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Critiques de Violaine Huisman (168)
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Les monuments de Paris

Violaine Huisman aurait aussi pu choisir pour titre « Grand Seigneur », mais au pluriel. Car son dernier roman « les Monuments de Paris » évoque la disparition en 2021 de son père Denis Huisman, philosophe flamboyant, fondateur de l’Ecole française des Attachés de presse, beau parleur et séducteur, mais aussi son grand-père Georges Huisman, figure du Front populaire, directeur général des Beaux-Arts, auteur d’un livre sur les monuments de Paris.




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Les monuments de Paris

Plus de cinq ans après son excellent « Fugitive parce que reine », Violaine Huisman se tourne vers le côté paternel de son histoire familiale. Donnant une impressionnante profondeur aux figures de Georges et Denis Huisman, grand-père et père, elle signe avec « Les monuments de Paris » un texte éclatant d'amour et de souvenirs.
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Les monuments de Paris

Je ne pourrai mieux résumer que le critique de "Benzine mag" qui a titré : "Autocélébration d’une bourgeoisie soi-disant excentrique et cultivée, l’odeur du cigare lève surtout le cœur."

https://www.benzinemag.net/2024/01/27/les-monuments-de-paris-de-violaine-huisman-notables-des-beaux-quartiers/
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Fugitive parce que reine

Il y a des livres que j’hésite à acheter, pour tout un tas de raisons, mais celui-ci n’a fait aucun doute. Sa couverture, son titre, son thème : tout concordait avec moi.



Après l’avoir refermé, j’ai longtemps cherché la plume de Violaine Huisman dans mes autres lectures. Et pourtant, aujourd’hui, j’ai encore du mal à en dessiner les contours.



« Ta mère est malade, ta mère est maniaco-dépressive. »



Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire pour une enfant ?



Baignée dans une vie de famille fragile, maintenue en équilibre par celle qui pouvait tout faire valser. Avoir une mère comme Catherine, ça revenait à côtoyer l’imprévisible comme un membre de sa famille. Ça prenait beaucoup de place, encore plus en son absence. Et pourtant, la petite fille n’a jamais cessé de l’admirer, sa maman.



De ses yeux d’enfant, Violaine Huisman décortique l’anatomie d’une vie, et sûrement pas la sienne. Avec un style incisif à l’image de Catherine, elle met sur pause la pièce de théâtre de leur quotidien. Et il faut dire que c’était un bien joyeux bordel qu’elles menaient, à elles trois : Violaine, sa sœur et leur reine.



Catherine en était le personnage principal, le clou du spectacle ; celle qui faisait des 32 roues de danse classique au milieu du salon, mais aussi celle qui leur balançait des “pauvres petites connes” en plein visage. Sans la moindre intention de blesser qui que ce soit, c’était juste elle, tout en intensité, accompagnée de ses excès de vérité et ses contradictions.



« Elle pouvait être survoltée ou terrassée, bouffer comme quatre ou se laisser dépérir, elle était excessive en tout. »



Violaine Huisman, fait de l’instabilité de sa mère un héroïsme. Peut-être pour mieux comprendre ses débordements, explorer ses tréfonds ou simplement rendre son humanité à cette écorchée vive.



Et comment ne pas lui dédier son premier roman quand le pilier de la maison menace de s’effondrer à chaque instant ? Parce que, malgré tout, elles s’aimaient à la folie, pour toute la vie, bordel !



« Maman me donna ça, cette confiance absolue, éperdue, cet amour inconditionnel, cette audace avec laquelle j’ébauchai mon indépendance. »
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Les monuments de Paris

Dans son troisième roman, Violaine Huisman nous raconte la vie de son père qui décède peu après le confinement. Denis Huisman est à la fois philosophe et businessman, une figure hors norme, emblématique des Trente Glorieuses. Mais du portrait d’un iconoclaste follement attachant surgit un autre livre : une enquête familiale autour de Georges Huisman, le grand-père de l’autrice. Haut fonctionnaire juif, le directeur des Beaux-Arts du ministre Jean Zay joua un rôle central dans la création du Festival de Cannes en 1939, avant de connaître la traque durant la Seconde Guerre mondiale. Un livre intéressant malgré des longueurs, une belle écriture.
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Les monuments de Paris

Dans son troisième roman, Violaine Huisman se penche avec sincérité sur son histoire paternelle, interrogeant toutes les dimensions de la filiation.
Lien : https://www.la-croix.com/cul..
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Fugitive parce que reine

LQue dire de ce premier roman qui m'a bouleversée?



