Revivez notre journée de présentation de la rentrée littéraire à La Scala et découvrez les essais qui paraissent cet automne !
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0:16 Introduction
0:50 **Le Journal d'Olga et Sasha** d'Olga et Sasha Kurovska et Élisa Mignot
16:44 **Derrière la clôture verte** de Richard Glazar
21:35 **La Chine ou le réveil du guerrier économique** d'Ali Laïdi
28:13 **Earth for all/Terre pour tous. Nouveau rapport au Club de Rome**
32:20 **La Fabrique des animaux** avec Yann Arthus-Bertrand / L'Art faber
33:54 **Les 7 Cabanes** de Lionel Astruc
35:58 **Paysans et citoyens. Enquête sur les nouveaux liens à la terre** de Véronique Duval
39:20 **Invasives, ou l'Épreuve d'une réserve naturelle** de Céline Curiol
45:00 **Le vivant et la révolution. Réinventer la conservation de la nature par-delà le capitalisme** de Bram Büscher et Robert Fletcher
47:52 Cahier militant **Refaire le monde avec Jane Goodall**
49:50 **Naviguer sur les sentiers du vent** d'Olivier le Carrer
57:25 **Énergie ! Comment sortir du labyrinthe de la fatigue** du Dr Anne Fleck
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#rentréelittéraire #essais
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Il faut se concentrer sur ce qu’il nous reste et non sur ce qu’on a perdu.
L'énergie la moins chère et la moins polluante reste celle que l'on ne consomme pas.
De manière générale, on ne peut pas mettre la nature sous cloche.
Qu'il guette ou qu'il tue, qu'il se chauffe au soleil ou surveille l’ouverture du réfrigérateur magique à l’heure du dîner, qu'il lorgne votre assiette méditant un larcin ou qu'il s’adonne à sa toilette, le chat pose sur le monde alentour un regard objectif qui se contente de voir.
Il est trop tard pour être pessimiste.
En une heure, la surface de la Terre reçoit plus d'énergie du Soleil que l'humanité n'en consomme sur une année entière. Si nous trouvions le moyen d'exploiter cette ressource, les problèmes énergétiques auxquels nous sommes confrontés seraient réglés.
Au lieu d'aller sur la Lune, au lieu de fabriquer des bombes, ils n'ont qu'à penser aux pays sous-développés, où meurent les femmes, les enfants, les hommes. (Abdoulaye, nord du Mali).
Une image par jour tout au long de l'année, pour observer les menaces, les dangers qui pèsent sur la planète, l'environnement, l'urbanisation ou encore les populations. Une image de Yann Artus-Bertrand et un texte du scientifique Hervé Le Bras par jour, pour comprendre la beauté du monde, mais aussi l'ombre qui pourrait bien l'abimer.
Je suis un écolo perdu, on tourne en rond.
• Ouest-France, 27/12/2018
Car théoriser la générosité revient à la faire passer par l'intellect alors qu'elle doit passer par le cœur. C'est refroidir ce qui doit être un tison ardent. C'est croire qu'on peut la calculer, la raisonner, alors qu'elle doit être un élan.