Sylvie Baussier

Ebook reçu en service presse grâce à @netgalleyfrance. Merci à @scrineo !



J’ai découvert que ce roman sortait grâce à Netgalley et j’ai trouvé ça génial que l’histoire de Marie Curie sorte en jeunesse (à partir de 12 ans). Tout le monde connait cette femme et son mari Pierre, qui ont pas mal révolutionné la physique et la chimie mais on ne connait que les grandes lignes et parfois juste qu’ils ont fait des recherches liées aux radiations et que c’est Marie qui a trouvé le Polonium et le Radium.



C’est un court roman, il fait 208 pages donc pas assez gros pour qu’on s’attarde sur toute sa vie qui a été bien remplie malgré son décès à 66 ans seulement. C’est un peu dommage pour certains évènements mais d’un autre côté, c’est justement ce qui attirera les jeunes.



Toute la vie de Marie Sklodowska Curie est passé en revue. On découvre son enfance dans une Pologne occupée par la Russie, où les femmes peuvent faire des études jusqu’à 16 ans mais pas plus. On apprend comment Marie s’est tournée vers les sciences mais aussi les évènements négatifs qu’elle a vécu petite. Ils resteront gravés en elle jusqu’à la fin. Pourtant c’est grâce à sa soeur, qu’elle arrive à tenir et arrive en France et rencontre son futur époux. On découvre un couple puis une famille pleine d’amour tant pour les autres que pour la science. On voit l’évolution de leurs recherches, la reconnaissance mais aussi toutes les difficultés, surtout en tant que femme à cette époque. C’était deux personnes simples qui voulait aider le monde, apporter du bon.



J’ai appris beaucoup de choses que je ne connaissais pas. Je suis vraiment contente d’avoir pu lire ce roman, découvrir la vie de cette incroyable femme qui a aidé à changer le monde. Je ne peux que vous conseiller de le lire !

Depuis le succès en librairie de Circé de Madeline Miller, de nombreux livres donnant la parole à des femmes mythologiques fleurissent sur les tables des librairies.



Si les femmes existent dans la mythologie, soit elles n'ont pas toujours le bon rôle, soit elles n'ont pas la parole. C'est le cas de Pénélope qui est vue dans l'Odyssée comme une épouse fidèle à Ulysse et une mère exemplaire mais dont on sait, au final, bien peu de choses. Et si cette femme était bien plus que cela ? C'est le pari lancé par l'autrice.



À travers son récit, Pénélope acquiert un peu plus de profondeur : elle est intelligente, règne sur Ithaque de manière autonome et sage et n'hésite pas à utiliser de fins subterfuges pour tromper ses ennemis. Un portrait touchant mais amer aussi car cette femme n'aura vécu que dans l'attente du retour de son mari.



Bref, à faire découvrir à un public jeune.

Après la mythologie du point de vue des monstres, Sylvie Baussier se lance dans la mythologie racontée par les femmes. A commencer par la toute première d'entre elles selon les Grecs: Pandore, que l'on connaît pour la fameuse expression, "ouvrir la boîte de Pandore".

Tout débute avec l'étrange "naissance" de Pandore, créée à base d'eau et d'argile par Héphaïstos à la demande de Zeus. Dieux et déesses se succèdent ensuite pour doter la jeune femme de diverses qualités ("Je me sens si petite parmi les divinités, si neuve aussi, comme un jouet entre leurs mains, comme un objet sur lequel elles appliquent leurs pouvoirs"), ainsi que d'une mystérieuse jarre étrangement légère, à ne surtout pas ouvrir ("Pourquoi avoir glissé la curiosité en moi si on m'interdit de la satisfaire?").



En réalité, Pandore est "l'instrument de punition des hommes" imaginé par Zeus. Une vengeance en lien avec l'histoire de Prométhée, fils de Titan et cousin de Zeus, qui a osé défendre les hommes face au roi des dieux (notamment en leur rendant le feu).

