Virginie Platel

Enthousiasmée par la découverte de cette nouvelle collection, je n’ai pas longtemps hésité avant de replonger dans l’univers des romances historiques. Très différente de celle que j’avais lu il y a quelques mois, l’histoire d’amour ici développée est touchante, intense et émotionnellement très forte.



Nous faisons ici connaissance avec Jeanne, une peintre renommée à la cour, qui fuit Paris. Après de nombreuses péripéties, elle échoue à Menton, alors qu’elle voulait rejoindre l’Italie. En attendant de pouvoir terminer son voyage, elle est hébergée par Gabriel Forsani, une figure locale connue pour ses cultures de citron et son implication dans la vie de la région. Ces deux personnages que tout opposent pourront-ils s’entendre ? En ces temps troubles, sauront-ils se faire confiance ou la méfiance prendra-t-elle le dessus ?



Jeanne est une jeune femme évoluant dans le milieu de la noblesse et qui, inquiète pour sa sécurité, décide de fuir Paris et la Révolution qui y fait rage. Pourtant, quand on y regarde de plus près, elle n’est pas réellement issue de la noblesse mais ayant évoluée dans l’entourage de Marie-Antoinette, la reine tant décriée, elle n’a pas d’autres choix que de fuir. C’est une protagoniste humble, travailleuse, inventive et de profondément gentil. Méfiante, elle n’en reste pas moins sociable et avenante avec ceux qui l’entourent. Gabriel, de son côté, est LE méditerranéen, tel qu’on le rêve : brun, aux yeux bleus, bronzé, viril, un peu (beaucoup) orgueilleux mais aussi profondément attaché à sa terre et à tous ceux qui arrivent à percer sa carapace. Malmené sentimentalement, il déteste le mensonge et n’entend plus ouvrir son cœur. Travailleur, il voit dans la Révolution Française comme un possible souffle de liberté et d’égalité dans la société. Entre ces deux personnalités, que tout semble opposer, une complicité va rapidement apparaître mais leur relation sera loin d’être aussi calme et apaisée que la mer méditerranée….



C’est la première fois que je lisais un roman de l’autrice et je dois dire que j’ai été charmée. En effet, sa plume visuelle et entraînante m’a permis de passer un très bon moment de lecture. On sent, en arrière plan, toujours présente, les tensions liées au contexte révolutionnaire même si le sud-est de la France a été relativement épargné. Cette histoire m’a surtout permis d’en apprendre un peu plus sur la principauté de Monaco et la famille Grimaldi qui, pendant un temps, étendait son influence jusqu’à la frontière italienne. L’intrigue est intéressante, ponctuée par les coups de sang de Jeanne et Gabriel. L’évolution de leur relation monte en intensité au fil des chapitres et nous questionne, presque, jusqu’à la fin.



Pour conclure, j’ai passé un très moment de lecture avec cette romance historique. Amour, passion, révolution et conspirations sont les maîtres mots de cette intrigue qui vous emportera dans les collines autour de Menton, avec en toile de fond, les révoltes populaires inspirées par les Lumières.
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un très bon roman que tous lecteurs devraient lire et qui devrait figuré dans toutes les bonnes bibliothèques

Je termine cette lecture, et je peux dire que j'ai passé un excellent moment.

J'ai vogué sur les mers avec des pirates féministes, fais des rencontres au gré de mes périples, dormi dans un château, enquêté sur des marchés à esclaves, côtoyé la magie et tellement plus encore.

C'est avant tout partir à la découverte de soi, de son bonheur.



L'histoire de base est simple, on incarne Vicky Løve, une jeune femme de 25 ans.

Elle vit toujours chez ses parents, et prépare une thèse d'histoire, sur les femmes au temps vikings.

Son petit ami et geek Fred Eugène va lui offrir une bague, en guise de promesse de mariage.

On va alors se retrouver catapulter dans une autre époque, celle des vikings.

Ou guerre, piraterie et esclavage sont monnaie courante.



Pour les indécis qui comme moi ont peur de se lancer dans un jeu de rôle, n'ayez aucune crainte, même en numérique le passage d'un choix à un autre a été très bien pensé et ne gâche en rien l'immersion et la progression.

J'ai beaucoup aimé l'humour de l'auteure, entre fiantes d'oiseau, et mauvaise haleine, ça ne manque pas de piquant.

Tout a été pensé, on nous plonge au cœur même du vrai jeu de rôle avec inventaire, journal de bord bref, ON devient le maître de l'histoire.

Malgré ce très bon moment, ça ne figurera pas dans mes lectures favorites, mais j'en ai apprécié le concept et les idées, pour preuve je me suis laissée tenter et ai rejoué une fin alternative.

C'était un pari osé je trouve, mettre en place différentes histoires, diversifier les possibilités qui en découle, et c'est une belle réussite.

Si vous voulez vous changer en héroïne badass, ou pas, culottée ou pas, bref si vous avez envie d'une lecture où vous décidez du cheminement, vous avez trouvé le roman fait pour vous.

