AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Yves Sente (753)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Autour de Blake & Mortimer : Dans les couli..

Les aventures de Blake et Mortimer et la poursuite d'Olrik à travers toutes les époques, c'est un souvenir lumineux de mes lectures de jeunesse. Alors quand cette BD renaît c'est tout un nouvel imaginaire qui se crée. Ce livre est un dialogue entre Sente et Julliard avec de très belles illustrations (notamment des crayonnés).
Commenter  J’apprécie          30
Blake et Mortimer - Intégrale, tome 4 : Les s..

Condenser trois tomes en un seul sans créer une sensation de perte pour le lecteur n'est pas évident. En BD, l'exercice est encore plus compliqué que pour des livres "classiques" (sans images). La synthèse est plutôt réussie même si, de temps en temps, on a quand même envie de pouvoir approfondir le passé de certains personnages secondaires ...
Commenter  J’apprécie          20
Blake et Mortimer - Intégrale, tome 7 : La va..

les missives de Fanny H pour collectif Polar

Une nouvelle enquête qui conduira le capitaine Blake et le professeur Mortimer de l’Angleterre à Hong-Kong où ils devront faire face de nouveau à leur légendaire ennemi le colonel Olrik ainsi qu’à la folie du général Xi-li. Une aventure toujours aussi passionnante mêlant les services secrets et l’archéologie. Un scénario bien détaillé et des dessins hauts en couleur.

2 tomes afin de découvrir enfin la vallée des immortels.

Un de mes coups de coeur 2020.

A ne pas manquer.
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
Commenter  J’apprécie          60
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

En lisant cette aventure de Blake et Mortimer, je me suis vite fatigué et ennuyé. Je me suis surpris à sauter la lecture de certaines bulles pour vite arriver à la fin de l’histoire .

Le début laisse présager une bonne histoire d’espionnage mais elle sombre très vite dans la banalité.

Si l’univers de Jacobs est respecté, les dessins laissent malheureusement à désirer.

Cette reprise est un échec.
Commenter  J’apprécie          62
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

"La Machination Voronov" un excellent album des aventures de "Blake et Mortimer". Dans la lignée de "L'étrange rendez-vous", et cette fois c'est Yves Sente et André Juillard qui sont aux commandes. Confier la série à plusieurs équipes de scénaristes et de dessinateurs est plutôt bien-vu, car les albums sortent plus régulièrement sans compter l'énorme quantité de travaille que demande la conception d'un épisode de Blake et Mortimer.

L'ambiance est celle de la guerre froide des années 50, époque ou la paranoïa est de rigueur. Pas de fantastique ici, à par ce virus venu de l'espace au retour d'une sonde spatiale. L'histoire est plausible et parfaitement construite, vu l'avancé des Soviétique dans le domaine aérospatiale de cette époque. On est bien dans le style du récit de la guerre froide de cet période. On découvre un Olrik très bon nageur dans cet épisode, beaucoup de douche froides pour lui ! que voulez-vous c'est bien connu les vilains ont la peau dur...

Les dessins sont bien travaillés les personnages les décors et les couleurs sont agréables.

Au final c'est plutôt un bon titre que cet machination Voronov, et au moins la série continue...
Commenter  J’apprécie          70
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Cette reprise de Blake et Mortimer par une 2e équipe est une vraie réussite. Tout l'esprit d'Edgar P. Jacobs est bien là, avec une intrigue bien documentée et pleine de rebondissements, un dessin fourmillant de détails... Et même un clin d'oeil à Hergé et la Syldavie à la page 17. Olrik joue toujours à merveille son rôle de méchant, fourbe et lâche.



En plus, j'ai l'édition appelée "Edition du Millénaire" : avec 2 pages supplémentaires, elle offre 5 projets de couverture.
Commenter  J’apprécie          50
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

C’est le deuxième album conçu et dessiné en 2000 par une équipe se coulant dans le moule d’Edgar P. Jacobs : Yves Sente et André Juillard. Comme dans l’épisode précédent, nulle trace de science-fiction, mais du pur roman graphique d’espionnage, dans un cadre politique et historique précis : nous sommes en 1957, en pleine Guerre froide et course effrénée entre les deux Grands pour savoir qui maîtrisera l’espace, c'est-à-dire les fusées à longue portée permettant d’anéantir l’adversaire.