Comme on le devine, la jeune femme est obsédée par le contenu de la jarre et, un jour de désœuvrement ("Mon temps libre s'étend"), finit par en soulever le couvercle ("Je n'ai jamais voulu de tels malheurs!")...



En donnant vie aux personnages, le récit aide à mémoriser leur histoire. Celle de Pandore fait aussi réaliser qu'à l'origine, la mythologie grecque n'était peuplée que d'hommes... et que la religion chrétienne a repris cette image négative de la femme comme objet de convoitise et cause de perte (à cause de sa curiosité). "C'est injuste pour eux. C'est injuste pour moi.", car Pandore a été manipulée, et que c'est malgré tout celle grâce à qui l'humanité, à travers sa fille Pyrrha "la rousse", a finalement pu se développer.
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📚 SERVICE PRESSE - Masse Critique Privilégiée 💭 Merci à @babelio_



« Celle qui a les dons de tous les dieux. »



Un livre très original que celui-ci, donnant la parole à un célèbre personnage de la mythologie grecque. Un format plutôt court, destiné à un public jeunesse mais pas que, puisque j'ai vraiment apprécié me replonger dans ce mythe grec de manière plus simplifiée.



C'est un ouvrage parfaitement réalisé, dans un premier temps nous avons une présentation des personnages rencontrés durant le récit, ensuite vient l'histoire à travers les yeux de Pandore, puis un dossier documentaire ainsi qu'un cahier de jeux pour rendre la lecture plus ludique.



Sur ordre de Zeus, Héphaïstos va façonner la première femme sur Terre, à base d'argile et d'eau. Puis, va lui venir en aide, les autres dieux et déesses qui vont apporter à cette création, différents cadeaux tels que la parole, la séduction ou encore la curiosité, mais surtout un prénom, celui de Pandore.



Zeus satisfait de cette création, remet à Pandore une jarre avec une seule consigne : celle de ne jamais l'ouvrir. À travers ce cadeau, il espère ainsi mettre à exécution sa vengeance vis-à-vis des hommes. Bien qu'elle reçoive de nombreuses mises en garde de ne pas y toucher, et dotée d'une curiosité accrue et constante, s'en suit une issue connue de tous.



Pandore nous embarque dans sa quête de la vie, où elle va y découvrir la beauté de la nature dans un univers incroyablement riche. Évoluant aux côtés des hommes, elle va comprendre le sens de l'amour sous toutes ses formes, jusqu'à l'inévitable.



« J'ai créé un corps de la même taille que celui des hommes, mais qui ressemble à celui des déesses. »


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Sylvie Baussier donne la parole à Méduse, l'une des Gorgones, mortelle, à la différence de ses deux sœurs. Elle grandit tranquille auprès de ses sœurs et de ses parents, fière de sa chevelure bouclée, qui devint son malheur.



En effet d'une grande beauté et pourvue de cette splendide chevelure, elle attirait tous les garçons libres de l'Olympe, mais aucun ne lui plaisait assez pour qu'elle envisage de l'épouser.



Cela ne fit qu'attiser leur convoitise : Poséidon, son oncle pourtant, l'enleva et la viola dans un temple dédié à Athéna.



Cela déplût fortement à la déesse qui punit Méduse par là où elle avait pêché : sa chevelure fut transformée en nid de serpents tout entortillés en forme de boucles. Et comme si cela n'avait pas suffi : son regard transformait en pierre tour ce qu'il croisait ! 



Elle partit vivre dans une grotte, sur une montagne éloignée, jusqu'à ce qu'un jour Persée fut condamné à ramener sa tête. Ce qu'il réussit grâce à l'aide d'Athéna.



Sylvie Baussier réussit à nous donner envie de consoler M2duse, pourtant l'un des personnages les moins jolis de la Mythologie, en montrant qu'elle fut la victime de la colère d'Athéna (comme tant d'autres) non seulement une fois, mais deux ! 



Bref, j'ai bien aimé ce récit et je vais essayer d'en trouver d'autres.