Un roman mais également un peu plus, de manière plus psychologique on peut y voir une vraie quête à la recherche personnelle de son moi profond.



'Quant à moi mon avenir est encore à écrire ! Je songe qu'en refermant ce livre, toi aussi tu devras continuer à écrire le tien.

N'oublie jamais qu'il t'incombe de choisir ce qui sera le mieux pour toi, et ce indépendamment de l'avis des autres. Car après tout c'est ta vie, c'est ton choix !'



Je remercie infiniment l'auteure Virginie Platel, et les éditions MxM Bookmark, ainsi que Netgalley pour ce service presse qui m'a permi une très jolie découverte

Je n’aime pas mettre de mauvaises notes, car ça ne récompense pas l’immense travail de l’auteur.

J’étais intriguée par le concept, livre dont vous êtes l’héroïne et finalement, ce n’est pas pour moi. Je trouve que le récit est décousu, par moments je me suis ennuyée et à d’autres j’ai eu le sentiments que l’auteur allait un peu trop vite. Le potentiel est là, mais je pense qu’à cause du concept l’histoire est survolée.

Je ne suis pas emballée, peut être ai je fait les mauvais choix dans l’histoire ?

Dommage car j’aurais très certainement pris plaisir à relire le livre en changeant les choix.

Le résumé promettait une romance Feel Good plutôt sympathique et loufoque ! Et puis suivre les coulisses d'un magazine me tentait pas mal !



Lorsque Alyson commence son stage chez Glam, elle sait que cela ne va pas être une partie de plaisir... entre les rivalités, les collègues toutes plus bizarres les unes que les autres et une patronne très désagréable, ce n'est pas facile tous les jours !

Heureusement elle a son blog sur lequel elle publie ses états d'âmes... et sa rencontre avec Ethan, directeur financier du magazine et accessoirement le frère de l'horrible patronne, va l'y aider également, quoique...



La forme de l'histoire est assez particulière et surprenante ! Elle est sous la forme d'articles de blog rédigé par l'héroïne, Alyson Nell. J'ai eu du mal au début pour cette raison d'ailleurs ! Je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire...

Et puis sans même m'en rendre compte je me suis prise au jeu, j'avais l'impression d'être une des lectrices du blog d'Alyson et j'avais hâte de connaitre la suite de ses aventures dans le "Webzine féminin people leader du marché" : Glam.

C'est une super romance Feel-Good ! Moi qui n'ai pas pour habitude d'extérioriser mes émotions en lisant (ou en tout cas c'est très rare), je me suis surprise à éclater de rire pendant ma lecture.



En bref ! Une fois que l'on a dépassé l'originalité de la forme du texte, c'est une romance Feel Good loufoque et hilarante que je conseille fortement.
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Bien que je ne suis pas addicte de magazine féminin, j'ai bien aimé ce monde avec ces personnages tout en couleur, en bref, j'ai passé un très bon moment de lecture et le fait que le livre soit écrit en forme de blog et/ou messages ça permet une fluidité.

Une romance qui pourrait convenir aux néophytes du genre. Le lecteur ne s'y sent pas embarqué malgré lui mais, au contraire, comme étreint avec ravissement par sa lecture.



L'atmosphère de ce livre est chargée d'une féminité qui met en valeur les deux femmes dont il est ici question. Elles évoluent dans un cadre qui pourrait nous sembler privilégié, cependant cette jolie histoire possède son lot d’éléments perturbateurs. Catherine, chef d'entreprise entre autres, ne peut se permettre de montrer la moindre faiblesse dans un milieu où la moindre faute pourrait avoir des répercussions terribles sur ce pour quoi elle travaille chaque jour. Alison, arrivée fraîchement dans un mode de travail qu'elle ne connaît que très peu, doit composer avec de nouveaux collègues et ses aspirations personnelles.



Il y a une sensation de douce continuité et de fraîcheur qui se dégage de ce récit au fur et à mesure qu'il se dévoile à son lecteur. On a l'impression de respirer au même rythme que ces femmes qu'on a envie de qualifier d'exceptionnelles. Ce roman se lit sans à-coups. Le lecteur s'y plongera certainement avec délectation.



Catherine et Alison sont deux héroïnes que j'ai eu envie de connaître encore plus ou fil des pages. Des femmes fortes, sensuelles,intelligentes et indépendantes.Deux personnages qui dominent le récit avec aisance.



C'est, pour moi, une tentative du genre plus que réussie qui a conquis la lectrice que je suis. Un clin d’œil à la façon dont l'auteur débute et termine cette histoire à l'instar d'une belle et bonne journée. Un roman qui m'a ravie.
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Depuis un an qu'Elfi a quitté Paris afin de suivre son mari qui a obtenu un nouvel emploi. Pour sa part, elle est à la recherche d'un nouvel emploi et après avoir travaillé pendant dix ans au Louvre, son ancien boulot lui manque énormément. Et puis, un bon matin, un vieil ami la contacte. Mike a besoin de son expertise en art mais ne veut pas élaborer l'offre qu'il veut lui faire. Il veut la rencontrer au siège de la compagnie, qui se trouve à Monaco. Est-ce une simple coïncidence si le jour même Elfi se rend compte que l'œuvre sur laquelle elle a fait sa thèse semble avoir disparu à Versailles? Un peu comme si la peintre n'avait jamais fait cette toile...



