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Citations de Tom Wolfe (267)


Elle n'avait encore jamais rien vu de ce genre : après une quinzaine de mètres, il n'y avait plus de plafond ! Elle a levé les yeux vers le ciel : l'immeuble était évidé en son centre, puits vertigineux cerclé de passages suspendus et de fenêtres jusqu'au sommet, lequel était constitué d'un immense dôme transparent. Un étage plus bas, s'étendait un jardin intérieur circulaire dont on apercevait le sol en terre cuite entre d'énormes arbres et des massifs tropicaux. Quelque part un piano, une basse et une percussion jouaient de la musique sud-américaine qui s'imposait sur le bruissement incessant d'une cascade, le tintement des couverts contre les assiettes...
Sa seule expérience des hôtels, jusque-là, avait été le Grosvenor, sur la rue N, où elle avait partagé une petite chambre avec Miss Pennington, qui avait ronflé toute la nuit. L'expérience avait été mémorable, cependant. Au petit déjeuner, également payé par le gouvernement, elle avait pris des gaufres, avec du vrai sirop d'érable, ce qui était une autre première pour elle. Mais ce n'était rien, comparé à ce qu'elle venait de découvrir ! Prise d'une idée, elle s'est hâtée de rejoindre Nicole et Crissy, toujours en train de discuter chiffons. Les yeux écarquillés, un sourire extasié aux lèvres, elle leur a crié : "Il faut que vous veniez voir ça ! Là ! En bas ? Il y a des arbres, et une chute d'eau, et au-dessus tout l'intérieur est vide ? Oh, vous devez venir voir !"
La blonde Nicole lui a accordé un regard patient mais un peu agacé.
"Tu veux dire un atrium ?
_Ah... Je n'y avais pas pensé, mince ! Comme dans les maisons romaines de l'Antiquité, alors ? Oui, mais là ça monte, ça monte sur trente étages ? Tu viens voir ?
_ Je connais ça par coeur, a répliqué Nicole. Tous les Hyatt sont construits pareil. - Elle s'est de nouveau tournée vers Crissy - Donc, je me suis dit que ces talons étaient trop hauts, d'accord, mais qu'est-ce que ça fait, hein ? De toute manière, les mecs savent pas danser et le temps qu'ils se décident à venir sur la piste ils sont déjà dé-chi-rés !"
Charlotte gardait les yeux sur Nicole, bouche entrouverte, sonnée par le choc. Sa grande découverte architecturale n'avait servi, si besoin était, qu'à montrer une nouvelle fois quelle indécrottable provinciale elle était. Dans leur jean parfait, leur haut parfait, leurs bottes parfaites, les deux filles qui connaissaient le monde, elles, ne lui prêtaient aucune attention.
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Elle a aussi deviné que son épanouissement universitaire n'était sans doute pas sa seule motivation dans cet accès de sincérité, et que le moment était venu de mettre le holà, avant qu'il ne recommence à vouloir "l'emballer", perspective désagréable, voire effrayante. D'un autre côté, elle n'avait aucune envie de mettre le holà... Elle n'était pas prête à ça, pas encore capable de l'analyser mais elle était en train de goûter aux premiers frémissements, vraiment les tout premiers pour elle, du pouvoir qu'exerce la femme sur cette créature qui partage l'hormonocentrisme monomaniaque des bêtes sauvages : l'Homme.
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A Dupont, tout le monde pense qu'il faut être une anormale, une petite bigote, une refoulée pour ne pas coucher avec n'importe qui. Les filles te posent la question, comme ça, devant tout le monde. Est-ce que tu fais partie du "Club des vierges" ? Et si tu as le malheur de répondre que oui, tu avoues un défaut terrible. Tu ne sors pas avec un garçon ? Tu es une minable. Tu sors avec un garçon mais tu ne veux pas avoir de rapports sexuels ? Encore plus minable ! Tu ne trouves pas que c'est pourri ? On est supposées étudier dans une université prestigieuse mais si tu ne fais pas ça on ne considère pas que tu y appartiens ! Moi je dis que c'est injuste et que c'est mal... Est-ce que je me trompe ? Est-ce que je passe à côté de quelque chose ?
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Mais bon, c'est comme les tapis signés Picasso ou Miro : on ne marche pas dessus, on les suspend au mur. C'est pareil avec les voitures (customisées) de Barris. Elles sont, réellement, des sculptures.
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Un matin en entrant, dans le Bureau des Astronautes, ils virent, au tableau, une grosse inscription :
LA VOITURE DE SPORT EST UN SYMPTOME DE L'ANDROPAUSE.
