Il voulait que je l'appelle Maître

A la pause, nous profitions d’un des nombreux débarras de la clinique pour nous isoler. Nos mains fébriles furetaient sous nos blouses. Nos doigts tâtonnaient sous l’élastique de nos culottes. Je pouvais sentir sous mes ongles des moiteurs qui n’étaient pas les miennes. Nous finissions en masturbant l’autre avec le plat de la main. Ma paume s’agitait aussi fiévreusement sur sa fente que la sienne sur ma chatte. Quand la jouissance arrivait, nous nous embrassions à pleines bouches pour étouffer nos plaintes. J’avais hâte qu’elle revienne chez moi, car la peur de nous faire attraper m’empêchait d’aller plus loin dans nos ébats. Aussi, j’attendais mon week - end de repos avec la plus grande impatience.

Déjà, David débandait à toute vitesse. Son sexe a vite été expulsé de mon derrière. Son excitation s’était évanouie mais je me doutais que tôt ou tard, elle reviendrait et que cet instant resterait à jamais gravé dans sa mémoire. Je l’imaginais déjà en train de se branler, tout seul, en songeant à ce moment. Jamais il ne pourrait m’oublier. Je prenais là ma véritable revanche. La prochaine fois, il y réfléchirait à deux fois avant d’exiger de sa future compagne qu’elle se comporte comme une vicieuse. Quand je suis partie aux toilettes évacuer son sperme, j’ai entendu la porte d’entrée claquer. Je savais que je ne le reverrais plus. En tirant la chasse d’eau, il m’a semblé que je jetais aux oubliettes toutes mes années de femme soumise passées avec cet homme. A présent, il était devenu pour de bon un étranger.

Nous allons la faire jouir ensemble ! J’ai acquiescé. Pendant que je suçais le clitoris dardé de Martine, Ariane léchait l’anus de cette dernière. Pour lui faciliter la tâche, j’écartais à pleines mains les fesses de notre partenaire. Nos langues s’agitaient à quelques centimètres l’une de l’autre. Avec un peu d’imagination, j’aurais pu croire que c’était avec mon amie que je me gouinais tant nous étions proche

il m'a prise comme une bête
en sentant son plaisir me
remplir la fente, je n'ai pas pu retenir un cri de plaisir.