À son arrivée à Falcon Company, entreprise et centre de recherches à la fine pointe de la technologie, Elfi se fait proposer de faire équipe avec Inès afin d'effectuer une mission au XVIIIe siècle. Un voyage dans le temps... un drôle de hasard puisque la toile qui semble avoir disparu vient de la même époque! Quant à sa partenaire, mous savons peu de choses sur celle-ci, si ce n'est qu'elle était autrefois dans la gendarmerie et qu'elle sera aux côtés d'Elfi pour la protéger et l'aider à réussir la mission. Les deux jeunes femmes n'ont aucune idée de la mission, elle leur sera donnée sous forme d'énigmes une fois arrivées à bon port. Pour Elfi, c'est l'occasion idéale pour retrouver le tableau qui semble avoir disparu et pour Inès, elle accepte le poste afin d'aider son jeune frère malade.



Bien évidemment, les événements ne se déroulent pas aussi facilement que prévu. Elles feront face à plusieurs embûches... on ne retourne pas trois siècles en arrière aussi facilement. Et le retour dans le présent peut également causer bien des surprises!



C'est le premier roman de Virginie Platel que j'ai l'opportunité de lire. Cette auteure a une plume très analytique. Elle n'hésite pas à aller en profondeur afin de bien décrire l'environnement qui entoure nos deux protagonistes. D'ailleurs, à certains moments j'avais l'impression qu'il y avait un peu trop de détails. Je me sentais quelque peu perdue.



D'un autre côté, cette écriture très détaillée permet de bien saisir le contexte historique, essentiellement au moment où Elfi et Inès arrivent à Paris au XVIIIe siècle. Un peu comme si nous y étions. Virginie Platel maîtrise le sujet à la perfection tant au niveau politique, des arts, des us et coutumes de l'époque. Et que dire de tous ces personnages que nos protagonistes rencontrent au cours de leur mission, c'est captivant!



Quant à l'intrigue, étant donné la mise en place détaillée, elle est extrêmement longue à démarrer. Je commençais sérieusement à douter lorsqu'enfin tout s'est mis en branle. Et là, j'ai vraiment adhéré au récit et j'ai suivi avec beaucoup d'enthousiasme le parcours de ces deux jeunes femmes. Les embûches ne cessent de les ralentir et l'on voit que ce n’est drôlement pas facile d'être une femme à cette époque!



Également, je m'attendais à voir évoluer une belle romance entre Elfi et Inès. Malheureusement, ce n'est pas le cas. Par contre, nous voyons évoluer leur relation tranquillement vers une belle amitié et je sens qu'au prochain tome, il est possible que la relation évolue plus profondément et c'est évidemment ce que l'on espère!



Bref, pour un premier tome, je crois que l'auteure a voulu faire une mise en place très détaillée du contexte entourant la compagnie, les enjeux ainsi que le contexte historique et à ce niveau, c'est réussi. Malgré un début un peu difficile, j'ai finalement adhéré au récit et aux personnages au cours de la deuxième moitié. Suffisamment pour avoir le goût de lire la suite...


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Un véritable petit bijou!!!

Très agréable découverte du livre de Virginie Platel : « la Musique des sentiments »

Ecrit comme une nouvelle plus qu’un roman, l’écriture de l’auteure est fluide et très agréable à lire, l’histoire est prenante et le livre se dévore d’un trait.

La romance entre Mickael Desprez, jeune violoniste virtuose et Adam Ortega chef d’orchestre de talent est très bien amenée.

Leur histoire d’amour coule de source et leurs sentiments sont emportés et démultipliés par leur passion commune : la musique.

La musique sera également leur principale alibi, qui leur permettra de vivre leur histoire d’amour passionnée, bien que cachée et interdite même dans cette société conventionnelle et bourgeoise des années 50.

J’ai beaucoup appris dans ce roman sur les coulisses des orchestres symphoniques, la grande difficulté d’y faire sa place, de la garder et le niveau d’excellence qui est de rigueur à chaque représentation, la place délicate du chef d’orchestre qui s’impose ou s’incline devant l’orchestre qui peut très bien se passer de lui.

La musique est extrêmement présente dans le roman. Différentes symphonies y sont également proposées qu’on peut écouter pendant la lecture… histoire de se mettre dans l’ambiance…

Bref… un vrai régal ! je le recommande vivement !