Une belle découverte en tous cas ! 
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Un livre jeunesse très agréable et complet, pour découvrir et faire découvrir non seulement le mythe de la boîte de Pandore (la jarre dans le livre et initialement dans la mythologie grecque), mais aussi Pandore, la femme.



À l'image de Circé de Madeline Miller, l'autrice fait de Pandore la narratrice de son histoire. Tout commence avec la naissance de Pandore très détaillée, on la retrouve au milieu des divinités mythiques, qui sont en plein travail de création (de Pandore).



Hermès lui donne la curiosité, ce qui mènera Pandore et les hommes à leur perte, puisque c'est la curiosité qui donnera l'obsession d'ouvrir la jarre que Zeus lui a offerte, à Pandore.



Mais si la morale du mythe est que la curiosité est un vilain défaut, la voix de Pandore est jusqu'au bout une voix féministe. Pandore est la première femme sur Terre, et elle aimerait finalement ne pas l'être, ne pas être l'objet de convoitise de tous les hommes, qui ne connaissent que leur genre ou les divinités. Pandore veut avoir une fille plutôt qu'un garçon, et pense que si Héra avait été à la place de Zeus, les choses auraient pu tourner différemment. Que les femmes peuvent changer les choses, changer le monde.



Un beau message, un livre très ludique pour les plus jeunes qui découvriront cette histoire et pourront en apprendre également sur la mythologie grecque et les divinités (détaillés en fin de livre), et s'amuser grâce aux petits quizz prévus après la lecture.



Merci aux éditions Scrineo, à l'autrice Sylvie Bahssier ainsi qu'à Babelio pour cette belle découverte.

Un vrai et réel plaisir de redécouvrir l'histoire de Pénélope, reine d'Ithaque et femme d'Ulysee.



Parce que oui, raconté de manière simple pour des enfants, c'est quand même moins rébarbatif qu'un cours d'histoire au collège.



Fait très intéressant, Pénélope s'exprime elle- même, elle se raconte. Pour une fois que ce n'est pas un homme qui le fait à sa place.



Bien vus pour les enfants, une bio succincte de chaque personnage au début de l'histoire et quelques jeux à la fin pour valider ses connaissances.



L'histoire m'a émue, la force de l'héroïne, son abnégation, son dévouement et sa fidélité m'ont chamboulé.



Amateurs de mythologie et d'histoire, foncez, vous allez vous régaler.

J'ai eu un énorme coup de cœur en découvrant cette collection avec leurs titres sur les monstres de la mythologie. Aujourd'hui, j'ai eu le plaisir de lire deux volumes qui donnent cette fois la parole à des femmes célèbres, dont celui-ci sur Pandore. Exactement comme dans les titres précédents, j'ai été conquise par le parti pris de l'autrice de faire raconter par l'héroïne sa propre histoire. Cette vision des mythes que l'on connaît en change notre perception. Plus humaine, avec bien plus d'émotions, on est transposés dans des récits intimes et bouleversants. J'ai adoré ce 1er volume d'une série de 2 tomes, sortis aujourd'hui en librairies, que je vous recommande vivement !

Fan de la série Moi, monstre que je travaille avec mes 6e, je découvre grâce à @scrineo la version sur les femmes de la mythologie. @sylvie_baussier a eu la géniale idée de raconter ces mythes vus par ceux qui n'ont jamais la parole. Monstres, femmes, ils sont des éléments essentiels mais souvent muets. On découvre dans ces opus la vie de Pandore et celle de Pénelope depuis sa jeunesse jusqu'au retour d'Ulysse. Le roman porte notre regard sur le rôle de cette femme cantonnée à sa fonction de potiche fidèle chez Homère alors qu'elle a géré Ithaque pendant 20 ans, seule face aux prétendants. Mais on découvre aussi une fillette espiègle cherchant l'amour de sa mère, une jeune nymphe, et imposant ses bonnes idées au roi son père, craquant pour Ulysse mais sans perdre son indépendance. Un point de vue intéressant et qui change des versions très masculines.

Premier livre de mythologie que je lis aux éditions Scrineo, et ce fut une très belle surprise.

