On m'a offert ce livre. Forcément, la course, le trail ça ne pouvait que me parler.
En effet, ça m'a parlé, et c'est le principal enseignement. J'ai aimé le partage d'expérience d'un coureur lambda et ce qui l'amène à aller se dépasser vers des courses de plus en plus difficiles.
J'aurais aimé un peu plus de description du jour J, au moment des courses, les sensations qu'il éprouve profondément quand le défi paraît insurmontable, quand on a envie de tout arrêté.
Mais ça se lit bien, c'est fluide, et j'ai surtout adoré le parallèle entre le début du livre avec cet anti sportif qui détestait courir au drogué du sport qui cherche toujours des créneaux dans sa semaine pour se dépenser.
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Jai bien aimé ce livre même si je m'attendais à avoir plus de conseils venant de cet Ultra Trailer. Mais en fait, ce type est dingue! Il raconte avec humour et beaucoup d'humilité comment il s'est lancé en 18 mois dans un semi, puis des marathons puis des trails et des ultras, sans forcément s'astreindre a des entraînements, ni faire attention à ce qu'il mange et boit (sauf pour le marathon des sables). Mais finalement il y est quand même arrivé! Complètement barré mais comme quoi avec un bon mental, on peut aller loin. Ça me donne de l'espoir pour mes objectifs de l'année prochaine 💪🏃♀️💪
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Particulièrement motivant sur une grande partie du récit, le livre s'essouffle justement au moment où on pense qu'il va atteindre des sommets : lorsque l'auteur débute le marathon des sables !
J'ai eu un peu de mal à le finir, même si j'en garderai un bon souvenir !
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Juste excellent. Mettez vos baskets et aller courir!!!
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Vacances et tendinite obligent, le moisiversaire de début aout est en forme de carte postale : peu de texte, peu d'intérêt.
Pas de projet, à part l'ascension du Tourmalet à vélo, mais je n'ai pas de vélo.
Rein d'autre à faire donc que l'ascension du Pic du Midi...en mode randonnée et non en courant. Et ce n''est déjà pas rien, d'autant plus que ça fait mal quand même.
Je me dis que cela ne va pas être simple de tenir tout aout sans courir pour laisser à la tendinite le temps de disparaitre. Je souris en me rappelant qu'au début de l'aventure, la problématique était inverse : comment tenir un mois en courant trois fois par semaine ?
Il a dû se passer quelque chose à un moment ou à un autre pour me faire ainsi basculer du côté des coureurs.
Mais quoi, et quand ?
" il n'est pas nécessaire d'aller vite, le tout est de ne pas s'arrêter"
INTERVIEW GRÉGOIRE CHEVIGNARD