Il est des histoires dont on tombe amoureux, comme ça, sans prévenir. Des histoires qui vous charme et vous envoûte, tout simplement. Des histoires, qui, sans le savoir, vont profondément toucher votre cœur, votre âme. Des histoires où les personnages vont prendre une dimension telle, qu'ils vont vous hanter pendant quelques temps. Et bien ce court roman en fait partie, et je dis merci à l'auteur.



Ici, nous avons un récit simple qui regorge de profondeur, de pudeur, d'émotions cachées, de sentiments tus, un récit où les personnages et la musique illuminent les pages, leur donnant une grandeur particulière.



Hugo, Mickaël et Adam. Trois personnages qui vont prendre vie sous la plume de l'auteur, trois personnages qui vont se voir relier par un même amour, une même passion. Trois personnages qui vont apprendre l'un de l'autre, qui vont se confier et ainsi se libérer de tout ce qui les obscurcie, ce qui les freine et les entrave.



Le résumé se suffit à lui seul pour révéler le strict minimum sur ce que vous allez découvrir. Je ne vous parlerai que de mon ressenti, de ce sentiment bizarre qui m'a envahi à chaque page tournée, de cette frénésie qui m'a happée pendant ma lecture, de cette envie de lire et lire et lire pour savoir la fin, pour connaître le dénouement.



Ce court texte fut un sublime coup de cœur. Un coup de cœur pour les personnages, pour l’atmosphère créée, pour la musique qui vibre à chaque page, pour l'amour énoncé. Cette histoire est belle, exactement le genre que j'adore, avec ce mélange de présent et de passé. Un présent qui nous offre Hugo et Mickaël : l’élève, qui est venu chercher des réponses et un savoir, et le Maître, qui les lui offrira, et bien plus encore. Un passé qui nous relate une période, un souvenir, concernant Mickaël et Adam, la passion qui les a réuni et l'amour qui s'est immiscé tendrement, lentement, pour ne former plus qu'un avec la passion. La fin m'a beaucoup émue, je l'ai trouvée révélatrice des sentiments des uns et des autres, de leur vraie nature, de leurs sentiments les plus profonds.



Chaque personnage a son caractère propre et juste ce qu'il faut pour nous toucher, pour nous faire réagir. Ils vous surprendront parfois.



Le handicap est ici abordé comme une diminution de soi, un poids lourd pour l'être aimé et la fin d'une passion dévorante. En quelque sorte un anéantissement de tout ce qu'on a battis, de ce futur où l'on se voyait briller à deux. Un handicap qui brisera bien plus qu'un rêve.



Ce récit, c'est une tranche de vie où tout va être bouleversé, où la rencontre d'une personne fait de votre futur une lumière, une renaissance. C'est un récit doux, tendre, intense. La pudeur des sentiments y est remarquablement retranscrite, avec précision et sans fausse note. Un accord parfait entre la musique et l'amour, si parfait que tout deux se confondent pour nous offrir une symphonie brillante, vibrante et totalement exaltante.



La plume de l'auteur est ce qui m'a chamboulée le plus. Elle est fluide, soutenue, percutante, émouvante. Mais ce n'est pas que cela... Chaque millimètre de sentiment, de passion, de musique, de caractère, est transmis avec beauté dans une plume élégante, généreuse, à l'intonation parfaite et aux mots travaillés.

Une plume qui vous transportera dans un tourbillon de sensations troublantes, vous donnant l'impression d'être aux côtés de nos personnages, de vivre au même rythme qu'eux, de vivre les mêmes épreuves, les mêmes déceptions et les mêmes joies.

Une écriture qui m'a tellement conquise....je ne sais pas, je pense qu'il faut lire ce texte pour s'en rendre compte et réussir à s'approprier toutes les vibrations que cette plume apporte, toute la profondeur et la véracité que cela procure aux personnages.

Page après page, chaque mot, chaque phrase m'a transportée au cœur de ce récit, au cœur de cet amour qui se démultiplie et s'envole au contact de la musique, se rejoignant pour former un ensemble majestueux et poignant.



Bref, un sublime coup de cœur pour ce court roman qui vous entraînera dans les coulisses d'un amour interdit évoluant au rythme des accords de musique, qui vous montrera comment Hugo ressort de cette expérience et de ce récit poignant qu'il a écouté de la part de Mickaël, ce que cela a libéré en lui et lui a apporté.

Mickaël et Adam sont deux hommes qui m'ont touchée profondément avec leurs forces et leurs faiblesses. Leur histoire d'amour m'a bouleversée tant elle est belle, magique, même si parfois mon cœur s'est serré de tant de douleur et de privation.

Une histoire prenante où l'auteur nous offre toute la virtuosité de sa plume pour nous raconter un amour sublimé par la musique, pour nous raconter la musique des sentiments.
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Un livre agréable qui aurait mérité d’être plus étoffé. L’histoire est traitée trop rapidement et sans réelle profondeur dans les sentiments exprimés. Il m’a manqué quelque chose pour pouvoir complètement me plonger dans ce livre et ressentir. Dommage car j’ai beaucoup aimé la trame de l’histoire et les personnages de Mickaël & Adam.

e remercie les éditions Gloriana pour avoir permis de donner mon avis ! =D



Quand les éditions Gloriana a proposé des services de presse, j’ai sauté sur l’occasion. Je n’avais pas lu le résumé que je voulais déjà le lire grâce à cette couverture que j’adore ! Elle est glamour, mignonne, et donne une envie irrésistible d’ouvrir le roman !