Dans "Moi, Pandore, la première femme", la parole est donnée à cette femme, instrumentalisée par les Dieux.



"Je suis la première femme : avant moi, tous les êtres humains étaient masculins. J'ai été créée sur l'ordre de Zeus, le roi des dieux. Mais dans quel but ? Pourquoi les divinités me donnent-elles tant de qualités... mais aussi une curiosité dévorante ? Et pourquoi Zeus m'offre-t-il une jarre qu'il m'interdit d'ouvrir ? Prométhée, fils de Titans, me met en garde : selon lui, je suis l'outil de la vengeance de Zeus sur les hommes.

Serait-ce si grave si je finissais par ouvrir le cadeau du dieu ?

Je m'appelle Pandore et voici mon histoire...

Vous connaissiez le mythe de la " boîte " de Pandore, découvrez le récit de la femme qui le porte."



Je ne suis pas très calée en mythologie, donc même si ce livre est à destination des enfants (fin primaire), j'ai eu grand plaisir à le lire.

L'histoire est vraiment très accessible au niveau du vocabulaire, et plutôt courte (moins de cent pages), donc même ceux qui ne sont pas de grands lecteurs pourront le lire.

Ce que j'ai personnellement adoré, ce sont toutes les informations données à la fin (sur une dizaine de pages) pour en savoir encore plus sur ce mythe.

Et pour tester ses connaissance, ce livre se termine par un cahier de jeux !



Ça donne terriblement envie de lire et/ou d'offrir toute la collection !

Au nom de nos rêves écrit par 11 écrivains parle de manière vraie d'une association d'aide aux jeunes. « Liens publics » est une association qui fournit de l'aide alimentaire mais également de l'écoute et d'une aide logistique aux étudiants précaires. Nous suivons Nola qui vit dans une chambre de bonne, Marwan qui travaille la nuit pour payer ses études ou encore Célian qui ne sort plus de chez lui depuis le confinement. Ce qui va les réunir ? L'association. Mais celle-ci est en danger : le propriétaire veut vendre le local. Il va falloir faire preuve de solidarité et d'originalité pour trouver une solution. La thématique est vraiment intéressante et trouve un véritable écho en ces temps difficiles ! Le fait que les auteur.e.s aient travaillé de concert et versent les bénéfices à l'association Linkee : la première association française de distribution alimentaire aux étudiants sont un véritable plus. Les personnages sont touchants et même si nous connaissons assez rapidement la fin, l'intérêt est ailleurs. La mise en avant de la solidarité et de l'engagement citoyen parleront à tous les lecteurs. Quant au style, malgré les différents auteurs, chacun a su garder son style et le fil de l'histoire sans que le lecteur en soit trop dérouté. #Aunomdenosrêves #NetGalleyFrance

Un livre pour soutenir une association, ca vous dit? Nous en tout cas, ca m’a dit. Et bien m’en a pris! Parce qu’il remue, ce livre.



On y suit plusieurs personnes au sein d’une association d’aide aux étudiants. En plus de fournir de quoi manger, cette association permet aussi d’y trouver de la chaleur humaine. Et en post-Covid, nous savons à quel point nous avons besoin d’un endroit comme cela. Mais malheureusement cette association est menacée d’expulsion. C’est dans ce cadre là que nous découvrons les différents personnages, et ce que l’association leur a apporté.



C’est assez rare que je lise un livre à plus de 4 mains. Et là, ils sont 11 auteurices à avoir contribué à cet ouvrage. Chacun pour un chapitre centré sur le point de vue d’un personnage. Ce qui fait que les changements de styles ne sont pas du tout perturbants et même très cohérents!



Et l’histoire… piouf! Je n’ai pas envie de la dévoiler, mais on y suit des jeunes qui ne sont pas épargnés par la vie. La pandémie nous a tous touchés, qu’on ait été malades ou non. Nous nous sommes retrouvés seuls même si nous ne vivions pas seuls. Et ca a, chez beaucoup, augmenté les troubles psychologiques ou psychiatriques. Je fais parti de ces personnes là.