Pour moi qui ai une relation très complexe avec ma mère, ce livre est un véritable défi. Chaque mot me parle, chaque phrase résonne, chaque image me pique. On y retrouve le petit côté déjanté de En attendant Bojangles, de façon encore plus forte ce qui rend l'ouvrage encore plus difficile à lire.



Alors, que je traverse un moment de remise en question assez fort dans l'appréhension de mes rapports aux autres et à moi même, cette lecture est venue me bousculer violemment. Je l'ai commencé, abandonné, repris, il a failli partir à la poubelle...



Néanmoins, j'ai vraiment vraiment beaucoup aimé ce livre.J'ai aimé chaque mot, j'ai aimé le style, j'ai aimé l'histoire, j'ai aimé cette mère en souffrance qui fait souffrir les autres en voulant les protéger et peut-être que j'ai mieux compris la mienne...



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Fugitive parce que reine

Fugitive parce que reine 
est un roman autobiographique, il s'agit du premier roman de Violaine Huisman, une lecture envoûtante, passionnante, bouleversante, déchirante.



Une ode à l'amour, une ode à la mère.



Un récit en trois temps, dont le schéma narratif s'articule autour de :

-l'image de la mère par le prisme de sa fille Violaine,

-la femme avant la maternité,

-la mort, le deuil



À travers ce roman, la narratrice raconte l'histoire de Catherine, sa mère, et le lien indéfectible qui les unit. Le récit s'ouvre sur le diagnostic posé sur la maladie de sa maman, qui porte désormais un nom : maniaco-dépressive; le monde s'effondre alors autour d'elle, et de ses filles.



Cette première partie s'étiole autour des souvenirs, des accès de violence, l'ambivalence d'une mère tourmentée, à la vie débridée et souvent incompréhensible dans le regard d'une enfant. Témoins de ses multiples variations, Violaine et sa sœur Elsa restent unies et grandissent avec comme modèle une mère excessive, et un père aux abonnés absents. Mais, malgré tout, ce qui ressort de ce chapitre est la tendresse, l'amour qui prend plusieurs formes, qui se juxtaposent parfois aux mélodrames d'une mère excentrique, tyrannique envers ses filles, et dont la mythomanie n'existe que pour rendre sa vie plus supportable, une femme brisée dont on ne peut que comprendre les fêlures à travers la deuxième partie du livre.



La mise à distance est alors nécessaire, le récit se construit désormais à la troisième personne, retour sur la vie de Catherine Cremnitz, de sa naissance à sa mort. Issue d'un viol, son parcours nous est alors raconté de manière plus détachée, son enfance brisée, sa maladie, la recherche fondamentale de ses racines, on comprend alors ce qu'a été sa vie avant l'amour, avant la maternité. 
D'une vie à soi, d'une quête d'identité profonde, qui, un jour, se retrouve bouleversée par ce que peut provoquer la maternité, le chamboulement d'une vie. De l'amante, exigeante envers les hommes, un brin féministe, de l'outrecuidance de la femme libre à la figure maternelle, il n'y a qu'un pas. Cette partie du roman dépeint la construction d'une vie sur la base d'une enfance complexe, d'un passif familial tout aussi déroutant qui vient ajouter une couche au caractère irréparable de la petite enfance et la construction de soi. Aussi manipulée qu'elle a pu parfois être manipulatrice, la danseuse déploie peu à peu ses ailes, a de grandes ambitions, mais la vie s'est dérobée au détriment d'elle-même, l'a faite devenir quelqu'un d'autre, hystérique, violente, parfois dépressive, à côté de la plaque. La souffrance dissimulée depuis l'enfance réapparaît tout à coup sous une nouvelle forme, qui se joue d'elle. Elle a pourtant tout fait pour ne pas reproduire le schéma familial dont elle avait héritée, jouait des coudes et était obsédée par des souvenirs d'enfance dont elle tentait de s'éloigner.