Elfi est une jeune femme qui « travaille » au Louvre mais un jour elle découvre que le tableau de Élisabeth Vigée Le Brun, La Paix ramenant l’Abondance a disparu. Elle cherche et personne ne s’en souvient, comme si il n’avait jamais existé. Hein ? Comment ça se fait ? Un ami lui propose un travail sur le voyage dans le temps. Ça sera l’occasion pour elle, d’aller au XVIIIe siècle, au temps de Marie Antoinette pour faire rétablir l’ordre chronologique. Elle va partir avec Inès, une autre femme.

Les deux vont s’aventurer et découvrir la magie du voyage dans le temps !



J’ai l’impression que l’écriture est assez changeante en fonction de l’état de penser de l’héroïne. Je ne sais pas comment décrire ce que je pense. =P Après, c’est moi qui peux délirer aussi. Comme quelque chose qui m’aurait dérangé sans que je sache quoi.

Dès les premières pages, nous sommes embarqués dans l’histoire. L’autrice nous donne certains éléments, nous fait questionner au commencement et du coup, on n’a pas envie de lâcher le roman. Je voulais tellement savoir que j’ai fini en cours (en même temps je pouvais, toc !).

Il y a beaucoup d’indices et surtout ce voyage dans le temps. Des petits passages, nous disent, puis kesako ? C’est quoi ce délire ? J’avais les yeux suspicieux, heureusement que l’héroïne m’écoutait. =P MOUAHAHAHA ! Après j’avais envie de la claquer.



Elfi, la jeune femme que je voulais claquer. Elle est malheureuse et ça se sent que ce départ est un moyen pour elle de se trouver. Elle va se chercher et parfois elle est trop « philosophique », « artiste ». Je levais les yeux au ciel mais c’était elle. Peucheurette…

En gros, elle va se reprendre en main ainsi que sa vie. Parfois, c’était bizarre quand même. Il ne faut pas oublier qu’elle est naïve et qu’on a envie de la secouer. Hé hé ! Y a beaucoup de boulot mais ça vous saurez pourquoi en le lisant. *mouak*

Son côté « artiste » me tapait un peu sur les nerfs. On dirait que c’est niais, doux, posé et poétique. Oui, j’ai vraiment du mal à le décrire mon ressenti. =)

Plouf ! *les yeux vers le bas avec la main sur le front* désolée je n’ai pas trouvé de gif. =P POUARK. Je me questionne sur ses connaissances aussi. Plouf.

Il y a Inès aussi qui a ses problèmes et qu’on découvre petit à petit. C’est une femme d’action. =P Elle va être l’ancrage qu’Elfi a besoin. Elle s’entraîne réciproquement. ;)



L’histoire est prenante, captivante. J’avais peur qu’il y est des longueurs, il y a en a un peu mais c’est comblé par les faits historiques. *-* J’ai adoré que ça soit mi historique mi science-fiction. C’est mon plus grand bonheur. Le tout mélangé va très bien ensemble. Je vivais avec elles leur aventure. Je me croyais au XVIIIe siècle à parcourir les rues, à faire des rencontres, à sentir ce qu’il allait se passer, un peu à la veille de la Révolution. Les descriptions sont supers bien décrites et Virginie Platel nous transporte sans aucune difficulté dans son roman. On sent la recherche que l’autrice a du faire pour nous faire vivre dans le roman. C’est romancé pour le récit mais je n’en perdais pas une miette. Quand j’ai su que je connaissais des tableaux d’Elisabeth Vigée Le Brun, j’ai sautillé de partout. Maintenant je sais qui a peint certains tableaux. ;)

Parallèlement, il y a une histoire de fond, dont j’ai deviné certaines parties. =P Elle nous tient en haleine avec ses petits mystères par-ci par-là. C’est génial de découvrir la vérité, je pense que j’aurais fait un meurtre si on n’avait pas de réponse de ce côté-là. =D

La suite est pour quand ? Y a bien une suite hein ? Il y a des questions toujours sans réponses. =P







Ce roman nous plonge dans un récit mi-historique mi-science-fiction. C’est entraînant, prenant. Je m’imaginais dans les rues du XVIIIe siècle, nous sentons l’Histoire derrière. Tout au fond, des mystères sont là, qui nous poussent avec le voyage dans le temps à la découverte de la vérité. ;)
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Deux jolies histoires. Virginie Platel a une plume qui me séduit. Seul bémol, j'aurais tellement aimé que la première histoire soit plus développée, comme un gros bon roman de 300 ou 400 pages. Car l'idée de base est très attirante : une violoniste qui vient se recueillir dans le caveau de son premier Amour, décédé vingt ans plus tôt, et qui y retrouve le violon de celui-ci. En jouant de celui-ci, elle se retrouve à replonger dans le passé ... Je n'en dis pas plus. Il y a du romanesque, de la Science-Fiction ... J'espère que cet Auteur nous comblera prochainement d'un nouveau roman, où la musique est au premier plan, avec plein de pages !

