Watsuki Nobuhiro

Dix-neuvième opus de la saga Kenshin. De nouveaux adversaires veulent se venger de Battosaï l'assassin, un terrible affrontement se prépare. Kenshin est tourmenté et dévoile peu à peu son passé. Quelques escarmouches au début mais peu de combats dans ce tome. Une série très intéressante.

Seizième opus de la saga où Kenshin, déjà blessé et fatigué, doit affronter Sôjirô et Shishio, les deux seuls sabres plus rapides que lui ! Les combats traînent un peu en longueur mais le plaisir est toujours là ! Une très bonne série.

Dans ce dixième tome, Kenshin le vagabond veut un nouveau sabre à lame inversé. Il affronte d'abord Chô, le chasseur de sabres, puisqu'il s essaie de retrouver son ancien maître. Un des meilleurs opus depuis le début de la saga.

Quatrième partie des aventures de Kenshin le vagabond, qui cherche la rédemption après avoir beaucoup tué sous le nom de Battosaï l'assassin. Kenshin et Sanosuké Safara combattent les membres d'Oniwaban Shu pour venir en aide à Megumi. Les combats s'enchaînent dans ce tome. La lecture de ce manga est toujours aussi plaisante.

Je poursuis mon avancée dans l'univers de Kenshin le Vagabond, dit Battosaï l'Assassin qui est très plaisant, amusant et instructif.

Le combat se poursuit entre Kenshin et Sanosuké alias le légendaire Battosaï et le guerrier Zanza. Quand les deux se mettent en colère, ils n'y vont pas de mains mortes. Ils sont très forts l'un comme l'autre même si Kenshin est à un niveau bien supérieur. Automatiquement, ça provoque des étincelles. Zanza se révélera résistant, refusant d'abandonner malgré la supériorité évidente, l'expérience et la force de Kenshin. Un personnage appréciable, tenace, qui a tout aussi bien des valeurs qu'une fierté. Ce combat et les paroles qu'aura eus Kenshin provoqueront un changement radical chez Zanza qui préférera reprendre son vrai nom (Sanosuké) et un profond respect s'installera entre les deux. Des liens très étroits les relieront. C'est ainsi qu'un sacré duo de choc naquit. J'aime beaucoup lorsqu'ils sont à deux, comptant l'un sur l'autre, Sanosuké essayant de pousser Kenshin à se lâcher un peu plus, à s'amuser... Sanosuké rejoindra alors la bande composée de Kenshin, de Kaoru et du jeune Yahiko. Pour rendre l'histoire encore plus intéressante, rien de tel qu'un bon méchant psychopathe et avide de sang: le Chapeau Noir. Terrible, fou furieux qui, au contraire de Kenshin (qui renonce à tuer et à massacrer) ne laisse que des cadavres derrière lui. Kenshin deviendra sa cible vu qu'il se révèle être à la hauteur de sa réputation, en résistant à ses techniques de paralysie et d'hypnose.

Notre héros préférera s'éloigner de l'école pour protéger ses nouveaux compagnons, chargeant Sanosuké de veiller sur leur sécurité. La jolie Kaoru ne le supportera pas. Elle m'a bien surprise à cet instant-là, je ne pensais pas qu'elle s'était autant attachée à Kenshin. Elle fut persuadée qu'une fois la mission terminée, le Vagabond s'en irait sans un au revoir. Elle refuse d'être seule à nouveau, qu'elle a besoin qu'il revienne (Serait-ce une preuve d'amour? J'aimerais, oui, qu'il y ait une romance entre ses deux personnages que j'adore). La kendôka n'en fera qu'à sa tête en allant le rejoindre et, c'était à prévoir, l'ennemi la prit en otage sous les yeux de Kenshin, pensant qu'elle serait son point faible (son point faible mais aussi sa force en un sens, je trouve). L'assassin s'en prendra à Kaoru pour l'énerver encore plus. Kenshin le Vagabond laisse place alors à Battosaï l'Assassin. Et preuve qu'il tient à elle, qu'il est prêt à renoncer à ses idéaux, à ses nouvelles résolutions, il voudra tuer le Chapeau Noir. Elle l'en empêchera, le ramenant à la raison (c'est pour cela que je dis qu'elle se révèle être sa force).

A la fin du livre, une belle jeune femme fait son apparition, quêtant l'aide de Kenshin et de son acolyte Sanosuké. Seulement quels secrets cachent-elles? A suivre dans le prochain numéro.