Enfin, la troisième partie évoque la chute, la résignation, le deuil. Le dernier voyage d'une reine. Un court chapitre qui brille encore par l'absence du père dans une épreuve ô combien terrible pour ses filles. L'absence, terrible, la souffrance, toujours plus forte.



Une lecture délicieuse pour qui apprécie la poésie, le vocabulaire délicatement choisi et riche. La langue y est parfois crue, à forte raison, pour évoquer une mère aux multiples facettes, qui en a littéralement bavé.

C'est une déclaration d'amour viscérale, l'amour inconditionnel liant deux filles à leur maman. Violaine Huisman signe là un roman autobiographique absolument exquis, saisissant. Effroyablement beau et dur.



La famille décomposée-recomposée, les traumatismes de l'enfance, les difficultés éprouvées dans la maternité, la recherche d'identité, des thèmes dans lesquels chacun peut facilement se retrouver, le portrait d'une femme à travers les yeux de sa fille, un hommage éblouissant, qui m'a complètement envoûtée. Un vrai coup de cœur.
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Fugitive parce que reine

(avril 2018) Le livre commence par "Le jour de la chute du mur de Berlin, l'année de mes 10 ans, tandis que défilaient sur les écrans du monde entier des images d'embrassades, de larmes de joie, de bras déployés en signe de victoire, ...".



Assister à l'allégresse des bonheurs collectifs quand votre infinitésimal univers personnel s'écroule vous plonge à jamais dans une prison de solitude. Et je me demande combien de vies il nous faut pour en sortir et accueillir notre insignifiance avec gratitude.



J'ai lu les deux premières parties de ce roman avec lenteur et difficulté. Tant d'amour, tant de peine, tant de folies, tant de normes, tant d'aisance, tant de gênes, tant de luxe, tant de luxure. de très belles critiques fleurissent la toile pour saluer ce bouleversant premier roman autobiographique. Je décide donc de m'abstenir, parce que je ne dirai rien de nouveau, et parce que j'ai dévoré la troisième et dernière partie, qui m'a laissée ko debout. Je repense au roman magnifique de Delphine de Vigan, Rien ne s'oppose à la nuit, qui m'avait aussi épuisée psychologiquement.



J'ai mal au ventre. le chagrin m'étreint le coeur. Ma gorge est sèche. Je voudrais embrasser ma mère avec la tendresse qu'elle ne m'a jamais prodiguée et dont aujourd'hui encore je suis ignorante. Je voudrais remercier l'âpreté du destin qui, finalement, est toute relative, puisque nous avons échappé à l'institut médico-légal.



Et je me demande …



Quelle femme d'aujourd'hui, autour de la cinquantaine, née des libertés juste gagnées des années 60-70, n'a pas vécu des bouts de l'enfance de Violaine Huisman ? Quelle femme d'aujourd'hui a bien pu échapper à la détresse de sa mère de ses 20 ans à ses 45 ans ? Quelle femme de la seconde moitié du XXé, belle, intelligente, sensible, singulière a pu endiguer, à corps et à cris, l'impérieuse exigence de sa vie intérieure ?



Si je n'apprécie guère les #balance ton porc comme autant de révoltes désordonnées pouvant nuire à leur juste cause, j'y reconnais les prémisses de la nécessaire lutte de la femme contre son destin kafkaïen de rébellion-soumission. Prisonnière des animus hérités de toutes les premières femmes de sa vie, mère, tante, grand-mère, …, admirée ou conspuée par des hommes guère plus vaillants avec leur anima, comment ne pas devenir maniaco-dépressives ?



Punir la femme qui punit l'homme qui punit la femme. Qui donc a commencé ? Est-ce la question centrale ? Elle doit être d'importance puisqu'elle s'immisce dans la culture ambiante. Je connais un homme capable d'avoir confondu sa femme avec toutes les autres, et l'avoir épuisée puis quittée au nom de tous les hommes victimes de toutes ces femmes.



