La fièvre… B

Il y a parfois des temps obscurs où la résurgence du passé vient percuter le futur de notre moment présent. Faire ce qu’on peut, c’est ne rien faire, le dépassement de soi est une conquête, un non-renoncement, une abnégation. J’ai envie de parler du monde vide de sens dans lequel on survit. La morosité s’est installée un peu partout. On s’invente des mondes parallèles dans l’espoir peut-être d’y trouver une vie que nous cherchons. On nous parle toujours de la crise ; à vrai dire, je ne connais que ça, à cinquante et un ans. Il semble que ce soit toujours les mêmes refrains et les mêmes qui subissent les paroles.

le gouvernement planche sur la loi ALUR prévue en juillet 2015- elle concerne l'encadrement des loyers dans les grandes villes, ils son trop chers. La revitalisation des centres villes passe par les habitants, achat d'une baguette, je bois un café, j'achète un journal ,des fleurs;D'autre part la fixation des habitants permet impôt local et des moyens pour les villes. De plus nous sommes déficitaires en logements. J'en ai eu l'idée PAGE 28 DE LA Fièvre...B , EN OCTOBRE 2014 !

Les renards sont parmi nous, ils nous plument sans vergogne.Aussi me dois-je de rappeler que les paroles des siècles écoulés peuvent encore s'adapter aux années moroses présentes où la crise frappe les pauvres corbeaux et engraisse les renards.

Chômeur, on est malheureux parce que l'on n'a pas d'emploi et pas d'argent. Travailleur, on n'a toujours pas de monnaie mais on doit s'en contenter, paraît-il !

Je voudrais bien voir qui serait volontaire pour être député élu au RSA. ( en parlant des fonctionnaires en couple qui perçoivent un complément de salaire sous forme de RSA).