Cet ouvrage, qui est la publication d'une thèse sur
Pline le Jeune, n'embellit ni ne fortifie l'édifice universitaire élevé depuis des siècles á la connaissance comme à gloire de notre auteur latin,
Pline le Jeune, qui semble demeurer une fois encore incompris.
D'autre part, contrairement à de nombreux latinistes qui se sont attachés toute leur vie à décrypter, apprécier, traduire, comparer un auteur qu'ils aimaient profondément pour des raisons diverses,
Nicole Méthy ( si l'on envisage qu'elle est septuagénaire) n'avait jamais publié sur Pline, et pour faire court, elle n'a apporté ni écrit rien d'extraordinaire, de percutant, d'audacieux même, pouvant nous faire crier d'étonnement et de joie : ah ! oh ! PERSONNE, AVANT ELLE, NE S' EN ÉTAIT APERCU !!
Ainsi le mystère de Pline le Jeune reste encore à découvrir. du moins chez cette littéraire. Je reste sur ma faim de découvertes. Mais je sais où trouver les réponses que je me pose sur Pline. À bon entendeur, salut !