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Critiques de Tony Sandoval (177)
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Un regard par-dessus l'épaule

Dans ce magnifique graphique, on découvre Pepeto, 11 ans, qui va acheter des pétards dans un magasin de farces et attrapes. En rentrant chez lui pour cacher son butin, par un mystérieux tour de passe-passe, il va se retrouver projeter dans un autre monde, derrière le mur de sa maison.



L'histoire, assez sombre et d'un univers fantastique, cache autre chose, quelque chose de bien plus profond et dramatique.

C'est le récit d'une quête initiatique dans un univers à la fois beau et violent, à l'image d'une réalité bien trop dure pour un enfant de cet âge-là !
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Le Cadavre et le Sofa

On dirait un petit conte morbide et charmant. Les thématiques exposées sont volontairement dérangeantes. Le lien entre éros et thanatos est traité de façon assez efficace. L'illustration tient la route et sert bien l'intrigue. Je le recommande, mais à un public adulte.
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Mille tempêtes

Ce roman graphique je l’ai emprunté a cause de sa couverture que je trouve magnifique.

Le récit, par contre, est un peu plus noir. Les dessins restent très jolis et les couleurs le sont tout autant.

Je ne pensais pas que ce serait une histoire sombre. Je suis allée au bout car le tout se lit assez rapidement et on est tout de même embarqué dans l’histoire.

Je pense que je pourrais relire un livre de cet auteur pour voir si c’est juste ce titre qui est comme ça noir ou bien ils le sont tous. En tout cas, presque juste pour les dessins cela vaut la peine.

Sinon, c’est un tome unique ;)
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Le Cadavre et le Sofa

Une histoire racontée comme un rêve ou plutôt comme un fantasme.

Parce que ce sont des enfants qui sont dessinés, pourtant ils ont le comportement d’adolescents, parce qu’il n’y a pas d’adultes (ou ceux qui apparaissent sont insignifiants) et pas du tout de police, parce que le sofa après être sortit des différentes maisons est tantôt sous l’arbre (s’il pleut c’est plus pratique) tantôt dans la plaine (pour faire l’amour devant un cadavre en décomposition), parce qu’il y a des loups-garous, des vampires et le diable en personne.

Le fantasme d’un enfant esseulé qui s’invente un été de tous les dangers.

C’est hyper bien dessiné, la symbolique du cœur brisé (p89) m’a beaucoup touchée.

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Les bétises de Xinophixérox

Xinophixerox, petit démon ailé qui serait le croisement entre une baleine, une chauve souris et un serpent est tout à fait mignon. Ses desseins le sont bien moins : comment établir un passage entre notre monde et celui des démons? Il faut planter des graines (de façon démoniaque s’entend), les graines pourries de la discorde qui font vivre de sacrées mutations aux humains…



Un format qui change de d’habitude. Une couverture mignonne, à peine angoissante avec quelques tentacules qui pendouillent. Des illustrations à l’aquarelle dans des teintes douces et assez poétiques pour certains paysages. Des personnages féminins aux longs cheveux, avec un petit nez et des joues roses, typique de Sandoval… Mais attention (mention “public averti” au dos), nous sommes très loin d’une comptine pour enfant! Tout ceci n’est en rien innocent. C’est trash, c’est gore, c’est un démon malfaisant qui s’amuse (enfin, qui travaille, et s’applique fort), ne l’oublions pas!



Bienvenue dans un univers cauchemardesque avec une histoire un peu décousue, des illustrations qui partent par moment dans tous les sens, c’est flou, ça se tord, c’est nerveux, c’est très chaotique. Un véritable cauchemar éveillé!

Cette histoire fantastique est très courte et sans beaucoup d’explications, les personnages ne sont pas creusés, c’est un peu dommage, il y avait du potentiel. Un peu trop court et trop abrupt pour moi pour vraiment apprécier.

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Les Échos invisibles, tome 1

Je ressors assez perplexe de ma lecture. Il y avait du bon comme du moins bon, même si je ne pense pas avoir saisi l'intégralité des subtilités de l'œuvre.



C'est l'histoire de Baltus, photographe, qui rencontre un jour une jeune femme. Il ne se quittèrent, l'amour les liant d'un puissant attachement. Malheureusement, la mort rappela sa bien aimée et notre personnage principal sombra alors dans une profonde douleur, et les ténèbres d'une dépression réactionnelle. Se développe alors chez lui une sorte de lien empathique avec les gens autour de lui.

