Depuis trois mois, je lis beaucoup de mangas, et au salon du livre de Paris, j'ai acquis ce manga sur un critère très particulier : la présence d'un chat blanc sur le quatrième de couverture.
Maintenant, je ne suis pas naïve, j'ai lu le quatrième de couverture, et je savais très bien que je n'avais pas entre les mains un gentil shojo - d'un autre côté, ce n'est pas non plus le yaoi le plus violent ou le plus cru qui soit.
Les deux personnages principaux sortent de prison, mais si l'un y est allé presque volontairement, dénonçant le trafic de drogues de son patron, l'autre a survécu comme il peut hors de prison, et continue à survivre comme il peut à l'intérieur. Vous noterez à quel point je parviens à esquiver certains détails. Par le plus grand des hasards, le plus âgé (il a la quarantaine) retrouve le plus jeune, qui n'a pas vraiment changé, qui est à la rue et qui a trouvé .... ce fameux chat blanc en quatrième de couverture.
Il en faudra des rebondissements, des trahisons, des actes courageux pour qu'au final ces deux-là se (re)trouvent. le déouement est presque trop heureux pour être crédible. Quant au chat... Il va bien, je vous remercie.
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L'histoire est très prévisible et stéréotypée. Ce récit aborde tout de même les thèmes de la prison, de la faiblesse, de l'abus de pouvoir et de la violence. Il n'y a pas de nouveauté avec l'utilisation des yakuzas, souvent présent dans les mangas de style yaoi. Kyôsuke ne ressemble pas du tout au méchant qu'on attend. Il est bien trop gentil. Mon personnage préféré est Chibi, le chat. Lui est toujours heureux, même quand il prend un bain. Tout au long de ma lecture, j'aurais aimé que tout ne se déroule pas aussi bien, puisque même l'obstacle qui se met entre Kyôsuke et Shûya se déroule trop bien.
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Un yaoi vraiment sympa sur fond de prison et de yakusa. le graphisme est top, les personnages attachants, surtout Shuuya, et l'histoire intéressante sans être exceptionnelle.
Je suis pas fan des romance bisounours dans les mangas et là je trouve que la relation est plutôt bien amenée.
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Une histoire de yakuza repenti comme je les aime!! le subtil mélange de mafia, de prison et du manque d'amour d'un gamin paumé.
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C'est toujours la même chose. Rien ne dure jamais très longtemps.
- ... J'ai compris. Je te suis, mais en contrepartie, tu ne le touches pas.
- Je savais qu'on arriverait à s'entendre.
Sawaragi, pardonne moi, je suis trop stupide pour trouver une autre solution. C'est le seul moyen que j'ai de te protéger.
Il faut savoir assumer et s'occuper jusqu'au bout des chats de gouttières qu'on ramasse dans la rue.
On ne peut pas décider de s'occuper d'un chat juste par pitié. Si l'on n'est pas certain de pouvoir l'élever, si l'on n'a pas assez confiance en soi pour en prendre soin jusqu'au bout... Il ne faut jamais prendre dans ses bras un chat au regard triste.