Atalante, tome 11

Atalante a trouvé le peuple des amazones mais ses rêves d'enfant n'en ont pas été comblés. C'est déçue que la belle chasseresse décide de retourner au Pelion et à la forêt de son enfance.

Voyage de retour pour Atalante qui se fait embaucher pour entraîner un jeune caravanier avant son entrée dans les jeux de Troie. le jeune homme a l'âme poète et aucun talent pour les choses sportives. Mais Atalante ne baisse pas les bras.
Tout ça est plein de bons sentiments, ça dégouline même. L'histoire est franchement niaise et sans grande envergure. Je n'ai pas retrouvé le goût de l'aventure et même l'humour n'est pas vraiment au rendez-vous. Pourtant Nike, Pyros et Heracles accompagnent toujours Atalante mais non pas de coup d'éclat.
Ce n'est pas vraiment déplaisant à lire mais ça sera vite oublié.

L'histoire est simple mais pas simpliste. Atalante cette fois aide un jeune poète rêveur à devenir un sportif de haut niveau dans le but de gagner l'estime de son père. On aurait pu avoir un tome simpliste avec le succès à la fin, mais ce n'est pas le cas. le dessin reste de très bon calibre selon moi. C'est vrai que l'humour est un peu moins présent, mais cela reste très agréable à lire et de toute manière, la quête de la toison d'or ne pouvait pas être éternelle, il faut bien rebondir sur une autre intrigue...

Dessin moins fin qu'auparavant et histoire assez faible (Atalante doit aider un jeune garçon à être plus costaud et participer à des jeux). C'est moyen même sur l'humour des petits personnages ...
Cela baisse de tome en tome.
Déçue.