Pour se protéger de cet afflux infernal d'informations, il part s'isoler au bord de la mer. Un jour, une personne va s'intéresser à son cas...



Le sujet abordé est très intéressant et la manière de le traiter dans cette BD super intéressante et poétique. On sent bien que les auteurs ont voulu ramener une dimension onirique à l'histoire, et ça m'a beaucoup intrigué. Cependant j'ai été finalement déçue car ça n'a pas été suffisamment exploité à mon sens, mal mis en avant que ce soit dans les dialogues ou les illustrations. Parfois certains événements s'enchaînent sans que l'on ne comprenne vraiment le sens.

Les illustrations sont particulières, une touche pastel, avec une vraie pâte personnelle, et changent de ce que l'on peut voir d'habitude.

C'est tout de même un récit assez dur finalement, qui parle de sacrifices, de rancœur, d'amour, de deuil, assez sombre et sensible en somme.



J'ai aimé les sujets abordés mais j'aurais voulu en savoir plus, rentrer plus profondément dans le sujet, parfois me sentir moins perdue dans la signification métaphorique du récit et des dessins.
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Oscuro en Rosa

Je suis désolé de noter si mal cette BD, parce que j'adore la collection Porn'Pop qui a l'audace de publier des choses rarement vues dans la BD érotique, mais aussi parce que l'auteur a un sacré coup de crayon et qu'il s'y entend dans les représentations étranges et oniriques.



Mais je me dois d'être honnête et de faire entendre le plus important : je n'ai pas compris grand-chose à ce récit, et j'en suis désolé. Le récit est onirique et métaphorique, jouant sur des images et des impressions plus que sur ce qui est dit. J'ai senti que ça parlait de découverte de la sexualité et de l'exploration des corps, des contacts sensuels que peuvent provoquer la guitare et la musique, ou encore la question du physique, mais le souci c'est que le récit m'a paru complètement décousu et sans intérêt. J'ai fini la BD sans avoir une once d'indices sur ce que représentent le serpent rouge et le truc noir, quel est le fantôme blanc du début et ainsi de suite. Le tout me semble alambiqué inutilement et j'ai fini en me posant plein de questions sur le sens.



Là où c'est regrettable, c'est que le récit utilise le dessin comme vecteur, et celui-ci en jette. Je ne connaissais pas les ouvrages de Tony Sandoval, mais son coup de crayon est remarquable. Il arrive à donner des superbes planches alors même que ses corps et surtout ses visages oscillent entre tête enfantine (surtout pour les filles) et grosses déformations physiques chez les hommes. Je ne sais pas les raisons, mais il donne un aspect étrange à l'ensemble, d'autant que lors de la tempête les utilisations de couleurs dans le ciel sont magnifiques. Rien que pour le dessin, ça vaut le coup d’œil ! Dommage que ça ne suffise pas.



C'est donc le premier album de la collection qui me déçoit, mais il fallait bien que cela finisse par arriver.
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Le crime parfait

Club N°51 : BD sélectionnée

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Bonne anthologie même si l'ensemble est un peu inégal.



Mention spéciale pour De Metter et Rabaté !



Clément

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11 nouvelles polars sur le "crime parfait".



L'ensemble est inégal mais grosse performance pour créer un histoire en moins de 8 pages.



Aaricia

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Bien, voir mieux que bien, petites nouvelles de crimes en tout genre, et un Chabouté que j'adore...



Jérôme

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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Le crime parfait

Il est vrai que la couverture attire l'oeil dans un premier temps...

Puis c'est le titre qi a retenu mon attention " le plus grand fantasme de la fiction policière" revisités par 15 auteurs de bandes dessinées.

Le moyen de passer un bon moment de lecture avec des styles différents et autant d'histoires courtes qui tiennent à chaque fois la route en peu de pages.

A lire !
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Le crime parfait

C'est toujours le risque des titres comme celui-ci, une quinzaine d'histoires condensées en 100 pages, c'est qu'on est sur un exercice difficile.

Et malheureusement l'oeuvre est très inégale.

Certaines histoires sont pertinentes, surprenantes et bien construites malgré une contrainte certaine, mais d'autres sont plus anecdotiques et mal rythmée. Les auteurs ont tendance à rallonger le texte pour expliquer ce qu'il ne peuvent pas raconter sur la longueur et l'équilibre n'est plus présent...