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Charlotte a soulevé un pan de la nappe blanche et... la table de pique-nique était partie ! Remplacée par une vraie table ! Elle a jeté un coup d'oeil intrigué à sa mère, qui souriait plus gaiement que jamais, et a repoussé encore un peu la nappe. La table était des plus sommaires, en pichpin sans doute, ce que l'on appelait dans le temps une table de cuisine et en effet on voyait une rangée de tiroirs à poignées de métal sur le côté. Comme les chaises, pourtant, elle avait été restaurée avec un soin extrême, cirée et polie jusqu'à donner un peu de lustre à son inélégance et à la pauvre texture du bois.
"_ Où vous les avez eues, Maman ?
_ Des Paulson, à Roaring Gap."
Avec une considérable fierté, elle a entrepris de raconter que les Paulson avaient demandé à Papa, d'emmener tout ce mobilier à la décharge mais qu'il l'avait rapporté à la maison, et qu'il avait ensuite passé une semaine entière à démonter entièrement la table, à la réassembler solidement, à remplacer les poignées rouillées, à sabler, lasurer, cirer et frotter jusqu'à ce qu'elle soit comme neuve.
"Mais ne lui dis pas que je t'ai raconté, n'est-ce pas, car tu sais pourquoi il a fait tout ça ? Parce que sa fille chérie revenait à la maison. Il savait ce que tu devais penser, de dîner à une table de pique-nique. Il voulait te faire la surprise. Ton papa ne parle pas beaucoup, mais il voit tout un tas de choses!
_ Et la table de pique-nique, qu'est-ce qu'elle est devenue ?
_ Dans le jardin, à sa place. C'est fait pour être dehors, une table de pique-nique."
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"T'arrête pas de dire "cool", a remarqué Edgar, mais en fait c'est quoi, quelqu'un de cool ?
_ Si t'as besoin de demander, c'est que tu l'es pas vraiment, cool, a rétorqué Roger Kuby.
_ Peu importe, a insisté Edgar, mais ça veut dire quoi ? Si quelqu'un venait te trouver et te disait : "Quelle est la définition de cool ?", tu répondrais quoi ? J'ai jamais entendu quiconque essayer, même.
_ Je peux te dire au moins une chose, est intervenue Camille, c'est que "cool" n'a aucun rapport avec les femmes. On ne dit jamais d'une fille qu'elle est cool.
_ C'est parce que les mecs comme toi et moi, Camille, on aime que les filles soient chaudes, plutôt ! - Les rires récoltés par sa blague ont encouragé Roger, qui a lancé un coup d'oeil à Randy, le garçon qui revendiquait depuis peu son homosexualité, et lui a adressé un sourire narquois, pouces levés : - Pas vrai Randy ?
(...)
_ C'est pas tout à fait exact, Camille, s'est intercalé Adam afin que Charlotte ne puisse pas le juger sans argument. J'ai déjà entendu dire qu'une fille était cool. Par exemple, il...
_ Oui, si c'est le genre de fille qui traîne tout le temps avec les mecs, l'a coupé Camille, dont les yeux lançaient des flammes. C'est un truc de keums, cool. Moi, je m'en branle, de toute façon, parce que les types qu'on dit "cool" sont en réalité des têtes de noeuds, si vous regardez bien. Des ignares fiers de l'être.
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Charlotte éprouvait... de la culpabilité pour la manière dont elle s'était conduite avec Adam et aussi, incontestablement une merveilleuse appréhension à l'idée de revoir Hoyt. Pourquoi ne lui avait-elle pas dit la vérité au sujet de son jean ? Sans doute parce qu'elle ne voulait pas le reconnaître elle-même : la vérité, c'était que le matin même elle s'était rendue chez Ellison, le magasin le plus chic de la ville, et avait dépensé quatre-vingts dollars dans un jean Disesel ! Alors que ses ressources de tout le semestre s'élevaient à trois cent vingt dollars en tout et pour tout, dont il lui restait moins de la moitié... Et cela dans le seul but de pouvoir aller remercier Hoyt Thorpe ! Pourquoi ne pas avoir au moins embrassé Adam sur les lèvres, un "baiser de pitié" ainsi que Beverly récompensait ses "coups de pitié", pour reprendre ses dires, au lieu de ce lamentable bécot de sortie d'église ? Pourquoi ne pas l'avoir laissé rencontrer Hoyt ? Hoyt ! - un homme fait, lui, pas un gamin... Elle a tenté d'imaginer ce que cela représentait de donner une raclée aux gardes du corps du gouverneur de Californie après avoir été attaqué par eux, la nuit de la... comme Beverly l'avait appelée.
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Quel poète a chanté la plus cruelle des émotions humaines, la blessure qui ne cicatrise jamais, j'ai nommé l'affront fait à un mâle ? Oh certes, aèdes et bardes nous ont aiguillonnés de leurs épiques récits de vengeance, cette obsession de la virilité humiliée, mais c'est un peu facile...