Alors voir ces jeunes se démener pour sauver leur association… mais aussi parler d’eux… ca fait ressortir des émotions.

J’ai fini ma lecture avec les larmes prêtes à couler. Ca faisait longtemps.

Un roman choral qui alterne 11 personnages, 11 points de vue, 11 auteurices avec leur style narratif et leurs émotions… Tous réunis pour raconter la tentative de sauvetage d’une association de soutiens aux étudiants.



C’est plein d’émotions, d’humanité et de fougue. L’histoire et les sentiments des différents intervenants de l’intrigue sont parfois rapidement survolés (c’est l’inconvénient du côté roman court et format « nouvelles ») mais malgré tout intéressants et hyper émouvants à chaque fois! J’ai eu plusieurs fois la gorge nouée ou les larmes aux yeux.



L’intrigue générale est optimiste et a un côté bisounours tellement doux et qui met du baume au cœur… Ce livre ressemble à ce à quoi la vie devrait ressembler!! Attention: il y a aussi de la noirceur, des personnages détestables et qui mettent en rogne. Mais dans la globalité, il dégage une force de vie et une impression que l’entraide peut faire bouger les choses qui donnent un peps de folie lorsqu’on repose ce livre.



Surtout, il tire la sonnette d’alarme sur une situation de plus en plus précaire et fragile: celle des étudiants en France. Une vraie catastrophe, qui avec l’augmentation du coût de la vie (mais pas d’augmentation suffisante des aides type APL et bourse) et avec le covid est devenue encore pire. Les taux d’abandon, de dépression et de suicide sont en hausse constante.

J'ai vraiment beaucoup aimé le début de ce roman jeunesse (accessible pour fin de collège et lycée), mais à partir du "bouleversement", j'ai trouvé que l'histoire se perdait un peu...



Emilie vit dans une petit île tranquille où il ne se passe pas grand chose, avec ses parents qui sont épiciers et son petit frère. Clément arrive dans sa rue, il s'installe là avec sa mère, qui commence un nouveau contrat et une nouvelle vie, en travaillant chez Techpro, la grosse entreprise qui fait travailler une grande partie des insulaires.

On découvre le quotidien des deux adolescents, avec la présence de l'oncle Fred qui est tout sauf respectueux avec les femmes et même avec Emilie, qui ne sait pas comment le dire à sa famille.

Tout est évidemment tourné autour de la question du genre: est-ce que vraiment c'est écrit que les filles aiment le rose et doivent accepter des rôles stéréotypés qui semblent écrits pour elles par la société? Toutes ces questions sont plutôt bien traitées, même si j'ai trouvé que parfois cela manquait de tolérance. Car il n'est quasiment question que de cela: lorsque l'usine Techpro prend feu, une catastrophe se produit, tous les habitants de l'île changent de sexe et se retrouvent complètement coupés du monde. A chacun de se réapproprier son nouveau corps, sa nouvelle identité, avec en toile de fond: qu'est-ce qui fait que je suis une fille/ un garçon? Est-ce vraiment moi ou mon genre qui décide pour moi?



Un roman intéressant qui pose de bonnes questions. J'ai trouvé quelques lourdeurs à la fin, mais c'est une histoire qui se lit facilement et qui a le mérite de faire réfléchir aussi.

Première fois que je lis un livre de cette collection et je dois avouer que l'idée est géniale.

C'est une nouvelle façon d'aborder la mythologie, non par ses héros mais par les monstres que l'on y croise souvent. Ici le mythe de Charybde et Scylla.

Tout d'abord un court roman nous introduisant l'histoire de Charybde, une jeune fille un peu trop gourmande qui s'est retrouvée punie par Zeus qui l'a transformée en tourbillon et placée en pleine mer où elle devra ingurgiter tout ce qui passe à sa portée.

Cruelle condamnation, on s'en rend vite compte car pour une fois on a le point de vue du monstre, on ressent ses émotions et c'est une toute nouvelle façon d'intéresser les petits et même les grands à la mythologie.