Mais c'est aussi l'occasion de découvrir des auteurs, des styles et de faire des belles découvertes
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Gris à travers les automnes

Le dessin est poétique, charmant, un peu naïf, presque enfantin mais d’une grande richesse inventive, tout en nuances d’ocres, d’espaces doux, et comme dans un conte, merveilleux, mais la noirceur n’est jamais très loin.

Léo fait la connaissance d’une petite fille étrange, Gris. Il est régulièrement harcelé par une bande de caïds lorsqu’il se rend en ville, l’amitié entre les deux enfants grandit très vite, et il va vouloir se sacrifier pour protéger la mystérieuse Gris. J’ai aimé cette ambiance, on se prépare à l'intervention du fantastique, parce que l’ambiance est dans l’attente, belle et tendre, mais pleine de tensions, la beauté et la légèreté des images renforce ce climat. Le crescendo fonctionne bien, la surprise et l’émotion sont au rendez-vous, noir et poétique. C’est une très belle lecture, pour tous les âges.

Le style de Patricio Betteo est assez proche de celui de Tony Sandoval. Ce dernier, en lui proposant un scénario, nous offre une occasion pour découvrir un autre artiste de cette même mouvance mexicaine.
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Le crime parfait

Les crimes parfaits existent-ils ? Si oui, ce n’est en tout cas jamais de ceux-là dont on parle.
Lien : http://www.bodoi.info/le-cri..
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Le crime parfait

Je suis très heureux de revenir sur ce recueil de « nouvelles dessinées », tout à fait remarquable, découvert en fin d'année 2022. 15 auteurs de bandes dessinées interprètent, chacun dans son style, le thème du crime parfait sous la forme de 11 histoires courtes de 10 à 12 pages.



Une danse ?, par Guess : dessins couleurs sépias (ambiance 19ème d'un bar dansant mal famé) ou vives (scène de la danse puis celle de la bagarre au couteau). La mornifle veut aller guincher au Perlimp' avec Maurice, son « marle », un violent au langage fleuri surnommé Momo-main-lourde. Comme dans de nombreuses nouvelles, la fin rebat d'un coup les cartes. Une première histoire parfaite, illustrant l'intelligence du crime. Chaque histoire est suivie par un petit texte explicatif, très bien écrit, concernant les personnages et les faits.



Le crime de Séraphin Bouchet, par Guérineau : ambiance bleu nuit puis petits matins blêmes dans une clarté rose. Séraphin a l'amour du travail chevillé au corps, la rigueur et la passion des mécanismes de précision, une tradition dans la famille. Vous avez deviné… Il officie à la guillotine ! C'est un véritable « bourreau de travail » à une époque où la police lui envoie de plus en plus de clients, répondant ainsi à l'essor du crime. Difficile à concilier avec le travail bien fait ! le burn-out le guette… le talent et l'humour sont réunis pour illustrer le crime et sa surprenante punition.



Cry me a river, par Holgado & Seltzer : Revanche d'une femme sur des hommes violents ou cupides, traitant celle-ci comme un objet, un être inférieur dont on dispose à sa guise… Ambiance 1939 déclinant dans les classes aisées un thème traité dans l'histoire d'introduction !



12h30, par Chabouté : le crime parfait c'est, en tête de gondole, le mystère non élucidé de John F. Kennedy permettant à notre société gouvernée par le spectacle médiatique de vendre journaux, films, livres… à l'infini… Revisité ici dans un dessin très original, noir et blanc à l'encre pure, sans nuance de gris et avec peu de détail. Texte direct, laconique et percutant. Tout ou presque est dit dans l'économie des moyens !



Le train pour Paris, par Rabaté : une BD qui joue de la réplique « assassine », du cadrage, du trait décisif… Ah ! La veste quadrillée d'Adrien c'est quelque chose !!! Un père retrouve brutalement un fils qu'il n'a jamais vu auparavant. Petitesse, voire bêtise crasse dans ce crime. Ambiance ferroviaire propice au fantasme du crime !



L'aveu, par Peyraud & Liéron : j'ai apprécié le bleu gris et les quelques apparitions de rouge soulignant les moments clés et l'action. le scénario est tordu, mais pas trop, avec la fin surprenante comme il se doit. Une femme dans l'intelligence de la vengeance. Elle ne veut pas se faire prendre et fera ce qu'il faut pour ne pas aller en prison. Je n'avais rien vu venir !