Une véritable pépite !



J’ai beaucoup aimé Désirs de liberté de Virginie Platel, qui m’a transportée au XIXe siècle ! L’ambiance dans les salons parisiens est très bien restituée et j’ai adoré les deux protagonistes et leur relation passionnée. On sent bien la passion brûlante entre l’autrice et le musicien, qui n’est pas sans rappeler George Sand et Chopin dont s’est inspiré l’autrice. (Mention spéciale à la scène gourmande dans le salon de thé qui m’a donné faim et surtout la scène sensuelle de leçon de piano !)

Et je garde le meilleur pour la fin, l’écriture. Elle est ciselée et vraiment très belle ! J’ai même trouvé qu’elle allait au delà de cette belle collection d’Harlequin. Bravo donc pour ce petit chef d’oeuvre ! J’en lirais d’autres de cette autrice avec plaisir.

Cela faisait des années que je n'avais pas lu de livres dont vous êtes le héros. Je crois que la dernière fois remonte à l'école primaire, autant dire une éternité. Alors, Moi, guerrière viking, m'intriguait vraiment !



Notre héroine, Vicky se fiance à son petit-ami juste avant de partir pour un stage d'archéologie en Norvège avec une bague de fiançailles pour le moins étrange et très ancienne. Voilà qu'elle se retrouve alors propulsée à l'époque des Vikings et autant dire que sa vie toute entière va se retrouver bouleverser.



Pour ceux qui ne connaissent pas, les livres dont vous êtes le héros, sont des livres où, en fonction des choix que l'on ferait, l'histoire prend une tournure différente. Ainsi, si vous avez un tempérament de feu et n'hésitez pas à rentrer dans le tas, vous aurez alors un chemin plus tumultueux que si vous avez tendance à être plus calme et réservé. Avec notre héroine, Vicky, nous voilà donc dans de beaux draps, à l'époque des Vikings! Rien que pour l'originalité, la mise en page, l'exécution de ça, je trouve cette lecture vraiment chouette. Cela doit demander un travail considérable (surtout qu'on a tout de même une belle brique ici). Ainsi, tout au long de la lecture, on va être amené à faire des choix, parfois très simples et d'autres plus complexes et ça, on aime. Est-ce que je suis "morte" à plusieurs reprises ? Tout à fait. Mais j'ai persévéré pour aller au bout de ma lecture.



Après, j'avoue avoir tout de même trouvé qu'on avait finalement pas tant que ça la main sur les événements. Les petits oui, mais les grandes lignes non, et je ne suis pas la seule à avoir constaté cela apparemment. Je m'explique : à la fin d'un chapitre on a le choix entre trois possibilités pour la suite. Je choisi la n°2, j'y vais et à la fin de celle-ci, on m'envoie finalement à la page de la n°1. Du coup, j'ai fais un choix qui finalement ne m'a pas avancé à grand chose puisque l'autrice avait prévu dès le début que j'irai à un endroit précis. Et cela arrive assez fréquemment dans l'histoire. Car après avoir percuté une fois, j'ai prêté un peu plus d'attention par la suite et ça se révélait être souvent le cas. C'est donc dommage de ne pas vraiment pouvoir choisir.



Pour ce qui est de l'histoire, même si ça se lit très vite, que la plume est fluide et que le jeu du : je vais de pages en pages est amusant, j'avoue n'avoir pas réussi à m'attacher à Vicky et les décisions qu'elle prenait (que je n'aurais pas voulu), ne m'ont pas vraiment aidé. J'ai également été surprise par la tournure des choses niveau romance, pour le coup, ce n'est pas ce que je recherche donc j'aurais pu m'en passer. En revanche, on apprécie le côté féministe du récit. Le côté viking est plutôt chouette, tout comme l'aspect pirates de l'histoire qui s'est révélé être une bonne surprise. Toutefois, je trouve que le tout n'est pas assez creusé pour rendre l'histoire plus prenante.



En conclusion, je valide totalement l'idée d'un livre dont on est l'héroine. C'est chouette, ça dynamise un peu l'histoire et mon côté nostalgique approuve totalement. Toutefois, je n'ai pas réussi à me plonger vraiment dans l'histoire à cause de quelques longueurs, de mon manque d'attachement à l'héroine et aux quelques faux-choix que j'aurais voulu vraiment pouvoir faire pour que l'histoire colle plus à mes attentes. C'était donc sympa même si je ne retiendrais pas l'histoire en elle-même.
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J'avais été assez mitigée sur le roman précédent de l'autrice du coup L'amour pour liberté, je n'étais donc pas à l'initiative de cette seconde expérience. Mais comme on dit, il n'y a que les ... qui ne changent pas d'avis et d'un roman à l'autre tout peut changer. J'ai donc donné sa chance à l'Alchimie amoureuse, dont la couverture est tout simplement superbe.