L’histoire commence à Baïkonour, base de lancement des fusées soviétiques. Voulant brûler les étapes, un général provoque la destruction d’une fusée qui s’écrase au sol… Cependant, les équipes chargées de récupérer les débris meurent à son contact d’une fièvre hémorragique. De l’espace, la fusée a ramené sur terre une bactérie tueuse, dont un savant fou, le Docteur Voronov, va tirer un parti tout à fait radical. En effet, ce nostalgique de la période stalinienne veut supprimer toutes les velléités d’ouverture manifestées par certains hiérarques, depuis que Kroutchev a initié la déstalinisation. Au risque de provoquer un conflit nucléaire mondial pour parvenir à ses fins.

On a beaucoup critiqué ce scénario trop verbeux, ainsi que le graphisme manquant de la légèreté du précédent épisode (L’Affaire Francis Blake). Je ne suis pas d’accord, et j’ai trouvé dans cette aventure bien des points d’une extrême précision. Je me souviens en particulier de l’ambiance qui régnait à l’époque dans les milieux diplomatiques – j’ai effectué un voyage à Moscou en 1962 et je logeais chez un diplomate français – et j’ai toujours en mémoire ces filatures par des agents à peine discrets, les installations spécifiques anti-écoutes, des problèmes du personnel complètement à la solde du KGB. C’est bien vu. Evidemment, l’intrusion de Blake au sein de la Loubianka pour en exflitrer la belle Wardynska à travers les égouts moscovites relève du mythe, mais c’est tout à fait dans le style des exploits de Blake et Mortimer. Olrik, là encore malfaisant, n’est toutefois pas très bien inspiré cette fois et se plante … ce qui ne manque pas de faire plaisir.

Enfin, un clin d’œil que j’adore : le restaurant syldave Klow, avec son éternel serveur chauve, me ramène au Sceptre d’Ottokar …. En définitive, une intrigue vraisemblable et prenante, dans une belle mise à la couleur.

Commenter  J’apprécie          150
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Juste un petit bémol sur le lettrage de cet album... au vu (sans jeu de mots) de la petitesse des caractères, on se demande parfois si les éditeurs de Blake et Mortimer ne sont pas sponsorisés par Afflelou .....
Commenter  J’apprécie          70
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Nouveaux auteurs pour cette 14ème aventure de Blake et Mortimer : ce sont Yves Sente au scénario et André Juillard aux dessins qui s'y collent.

C'est encore du très bon Blake et Mortimer avec cette histoire de bactérie mortelle tombée accidentellement entre les mains d'un savant soviétique nostalgique des pires années de l'URSS. Bien sûr, le colonel Olrik est encore une fois dans le coup mais il est cette fois plutôt exécutant que donneur d'ordres.

Cette bande dessinée retranscrit très bien l'atmosphère de la guerre froide dans le milieu de l'espionnage : espions, agents dormants, agents doubles, rencontres furtives nocturnes, ambassades surveillées, pièces insonorisées, déguisements...



Malgré la disparition d'Edgar P. Jacobs, le créateur de la série, les différentes paires d'auteurs parviennent à sortir de nouveaux épisodes de qualité (au moins pour celui-ci et le précédent "L'affaire Francis Blake"), pour l'instant plus dans le thème de l'espionnage des années 50-60 que dans le fantastique ou la science-fiction.
Commenter  J’apprécie          200
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Pour ce premier ouvrage du duo franco belge, l'aspect visuel et structurel des originaux a été respecté : mêmes couleurs, même graphisme, même mise en page (beaucoup de texte écrit en petits caractères), même principe pour le lieu (une ville, ici Moscou). Un peu dommage car copier n'est pas jouer.

Par contre l'intrigue n'est pas à la hauteur : il y manque d'originalité et on finit par s'y ennuyer un peu.

Cette intrigue pourrait sûrement faire un bon roman policier, mail pour cette BD il manque un brin de folie.
Commenter  J’apprécie          20
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Le Blake et Mortimer de la guerre froide!

Atmosphère à la John Le Carré, garantie.

Entre nostalgiques du stalinisme et renégat au service des soviétiques, l'ambiance du livre est anxiogène au possible.

Sente et Julliard continuent l'œuvre de féminisation de la série, avec l'entrée en scène d'une ravissante chercheuse aussi blonde que russe.

