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3.3/5 (sur 280 notes)

Nationalité : Suède
Né(e) à : Kumla, Örebro , le 21/02/1950
Biographie :

Håkan Nesser est un écrivain suédois.

Son premier roman "Koreografen" a été publié en 1988, mais il a travaillé comme enseignant dans le secondaire à Uppsala, jusqu'en 1998 avant de devenir écrivain à temps plein.

En 1993, il publie "Le vingt et unième cas" ("Det grovmaskiga nätet") qui met en scène le commissaire Van Veeteren, héros de romans policiers traduits en douze langues, couronnés par plusieurs prix et adaptés à la télévision suédoise.

Après 10 romans policiers sur l’inspecteur Van Veeteren, Håkan Nesser a présenté une autre série de livres en 2006 en mettant en scène un inspecteur de police, Gunnar Barbarotti, aux origines italiennes. Si l'action de ces nouveaux romans se situe bel et bien en Suède, la ville, elle, comme dans ses précédents romans est pure imagination. Kymlinge ne se trouve sur aucune carte.

Håkan Nesser a épousé sa femme Elke (psychiatre) en 2000. Ils ont deux enfants. En août 2006, il s'installent à Greenwich Village à New York. Quelques années plus tard le couple fait ses valises et s'installe à Londres car il était plus facile pour sa femme pour trouver du travail.

De retour en Suède en 2013, il partage son temps entre Stockholm et l'île de Gotland.

son site : https://www.nesser.se/
page Facebook : https://www.facebook.com/nesserofficial/?locale=sv_SE

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Source : k-libre
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Bibliographie de Håkan Nesser   (16)Voir plus

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Citations et extraits (104) Voir plus Ajouter une citation
– Un roman, une pièce ou un film, Münster, ce n'est rien d'autre que la vie encadrée. De la vie capturée et encadrée pour que nous puissions facilement la contempler en sortant du présent et en la regardant à distance ...
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- Je vous serais reconnaissant, cher collègue, de bien vouloir me mettre au courant de la situation, commença deBries. Mais pas trop vite, je vous en prie, et en faisant preuve de pédagogie. J’ai passé une nuit blanche à surveiller une maison.
- Ça a donné quelque chose ?
- Si on veut. La maison est toujours là.
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Il se plaça derrière sa femme et lui caressa la nuque. Il passa sa main dans sa robe de chambre et serra doucement son sein. Soudain, il sentit une peur glaciale l'étreindre, une douleur due à la prise de conscience de la fugacité du temps. Il n'allait pas pouvoir retenir cette seconde de bonheur absolu. Elle faisait partie des moments extrêmement rares qui donnaient probablement un vrai sens de la vie.
Du moins, c'était sa conception des choses.
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....pour la première fois de sa vie elle sut qu' il était possible de percevoir les choses, sans les évoquer.De les percevoir avec une autre personne sans les nommer.../...Elle comprit que nos mots lourds et grossiers ne correspondent jamais entièrement à ce que nous voulons exprimer et qu' il est parfois nécessaire de s' en passer.Pour ne pas écraser nos sensations, ne pas les détourner avec notre langage.(p50)
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Il y eut quelques secondes de silence au cours duquel on n'entendit que le bruit produits par la pipe de Reinhart et les rotations du bracelet-montre du chef.
Est - que Mitter était innocent ?
P 163
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La douleur dans les orbites s'accentua. Peut-être était - ce parce qu'il avait fait l'effort de penser. P14
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Une fois les plats posés sur la table, Van Veeteren sut que c'était vain. Rien que l'idée de manger lui semblait indécente. Il jeta un regard découragé vers Suidjerbeck qui s'attaquait joyeusement à la cher grasse de son poisson.
Malgré le corps ecchymosé d'une petite fille. Malgré de petits fragments de latex. Malgré des scies circulaires.
Complètement pervers, songea-t-il. Un jour, je ne supporterai plus de vivre dans ce monde.
Ce n'est qu'une question de temps.
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Pour Edmund, le petit déjeuner était une sorte de rituel, il y mettait autant de soin qu’un prêtre à préparer la communion à l’église.
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C’est beau les marronniers en fleur, constata M. Chervouz en versant de la bière dans deux grands verres.
- Oui, très.
Ils burent en silence.
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_ Comment va ta maman ? m'a-t-elle demandé.
_ L'été sera rude, j'ai répondu.
Elle a hoché la tête puis elle s'est mouchée dans un mouchoir qu'elle a sorti de la poche de son tablier.
_ C'est mon père qui dit ça, j'ai ajouté.
_ Eh oui ! Qui vivra verra, a-t-elle fait.
C'est à cette époque que j'ai commencé à comprendre que c'était la manière dont les adultes s'exprimaient. Mon père n'était pas le seul. Il fallait utiliser ce genre de formules pour montrer qu'on avait acquis une certaine maturité. Depuis que la maladie de ma mère s'était aggravée et qu'elle était hospitalisée, je m'efforçais de retenir les dictons les plus utilisés pour les avoir à ma disposition en cas de besoin.
"C'est comme ça."
"Un ennui n'arrive jamais seul."
"Ca aurait pu être pire."
"On sait si peu de choses."
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