Mais quid du sentiment lui-même, de la mortification subie par un homme ? Aucun d'eux ne pourra la décrire. Celui-là même qui confessera volontiers les pires débauches et atrocités avec luxe de détails et d'images reprises à d'autres ne sera jamais en mesure de dire un seul mot sur l'humiliation qui, selon Orwell, "constitue soixante-quinze pour cent de la vie".
La reconnaître en effet, ce serait avouer qu'il a cédé, reculé, renoncé à son honneur sans combattre l'autre mâle qui l'a avili, qu'il a été privé de son sexe et soumis à une souffrance pire que la promesse d'une mort imminente...
Jamais aucun homme ne pourra se libérer de ce moment révoltant où il a capitulé. Un mot, une odeur, un visage le lui rappelleront en un éclair et il éprouvera de nouveau cette sensation primale, et il se noiera de nouveau dans la honte de s'être couché dans l'attente de l'émasculation.
Heureusement pour lui, Adam Gellin ne revivait pas l'instant que l'on sait alors qu'il traversait le grand parc au crépuscule, et pourtant sa destination... avait amplement de quoi le lui rappeler.
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A peine eut-il refermé la porte derrière lui qu'Adam a perçu les cris de joie ou de douleur et les rires de Jojo et Mike, qui s'étaient remis à la PlayStation 3 mais qui riaient aussi de lui, sans aucun doute. Oui, ces deux abrutis allaient rester devant leur console de jeux comme des gosses de douze ans et se moquer d'Adam Gellin, tandis qu'il lui fallait courir à la bibliothèque, pêcher de la documentation, réunir un minimum de notes et passer une nuit blanche à concocter deux mille cinq cents ou trois mille mots qui, de surcroît, devraient passer pour l'oeuvre d'un crétin tel Jojo Johanssen. En fait, il n'était pas aussi stupide que çela, Jojo : il refusait de se servir de sa tête, simplement. C'était une question de principe, et c'était triste. Pire, même : pathétique. Jojo était une brute, certes, mais aussi une poule mouillée qui n'osait pas enfreindre le grotesque code d'honneur des sportifs de campus, lequel interdisait de se comporter en étudiant "normal". C'était à cause de ces préventions qu'Adam allait rester debout jusqu'à point d'heure alors que Jojo, après encore quelques heures d'abêtissement devant sa console, dormirait du sommeil d'un bébé assuré que tout ce dont il a besoin sera de nouveau là pour lui au matin.
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Comment ces gens pouvaient-ils être aussi superficiels, comment pouvaient-ils gaspiller leur argent avec autant de légèreté ! Ce Fleischmann qui dépensait près de 17 millions de dollars pour sept bouts de verre obscènes... 17 millions de dollars en treize ou quatorze minutes, de crainte qu'un gros Russe ne mette la main avant lui sur ces conneries... pure frime!... Et Norman qui ne voyait rien... Il était fasciné. Une petite cubaine, une Magdalena, n'existait plus, évidemment. Norman l'avait chassée de son esprit. Son ressentiment jaillit comme des flammes. Se transforma en incendie. Ce salaud. :::::: Norman, tu n'es qu'une immonde ventouse à fric. Aucun étalage d'argent ne te paraît jamais dégueulasse, hein ? Il m'a insultée ! Mais qu'est-ce que je fous encore avec un type pareil ? ::::::
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Nestor et le brigadier attendaient dans un véhicule banalisé, une Ford Assist de trois ans. Inventer un design affreux pour une bagnole à deux portes n'était pas si facile, mais Ford avait réussi cet exploit.
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"Voilà le travail ! Ce que tu as sous les yeux, c'est du vrai journalisme. Du vrai journalisme, Stan !" (..)
A dire vrai, il n'y avait aucune place, ni dans le coeur ni sur le visage de Stan Friedman, pour le "vrai journalisme" de Topping. La seule question qu'il se posait était combien de temps encore il conserverait son emploi. Deux semaines auparavant, la Mafia, abréviation de la Mafia de Chicago comme tous les membres de la salle de rédaction appelaient les six hommes que Loop News Corporation avait envoyés de Chicago pour reprendre le Herald, avait encore licencié vingt pour cent des effectifs du journal, ce qui faisait quarante pour cent en tout. Comme Stan le Responsable des pages locales, tous les rescapés se sentaient en sursis. C'était la condamnation Imminente que Stan... lorgnait d'un oeil torve. En réalité, il ne risquait rien. La Mafia avait besoin d'un type du coin pour diriger les pages locales, de quelqu'un dont le bloc mémoire soit déjà rempli d'informations infaillibles sur toute la région métropolitaine, le plan des rues dans le détail, les quatorze districts de police et leurs limites - un truc essentiel, connaître les flics - les acteurs, en incluant absolument toutes les autorités politiques décisionnaires, toutes, plus les célébrités, surtout de second rang, plus à l'aise à Miami qu'à Los Angeles et à New York... et... les nationalités et leurs territoires... Little Havana et Big Hialeah... Little Haïti, Little Caracas, qu'on appelait aussi Westonzuela, la Mère Russie (les Sunny Isles et Hallandale), l'avenue de la Boîte à Benco, surnom que donnaient les flics à l'enclave anglo de South Beach également connue pour sa population "gay"... Ca n'en finissait pas, et un responsable des pages locales devait savoir qui détestait qui et pourquoi...