Le pépère, par Emmanuel Moynot (Nestor Burma...) : une de mes préférées ! En noir et blanc avec de belles nuances de gris. L'auteur joue du double sens, cela donne des répliques savoureuses, surtout à la relecture quand on connaît la chute. le pépère et Vanessa s'imposent d'emblée dans ce crime parfait des bas fonds.



Le crime parfait, par Christian de Metter : La dernière histoire, éponyme du recueil, se présente comme une réflexion sur l'art, la liberté et la vie. En dix pages De Metter clôt superbement un album dans lequel il sera bon de se replonger...



Trois histoires m'ont moins plu : Meurtres en abyme par Sandoval & O'Griaba, le perfectionniste par Krassinsky et Danse macabre par Pomès : exploration de la folie meurtrière, du morbide… Pas trop pour moi mais c'est l'atout de cet album collectif de permettre une approche de différents styles.



La belle couverture rouge et noire, au gros titre blanc, est signée Nicolas Barral. Et en bonus on a la possibilité de prolonger la visite en découvrant des albums de l'un ou l'autre des auteurs. Pour ma part ce sont Guess et Emmanuel Moynot qui sont mes préférés ici, même si l'ensemble se lit d'un bout à l'autre avec plaisir.



Et vous, lequel de ces auteurs connaissez-vous ? Quel album conseillez-vous ?

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Lien direct ci-dessous pour chronique du blog Clesbibliofeel avec des reproductions de plusieurs planches de cette BD...
Lien : https://clesbibliofeel.blog/..
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Le crime parfait

Anthologie du crimes par des dessinateurs à la patte graphique diverse, Chaque interprétation est un petit délice macabre empreint de poésie. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eue ce genre de plaisir. Une belle découverte qui en plus offre au lecteur une page de conclusion sur fond noir pour chaque adaptation
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Le crime parfait

LE CRIME PARFAIT 🔪

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« Le crime parfait, c’est un crime sans faute et sans coupable. Parfois même sans victime avérée! »

🩸

Ici, 15 auteurs nous donnent leur vision du crime parfait.

J’ai trouvé cette BD époustouflante dans le sens où j’ai été totalement surprise par certains crimes (&horrifiée par d’autres) ! Les histoires sont courtes, et s’enchaînent très rapidement, bien qu’elles traitent toutes de sujets différents.

🩸

Je lis très peu de BD (mais quand j’en lis, j’adore ! Ça me fait une coupure dans mes lectures de romans). Ce que j’aime, quand plusieurs auteurs se partagent l’affiche, c’est qu’on découvre plein de plumes différentes. On accroche plus ou moins à certaines et ça donne toujours envie de s’intéresser de plus près au travail de certains auteurs.

De plus, à la fin de chaque histoire, on a une petite explication, sur le crime, le tueur, et c’est un petit plus que j’ai trouvé très intéressant !

🩸

En somme, c’était une belle découverte !

🔪
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Le crime parfait

« le crime parfait, c'est un crime sans faute et sans coupable. Parfois même sans victime avérée ! Il est le révélateur de l'éclat ou des machinations d'un criminel… Ou d'un scénariste adroit. 15 auteurs de bandes dessinées revisitent le plus grand fantasme de la fiction policière en 11 récits pour explorer le génie criminel ! »



Les 11 nouvelles suivent le quotidien de personnages criminels, mais à différents degrés, et l'ingéniosité dont ils font parfois preuve est soit admirable, soit répugnante… À vous de juger…



Différents auteurs prennent la plume pour évoquer ce qu'ils pensent être le crime parfait, et même si les planches sont de qualités assez inégales, elles ont le mérite de nous faire réagir et de poser la question « comment réussir le crime parfait ? »



Les graphismes sont très différents selon les dessinateurs, certaines nouvelles nous font réagir plus que d'autres et comme bien souvent, on en gardera en mémoire, pour en oublier d'autres. Mais il n'est pas simple, en à peine 10 pages (pour la plus longue), d'illustrer le propos et d'apporter une chute mémorable, pourtant quelques une de ces nouvelles sont incroyables !



« le crime parfait » reprend le principe des ouvrages collectifs à thèmes, récurrents il y a quelques années dans les numéros hors série des mensuels BD aujourd'hui malheureusement disparus.



Sous la couverture signée, Nicolas Barral, ces histoires courtes en noir et blanc ou en couleurs, nous entraînent aux côtés de criminels atypiques, ceux que l'on soupçonne moins, les discrets, dont les délits restent difficilement prouvables. Et c'est là tout le génie de cette BD de ce collectif, elle ne vise pas les assassins ordinaires, mais ceux qui un jour passent à l'acte, sans rien faire paraître, sans laisser aucune trace.