Pour cette histoire, nous voilà plongée en 1650, en France, non loin du château de Grosbois. Pour le coup, j'ai trouvé ça plutôt chouette, puisque ce château est littéralement à 15min en voiture de chez moi. Nous faisons donc la connaissance de Marie Marsac, une jeune femme passionnée de sciences qui œuvre dans l'ombre comme Dame de compagnie en pratiquant de la chimie pour venir en aide aux autres. Une discipline plus que réservée aux hommes et qui pourrait bien la mettre en danger. Mais dans l'immédiat, c'est plus le souhait de son père de la voir marier qui l'inquiète. A moins que ce ne soit Henri de Vibrac, commandant et militaire si mystérieux.



N'y allons pas par quatre chemins, j'ai, comme pour le premier roman de l'autrice été assez déçue au niveau de la romance. Elle commence, dès les premiers regards échangés et s'enflamme un peu trop vite pour que cela soit crédible à mes yeux. Notre commandant est transi d'amour dès le départ et pour ma part, j'ai trouvé ça un peu gros. C'est dommage car je trouve qu'il y avait vraiment matière à, mais la romance dégoulinait un peu trop par moment et n'a pas su me séduire par la suite.



Individuellement, les personnages sont assez opposés. Nous avons la jeune femme cultivée et passionnée de sciences d'un côté, avec son père autoritaire et qui ne cherche car la marier et s'enrichir un peu via ce biais là. De l'autre, nous avons donc ce militaire, en quête de réponses sur son passé, clairement solitaire et qui ne sait pas aimer. En toute honnêteté, je n'ai été séduite ni par l'un, ni par l'autre. J'ai trouvé Marie trop hautaine et peu attachante, quant à Henri, j'ai trouvé qu'il soufflait un peu trop le chaud et le froid. Un coup amoureux, l'autre à l'attaquer sur ses activités secrètes.



Je n'ai pas réussi à véritablement me plonger dans cette histoire, sans doute parce que je n'accroche pas à la plume malheureusement, cela avait déjà été le cas avec le précédent. Je trouve certains passages assez longs et manquant de rythme ce qui vient alourdir le récit et ne m'a pas aidé. Arrivé à mi-parcours, je me suis demandée si je n'allais pas m'arrêter là. Je l'ai finalement repris le lendemain mais non, définitivement, ce n'était pas une lecture pour moi et l'ai fini en diagonale pour lui donner une dernière chance, en vain.



En conclusion, un roman qui sur le papier aurait pu me plaire mais n'a pas su me séduire. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et n'ai pas cru à leur histoire d'amour, bien trop rapide à mon goût. Je ne doute pas qu'elle plaira à d'autres, du moins, c'est ce que je lui souhaite mais ça n'aura pas fonctionné avec moi.
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Dans ce roman nous suivons la vie de Diane Vidor, de son enfance à l'âge adulte. Déjà toute petite, elle s'émerveille de voir sa mère enseigner le violon à ses élèves. Elle en est sûre, elle peut faire mieux qu'eux ! À Noël, elle reçoit enfin le cadeau tant attendu : un violon. Elle va alors apprendre à une vitesse fulgurante à jouer de cet instrument, à grimper les marches jusqu'aux plus prestigieux concours et ce, dans toute l'Europe, dans une époque où la seconde guerre mondiale approche.



Je n'y connais rien du tout en violon et pourtant j'ai vraiment apprécié suivre l'histoire de Diane. Effrontée et rebelle, j'ai adoré la suivre, surtout enfant. Son caractère me plaisait beaucoup. La volonté qu'elle consacre à sa passion est remarquable. Nous suivons avec plaisir ses rencontres et ses succès.



Le seul bémol que je pourrais reprocher à ce livre c'est parfois quelques éléments redondants, et surtout vers la fin, notamment dans la description de ses concerts ou de ses voyages. Néanmoins la fin m'a beaucoup émue (je n'en dirais pas plus pour ne rien vous dévoiler).



Il faut savoir que l'histoire de Diane s'inspire de celle de Ginette Neveu, une véritable virtuose du violon, que j'ai pris plaisir à écouter juste après avoir refermé le livre.



Afin de ne pas vous faire spoiler je vous recommande vivement de ne pas lire la biographie de la réelle violoniste avant d'entamer votre lecture, mais à la fin, afin de garder le suspense intact.

Harlequin ! En matière de lecture, ce nom fait l’objet de tous les fantasmes et de tous les dénigrements. J’avoue n’avoir jamais acheté beaucoup de littérature sentimentale et depuis le début de mon activité de chroniqueuse, j’ai plus exploré l’autoédition aux genres variés que les romances des maisons d’édition.

