Aya de Yopougon, tome 2

Adjoua se retrouve avec son bébé qui ressemble au mec qui passait par là, Bintou roule en parisien et Aya passe du temps avec son père. Tout ça pendant que Miss Yopougon se prépare.
Toujours un plaisir de retrouver les habitants de Yopougon et leurs histoires de coeur ou de c**. Car c'est surtout ces problèmes là qui créent des palabres à Yopougon.
Sans dévoiler, j'ai beaucoup ri quand le père d'Adjoua réussit enfin à prendre la photo qu'il cherchait tant. Et la fin du tome !
Encore un bon moment lecture. Hâte de lire le tome 3.

Avec les séries de Bande dessinée, je retrouve toujours ce plaisir de retrouver les personnages à travers les tomes... même si cela peut sembler anodin pour certains !
Ici, le lecteur constate à nouveau le côté responsable d'Aya, la naïveté de Binto ou encore le caractère joueur des garçons. J'ai apprécié la prise d'ambition de Hervé.
Autrement, l'intrigue tient en haleine puisque l'auteur sait manier les rebondissements. J'ai hâte de lire la suite pour savoir ce qui adviendra du père d'Aya.
Je reste séduite par cette bande dessinée !

On retrouve Aya, son amie Bintou, "éblouie" par par un "Parigot "un peu louche..et Adjouna marié à Moussa, qui vient de donner naissance à leur premier enfant mais qui ne ressemble pas vraiment au père, ..., Aya a donc fort à faire entre l'école, ses amis et son père a toujours en tête des projets de mariage !....

Tome 2. réussi, toujours aussi drôle, plaisant à lire, le petit lexique à la fin sympathique, qui nous délivre quelques secrets de tradition africaine.

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Adjoua a donné naissance à Bobby. Mais au début de ce deuxième volet, tout le monde voit bien qu'il ne ressemble pas du tout à son prétendu père Moussa, le fils du très riche Sissoko. Comment Hyacinte, le père d'Adjoua, va-t-il faire pour tenter à tout prix de prouver que Bobby est bien le fils de Moussa, alors que Sissoko, lui, n'y voit là que l'appât du gain ? Pendant qu'Aya s'occupe du petit Bobby, Bintou elle, « roule [désormais] en parisien ». Mais Grégoire, derrière le faste qu'il étale, ne cache-t-il pas autre chose ?
Tout ça n'empêche pas les trois copines de participer à l'effervescence que l'on sent monter à Yop City. On prépare l'élection de miss Yopougon. Alors quelle go remportera un litre d'huile ou une nouvelle bassine ? Pour être la plus belle tout le monde se presse chez Sidiki le tailleur…
Le second tome des aventures d'Aya et de ses deux meilleures amies, n'a pas échappé à la règle : je suis comblée ! On ne lit pas, on dévore cette bande-dessinée tant elle est un dépaysement, et pour nos yeux, et pour nos oreilles. Les personnages, tous plus attachants les uns que les autres, nous font un peu plus découvrir une Afrique authentique, pleine de vie, dont on à du mal à se détacher. Encore un joli coup de maître pour Marguerite Abouet et Clément Oubrerie, dêh !

Un delice .

Aya n'est toujours pas au coeur de l'histoire, mais on la voit de plus en plus en tournant les pages. Cela dit, j'ai eu l'impression de voir plus souvent Bintou et Adjoua mais c'est sans doute parce que leurs histoires personnelles sont plus "palpitantes".

En tout cas, j'ai beaucoup aimé en apprendre un peu plus sur elle : c'est vraiment une chic fille ! Même si je n'apprécie pas toujours la façon dont elle parle à Hervé (mais bon, peut-être que face à lui, je manquerais aussi de patience) mais en tout cas j'aime beaucoup la façon dont elle l'aide.



J'ai trouvé ce tome un peu meilleur et plus palpitant que le premier : les histoires qu'on y découvre ne sont pas franchement communes (enfin, je l'espère) mais elles restent très réalistes et agréables à découvrir.