Ces faits divers, retracés par les auteurs, ont le mérite d'interroger le lecteur sur l'être humain et sa condition.



Si au départ, je pensais piocher au gré de mes envies la lecture de quelques planches, la sauce prend bien et sans m'en rendre compte, j'avais terminé toute la BD. Preuve, il en est que le collectif, passionné de polars, a su retranscrire l'essence même de ce qui fait un crime parfait !



Je remercie Babelio et les éditions Phileas pour cette découverte que j'ai engloutie en une soirée, à la manière d'une boulimique dont le seul crime a été de se régaler !




Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Le crime parfait

Cruauté, sadisme, crimes gratuits… L’ensemble propose une belle panoplie de variantes du délit suprême. Inévitable loi du genre, certains récits se distinguent pendant que d’autres demeurent moins innovants ou surprenants mais au final, l’ensemble reste attrayant et se lit avec plaisir.
Lien : https://www.actuabd.com/Le-c..
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Le crime parfait

Philéas réunit 15 auteurs autour de ce grand thème dans un premier recueil d'Anthologie du Polar en Bandes Dessinées.



Impossible de vous parler en détail de chaque histoire mais de chacune on peut en faire un court résumé.



1-Une danse ? Par Gess

Ginette a envie d’aller danser mais Momo-Main-Lourde n’est pas décidé à l’y amener

2-Le crime de Séraphin Bouchet par Guérineau

Un bourreau consciencieux qui fut le premier cas de burn-out caractérisé

3-Cry me a river par Holgado et Seltzer

Ou Comment duper un bijoutier

Mention spéciale pour cette histoire qui se déroule à la veille de l’invasion allemande en 1939.

4-12H30 par Chabouté

Un mystère non élucidé qui reste dans les mémoires… ici peu de texte, tout est dans les images en noir et blanc

5-Le train pour Paris par Rabaté

On peut avoir une bonne vie et une mauvaise mort.

6-L’aveu de Peyraud et Liéron

Une histoire de vengeance …

7-Meurtres en abyme par Sandoval et O’Griafa

Un esprit torturé…

8-Le pépère par Moynot

Drôles d’habitudes…

9-Le perfectionniste par Krassinsky

Une touche finale de l’artiste explosive

10-Danse macabre par Pomès

L’espoir fait vivre

11-Le crime parfait par De Metter

Une dystopie autour de la peinture mais pas que 😱



J’ai aimé les textes explicatifs du contexte de l’histoire à la fin de chacune des bandes dessinées. Les dessins sont forcément tous différents puisque c’est un album réalisé par plusieurs auteurs. Ils sont tantôt en couleur tantôt en noir et blanc mais toujours de qualité. Et difficile d’imaginer à chaque fois l’orientation que va prendre l’histoire. C’est très surprenant et amusant de découvrir l’imagination de ces auteurs sur le thème du crime parfait.



J’ai bien sûr préféré certaines histoires à d’autres mais mon intérêt est toujours resté éveillé.
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Le crime parfait

De biens belles ou étranges histoires qui tournent toutes autour du crime parfait.



Différents dessinateurs ont pris la plume chacun leur tour pour parler de leur vision du crime parfait.



Comme souvent les graphismes sont complètement différents. Alors bien sûr on est plus touché par certains que par d'autres, mais en tout cas on sent que chaque dessinateur s'est investi.



J'ai apprécié picorer par ci par la ces belles histoires, parce même si le sujet est le crime , elles sont belles et bien menées.



A chaque fin d'histoire on a une petite explication sur l'histoire, sur le tueur qui est très intéressante.



Mais bien sûr j'ai adoré une de ces histoires. Mon petit coup de coeur du recueil : le crime parfait de Metter qui a tout pour lui. : Le graphisme, le scénario, et le message porté



Un grand merci a Babelio et aux éditions Phileas pour ce très beau livre



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Le crime parfait

Il ne fait aucun doute que les récits proposés sont de belle qualité, certains surpassant d’autres par leurs effets choc, leur chute ou leur style original comme ceux de Rabaté, de Moynot... Ils ont tous la particularité d’être suivi d’un petit texte explicatif lié aux personnages, aux faits qui vient apporter une profondeur supplémentaire non négligeable au crime évoqué.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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