J'adore la mythologie, je l'ai étudiée durant quelques années, et je trouve ce concept très bien pensé. Une première partie sous forme de roman, une seconde avec un petit dossier documentaire pour expliquer le mythe et enfin quelques pages de jeux pour s'entraîner sur ce qu'on vient de lire.

C'est ludique, éducatif, court et agréable à lire. Bref je conseille grandement !

J'ai trouvé ce livre super bien, on retrouve aussi d'autres personnages de la mythologie grecque. Ce qui m'a étonnée c'est qu'on fasse le point de vue de Medusa ! La fin est très triste par contre. Et je n'ai pas compris non plus, Athena c'est quand même une déesse: pas besoin de beauté ! En tout cas je vous conseille ce livre ! J'ai trouvé ça triste que ses propres soeurs l'aie trahie. J'ai trouvé que dans ce livre il y avait du dégoût, de la cruauté, de la jalousie, de la tristesse, de l'action, de la méchanceté et bien évidement des dieux !!!!

SARAH ;)

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J'ai trouvé ce livre intéressant et c'est bien dommage que Medusa soit devenu laide car elle était sympathique. Ce sont les autres qui l'ont rendue méchante car ils mettaient trop d'espoir en elle.



Keïla !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Moi, Méduse m'a beaucoup plu. J'ai aimé ce livre car il est facile a lire, il m'a plu, il m'a intéressée... Il est génial, étonnant, tragique, triste, émouvant. Mais Méduse est horrible avec ses cheveux de serpents et ses dents de phacochère. Mon personnage préféré c'est... Méduse évidement. C'est mon personnage favori car elle à l'air belle avec ses boucles noires. Je trouve ça triste qu'Athéna l'ai transformée en Gorgone. Et en plus c'était même pas de sa faute enfin un peu. C'était effrayant quand Persée à coupé la tête de Méduse, en même temps c'est la mythologie grecque. Persée est gentil, certes il a coupé la tête de Méduse mais c'était sa mère qui avait besoin d'aide. Le méchant roi voulait épousé la mère de Persée. Le roi voulait la tête de Méduse comme trophée donc Ulysse est allé la couper en échange de sa mère. Il ne voulait faire de mal a personne sauf au roi qui voulait épousé sa mère. Poséidon est une mauvaise personne car il a violé Méduse c'est pour ça qu'elle s'est faite transformer en Gorgone. Il a souillé le temple de sa nièce. Athéna. Je déteste cette déesse. Nous parlerons d'elle plus tard. Poséidon, le dieu de la mer et des océans est affreux . Mon passage préféré, c'est quand Méduse se fait couper la tête car c'est le moment où j'ai ressenti le plus d'émotions. La tristesse, la peur, j'ai été choquée. C'est le moment où je croyais qu'elle allait mourir mais non en faite elle est toujours vivante. Sa tête est toujours là coupée où une rivière de sang s'écoule. C'est comme si elle avait un cœur dans sa tête. Et ses yeux bouge toujours. Les Grées sont trois normalement, je ne comprend pas pourquoi elles ne sont que deux dans l'histoire. Mais les pauvres, partager un œil et une dent pour deux c'est grave donc si elles les perdais, elles seront aveugles et ne pourront plus manger. Elles mangeront de la purée au lieu de manger des aliments dure comme de la pomme.



Lou-Ann ( °3°)

BISOUS

La collection scrineo mythologie permet de découvrire la mythologie du point de vue des monstres eux-mêmes ! Quelle est leur version de l'histoire ? Et c'est avec Méduse que j'ai découvert cette série de petits livres !

Il suffisait d'un regard sur la belle Méduse  fille de Gaia, la Terre, et de Pontos, l'Océan, pour que tous les hommes soient attirés par elle. Elle était destinée à épouser un beau dieu. Mais Méduse refuse et s'attire la jalousie d'Athèna qui la transforme en un être repoussant. Désormais, ses cheveux sont devenus serpents et son regard pétrifie tous ceux qu'elle croise ! Accompagnée de ses deux sœurs immortelles, elle doit maintenant vivre cachée. Une histoire dure où la condition de la femme est malmenée. On s'attache à Méduse et au lieu de la voir monstre on la voit surtout victime !