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"Alors, Camacho, tu peux le faire ?"
Les réponses honnêtes étaient "non" et "non". Mais les seules réponses possibles étaient "oui" et "oui". Comment aurait-il pu avouer au brigadier, "En fait, à vrai dire, chef, je ne parle pas vraiment espagnol - en tout cas pas assez bien pour convaincre qui que ce soit de quoi que ce soit" ? Il était comme beaucoup de Cubains de la deuxième génération. Il comprenait l'espagnol parce que ses parents ne parlaient qu'espagnol à la maison. Mais à l'école, malgré tous les discours sur le bilinguisme, pratiquement tout le monde parlait anglais. Il y avait plus de chaînes de télé et de radios hispanophones qu'anglophones mais les meilleures émissions étaient en anglais. Les meilleurs films, les meilleurs blogs (et le meilleur porno en ligne), les meilleurs jeux vidéo, la musique la plus chouette, tout ce qui sortait en matière d'iPhones, de BlackBerries, d'Androïds, de claviers - tout était fait pour être utilisé en anglais. On était très vite coincé - largué - si on ne savait pas l'anglais si on ne se servait pas de l'anglais si on ne pensait pas en anglais, ce qui exigeait de connaître l'anglais américain familier aussi bien que n'importe quel Anglo. Sans même s'en rendre compte - et ça vous arrivait toujours soudainement, un beau jour - on se retrouvait avec un niveau de CM2 en espagnol ou à peine mieux. Mais comment expliquer tout ça à ces deux Americanos ? Ca paraîtrait tellement vaseux, peut-être même lâche ! Peut-être n'avait-il pas les tripes qu'il fallait pour une mission pareille, voilà tout. Mais comment aurait-il pu dire : "Bon sang, je ne sais absolument pas si je suis capable de grimper à ce mât" ?
Complètement impossible ! L'alternative était simple... y aller - et réussir... ou y aller - et se planter.
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Washington Irving disait "il y a trois âges pour les hommes : la jeunesse, l'âge moyen et le tu-n'as-pas-changé-d'un-poil"
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Les hommes ne remarquent pas le maquillage des filles sauf quand il est absent et même dans ce cas, ils n'ont pas la moindre idée de ce qui manque.
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- Il n'y a qu'une chose à faire... qu'une chose à faire qui peut avoir un résultat... Et c'est que chacun la regarde en face, cette guerre, et lui tourne le dos, et lui dise... Va te faire foutre...
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Comme c’était bohème! Comme cet endroit était... réel. Quel endroit idéal pour ces moments ou le maître de l'Univers arrachait les omniprésentes convenances de Park Avenue et Wall Street pour laisser gambader ses hormones friponnes!
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Et à cet instant, Sherman fit la terrible découverte que les hommes font sur leur père, tôt ou tard. Pour la première fois, il se rendit compte que l'homme en face de lui n'était pas un père vieillissant, mais un garçon, un garçon comme lui-même, un garçon qui avait grandi et avait eu un enfant à lui et qui, de son mieux, par sens du devoir et, peut-être, par amour, avait adopté un rôle appelé Etre un père pour que cet enfant possède quelque chose de mythique et d'infiniment important : un Protecteur, qui garderait un oeil sur toutes les possibilités chaotiques et catastrophiques de la vie. Et voilà que ce garçon, ce grand acteur, avait vieilli, était devenu fragile et épuisé, plus las que jamais à la pensée de devoir remettre l'armure du Protecteur sur son dos, maintenant, si près de sa fin.
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Bon, admettons que ça soit totalement ça, les études : quatre ans pendant lesquels tu peux tout faire, tout essayer, sans qu’il y ait de … conséquences ? Pas de trace, pas de dossier, pas de blâme. Des trucs que si tu avais risqué ça avant, tes parents se seraient arraché les cheveux et t’auraient traitée comme une fille perdue ?
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