Un bon opus de la saga, donc.
Commenter  J’apprécie          190
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Agréable surprise que cet album de la série, réalisé par un tandem totalement nouveau scénariste dessinateur. Tout en gardant les incontournables de la "franchise" (Olrik en méchant, intrigue basée sur des thèmes scientifiques, longues séquences d'introduction "écrites" plus que dessinées), cet opus innove en plaçant l'histoire dans l'Histoire, légèrement anachronique quant à certains positionnements politiques mais malgré tout assez respectueux du climat de l'époque. Les séquences d'action sont bien présentes et rythmées, comme dans les derniers tomes. Un bon cru donc, ce qui peut étonner quand on sait que l'album a été commandé à la hâte pour pallier le retard de Ted Benoit sur l'album suivant et permettre d'engranger des recettes pour l'éditeur...
Commenter  J’apprécie          90
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Je vais encore faire un parallèle avec Tintin, mais je me suis retrouvé parfois avec les sensations que peut provoquer L’Affaire Tournesol ! Et l’Affaire Tournesol étant mon Tintin préféré, c’est bien parti ! Changement d’équipe, et ça se voit d’entrée de jeux dans le dessin. L’arrière plan des premières scènes est plus sobre, les personnages sont plus stricts. Mais on s’y fait. En fait, le scénario captive immédiatement : ambiance de guerre froide, d’espionnage, le tout au beau milieu des années 50, de Baïkonour à Londres en passant par Moscou et Liverpool. L’histoire est complexe, les dialogues sont très denses (logiquement). Le choix du scénario est donc clairement orienté vers l’enquête d’espionnage, mais un soupçon de science fiction est introduit avec cette bactérie de l’espace qui apparait rapidement. Pas grand-chose donc, et c’est très bien comme ça. On est loin du Piège diabolique ou de l’Enigme de l’Atlantide et tant mieux !! Et puis, chose extraordinaire, la fin se déroule à l’air libre. C’est une première !!! Signalons enfin ces clins d’œil malicieux des auteurs : le restaurant syldave du Sceptre d’Otokar en plein Moscou, la rencontre de Paul MacCartney et John Lennon devant les yeux de Mortimer dans une fête foraine de Liverpool.

Bref, c’est différent de la Marque jaune, mais cette ambiance soviétique des années 50 vaut un petit Londres pluvieux. Même si le dessin est moins bon. Mais le scénario rattrape.
Commenter  J’apprécie          70
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Les BD Blake et Mortimer version E.P. Jacobs sont inusables, car devenues quasi intemporelles. Elles étaient à l'avant-garde à une époque où les bons et les méchants étaient biens marqués.

La nouvelle série lancée avec L'affaire Francis Blake reste sur ce créneau. Elle s'est poursuivie par cet album La machination Voronov, qui respecte en tous points la graphie de Jacobs, en recréant un contexte très années cinquante et guerre froide.

Le méchant est comme d'habitude Olrik, passé cette fois au service de l'URSS et devenu complice d'un scientifique nostalgique du temps de Staline. Ce dernier a a trouvé dans les restes d'une fusée un virus foudroyant. Reste à le diffuser partout dans le monde. Mais les réseaux du MI6 vont être alertés.

Sente et Juillard déroulent une intrigue d'espionnage très classique avec secrétaires d'ambassade - agents secrets, boites aux lettres mortes, réseau d'agents dormants... Rien de neuf en soi, mais l'histoire est bien construite.

Les dessins sont très respectueux de l’œuvre originelle et poursuivent le plaisir des grands Blake et Mortimer.

Une recréation réussie.

Commenter  J’apprécie          230
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Dans la réalisation de mon défi, j'ai loupé un album de la série. Je rattrape donc mon erreur sans plus attendre. Un album très politique avec les tensions est/ouest, mais aussi d'actualité avec la propagation d'un virus et la conception contre la montre de son vaccin. J'ai aimé l'intrigue mais je ne comprends toujours pas le besoin de mettre le colonel Olrik à toutes les sauces.
Commenter  J’apprécie          161
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Un album plutôt médiocre, presque bâclé, indigne du talent de l'auteur de la Marque Jaune. L'intrigue est sans grand intérêt et le dessin parfois approximatif: les visages peu expressifs ou par moments presque caricaturaux, certains éléments du décor (par ex. la fusée Soyouz, mal dessinée) peu crédibles.

En outre on répète à longueur d'album qu'il est impératif de développer un vaccin contre la bactérie tueuse ramenée de l'espace, alors qu'on sait qu'une bactérie se combat au moyen d'antibiotiques, les vaccins agissant eux contre les virus. De telles erreurs contribuent, elles aussi, à décrédibiliser l'ensemble de cet album.