Mais c’est le plaisir des rencontres que de trouver sur son chemin ce à quoi l’on n’aurait jamais pensé. Et aujourd’hui, c’est une amie qui me fait emprunter une voie nouvelle et qui pique ma curiosité.

J’ai lu « L’amour pour liberté » de Virginie Platel et j’ai été surprise. Agréablement. Par le fond : l’envie d’indépendance d’une jeune femme et son désir de vivre pour écrire. Par la forme : une écriture classique, déliée, addictive. Par la région : la Provence. Par le cadre : un domaine vinicole. Par le visuel de couverture : il semble que les maisons d’édition plus élitistes s’en inspirent de plus en plus.

Camille a perdu sa mère très jeune et a dû supporter un père intransigeant et peu affectueux. Fille unique et jeune femme accomplie, elle ne peut accepter ce qu’on attend d’elle : se marier pour assurer la continuité d’une noble lignée. Ce qu’elle veut, c’est trouver un éditeur et devenir l’une des romancières de l’époque. Philippe, fils de l’intendant, est venu aider son père sur le domaine et assure auprès de Camille un rôle de confident. Elle réussit à partir sur Paris, à y rencontrer des personnages importants, mais où se cache l’amour qu’elle écrit si bien mais qu’elle ne connaît pas ?

Si le côté fleur bleue est bien présent et judicieusement préservé pour ce genre littéraire, les événements de l’époque, les organisations sociales, le travail du vin sont eux délibérément bien affirmés, bien documentés, et intéressants. Et même si parfois, la sensation fugace de superficialité m’a traversée, cela n’a pas été suffisamment fort pour m’empêcher de me laisser gagner par les émotions, les senteurs, les beautés de l’Estérel ou pour me retenir d’apprécier la révolte d’une femme.

Je vous suggère de suivre le conseil de l’auteure Virginie Platel : la lire avec un petit verre de rosé de Provence bien frais à portée de main.

Je remercie Mélanie et les Editions Harlequin ; je suis curieuse de savoir si le prochain me réservera la même heureuse surprise.


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Une lecture abandonnée !



Ce roman est d’un tout nouveau genre “un livre dont vous êtes l’héroïne”. Je n’en avais jamais lu. J’avais envie d’essayer ce genre. Et malheureusement, je n’ai pas réussi à continuer l’aventure. C’était au-dessus de mes forces.



Une protagoniste fade !



Vicky est nouvellement fiancée. Elle reçoit une bague est un brin spécial avec des runes vikings. Mais quelle coïncidence, elle est aussi étudiante en histoire des _ tenez-vous bien_ Vikings. Au moment d’une visite assez spéciale au musée, dans la section viking, elle décide d’enfiler sa bague de fiançaille, enfin. En moins de temps qu’il ne s’en faut pour le dire, elle se retrouve en Norvège en pleine période VIKING. C’est une jeune femme très clichée, soumise à ses hormones. J’ai vraiment pas du tout accroché. Pour les autres personnages… Eh bien comment dire, aucun d’entre eux ne m’a marquée. Son fiancé Fred Eugène est comme son nom fade et insignifiant. Seulement, c’est comme ça que l’auteure veut le présenter, pour le coup.



Un rythme inexistant !



Un roman dont vous êtes l’héroïne, je conçois que l’écrire est difficile. Seulement, les chapitres sont coupés comme en plein milieu d’une phrase dont il manque la suite logique. J’ai eu l’impression d’avoir loupé un épisode plus d’une fois.



Un vocabulaire inadapté !



La plume de l’auteure est fluide avec un vocabulaire simple. Seulement, il est bien trop familier. Il ne correspond absolument pas à la période historique choisie par l’auteure. C’est discordant et perturbant. De plus, certains choix ne sont pas des vraies choix. Par exemple : lui dire oui de manière désinvolte, lui dire oui avec conviction, lui dire je ne sais pas peut-être oui. Je grossis un peu le trait.



En résumé : C’est la première fois que je lis “un livre dont vous êtes l’héroïne”. Le principe m’a plu mais j’ai abandonné pour cause de très peu d’affinité avec l’héroïne, ainsi que de nombreuses incohérences.
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"Les derniers feux de la royauté" est une chouette petite romance historique ayant pour cadre Menton lors de la révolution française.

J'ai beaucoup aimé le contexte avec Menton qui appartenait alors à Monaco et aux Grimaldi et l'influence qu'avait eu la révolution là-bas. L'histoire est bien documentée sans que cela ne prenne trop de place (je n'aurais pas dit non à davantage d'ailleurs).

Les personnages sont touchants et leur histoire mignonne. J'ai beaucoup apprécié l'héroïne indépendante, intelligente et volontaire. Puis le cadre est idyllique et dépaysant avec le soleil, la mer et la douceur du Sud, de quoi réchauffer ce morne temps de février.

Une jolie petite romance historique.