Ce qu'il ya de biens avec Salvatore c'est qu'il écrit de la fantasy épique sans prise de tête et qui donne envie de jouer à Donj', surtout depuis un certains nombres de tomes où le politiquement correct à disparu. A une époque ce tome aurait probablement été brûlé par les Ligues de Moralité et de Vertue bien-pensantes aux USA.
Pour en revenir à l'histoire, d'un côté, mes chers Elfes Noirs toujours à intriguer: La mère matrone Quenthel Baenre (première Maison de Menzoberranzan est convaincu qu'un retour aux anciennes traditions est nécessaire, à une époque ou les démons sillonaient les rue de la ville qui de fait était en état de guerre permanent).
De l'autre mes potes Nains qui vont former une armée de plus de 4000 menés par 3 Rois afin d'aller reprendre Gauntlgrym et la forge alimenté par un être Primordial du Feu.
Le bouquin est juste épique (3 grosses batailles sur une bonne cinquantaine de pages) et ne demande pas grande réflexion. Toujours une mise en scène des Drows parfaites (ha leur conseil de surveillance!) avec en prime le niveau N+1: Lolth avec le balor Erttu.
Mais, nouveau traducteur qui gâche un peu le plaisir, certains termes obligent a aller chercher dans le dictionnaire là ou on appréciait justement le côté simple, certains noms propres ont chnagé (Crack et Whack par exemple...).
Au terme du premier Roman, Salvatore semble vouloir détruire ce qu'il à mis plus de 30 ans à construire, je vais donc me ruer sur ce deuxième tome.
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On attend encore une fois que les personnages secondaires sauvent le récit et nous offrent quelques bouffées d’air frais. On ne peut cependant que regretter l’impression de gâchis qui se dégage du roman.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Selon le vieux dicton des royaumes, "un nain vexé vaut deux nains fâchés".
Booktrailer du livre fantasy "Gauntlgrym", tome 1 du cycle "Neverwinter" de R.A. Salvatore.