On sent dans l’écriture quelque chose de plus moderne, de plus directe. Peut-être une façon de toucher un nouveau lectorat et il faut dire aussi que l’auteure a pris de l’âge aussi. Mais rassurez-vous Battosaï l'assassin reste cet homme qui après d’âpres combats pour la liberté et l’ouverture de son pays veut œuvrer pour le bien. Pour bien faire, il retourne sa lame qui ainsi ne peut plus tuer. Quel homme ce Kenshin…



Quoi de plus normal qu’il se trouve par hasard dans un endroit où son destin l’a guidé. Il se fait des potes et affronte de grave méchants très vilains. Il rencontre une jeune fille, Kaoru Kamiya, qui cherche à protéger son dojo d’un financier sans scrupule. Si elle gagne suffisamment de combats, elle pourra garder son terrain. Bien entendu, c’est un traquenard. L’imposture apparaît aux quatre patrons de dojo quand on leur demande de survivre à une attaque d’armes à feu. Par chance, avec l’aide de Yahiko Myôjin, le petit jeune que forme Kaoru et aussi informateur de l’ennemi, Kenshi sait où trouver les informations pour rendre justice. Au passage, il doit botter le cul comme il se faut à une bande de vaurien payée pour le tuer. Le premier, Sanosuke Sagara, va devenir un pote qui va veiller sur le dojo et ces occupants. Pour les autres, c’est une autre histoire car seule la cruauté leur procure du plaisir. Alors il sera sans pitié avec eux et bien entendu sans les achever. Cela sera l’occasion de nous proposer de magnifique scènes de combat assez bien chorégraphiées. Plaisir de lecture garantie.



Comme nous sommes au début de l’ère Meiji, il est bien d’introduire un élément illustrant cette nouvelle situation. Les portes sont maintenant ouvertes à l’occident permettant l’arrivée de nombreux étrangers venus commercer ou découvrir une nouvelle culture. Nous rencontrons un médecin avec un masque de médecin italien qui soigne gratuitement les plus pauvres. Bien entendu, ce n’est pas du goût de riches soigneurs qui voient cela d’un mauvais œil pour le business. Kenshin et la loi vont tout remettre en place. Petit bonus, le médecin est une femme. Il faut dire qu’à la fin du 19ème peu de femmes peuvent suivre des cursus médicaux pour devenir médecin. On croyait qu’il fallait un service trois pièces qui se balade pour comprendre l’anatomie. Allez comprendre… Quel filou ce Nobuhiro Watsuki.
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Vingt-quatrième opus de la saga de Battôsaï, l'assassin reconverti en vagabond. Kenshin n'a pas été capable de sauver Kaoru et son monde s'écroule. Un épisode atypique où Kenshin n'est plus que l'ombre de lui-même et où les seconds rôles prennent le relais.

Vingt-deuxième épisode de la saga Kenshin. Le vagabond et ses alliés affrontent Enishi et ses combattants, tous désireux de se venger et d'en découdre avec Battôsaï ! Après plusieurs chapitres plus calmes, place aux combats avec des adversaires originaux et dangereux.

Quatorzième opus de la saga Kenshin à mi-chemin de ce manga culte. Cet épisode se concentre sur deux combats. Le premier oppose le policier Saïtô au sabre aveugle Usui. Le deuxième Kenshin au ninja Aoshi. La combat contre Shishio tient toute des promesses et ce manga est très agréable à lire. L'intrigue avance et les combats ne se prolongent pas indéfiniment. Cet arc narratif a été adapté au cinéma en 2014.

Treizième opus de la saga de l'ex tueur devenu vagabond. Kenshin Himura, Sanosuké Sagara et Hajime Saïto doivent affronter Makoto Shishio et ses dix sabres. Après quelques chapitres de transition, le premier combat oppose Anji la colère divine à Sano. Et le combat tient toutes ses promesses ! Une série très prenante.

Kenshin finit sa formation auprès de son ancien maître et part sauver Kyôto des griffes de Shishio. La tension monte et l'affrontement final se rapproche. Nobuhiro Watsuki resserre l'intrigue sur les personnages principaux. Un des meilleurs albums depuis le début de la saga.

Kenshin retrouve son ancien maître, héritier de l'école Hitenmitsurugi, et le persuade de lui enseigner ses derniers secrets. Un album de transition où Kenshin apparait peu. L'affrontement final se prépare... Un manga très plaisant.

Septième opus de la saga. Kenshin le vagabond est opossé à Hajimé Saïtô, ancien capitaine des loups de Mibu, qu'il a déjà défié dix ans plus tôt quand il était encore Battosaï l'assassin. Peu de temps morts et beaucoup de combats dans ce manga où Kenshin est confronté à son passé.

