ai découvert la plume d’auteurs que je ne connaissais pas et que j’ai, du coup, envie de découvrir.



A la fin du roman, on se retrouve avec une présentation de l’association Linkee qui est vraiment très intéressante à découvrir et on apprend beaucoup de choses sur son fonctionnement.
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Au nom de nos rêves

Tout d'abord, je tiens à remercier Netgalley et la maison d'édition pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage.



Il faut dire que la couverture m'a beaucoup attiré, ses nombreuses couleurs, son titre ainsi que la diversité des personnages qui s'y trouvent me donnait énormément envie de découvrir son contenu.



Ici, nous sommes dans un ouvrage narré par 11 voix, ce qui est fort intéressant. On y découvre alors plusieurs points de vie et cet ouvrage met l'exergue sur la précarité et les difficultés des autres. Ces difficultés qu'on a tendance à occulter, dans notre train-train quotidien.



Il y a quelques jours, je regardais une vidéo d'une jeune étudiante, qui parlait de la précarité de sa situation sur TikTok, elle expliquait qu'elle était étudiante et avait quitté son pays pour venir étudier en France. Elle fait partie des DOM et avait le droit à une bourse qui hélas, s'amenuisait chaque année, elle se retrouvait donc avec une bourse de 100 €, un loyé de 450 € ses cours tous les jours plus devoir travailler 25 h par semaine pour pouvoir payer son loyer et manger, car sa bourse avait été réduite de 70 % du fait de la hausse du salaire de sa mère. Sa mère qui vis donc dans les DOM ou la vie est 4 fois plus cher qu'en France et quelle peine à joindre les deux bouts.



"- Réviser, vous vous imaginez que c'est facile quand ventre et frigo sont vides ? Comment préparer l'avenir lorsque le présent n'est plus qu'incertitudes et que le futur ressemble à un mur ?"



Ce roman, m'a fait penser à la situation de cette jeune femme, ou on retrouve une énorme détresse et certaines personnes sombre suite à celle-ci. La situation économique et sanitaire n'aidant pas leur situation. Avec mon travail, j'ai vu de nombreux commerces et artisans fermés suite au covid. J'ai pu aussi voir des personnes se recroqueviller sur elle, car le fait de devoir rester confiner chez soi n'est pas du goût de tous et rend certaine personne anxieuse.



Les 11 nouvelles présentent un personnage et son point de vue sur sa situation. Elles nous plongent dans le quotidien de huit jeunes. Tous ont des parcours de vie différents, suivent des cursus différents, la situation économique, le confinement les a fait basculer dans la précarité sociale et économique. Entre crainte, honte, volonté de s'en sortir, il n'est pas facile pour eux de franchir la porte d'une association et d'oser dire ce qui leur arrive.





"Yannis

Plusieurs jours par semaine, je rejoins désormais la rue des Roses pour retrouver mes amis. Ma mère est obligée de téléphoner à l'accueil pour me prévenir que le dîner est servi et m'obliger à rentrer. Ici, pas besoin de télé. Les heures ressemblent à des minutes."



Je pense que cet ouvrage permet à tout d'avoir un autre regard sur certaines situations et permet de bien réfléchir.


Lien : http://www.leslecturesdophec..
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Au nom de nos rêves

Magnifiques nouvelles pleines d'amitié, de reconnaissance, d'entraide, de liens sociaux. Etant moi-même étudiante, je me suis reconnue quelque fois dans ces lignes.

Chaque personnage est unique et j'aime beaucoup le concept de confier à chaque auteur un personnage différent. Ainsi, chacun se démarque des autres et suit sa propre histoire, sans s'éloigner pour autant. Ni trop longues, ni trop courtes, toutes les nouvelles se succèdent avec une grande fluidité et une grande adresse de la part des auteurs.

Je ne vais pas m'éterniser, l'histoire et importante et doit être lue. La précarité étudiante et tout ce qui en découle doit être entendue et prise en compte. C'est un sujet d'actualité, magnifiquement évoqué dans cet ouvrage.



A lire par tous, pour prendre conscience ou pour trouver du réconfort.
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Parlons-en ! Trop d'antibiotiques ?

La collection « Parlons-en » permet d’aborder des sujets de santé de façon accessible pour nos lecteurs. Ici, ce titre parle antibiotiques, avec un titre en forme d’interrogation, car ces médicaments ont été pris trop souvent pour soigner toutes sortes de maladie, voire les prévenir, et les bactéries ont appris à développer des résistances.



L’ouvrage est divisé en quatre parties : savoir quoi faire en fonction des symptômes des maladies, explication de ce qui se passe dans le corps quand on est malade, comment combattre les bactéries, et apprendre à prendre soin de soi autrement. A la fin, un lexique, un vrai-faux, et une sitographie complètent l’ensemble.



Cet ouvrage permet d’aborder la problématique des antibiotiques de façon claire, en mettant en avant des jeunes confrontés à différentes maladies, ou leurs animaux domestiques. L’ouvrage explique la différence entre virus et bactérie, leurs modes d’action dans le corps, le fonctionnement des antibiotiques, comment les bactéries ont muté pour y résister, quels gestes avoir pour la santé des hommes comme celle des animaux, et rappelle des règles de base d’hygiène, avec également une double-page sur la vaccination.



Encore une fois, un ouvrage à proposer à tous, adultes comme jeunes !
Lien : https://docbird.over-blog.co..
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Moi, Méduse

Moi, Méduse. Cette histoire retrace la vie de l'une des créatures mythologiques la plus connue. Méduse, un monstre ? Le lecteur en jugera après la lecture. Fille aimée et vaniteuse, elle a subi les foudres d'une déesse. On nous raconte sa transformation, ses peines, et sa "fin" orchestrée par le vaillant Persée. La légende mythique est respectée, et pourtant elle ne nous paraît plus tout à fait si cruelle...
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