Je ressens la brutalité d'une grande fatigue intérieure. Où cela s'arrêtera-t-il ? Quand cesserons-nous de confondre femme et féminin, homme et masculin ? Quand comprendrons-nous qu'emprunter ce chemin merveilleux de la complétude nous impose de savoir accueillir auprès de nous l'autre comme le reflet de notre évolution en devenir et de grandir ensemble ?



Je veux me réjouir pour nos filles qu'elles grandissent plus dans ce siècle que dans le précédent. Et qu'elles réalisent que les libertés gagnées sont fragiles, à l'heure où des pays font reculer leurs droits à l'avortement, où d'autres les astreignent encore aux mariages forcés, aux punitions à l'acide, aux excisions, aux voiles de toutes sortes, …. Ma jeune ado de 15 ans s'est offert le livre "Femmes qui courent avec les loups. Histoires et mythes de l'archétype de la Femme Sauvage", de Clarissa Pinkola Estés. C'est un signe d'espoir pour moi.



Et d'en revenir à mon unique responsabilité d'être humain, celle de faire émerger ma vie intérieure et de la vivre.

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Fugitive parce que reine

Une plume que j'ai adoré et un sujet tout aussi prenant, je vous conseille ce roman !
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Fugitive parce que reine

La vie d’une mère hors norme vue par ses enfants. Des frasques parisiennes..



Un roman difficile. Une première partie qui est longue et pénible à lire (j’ai failli arrêter 10 fois), elle ressemble à un dégueulis de souvenirs, sans émotion, un language cru et sans poésie. On s’attache difficilement aux personnages.



Et puis vient la suite. L’on comprend petit à petit le lien mère-enfant, les mots résilience, pardon, déchéance. C’est un regard que portent les enfants sur leurs parents. Ce livre fait mal, et il m’a hanté longtemps après l’avoir refermé.
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Fugitive parce que reine

Ce livre, sensible et bien écrit n'est pas sans rappeler celui de D. De Vigan sur le même thème : la difficulté de grandir auprès d'une mère bipolaire ?
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Fugitive parce que reine

Premier roman autobiographique sur ce que c'est que grandir avec une mère instable mais qu'on aime indéfiniment. Violaine Huisman y revient sur ce que fut la vie de sa mère - et donc sur les origines de sa souffrance - pour expliquer cette personnalité borderline. Touchant car sans filtre, tragique sans être pathétique : un superbe hommage d'une fille à sa mère.
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Rose désert

Après Fugitive parce que Reine, un premier roman autobiographique intense et émouvant sur la mère maniaco-depressive, Violaine Huisman s’attaque ici à une relation tout aussi fusionelle, avec un homme dont elle était folle amoureuse.



A l’approche de la trentaine, et pour fuir un très méchant chagrin d’amour, Violaine décide de partir traverser le désert. Du Maroc au Sénégal, elle s’envole pour un périple solitaire, principalement sur le sol mauritanien ponctué par de nouvelles rencontres mais surtout par les souvenirs récurrents de son ex-fiancé. « Y a t-il un vaccin contre les chagrins d’amour ? Un remède miracle, une cure au long cours, une méthode infaillible? Existe-t-il une botte imparable contre cet adversaire inhumainement draconien ? A part hara-kiri, je ne voyais pas d’alternative efficace pour faire taire cette douleur insoutenable. »



Alors quoi de plus normal pour l’héroïne que de tout plaquer, direction Nouakchott. Sans en mesurer le danger, et non contente de quitter son travail pour changer d’air, c’est un périple inattendu qui va l’attendre. Mais cette expédition sud-saharienne va faire ressurgir des souvenirs du passé et de cette liaison torride. « Comment était-ce possible d’aimer un homme à ce point ? Jusqu’à n’avoir plus aucun respect de soi, jusqu’à jouir de lui être soumise, jusqu’à baiser ses pieds avec adoration pourvu qu’il me relève et me plaque contre un mur ». Et si elle était venue ici retrouver une partie de lui ? En manque, prise d’un désir fiévreux, comme une addiction, tout ce qui l’entoure semble la ramener à lui.
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Fugitive parce que reine