Cette collection est conseillée à partir de 10 ans, attention toutefois dans ce volume le thème du viol est abordé (même s'il est sous entendu). Le livre est très bien fait, on y trouve dans une première partie la présentation de chaque personnage, puis l'histoire est découpée en huit courts chapitres, suivi de questions réponses sur le mythe. Enfin, dans une dernière partie il y a un cahier de jeux. Je vous recommande cette collection qui permet d'aborder la mythologie sous un autre angle.

Méduse est une très belle jeune fille, qui a le malheur d'attirer bien trop le regard des dieux et autres mortels de son entourage. Jusqu'à ce qu'Athéna pique une colère et ne transforme Méduse en monstre. A-t-elle été juste ?

Encore une fois j'ai appris plein de détails de la mythologie que j'ignorais. Ce roman ouvre des perspectives dans l'étude du monstre au programme en 6e, en s'interrogeant sur la justice du sort qui a été jeté à Méduse, par exemple ? Tellement d'actualité.....

De nombreux jeunes sont confrontés au diabète, que ce soit eux qui en souffrent, un camarade, ou un membre de leur famille. Et cette maladie fait se poser beaucoup de questions.



Ce documentaire de la collection « Parlons-en ! » de chez Gulf Stream va permettre de faire le point, de connaître cette pathologie, ses symptômes, les différents types de diabète, ses causes, son fonctionnement, comment vivre avec le diabète qu’on soit enfant, ado ou adulte.



Comme les autres titres de la collection, celui-ci permet en une cinquantaine de pages d’aborder le diabète, de comprendre comment il survient, et surtout comment vivre au quotidien avec les différents traitements et envisager un avenir serein.



J’aime bien le fait que ce documentaire aborde les différentes questions en s’appuyant sur des témoignages et des questions d’enfants et d’ados touchés par cette maladie. Deuxième point fort, les explications sont simples et claires. Et enfin, le tout est abordé sans fatalisme, montrant qu’on peut tout à fait vivre avec le diabète au quotidien, même si cela est plus compliqué.



Un bon documentaire à proposer au CDI, comme les autres de la collection !
Lien : https://docbird.over-blog.co..

Une introduction resitue le contexte historique puis l'entrée se fait par ordre alphabétique afin de retrouver rapidement le nom recherché. J'aurai personnellement préféré un accès thématique afin de pouvoir butiner l'ouvrage sans but particulier: à lire toutes ces biographies à la suite, je n'en ai pas retenu grand chose, d'autant que la plupart de ces personnes résistantes me sont inconnues. Cependant je comprends que cela aurait été compliqué, un certain nombre étant intervenues dans des domaines différents. Il y a d'ailleurs un code couleur judicieux pour les identifier: "diffusion/propagande", "sauver", "action", "arrestation", "déportation", etc.



Certains noms m'ont malgré tout interpelée, comme Vercors, auteur du Silence de la mer que je compte bien lire. J'ai été saisie par l'incroyable parcours de Witold Pilecki qui s'est fait prisonnier volontaire à Auschwitz afin d'organiser des évasions; lui-même s'échappera du camp plus de deux ans après son internement afin de témoigner des barbaries qui y étaient commises. J'ai aussi trouvé admirable le travail d'infiltration de Rose Valland qui espionnait le vol d'œuvres d'art organisé par les nazis afin qu'elles soient restituées aux familles juives à la fin de la guerre: c'est, selon moi, un sujet dont on parle trop peu. Les portraits brassent toutes les nationalités, ce qui donne un aperçu de l'étendue du réseau.



Comme tous les titres de la collection, ce petit documentaire est complet et bien conçu. C'est un outil à consulter ponctuellement afin de mettre des actes sur un nom entendu.
Lien : https://www.takalirsa.fr/r%C..