Commenter  J’apprécie          50
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Blake et Mortimer est un mythe, tel Tintin ou Astérix ! Reprendre les personnages d'Edgar Pierre Jacobs pour tenter de donner suite à son talent de scénariste, à son génie de narrateur et à son sens du coup de théâtre est donc un sacré pari. Celui-ci est relevé à leur tour (après Jean Van Hamme et Ted Benoit pour le treizième tome) par Yves Sente au scénario et par André Juillard au dessin.



Dans la droite ligne d'Edgar Pierre Jacobs, le scénario tend clairement vers l’hyperréalisme : en pleine Guerre Froide, l'année 1957 fait figure de tournant dans la course à la conquête spatiale entre les blocs Est et Ouest. Cette aventure de La Machination Voronov s'inclut dans le contexte tendu par Edgar Pierre Jacobs depuis de nombreuses années : de nombreuses références démontrent de la connaissance des auteurs de l’œuvre originale et leur servent de justifications dans cet univers théoriquement uchronique, à ceci près que le parti est pris, avec ce nouveau tandem de repreneurs de la série, d'inclure intégralement le récit dans un tissu de faits complètement historiques (Guerre Froide, lancement de Spoutnik, fondation des Beatles, etc.).

Entre Londres, Moscou et Baïkonour, les auteurs font rencontrer science, espionnage et vieilles connaissances (comme toujours pour Blake et Mortimer...). Les références fusent partout pour les yeux avisés, les bons mots sont rares, mais respectent le style original du premier auteur de la série.



Un épisode efficace donc, qui, sans faire véritablement date dans la chronologie de la série, a le pouvoir de nous transporter dans une aventure réelle et sans fioriture dont on garde finalement un bon souvenir. Le total respect pour le monde visuel et descriptif créé par Edgar Pierre Jacobs finit de nous séduire. Un tandem à reconduire donc...
Commenter  J’apprécie          270
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

"LA MACHINATION VORONOV" est un album excellent , à l'image du tome précédent "L'AFFAIRE FRANCIS BLAKE".

L'histoire est rythmée, sans temps mort et se partage entre l’Angleterre et l’ex-URSS

Le dessin est excellent et les couleurs agréables.

L'ambiance tendue entre les différentes nations est particulièrement bien rendue.

Commenter  J’apprécie          40
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

La machination Voronov est le meilleur épisode de Blake et Mortimer parmi ceux qui ont suivi la mort de leur auteur. On est dans l'ambiance de la Guerre froide, les ennemis sont clairement identifiés (ou du moins le croit-on), et la science est indispensable pour lutter efficacement contre la menace venue de l'Est.

En plus, on voyage un peu en URSS et à Moscou, ce qui est toujours sympathique.
Commenter  J’apprécie          80
Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Deuxième album de la nouvelle série des B&M après la mort de E.P. Jabobs, la Machination Voronov voit un nouveau générique qui prévaut à sa réalisation. Suite à l'excellent résultat de l'Affaire Francis Blake, l'éditeur voulait enchaîner avec la sortie d'un nouvel album très vite. Hélas en raison de la lenteur du dessin de Ted Benoît (compte-tenu de sa qualité, on ne peut lui en faire le reproche), le tandem Van Hamme/Benoît fut remplacé après bien des épisodes, au scénario par Yves Sente (La Vengeance du Comte Skarbek), au dessin par André Juillard (Les 7 vies de l'Épervier) et à la mise en couleur par Didier Convard (Brunelle & Colin).

Cette nouvelle aventure se situe chronologiquement après l'Affaire Francis Blake en pleine guerre froide. C'est d'ailleurs sur cette trame d'espionnage que le MI5 et le MI6 vont lutter contre le KGB, dans une affaire de guerre bactériologique qui risque de détruire nombre d'habitants de la toute jeune CEE.

La série n'eut pas à souffrir du changement de “papas" ceux-ci ayant été nourris des mêmes albums, et le plaisir de reprendre les aventures des héros de leur jeunesse vint à bout de leurs réticences éventuelles.

Reste de tout cela un bon album, un peu trop concentré en rebondissements et en coups de théâtre à mon goût, ceci étant peut-être dû au fait qu'il avait été pré-scénarisé en deux albums par Y. Sente.
Commenter  J’apprécie          80




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Yves Sente Voir plus

Quiz Voir plus

Blake et Mortimer - Le Bâton de Plutarque

Qui est le dessinateur de ce nouveau tome ?

Bob de Moor
Ted Benoît
André Julliard
Antoine Aubin

10 questions
17 lecteurs ont répondu
Thème : Blake et Mortimer, tome 23 : Le bâton de Plutarque de Yves SenteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}