Sans oublier que les dessins, tout comme les dialogues, me semble très conforme à ce qu'est réellement la Côté d'Ivoire : un mélange entre tradition et modernité.

Je ne peux que vous encouragez à vous lancez dans l'univers d'Aya de Yopougon !
Lien : http://lunazione.over-blog.c..

J'ai préféré ce deuxième tome, car les dessins sont toujours aussi beaux et l'histoire devient plus intéressante, les personnages sont moins futiles. Je vais donc rapidement enchaîné sur le troisième...

Tout aussi savoureux que le premier opus, c'est avec joie que je me suis plongée dans la suite des aventures d'Aya et de ses amis. On y retrouve les ingrédients qui en font une BD de grande qualité : un langage typique, une galerie de personnages haut en couleurs et un scénario qui tient bien la route.
C'est frais, bourré d'humour, mais aussi très enrichissant de par ce qu'elle nous apprend sur les coutumes et la culture ivoirienne.

Pour ne rien vous cacher, j'ai déjà dévoré tout aussi "goulûment" les tomes suivants et attends avec grande impatience la sortie du Tome 6 !

Le deuxième tome d'"Aya de Yopougon" poursuit brillamment l'exploration de la vie quotidienne à Yopougon, un quartier d'Abidjan, dans les années 1970. Marguerite Abouet et Clément Oubrerie, le duo créatif derrière cette série, parviennent à capturer l'essence d'une société en plein mouvement, tout en préservant l'authenticité et la chaleur qui caractérisaient le premier tome.
Dans ce volume, les personnages déjà chers aux lecteurs gagnent en profondeur. Aya, toujours aussi pragmatique et ambitieuse, continue d'être le pilier de l'histoire, nous guidant à travers des thèmes complexes comme l'amitié, l'amour, et les défis socio-économiques. Les intrigues secondaires s'entremêlent habilement, offrant un aperçu riche et nuancé de la culture et des traditions ivoiriennes.
Visuellement, les illustrations de Clément Oubrerie sont un festin pour les yeux. Son style coloré et dynamique s'accorde parfaitement à l'atmosphère de la bande dessinée, capturant l'essence vibrante de Yopougon. Chaque planche est méticuleusement conçue, offrant une expérience immersive.
En conclusion, le tome 2 d'"Aya de Yopougon" est une réussite sur tous les plans. Il ne se contente pas de poursuivre l'histoire entamée dans le premier tome, mais l'élève à un niveau supérieur, prouvant que cette série est un incontournable non seulement pour les amateurs de bandes dessinées, mais aussi pour ceux qui s'intéressent à une représentation riche et nuancée de la culture africaine.

J'ai fais le choix de poursuivre la lecture de cette saga sans tarder, histoire d'avoir les souvenirs encore bien présent à l'esprit.

Ce tome 2 reprend là où le précédent finissait. Adjoua vient d'accoucher d'un garçon qui ne ressemble vraiment pas à son père. le père d'Adjoua va alors chercher dans sa famille une personne qui ressemble au bébé… Dans le même temps, Bintou commence une relation avec un Ivoirien qui vit à Paris. Je me demande où va nous mener cette histoire. Quant à Aya, elle passe tout le tome à s'occuper du fils d'Adjoua. J'ai bien compris que dans la culture ivoirienne tout le monde s'occupe des enfants, mais je trouve que ça fait un peu too much. Surtout que à partir de la moitié du tome, elle décide que la bonne de la famille, Félicité, participera au concours de Miss Yopougon. Dans le tome 1, Aya apparaissait comme une fille intelligente et sérieuse. Ici, j'ai l'impression que ce n'est plus vraiment le cas et que ses études passent au second plan. Mais au vue de la fin du tome, je pense que les études, le fils de Adjoua, le concours de Miss Yopougon, tout cela va passer au second plan dans le début du tome 3…

J'apprivoise peu à peu le style du texte, même si ce n'est pas encore ça. le lexique me sauve la vie très souvent. Ce n'est pas encore le coup de coeur, mais c'est déjà mieux que le tome 1…
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