Kenshin le vagabond renie son passé de tueur pour défendre les faibles avec un sabre à lame inversé pour ne plus tuer. Sixième tome de transition où Kenshin affronte Rajûta Isurugi. La lecture de ce manga est toujours aussi réjouissante.

Kenshin le vagabond fuit son passé de tueur pour protéger les plus faibles. Dans ce cinquième tome, il est confronté à Raijuta Isurugi qui veut anéantir toutes les écoles de kenjutsu pour revenir à une vision plus pure et plus dure de cet art de tuer. Un manga bien ficelé aux dessins percutants.

Découvert par l'intermédiaire des adaptations cinématographiques. Très bon premier tome qui donne envie de continuer. Les dessins sont expressifs et réussis. L'intrigue est prenante sans excès de combats.

Encore une fois, je n'ai pas pu m'empêcher de voir ce que ce manga donne en animé (pour celui-là, j'aurais mis le temps, pas comme Naruto, par exemple, où aussitôt lu le tome 1, aussitôt commencé à regarder les épisodes!) mais ça y est, je suis lancée et comme les livres, j'adore et c'est vrai qu'il y a quelques différences: des personnages en plus, des épisodes bonus, les histoires sont parfois modifiées etc... mais sinon, c'est très fidèle aux livres.



Alors... bien évidemment, on reprend là où on en était resté dans le tome précèdent et ce que je peux dire c'est que c'est animé au dojo Kamiya dans cette première partie! Car les jeunes Yahiko et Yutarô ne s'entendent vraiment pas, il y a toujours un esprit de compétition entre eux, de la jalousie aussi. C'est bien mignon tout ça mais l'ennemi principal refait son apparition, prenant par surprise nos héros. S'ensuit évidemment un combat acharné entre Raijûta et Kenshin jusqu'à ce que Yutarô soit blessé par mégarde. J'ai été révolté autant que Kenshin par l'indifférence totale du maître de Yûtaro pour ce qu'il lui a fait, avouant qu'il ne l'avait pris sous son aile que pour l'argent de son père. Surtout que ce petit bonhomme ne pourra plus se servir d'un sabre à cause de la gravité de ses blessures et comme si ce n'était pas assez, Kenshin se sent responsable de ce qui lui est arrivé vu qu'il a évité le coup, si bien que le gamin l'a pris de plein fouet. Olalala... Deuxième round: j'admire toujours autant Kenshin, son sérieux, son détachement, devenant le légendaire samouraï... Mais son adversaire est redoutable mais comme toujours le héros de ce livre s'en sort avec brio! Le père de Yutarô décide de l'emmener à l'étranger pour qu'il change de vie mais avant ça, Yahiko (qui l'aurait cru?) lui fera la promesse qu'ils s'affronteront un jour à nouveau, lui montrera qu'il peut très bien utiliser son bras gauche, que le kendo n'est pas fini pour lui...

En seconde partie, l'histoire est centrée sur le personnage de Sanosuke (en hors-série). Son passé difficile va le rattraper et il retrouvera un ancien compagnon d'armes, qui aura mauvaise influence sur lui, voulant détruire le gouvernement, rétablir l'honneur de leur maître décédé et réaliser son rêve... du moins, c'est ce que j'ai cru jusqu'au dénouement final. Ouf! Fausse alerte! Et moi qui ait cru qu'il irait jusqu'au bout, c'était bien mal le connaître! Enfin, tout est bien qui finit bien.

A la fin du livre, on a le droit à une petite nouvelle en bonus. Sympathique, avec d'autres personnages totalement différents mais toujours au temps des samouraïs.

Dix-huitième de la saga Kenshin. La terrible bataille contre Shishio et ses hommes est terminée. Les combattants pansent leurs plaies mais une terrible menace contre le vagabond au grand cœur se précise. Un album de transition entre deux arcs narratifs. Le ton est plaisant et la lecture agréable.

Après de multiples combats, la lutte entre Kenshin et Shishio prend fin. Tout les oppose, si ce n'est leur incroyable aptitude au maniement du sabre. Dix ans après l'instauration de l'ère Meiji, Battosaï l'assassin affronte son successeur. L'affrontement tient toutes ses promesses et cet arc narratif se termine en beauté.

Quinzième tome de la saga de kenshin le vagabond. En attendant l'affrontement de Sôjiro et de Kenshin en fin de volume, l'essentiel de ce manga est consacré aux secondes couteaux. Beaucoup de combats au programme, tout le monde a son heure de gloire. Un manga de qualité qui tient ses promesses.