Un premier roman intense, émouvant et bouleversant que j'ai lu d'une traite. Le roman est superbement construit et l'écriture est magnifique, à la fois crue et poétique. Ce livre est un bel hommage à une mère fantasque, complexe, passionnée et éperdument libre, qui malgré ses nombreuses failles aime ses filles d'un amour inconditionnel.
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Fugitive parce que reine

Livre terrible sur la bipolarité d'une mère inadéquate et incapable d'élever ses filles. Une maltraitance incroyable. Ce livre m'agace et m'irrite. Je sais ce que cela signifie de vivre avec un bipolaire. Je ne souhaite à personne de vivre cette expérience douloureuse..
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Rose désert

Le deuxième livre de l’écrivaine affirme sa singularité de style sans échapper à ses obsessions, sans renoncer à l’héritage de cette « reine » que fut sa mère.
Lien : https://www.lemonde.fr/criti..
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Fugitive parce que reine

Réhabiliter sa mère ou trouver grâce aux yeux de sa fille, un chemin...
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Fugitive parce que reine

ous n'allez peut être pas me croire, mais au moment où je commence ce commentaire..je ne sais pas encore ce que je vais écrire..

Une chose est sûre, ce n'est pas un coup de cœur, loin de là !! j'hésite entre le rejet, la pitié et l'horreur ...sentiments en général assez éloignés de mon vocabulaire.

Je n'ai pas aimé ce livre, pas du tout, je l'ai posé plusieurs fois dans la première partie, écœurée, troublée, gênée et je dois dire parfois incrédule. Trop c'est trop et en même temps pas assez.. ces petites ne se sont jamais révoltées ? N’ont jamais eu envie de dire «  assez » à ces fous d'adultes, tous autant qu'ils sont !! En grandissant, ados, n'ont elles jamais eu aucun mouvement de rejet, elles ont tout compris, tout le temps ??



Bien sûr leur mère avait toutes les raisons de péter un plomb et même plusieurs..changer de noms ainsi 7 fois, bien sûr on ne sait plus qui on est, bien sûr . Elle est une femme rejetée et tant aimée aussi, un objet qu'on ballotte mais qui balade les autres également, elle avait déjà une faille certainement, aggravée par sa vie de dingue, tout cet alcool, cette drogue, ces excès. Pourquoi n'a t-elle pas su s’arrêter ?? par amour pour ses filles ?oui pourquoi ??



question idiote.. Je pense qu'une des raisons pour lesquelles je n'ai pas aimé ce livre est tout simplement que j'ai une amie comme elle, et que les péripéties racontées par les filles me rappellent trop !! celles vécues par les filles de mon amie qui elle a eu la chance de retrouver un amour stable et c'est pourquoi je suis



Incrédule et en même temps atterrée..que leur père n'ait pas pris la relève, qu'il soit en fait aussi déjanté que leur mère, d'ailleurs j'ai vérifié.. s'il a eu 8 enfants en tout !! 2 seulement sont nommés dans sa bio !! révélateur !! Il était lui aussi bien trop occupé !!



Vous voyez, j'écris et ce n'est pas organisé..comme ce livre, le chaos, à l'intérieur comme à l'extérieur.

Le seul personnage stable de ce charivari..Nini, disparaît avant la fin, non, elle ne meurt pas, elle fait un pas de coté, car pour elle aussi.. trop c'est trop !

Vite poser ce livre, faire un pas de coté, prendre le dernier d'Ormesson et … soupirer !



Je dois cependant reconnaître un style fluide et une écriture serrée, proche du sujet abordé.. Je peux même le recommander par comparaison avec «  les rêveurs » mais j’ai été trop usée par le sujet,
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Fugitive parce que reine

Trop long et bazardesque à l'image de la mère décrite. Une relation avec beaucoup d'amour et de souffrances
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